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Mes fantasmes mon coloc : l'aveu

Il y a quelques mois, seul à la coloc, et rien de bien passionnant à la télé, je me suis abandonner à transcrire dans un coin de mon PC l'ensemble de mes fantasmes, puis de les décrire avec plus de précisions. Ce soir là j'avais rédigé deux d'entre eux, et j'avais vraiment trouvé ça agréable. Décrire étape par étape ces moments intimes me procurait à la fois de l'excitation, et l'envie de recommencer. Je me suis donc laissé prendre au jeu et régulièrement je m'isolais dans ma chambre pour, pour rédiger un nouveau chapitre. J'aimais tellement ça qu'une fois la listes de mes fantasmes achevée, je me suis mis à développer de nouveaux chapitres. De nouvelles situations, et une orientation sexuelle plus ouverte. L'un d'eu traitait de Ben et de sa parade quotidienne, serviette autour de la taille à la sortie de sa salle de bain, celui-ci se clôturant moi à genou devant lui en pleine fellation, puis une branlette mutuelle. Ou encore, une soirée poker qui terminait en orgie aussi, à la différence que le plan était hétéro.

Puis j'ai mis fin à cette activité après m'être mis en couple. Le temps est passé et mes récits me sont sortis de la tête. Et lorsque ben a eu besoin d'un ordinateur en dépannage je n'ai pas eu idée de protéger mes fichiers où au moins de cacher celui-ci. D'ailleurs malgré ces deux dernières nuits, je ne me doutais toujours pas qu'il aurait pu en avoir pris connaissance. J'avais seulement vu deux fantasmes à quelques détails près se réaliser. Je trouvais ça drôle d'avoir vécue ces deux situations si proches des thèmes de mes récits, et en même tellement différents que se soit par l'issue de la première nuit, que par le rôle que j'ai tenu lors de la seconde. Quoi qu'il en soit, j'ai eu envie de me remettre à l'écriture, avec une nouvelle inspiration et moins de réserve face à la sodomie que j'avais jusque là contournée, ne voyant les quelques relations gay se conclure que dans la fellation et une seule fois traitée par une séance solo équipé d'un gode.

Je me réveille, et c'est sans appréhension ce matin que je quitte ma chambre pour rejoindre le séjour. Il est dix heures, et j'ai une bonne heure et demie avant de partir travailler. J'espère secrètement que Thomas et Ben seront réveillés et quelque part j'aimerais qu'ils m'invitent les cuisses grandes ouverte à soulager une érection matinale. Ils sont bien là, je souris bêtement. Je réalise que thomas est sur le départ, il fait la bise à Ben, puis renouvelle son geste avec moi. Je suis déçu. Il me sourit et me remercie pour la soirée d'hier. Je suis resté sans voix et tout en disparaissant derrière la porte nous salue du bras. Je reste donc seul avec Ben qui me tend une tasse de café.
- Tu as bien dormi ?
- Oui je suis tombé comme une masse. et toi ?
- Tu... ?
- Quoi ?
- Tu n'es pas en colère ? je veux dire tu ne m'en veux pas ? ... de ... t'avoir ...
- Je ne comprends rien.
- Tu sais d'avoir laissé les choses partir... Enfin que tu te sois retrouvé...
- Je ne sais pas trop. Je voudrais te traité de connard pour avoir laissé la situation dégénérer ainsi. Je devrais te décoller une bonne droite. Mais au contraire. Je ne sais pas comment l'expliquer, je... je dois reconnaitre que je... j'ai... je ne sais pas.
- Tu as kiffé ? c'est çà ?
- Je crois oui. Je ne pensais pas pouvoir prendre mon pied avec un mec comme ça. Et toi ?
- Je me suis bien amusé. Mais ça s'arrête là, un délire.
- Oui ça c'est sûre ! Mais c'était vraiment bien. Enfin je veux dire qu'on croit que se faire mettre c'est perdre sa virilité. Mais je ne me sens pas moins viril, et surtout je ne regrette vraiment pas.
- Tu veux dire que tu recommencerais ?
- Je ne sais pas, si l'occasion se représente, peut-être oui.
- C'est bon à savoir.
Nous terminons notre petit déjeuner, abordant d'autres sujets.
Le retour de la copine de Ben mit fin à notre aventure. Et la semaine reprit son court. Les vacances sont terminées, Morgan est de retour à la coloc. Tout est redevenu comme avant, Ben n'a pas fait d'imper, et notre aventure n'a pas été révélée. J'ai repris mon clavier, créer un nouveau fichier et retranscris mes deux nuit avec Ben. Puis je suis retourné dans le fichier de mes fantasmes pour donner vie à de nouveaux chapitres. Cette fois ci concentrés sur des relations entre hommes ou bi. Ben y occupe fréquemment un rôle principal, ainsi que Thomas. Si au départ ces fantasmes se déroulent au sein de la coloc, très vite des endroits plus insolites en deviennent le décor.

Un jour je reçois un texto de Ben qui me donne rendez-vous au dernier étage de l'école. Je me rends donc au lieu fixé, les couloirs sont calmes et Ben n'est pas encore arrivé. Un nouveau message me signale qu'il est aux toilettes, je le rejoins naïvement. Je le trouve face au lavabo les mains sous l'eau.

Il tourne la tête dans ma direction, me sourit. Il s'essuie les mains. Puis se rapproche de moi, plaque ses mains sur mon torse, et me pousse avec force contre le mur. Il m'embrasse, puis glisse sa bouche vers mon oreille :
- Je n'arrête pas de penser à toi, à nous. J'ai terriblement envie de te baiser.
Je le repousse, malgré une envie furieuse de lui rendre son baiser.
- Attends qu'est ce que tu fous ?
- Quoi tu n'en a pas envie ?
- Ce n'est pas le problème. Juste pas ici. Pas comme ça. Et pourquoi maintenant ?
- Ça fait un moment mais à l'appart quand on s'y trouve en même temps on n'y est jamais seuls. Que se soit Julie Où la présence de Morgan il y a toujours quelqu'un pour m'empêcher de te le dire.
- Ecoute moi aussi j'y repense régulièrement et à chaque fois j'ai envie de t'appeler pour qu'on se retrouve...
- Justement on est là ! Tous les deux, maintenant. Qu'est ce qui s'y oppose ?
- Julie ! je ne veux pas, je ne pourrai pas baiser avec toi et la croiser à la coloc .
- Tu préfères te prendre la tête pour Julie. On verra ça plus tard.

Alors qu'il me maintient toujours plaqué au mur, les mains en pression sur mes hanches. Il s'accroupit devant moi. Il me libère de ses mains qui se précipitent sur la boucle de ma ceinture, qu'il détache. Il dégrafe les pressions de mon jeans. Je le repousse, je ne suis pas à l'aise. Si je ne suis pas victime de remords d'avoir jouit en me faisant sodomiser, Je ne tiens en revanche pas à l'étaler sur la place publique. Mais Ben n'accepte pas mon refus. Il fait alors glisser ma ceinture hors de mon pantalon, se relève, et avec une facilité hallucinante me retourne face au mur puis m'y plaque violement. Après s'être saisit mes poignets, il les ligature à l'aide de ma ceinture.
- Je te promets que tu vas encore prendre ton pied. Si tu te laisses faire je te détache les mains
- Va te faire Ben !
- Je bande comme un taré, tu ne peux pas me laisser repartir comme ça.

Il fait pression sur mes genoux qui fléchissent puis me force à m'agenouiller. Il me tire plus au centre de la pièce, se place devant moi, et tire ma tête contre son entrejambe me frottant sur son jeans. Je devine sans difficultés sont érection maintenue de force sous le tissu. L'angoisse que quelqu'un entre et nous surprenne me retourne les trippes. J'essaye à nouveau de m'opposer à Ben, mais il n'en démord pas, entre sa force  et mes mains liées dans le dos mes chances sont faibles. Mais afin de s'assurer de son emprise sur moi et obtenir de moi ce qu'il veut sans contestations, il décide de me menacer, tout en fouillant dans sont téléphone
- Tu devrais obéir !

Il retourne alors son écran face à moi et met en route la vidéo où lui et Thomas me baisent en plein milieu du salon et sur laquelle je me montre particulièrement consentent

- Tu as l'air de prendre ton pied là ! Je suis sûre que tu pourrais cumuler de nombreuse vues sur le net.
- Tu n'es qu'un enfoiré, va te faire foutre.
- Tu sais parfaitement que de nous deux c'est toi qui te fais foutre.
- Pourquoi tu fais ça ? tu peux me baiser quand tu veux mais s'il te plait pas ici pas comme ça.
- C'est drôle parce que j'ai cru comprendre que tu baiserais bien une meuf ici alors pourquoi est ce que je ne pourrais pas moi te baiser comme tel.
- Qu'est ce que... je ne comprends rien.
- Je dois t'avouer que quand j'utilisais ton ordi je suis tombé sur un dossier que tu aurais dû un peu mieux protéger. Je l'ai copié sur mon disque dur puis une fois que j'ai eu un nouveau PC je suis allé fouiller. Et puis je suis tombé sur ce fantasme où tu fini par me tailler une pipe. Alors je suis demandé si tu aurais les couilles de le faire si la situation se présentait. Et puis j'ai eu Thomas au Téléphone qui a halluciné. Il m'a demandé de lui parler d'autre de tes fantasmes. Puis on en a convenu notre petite soirée poker. Il a eu l'idée de revoir la distribution des rôles et de faire de toi la salope qui se ferait mettre. On a d'ailleurs été surpris de te voir aussi vite jouer le jeu, on pensait vraiment que tu ne te laisserais faire qu'une fois Antoine et Mick partis mais non une vraie salope. Tu as accepté de te faire fourrer le cul devant tout le monde.


Je n'en reviens pas moi qui croyais que tout cela était le fruit du hasard. Que Ben s'était laissé séduire à l'idée de me faire l'amour. Au lieu de ça je comprends qu'il n'avait qu'une idée en tête me baiser  Mais surtout de faire de moi une pute qu'il pourrait manipuler. Et maintenant qu'il se rend compte que je ne suis pas une chienne qui écarterait les cuisses n'importe où. Il montre un visage plus sombre mais surtout des intentions clairement vicieuses. J'ai honte d'être dans cette pièce les mains liées la vidéo toujours en route. Pouvant être surpris par n'importe qui. Honte d'avoir été naîf au point de croire que Ben pourrait ressentir quelques choses pour moi. Honte de mettre asservit à leur plaisir, de mettre soumis et offert sans retenue pour leur plaisir. Honte d'avoir écrit ces textes qui aujourd'hui me rendent captif de la volonté de Ben. Honte de mettre laissé filmer et de leur avoir offert les chaines de la soumission.

- Tu n'as donc jamais rien ressenti c'est ça. tout ce que tu veux c'est pouvoir me baiser. Lorsque tu dis que tu penses à moi sans cesse depuis le retour de Julie, se ne sont que des mensonges n'est ce pas ?
- Non j'ai vraiment pensé à toi, à tes pipes magistrales, à la sodomie que Julie me refuse, à ce que tu acceptes et accepteras de faire. Quand je pense à toi je pense au bien que tu offres à ma queue. Mais maintenant que je suis passé aux aveux tu as deux choix qui se présentent à toi. Tu ne veux plus jouer le jeu, et tu prends le risque de faire de moi un homme frustré qui en réponse à la souffrance qu'il ressent pourrait vouloir partager des souvenirs de baises partagées. Dans quel cas tu comprendras que je te refuserais une nouvelle baise, et qu'il ne te sera bien sûr pas possible de rester vivre à la coloc. Ou alors tu Kiffes vraiment quand je te baise et tu te contentes de baiser ton froc quand je te le demande. de me tailler une pipe vite fait si j'en ai envie. D'accepter n'importe quel plan sans broncher. Dans quel cas tu vas assouvir de nombreux fantasmes et des baises que tu n'aurais même pas imaginé.


Je devrais l'insulter et l'envoyer bouler. Mais je ne peux m'y résoudre, la vidéo toujours en route m'excite malgré tout. Je devrais le haïr, ce n'est pas un choix, je ne devrais même pas réfléchir, qu'est ce que je risque si cette vidéo venait à circuler finalement. Mais je me retrouve à genoux face à lui la tête à hauteur de son membre toujours en pression sous la toile de son jeans. Je ne veux pas le perdre mais le prix est élevé, le perdre lui ou ma dignité. Je le regarde et ne peux m'empêcher de vouloir l'embrasser.

 Il s'impatiente, m'attrape le bas tu tee-shirt qu'il remonte puis me le coince derrière la nuque dévoilant mon torse. Puis il s'agenouille derrière moi, se colle contre mes épaules le long de mes bras et frotte son bassin sur mes fesses et mes mains. Les siennes elles parcourent mon ventre, mes pectoraux, s'attardent sur mes tétons pour les pincer. Parfois il remplace le bout de ses doigts par ses ongles, me griffant la peau marquée de son passage. Une de ses mains va se glisser entre le jean toujours dégrafé et mon caleçon. Il ne peut que constater que mon sexe est en pleine érection. " et tu prétends ne pas vouloir baiser ici ? " il saisit du haut de mon caleçon et de mon jeans et les baissent tout deux en même temps. si quelqu'un entre, il me découvre à genou, le torse à l'air, le froc baissé avec la queue redressée, soumis à Ben qui maintient sa position. Il me branle non innocemment, il sait qu'en faisant monté le plaisir il obtiendra de moi ce qu'il veut. Mes mains s'ouvrent pour accueillir la forme de son sexe et tenter de le masser à travers le tissu.
" Oui c'est bien, alors tu vois que tu veux de la queue. Vas y fais toi plaisir " je le libère alors de son pantalon, allant me saisir de son pieu. il est plus dure que dans mes souvenirs. " Prépares toi tu vas prendre ". Il me penche légèrement en avant et sans même me prévenir, sans me préparer l'anus, il s'enfonce en moi, sa queue me déchire brutalement. Je serre les dents et retiens mes cris ne voulant alerter personne de notre présence à défaut de mes larmes. Il met des coups de reins pour pousser encore plus loin. Puis il ressort, et recommence. Il force ainsi mon anus de nombreuse fois. Jusqu'à ce que je m'effondre au sol. Il débute alors un vas et vient incessant à une cadence acharnée. Mon torse nul sur le carrelage froid glisse, mon sexe se décalotte au même rythme qu'il me sodomise, simulant une masturbation coincé entre le sol et mes abdos.

Mes mains toujours bloquées dans le dos, je ne peux prendre prise pour maintenir une position. Nous nous retrouvons juste en dessous du premier des sept urinoirs, le sol y est encore souillé de la présence d'urine, que je ne peux éviter. Je sens le liquide au contact de ma peau. Mon déplacement continue le long de ce mur et j'aperçois  plus loin une quantité d'urine plus importante au sol. Je m'en approche de plus en plus. Et là Ben s'arrête et se retire " se serait con de pourrir tes fringues " il tire alors mon maillot jusqu'à mes poignets, coincé par la ceinture. Puis me débarrasse de mon froc de mes chaussures et de mes chaussettes, ne gardant que mon caleçon " on verra plus tard si tu veux le garder ou pas ". Puis il reprend sa place et me pénètre à nouveau sans ménagement. Nous nous rapprochons de plus en plus de la flaque d'urine. Ben s'assure de ne pas dévier de sa direction.
Nous y sommes, je relève la tête pour ne bas me souiller le visage, mais Ben s'y oppose et me force à plaquer le profil au sol. Mon visage trempe dans la flaque froide et odorante. Il s'assure d'ailleurs que tout mon visage en soit imprégné. Je sens l'urine sur mes lèvres, mes cheveux en sont trempés. Je traverse ainsi la flaque de tout mon long, mon gland me brule. Il s'arrête, se redresse, et essuie l'urine au sol avec mon caleçon tendu entre mes genoux. Puis reprend jusqu'au dernier urinoir. Je n'en peux plus je suis humilier et épuisé, mais Ben à l'air encore en pleine forme. Nous tournons désormais le dos à l'entrée, quand la porte s'ouvre puis se referme après un " désolé ". Je tente de me rassuré en me disant que, qui qu'il soit il n'a pas pu voir mon visage plaqué au sol tourné face au mur. " Enorme " s'acclame Ben, dommage qu'il ne soit pas resté. J'en suis plutôt soulagé.
Il me redresse, puis me relève. Je trouve encore plus humiliant d'être debout avec pour seul vêtement un caleçon imbibé d'urine qui fini par me tomber aux chevilles. La peau perlant du même liquide et les mains toujours attachées, qu'il fini par libérer un court instant, avant de me les lier à nouveaux les bras en l'air me maintenant prisonnier à la barre traversant au dessus des portes des cabines individuelles. A nouveaux face à l'entrée " se serait dommage qu'une autres personnes manque de t'admirer ". Puis il me sodomise à nouveaux, gêné dans cette position, il se retire, récupère sa propre ceinture, qu'il me fixe à la cheville gauche, après m'avoir débarrassé de mon caleçon.  Puis la tire vers le haut, relevant ma jambe, jusqu'à pouvoir la nouer au montant de la porte de la cabine suivante. Mon cul lui est ainsi grand ouvert, et ma position aussi inconfortable soit elle pour moi, est une véritable invitation à la baise. Mais au lieu de reprendre place il présente ses doigts et joue avec mon anus déjà bien dilaté. Et mon trou y répond satisfait et en redemande je le sens se dilater encore plus. J'ai l'impression que mes boyaux son à un doigt de céder pour aller pendre hors de mon cul. Le pire c'est que je ne débande pas. Et lorsque j'entends des voix ou un simple bruit qui laisserait imaginer la présence de quelqu'un, celle-ci se renforce. Mon sexe me fait mal, mon cul se noie entre douleur et extase, ma tête a simplement abandonnée. Ben peut faire se qui veut, j'espère seulement malgré l'excitation que cela me provoque que personne ne rentre.

Je n'en peu plus de sentir ses doigt au fon de mon trou je veux sentir à nouveau sa queue. Je comprends que je ne veux pas le perdre, je veux qu'il continue a me faire prendre mon pied que se soit à cet instant, et à l'avenir. " Baises moi, c'est le choix que je fais je veux que tu me baises aussi souvent que possible " il me prend à nouveaux et me baise comme un fou. Je sens mes intestins lui faire la place ils me se défendent absolument plus de l'intrusion de sa queue. Ma jambe droite ne me porte plus. Il accélère encore alors que je ne pensais pas cela possible. Je suis en transe. Tout en continuant à m'enculer il défait mes liens aux poignets, je manque de perdre l'équilibre. Mes mains s'accrochent à la barre dont elles étaient prisonnières. Il se retire me libère la cheville laissant sa ceinture pendre à la barre. Il m'allonge sur le dos, au contact froid du carrelage mes muscles et mon anus se contractent, et lorsqu'il entreprend de percer à nouveau mon cul, je suis à nouveau pris de douleur. Ce qui a eu l'effet pousser mon excitation à son comble. Je sens mon sexe à deux doigt d'exploser, je fais tout pour repousser cet instant. Mais la porte s'ouvre à nouveau, moins alerte que le premier, lui entre dans la pièce laissant la porte se refermer derrière. Moi surpris et gêné, perd mes moyens et joui abondement sous ses yeux ; mon sperme vient s'étaler sur mes abdos mes pecs mon visage et mes cheveux. Chaque nouvelle baise Avec Ben provoque une jouissance plus grande à chaque fois. Ben lui s'est figé attendant de voir la réaction du gars, qui pour le coup peu clairement nous reconnaitre. Moi toujours allongé au sol, ne régit pas et subit les événements à venir. Le gars lui reste perplexe. Il ne pouvait pas s'attendre à ce qu'il voit et doit être en train d'essayer de comprendre. Puis Ben reprend un calme vas et vient.

- Salut, tu peux faire ce que tu as à faire tu ne nous dérange pas. A moins que ca te tente ? moi j'arrive au bout mais lui kiffe se faire mettre dans les chiottes surtout quand il ne connait pas le gars.
- C'est vrai ce qu'il dit ?

En me regardant pour approbation. je regarde Ben puis approuve. Il s'équipe d'un préservatif et remplace Ben. Il me pénètre et glisse tout seul, bien moins exciter que son prédécesseur et surtout plus hésitant. Il commence ses vas et vient. Je vois alors Ben se placer derrière lui et sans le prévenir lui mais son sexe entre les fesses et le pénètre. Comme moi au début il retient ses cris mais on sent sur son visage qu'il subit silencieusement. Il tente de se dégager " dans cette position tu ne pourras pas de défendre tu ne peux que subir. Alors laisse faire tu verras tu prendras ton pied. Et puis dis toi que toi au moins tu baises mon petit Jeremy alors que lui ne baise personnes " puis il commence a bourriner cet inconnu. Lui me baise par dépit entrainé par la sodomie qu'il subit. Petit à petit je commence à sentir sa queue durcir en moi. Il commencerait lui aussi à prendre son Pied, Ben sait définitivement donner du plaisir. Cela dur pas très longtemps le petit nouveau jouit rapidement dans sa capote au fond de mon trou. Ils se retirent tous les deux, ben retiens empêche le gars de je ter sa capote " Attends,  il kiffe le sperme " surprit mais pris par le jeu, il se ravise et vient vider sa poche a sperme au dessus de mon visage. Comme pour regagner la virilité qu'il pense avoir perdu en se faisant enculer, il se comporte en hétéro macho et avec deux doigts retourne le préservatif pour me faire bouffer le sperme resté sur la face interne, et alors qu'il n'est pas Ben et que je ne lui dois rien, je m'exécute et me retrouve avec une capote dans la bouche qu'il me laisse après avoir retiré ses doigts.
C'est au tour de Ben de venir se vider il se branle au dessus de moi, me fourre sa queue dans la bouche toujours occupée par le morceau de latex usagé. Il saisit ma tête entre ses deux mains et me baise la gueule. Moi qui regrettais de ne pas avoir débuté par une fellation je suis servi. " C'est vraiment une chienne c'est clair je ne sais pas eu tu l'as trouvé mais putain il te ferait devenir PD ". Sous ces quelques mots de l'inconnu Ben se retire et m'éjacule en plein visage et dans les cheveux. Puis en me tapant à l'épaule

- C'est bien Jer. Tu vois que tu pouvais faire ta pute ici aussi.
- J'espère bien qu'il va continuer je vais passer le mot tu vas te faire démonter mon gars
- Je ne crois pas tu ne vas parler de nous à personne. Sans quoi cette petite vidéo fera le tour de la ville.
Ben récupère alors son portable qu'il avait posé avant de venir l'enculer en guise de garantie de son silence.
- Mais rassure toi elle restera là où elle est tant que Jer ne se retrouve pas victime de la moindre allusion. En revanche je peu aussi enregistrer ton numéro pour te proposer un plan à l'occase.
L'autre concède à garder le silence et échange ses coordonnées avec Ben. Il se présente finalement à un urinoir pour faire ce pourquoi il était d'abord venu. Ben se rhabille, me tape à nouveau sur l'épaule et me lance un " à ce soir " lui me laisse seul dans un état pitoyable avec l'autre qui pisse. Je rassemble mes affaires puis me glisses dans une cabine. J'étudie une manière discrète de me décrasser en attendant que les lieux soit vide.
- pourquoi tu restes caché ?
- j'attends d'être seul.
- Si je ne pars pas ?
- Pourquoi est ce que tu resterais ?
- Empêcher quelqu'un d'entré le temps que tu te fasses une toilette.

Je sors timidement il reste devant la porte. Je peux rapidement me laver malgré la gêne de se sentir observé. Puis une fois propre je me rhabille omettant évidement mon caleçon plein de pisse.
Je reçois un sms de Ben qui me dit de ne pas rentrer à la coloc, que je devais rester ainsi le reste de la journée.

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