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18 Avril

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L'ami Mathieu

La semaine dernière j'ai rêvé deux fois de mon ami Mathieu, et ces nuits furent assez agitées... Je pense donc pas mal à lui depuis, et je me souviens... Il y a trois ans, il m'annonce son arrivée prochaine, et me dit que je pourrai " faire le plein ". Mais il n'a pas toujours été comme ça, le super hétéro ! Je le connais depuis 10 ans, on avait fini par appartenir au même groupe d'amis, et on se retrouvait au moins une fois par an, malgré les distances géographiques qui s'étaient faites. Je me sentais attiré par lui, plus par son " hétéro-attitude " que par son physique : beau visage de blond avec de très beaux yeux bleus, mais assez mal proportionné de corps, pas un poil de graisse, pas très grand, musclé sec, bras longs, petit torse, toutes petites fesses, très grands pieds. Un soir de beuverie j'avais mal interprété son attitude et j'avais tenté une approche pendant son sommeil : il l'avait très mal pris, et ça avait été le clash pendant deux ans : il " n'était pas pd, blablabla... ". Et puis il y a trois ans donc, je reçois un coup de fil de lui : il me dit qu'i faut passer l'éponge, que je devrais repasser pendant l'été, qu'il aura un mur à construire et que les coups de mains seraient les bienvenus ; surtout sa voix m'inquiète, je le trouve très triste. Et il me confirme qu'il est " un peu " déprimé, par sa vie solitaire de célibataire, et je me rappelle à quel point il veut une petite femme pour planter sa petite graine. Je le sens vraiment mal et ça me fait de la peine, et je ne pense même plus à la façon dont il m'a rejeté. Je ne rêve même pas à un possible rapprochement au pieu. Je lui dis simplement que je viendrai l'aider. On fixe une semaine de juillet, du mercredi au mardi : il bossera en partie au bureau de la mairie mais on aura du temps et on fera le mur le week-end. Et cette semaine allait devenir, en faisant un petit calcul mathématique temps / nombre de donneurs, mon plus gros apport protéiné en date. C'est l'avantage des hétéros frustrés, mais aussi d'une grosse capacité de Mathieu...

J'arrive donc après 7h de route du sud-ouest au sud-est pour l'heure du repas du soir le mercredi. Aussitôt je ne le trouve pas bien du tout : en plus de la fébrilité des retrouvailles (je sens bien qu'orgueilleux comme il est il ne dira jamais pardon), je le sens vraiment perdu, très triste malgré ses grosses blagues lourdes légendaires. On passe à table puis comme d'habitude au salon pour discuter en buvant et en fumant ; et je constate qu'il boit et fume des joints, beaucoup plus qu'avant. Comme d'habitude aussi (ce n'est pas le roi de l'élégance) il est en simple caleçon et en savates... Alcool et joints aidant il parle beaucoup, et de plus en plus de sa détresse de solitaire, ne comprend pas ses échecs, je le sens même sur le point de pleurer. Je le prendrais bien dans mes bras mais... trop marqué par ma dernière tentative ! Et puis il change complètement de sujet, refusant de me montrer trop ses faiblesses ; on reboit beaucoup, on arrive à déconner - on est assez bourrés. C'est moi qu'il veut faire parler, de ma vie sexuelle, du nombre de mes rencontres, si elles étaient concluantes, et il se lâche de plus en plus dans ses questions et son vocabulaire : pourquoi j'aime autant la bite, ce que j'aime chez un mâle, ce que c'est pour moi un mâle, mes positions préférées, etc. Il n'a jamais été aussi curieux ! Et moi je vois sa bite qui commence à se dresser dans son caleçon... On est assis face à face, chacun dans son canapé, et ses cuisses bien écartées me donnent une vision parfaite. Il continue son questionnaire : donc j'adore sucer des bites ? j'adore le jus ? c'est pas dangereux ? Je lui parle de mon dernier test, et que j'ai rien osé avaler depuis. Et quand j'ai pas de jus comment je me sens ? est-ce que je déprime ? Il bande de plus en plus, son gland tend le tissu et il y a une petite tache de mouille il me semble. Il se rend compte de mes regards, fait sursauter sa bite en se marrant ; il me dit que j'ai jamais vu la sienne, et si ça me fait plaisir, vu mon manque, il veut bien me la montrer... J'ai b!
 ien compris, il ne dira jamais qu'il a envie d'une pipe, mais en grand seigneur, pour moi son ami, il se laissera faire...

- Bon, c'est bien parce que c'est toi, dit-il en virant son caleçon.
- Je peux venir voir de près ?
- Ouais si tu veux, répond-il en tirant sur son joint.

Je contourne la table basse et m'agenouille entre ses jambes. Sa bite est très belle, ni très longue ni très grosse mais très régulière, très droite, au-dessus de petites couilles adorables et bien poilues. Je peux sentir la chaleur qui se dégage de son entrejambe, et mon coeur s'emballe. Il me demande ce que j'en pense ; je lui répète mes observations les plus positives seulement. Mes yeux font des allers-retours entre sa bite qui tressaute et ses yeux ; il doit faire un effort surhumain pour ne pas dire " suce-moi, je tiens plus " ; sa poitrine n'arrête pas de se soulever.

- Tu peux goûter si tu veux.
- T'es sûr ?
- Ouais, si ça te fait plaisir.

Je prends sa bite et lèche le frein ; je le regarde : il a déjà le visage crispé de plaisir et gémit. J'enfourne le gland et le suçote ; c'est un long " ahh " qui lui échappe. Je prends sa bite entière, c'est un délice (depuis le temps !), et le pompe régulièrement, accoudé sur ses cuisses. Il souffle, retient en vain des petits gémissements ; on dirait un mec qui découvre les joies du plaisir. Je continue et joue de la langue tout en pompant ; je relève les yeux vers lui en titillant le gland : il a les larmes aux yeux ! yeux qu'il ferme aussitôt ; je reprends en profondeur. Je n'ai pas pompé deux minutes qu'il me demande haletant si je veux son jus, mais déjà une secousse de sa bite m'envoie un jet chaud en bouche, il crie son bonheur, et cinq autres giclées me remplissent, que j'avale au fur et à mesure (son sperme est vraiment délicieux !), tandis que lui est de plus en plus projeté en avant, me plaque la tête, lâche des râles saccadés. Mes mains remontent sur son torse, et le repoussent contre le dossier, j'effleure ses tétons qui saillent. Ses soupirs meurent lentement, interrompus par de rares spasmes encore, et je reprends délicatement la pompe des dernières gouttes et le nettoyage. Ravi de cette évolution, nourri au-delà de mes espérances, je relève les yeux vers lui : il a une de ces bananes ! Il sourit de toutes ses belles dents blanches : " eh ben ! ça fait du bien ! et tu t'es fait plaisir ! ". Je le complimente sur son jus ; monsieur a l'oeil qui brille... Il me dit de nous resservir un verre. Je me rassieds dans l'autre canapé ; il a remballé sa bite, qui ne débande pas, et on trinque à l'amitié ! Aussitôt changement de sujet : il me parle du mur, de son boulot le lendemain, il a retrouvé toute sa gaieté ; comme quoi rien de tel qu'une bonne pipe pour décompresser. On a u peu de mal à se lever pour aller au lit. Je dors avec lui : ça fait deux ans que ce n'est pas arrivé (c'était habituel avant que je n'essaie de lui palper les couilles dans son sommeil...). Chacun de son côté on s'endort tout de suite.

Je suis réveillé dans la nuit : son souffle chaud dans ma nuque, un bras autour de moi, sa queue dure contre mes fesses à travers nos caleçons...Je me retourne précautionneusement, pour garder son bras autour de moi ; il semble dormir comme un bébé, quelques centimètres séparent nos visages. Il murmure " suce-moi encore " (aucun doute à l'haleine : nous avons beaucoup bu !) ; je ne peux résister : j'embrasse ses lèvres, il ne résistera pas, saoul qu'il est encore. Je pousse un " mmmhh ? " interrogatif en continuant mon baiser (j'ai toujours aimé sa bouche), je pointe ma langue et la sienne répond. Entretemps je masse sa queue, trouve le bouton du caleçon, l'en extirpe. Sa main fait pression sur mon épaule, je descends, lèche un téton qui pointe aussitôt. Mathieu murmure " il m'en reste encore dans la couille gauche "...Qu'il est drôle ce garçon... Je m'installe, sur le côté, la tête sous mon bras replié et engloutit son gland, que je tète avec plaisir. Son bassin fait doucement tout ce qu'il faut entre mes lèvres ; Mathieu à moitié ensommeillé marmonne des " suce-moi la bite ", des " hhmm ", des " régale-toi ". Et puis je sens l'accélération du bassin, sa main qui descend maintenir ma tête, et de plus en plus bruyant il se vide en 3 - 4 longues poussées accompagnées de longs râles, pour mon plus grand plaisir car c'est toujours aussi bon, aussi abondant et je n'ai pas fait beaucoup d'efforts ! Je le garde en bouche jusqu'au calme complet, rentre sa bite qui ramollit un peu dans le caleçon et remonte à sa hauteur : il murmure un " n'nuit ", et nous nous endormons.

J'ai dû dormir comme un bébé : je n'ai entendu ni réveil ni Mathieu se lever ; c'est un bruit de bols qui me fait sursauter. Je descends et le trouve à table prenant son petit déjeuner. Grand sourire, aucune allusion aux plaisirs précédents : comment j'ai dormi, ce que je vais faire aujourd'hui, rendez-vous au village pour manger en semble à midi, etc. Il est plein d'énergie ! j'en suis bien content, et je me souviens avec délice de son jus donné si abondamment deux fois. J'ai vraiment bien fait de venir. Je pense au soir, où je me dis qu'avec l'alcool et le joint il me redemandera de le sucer. Et puis je l'entends dire : " Oh putain ! " ; il se lève avec une belle érection à travers le caleçon. Je lui dis " eh oui ! la gaule du matin ! ", je m'en lèche déjà les babines. Instant de flottement, pas de réponse de sa part ; j'enchaîne prudemment :
- Je peux t'aider, tu sais...
- T'en veux dès le réveil ?
- C'est peut-être le meilleur, tu sais...
- Ok, dit-il, je vais pas te priver !

Il s'approche de ma chaise, baisse son caleçon et sa bite jaillit ; je la chope et l'engouffre. Je me tiens à ses hanches et procède à un pompage efficace. Il grommelle des " ouais, putain... ", puis se remet à jouer du bassin en tenant ma tête. Il pousse à fond et je presse sur ses fesses pour qu'il reste entre mes amygdales et les lime, ce qu'il comprend sans peine, et son plaisir se manifeste bruyamment. J'ai même droit à quelques compliments sur ma bouche. Et puis il annonce en gueulant qu'il va juter, et sa bite pulse son jus avec force. Ses petites couilles sont toutes dures, je les malaxe en tirant le reste de jus, et m'étonne qu'elles soient si productives - comme quoi... " C'est bon putain ! de se vider les couilles dès le matin ! " Mathieu et toute sa poésie... Il me demande quand même si c'était bon, et devant l'affirmative il remonte son caleçon et part pour une douche rapide. Je m'occupe de la vaisselle et dès qu'il part au boulot je monte au lit pour une branlette indispensable, m'arrose copieusement et me douche à mon tour. Pendant les 4h qui suivent je bronze un peu sur la terrasse, lit, puis monte par le sentier au village, dont je n'ai pas fait le tour depuis deux ans : peu de changements. Je m'installe à midi au resto habituel et Mathieu me rejoint : apéro, nouvelles du matin, les nouveautés du village... Il a l'air très en forme décidément. Je n'ose orienter la conversation vers les pipes prodiguées depuis mon arrivée. Mais le dessert fait les choses pour moi : la chantilly et la crème anglaise de mon assiette inspirent Mathieu, et le voilà parti, à mi-voix : il voit bien que j'aime son jus ; je le trouve abondant ? meilleur que d'autres ? j'aime le sucer ? à voir que je me régale de crèmes, c'est que j'en ai pas eu assez, etc. Nous bandons gentiment tous les deux, je crois. Je n'ose toujours pas lui dire que visiblement il apprécie autant que moi ce que nous avons fait. Je demande  simplement si la pipe du matin lui a plu. " Carrément ! d'ailleurs je me ferais bien vider avant le taff, là... "!

Ok, il est cash, et c'est tant mieux ! Comme je lui demande s'il veut que je passe sous la table, il éclate de rire et me propose plutôt de visiter son bureau. A peine entrés nous réalisons son grand fantasme : il s'assied et sort sa bite de son bermuda, se laisse lentement mais sûrement traire le pis. Je le suce un peu plus longtemps que les fois précédentes, me disant qu'enfin la pression est moins forte, mais vu la quantité qu'il me balance en grognant, je me dis que c'est simplement un gros juteur. Vidé et bien nettoyé par mes soins, il parle de ce soir ; je parle du repas ; il explose de rire en disant que je ne pense qu'à bouffer. Je le laisse bosser, fais quelques courses au village et redescends à la maison par le sentier. Je vois la voiture du voisin Yann, qui vient me saluer sur la terrasse. Ce mec est décidément canon ! un corps de bûcheron et des yeux d'acier, hyper cool et sympa par ailleurs. Echange de nouvelles, petit café. Sylvie n'est pas là, il viendra donner un coup de main pour le mur. Je lui dis de manger avec nous ce soir. Je prépare ensuite un bon gueuleton pour nous trois. Mathieu rentre alors que ça mijote :
- Hmmm ça sent super bon !
- Merci ! bien bossé ?
- Ouais... tu vois c'est ça que je voudrais, une petite femme qui fasse un bon repas pour le retour de son homme du travail le soir... et même qui l'accueille avec une petite pipe...
- Ben j'ai pas de seins, mais ma bouche est à ta dispo, Mat'...

Je m'agenouille alors qu'il s'approche et le voit ouvrir son bermuda : il bande à mort ! " Eh oui, j'y pense depuis que je suis sorti du boulot... ". Il se colle au plan de travail, je me jette sur sa bite, il vire sa chemisette et me regarde bosser, en appui des deux mains. " Qu'est-ce que c'est bon, purée ! ouais, lèche-moi un peu les couilles...ah ouais... " Bref : quelques minutes plus tard, il se soulage du trop-plein, et je reçois ma liqueur préférée. On passe ensuite un repas bien sympa avec Yann sur la terrasse, avec bien des verres et bien des joints. Je fais des efforts terribles pour ne pas trop penser aux deux bites que j'ai près de moi ; il me tarde de me retrouver seul avec Mathieu pour en profiter encore. Comme Sylvie n'est pas là jusqu'à dimanche, Yann mangera avec nous le lendemain soir aussi. Et puis c'est la moindre des choses s'il nous aide pour le mur. On se couche pas trop tard : Mathieu me demande un massage, ce que je lui faisais souvent autrefois (avant le " drame ") : j'ai toujours aimé son dos, magnifique, sa chute de reins aussi. Il a l'air de s'endormir, mais quand je termine il se retourne avec une énorme trique et cette fois pas besoin de parler : je plonge entre ses cuisses et les bras derrière la tête il se laisse vidanger, en contemplant le spectacle. Ses jets laiteux me garnissent bientôt la gorge. Tout sourire il me fait un petit bisou puis nous dormons.

mike

cherchebiberon64@hotmail.fr

Suite de l'histoire

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