Thibaud et Rachid
Je vous ai déjà parlé de Thibaud (lire).
Je l'ai baisé très très régulièrement pendant plusieurs mois. J'étais très troublé par ce qu'il éveillait chez moi. Par moment, je l'aimais bien et j'avais envie de le câliner. Parfois aussi, j'avais envie de le malmener. Son attitude très soumise me révélait un côté pervers de ma personnalité. Je ne sais pas quelle était la part de jeu et la part d'emprise réelle. Ca a fini par me déstabiliser mais j'ai passé des moments très excitants. Dommage qu'il n'ait pas été adepte du sm (il était soumis mais plutôt cérébral) car on aurait pu s'amuser vraiment.
Bref, un matin, il dormait à côté de moi. Je lui avais permis de passer la nuit dans mon pieu. J'étais réveillé et je regardais son corps allongé contre moi. Il était sur le ventre, son dos, la cambrure de ses reins, ses fesses rondes et poilues. Malgré son jeune âge (il avait 19 ans à l'époque) et son petit gabarit, il était super bien foutu et je trouvais ça vraiment excitant. J'en avais marre de le regarder dormir, j'ai commencé à laisser traîner mes mains sur ses fesses et à lui titiller la rondelle. Il se serra encore plus contre moi en se retournant un peu. J'ai vu qu'il bandait dès le réveil. Je le pris dans mes bras et l'embrassai. J'ai eu très envie de lui mais je ne l'ai autorisé qu'à me sucer. Il s'appliquait. Je l'appelais "mon petit vide-couilles", je n'ai jamais su si ça le flattait ou si ça le vexait mais je me montrais soudain très grossier en lui disant : "Ce que tu veux, c'est te faire sauter !". Il m'a regardé, mon sexe dans sa bouche avec une expression qui m'a excité encore plus.
Je ne voulais pas que ce soit aussi facile aussi je l'ai envoyé sous la douche. Je me suis levé et calmé, j'ai enfilé un slip et je suis allé jusqu'à a cuisine pour lui faire couler du café pendant qu'il se frottait. Il était assez tard pour appeler un troisième. Je savais que Thibaud restait longtemps sous la douche. J'ai attrapé mon portable et j'ai appelé Rachid. Il habitait dans le troisième tout près de chez moi et je négociait avec lui : Il venait direct pour un plan à trois et je lui offrait mon cul un peu plus tard dans la semaine.
Je ne crois pas vous avoir déjà parlé de Rachid. C'est un colosse gaulé comme un rugbyman, monté comme un taureau et avec qui je faisais des plans de temps en temps. Je l'avais connu dans le milieu gay. C'était le type même du beur décomplexé, ouvertement bisexuel voire même trisexuel. J'ai toujours entendu dire qu'il avait un faible pour les transsexuels. En tout cas, nous baisions régulièrement. Je ne savais de lui que deux choses : il habitait aussi rue Duguesclin et il était agent de sécurité. Trois minutes plus tard, il frappait discrètement à ma porte. Il était encore plus impressionnant que dans mon souvenir. Vêtu d'un vieux sweatshirt et d'un bas de survet, aux pieds, des baskets nike un peu défoncées. Je lui tendis une tasse de café et le fis asseoir sur le canapé. Quelques minutes plus tard, Thibaud sortit totalement à poil de la salle de bain en s'essuyant avec une serviette. Je l'ai senti gêné quand il s'est rendu compte que nous n'étions pas seuls. Je lui ai ordonné de mettre notre invité à l'aise. Il s'est approché de lui en comprenant très bien ce que je voulais.
Thibaud s'est agenouillé devant Rachid et a commencé à retirer ses baskets. "Bien dressé !" m'a-t-il lancé en rigolant. Il a aussi enlevé ses chaussettes de tennis d'une blancheur immaculée. Je remarquais que ça le faisait quand même bander. Il semblait osciller entre excitation et gêne. Rachid enleva son sweat d'un geste que j'ai trouvé très viril. J'aime bien son torse d'une puissance incroyable. Il est vraiment foutu comme un pilier de rugby j'adore. Ses grosses paluches remontèrent Thibaud au niveau de son sexe. Il comprit tout de suite et commença à lécher consciencieusement son survet à l'entre jambe. Je m'aperçut tout de suite qu'il ne portait pas de slip. Il enleva son fut. Je crois que Thibaud a tressailli quand il a vraiment vu la taille de son calibre. Il m'a jeté un regard inquiet. "Ca va bien se passer." Je me suis levé et je les ai rejoint. J'étais en slip blanc. Je bandais très dur. Rachid m'a attiré contre lui et m'a embrassé. "Excité ?". "Ouais."
Thibaud n'arrivait pas à sucer Rachid alors il léchait son sexe avec application et faisait entrer son énorme gland dans sa bouche. Le grosses mains puissantes du beur lui tenaient la tête. J'ai commencé à lui lécher le cul. Je faisais ça bien. Il fallait que ça rentre. Je ne me faisais pas beaucoup de soucis car je me doutais bien que je n'étais pas le premier mec de Thibaud et certainement pas le seul (quoi que...). Il était crispé et je lui mis un doigt en le forçant un peu à s'ouvrir. Je tendis une capote à Rachid qui la refusa en me disant qu'il avait les siennes.
C'est vrai que je ne suis pas certain que sa queue tienne dans un préservatif standard. Je fis allonger Thibaud sur la table, les jambes relevées et je lui ordonnai de sucer encore Rachid pendant que je lui mettais du gel et que je travaillais son cul avec mes doigts. Je savais d'expérience que l'entrée était difficile. Il se relâcha enfin. Je quittai mon slip. Nous échangeâmes nos places et je mis ma queue dans la bouche de Thibaud en bloquant ses mains. Je le sentis frémir en sentant le gland du costaud contre sa rondelle. "Détends-toi". Il fit un effort et Rachid était bientôt en lui jusqu'à la garde. Il bougeait légèrement. "Lâche pas ma bite". Le gamin se remit à me sucer goulûment mais il gémissait. Les coups de rein se faisaient de plus en plus forts. Rachid le souleva, encore embroché et le porta jusqu'au canapé. On aurait dit qu'il avait soulevé un fétu de paille. Il se mit à le pilonner. Je dois dire que c'est l'un des rares actifs qui me faisait vraiment prendre mon pied. Thibaud gémissait.
Rachid se retira d'un coup et le fit mettre à quatre pattes puis entra à nouveau en lui mais plus brutalement. "Suce Stan, salope." Il s'exécuta. Je prenais un pied d'enfer à le voir se tortiller tandis que le costaud le défonçait. Rachid m'embrassait en me tenant par la nuque. J'ai joui sur le visage de Thibaud. Rachid a continué de le pilonner durement en l'entraînant sur le carrelage. Il le fit éjaculer à son tour puis se retira et je fit mettre à genoux devant lui pour jouir sur son torse. Il cria en expulsant son sperme. J'essuyai tendrement le visage de Thibaud. "C'est bien mon petit. T'as aimé ?". Il se serra dans mes bras d'une manière intense.
Rachid prétexta devoir se préparer pour le boulot et prit congé. Je le revis deux jours plus tard mais cette fois-ci c'est moi qui passais à la casserole. Cela est une autre histoire. Je ramenai Thibaud sous la douche et nous nous sommes embrassés longuement pendant que l'eau coulait puis nous nous sommes recouchés. Il s'est rendormi sans même toucher à son café. Je pense qu'il avait aimé l'expérience.
Stanlyon
stanloeb@yahoo.fr
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