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Grosse queue
"Plan à 3"
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Black

Un pote, apprenant que j'allais passer quelques jours à Nice, m'a conseillé d'aller faire un tour dans un sex-shop de la vieille ville, "C'est intéressant, tu verras; tu peux tomber, le week-end, sur des lascars bien membrés, ça suce pas mal à tous les étages et ça nique dur dans les cabines". Malgré cette belle recommandation, depuis mon arrivée dans le coin, je ne suis toujours pas allé vérifier si l'endroit était aussi chaud que ce que m'en a dit mon pote.. Comme on est samedi, j'ai donc décidé d'y faire enfin un tour. L'entrée, niveau rue, n'a rien de bien excitant : des rayonnages couverts de DVD héréros ou homos, des vitrines remplies de plugs et de godes tous formats, d'autres avec de la lingerie, des guides gays, des tonnes de gels et de capotes, des accessoires sado-maso. Tout ce qu'il y a de plus courant dans ce genre de boutiques. Au-dessus de la caisse, quelques écrans avec les films qui passent dans les salles. Un premier escalier conduit à l'étage. Un écriteau indique qu'il y a des cabines pour visionner des films à choisir à la caisse. Je monte jeter un oeil : à mi-niveau, des cabines fermées. Les bandes-son qu'on entend sont toutes celles de films hétéro. Pas super excitant. Au niveau supérieur, toute une série de cabines ouvertes, on peut y voir des films pré-choisis, gays ou hétéros. Deux cabines seulement sont occupées aujourd'hui; par leurs portes entrouvertes, je peux voir un mec se faire sucer par le glory-hole qui communique avec la cabine d'à-côté. Grosse bite bien longue, mais les deux gonzes ont la soixantaine bedonnante; pas de quoi me faire bander ! Je redescends dans la salle du rez-de-chaussée. Je vois qu'un client, après avoir payé 5 €, est passé derrière une paroi. Ce mur cache en fait un escalier conduisant au sous-sol. C'est très sombre en-bas, mais comme tous les écrans fonctionnent gratuitement dans des cabines restées ouvertes, la lumière des films permet de se déplacer sans problème. Beaucoup de vidéos gays défilent; il y en a pour tous les goûts : des bears qui s'enculent, des jeunots bien blonds en pleine orgie, un travelo black qui nique un autre travelo, blanc. Il y a pas mal de monde, des mecs, assez bogosses qui matent les vidéos en se tatant le paquet, d'autres qui attendent, debout sur une jambe, l'autre jambe repliée, le pied appuyé contre la cloison. Tous me matent avec des gueules de morts de faim... Je me dis que je vais peut-être trouver ici chaussure à mon pied. Le temps passant, autre découverte : deux couloirs partent de cette salle. Intéressant... allons voir ce qui se passe là-bas. Le premier est une espèce de labyrinthe avec au passage une porte donnant sur une petite back-room, bien obscure comme il se doit. En y entrant, je frôle des corps silencieux. Une main vient me palper le paquet. J'esquive le coup et ressors aussitôt : je veux d'abord voir qui entre dans ce trou du cul tout noir, avant de faire quoi que ce soit. Je continue la visite; j'arrive dans une petite salle de projection avec un film très chaud, des mecs genre brutasses qui se pilonnent le fion avec force gémissements et claques sur les fesses. Sur les sièges occupés, deux mecs silencieux, un troisième qui se branle. Mais ce n'est pas tout : une espèce de très grande cabine, située à l'arrière de la salle, permet de suivre le film grâce à une longue fenêtre horizontale percée dans la paroi. J'écarte les lamelles du rideau : dedans deux mecs, pantalons et slips baissés, s'enculent devant un autre qui se branle. Là aussi, le coin est plutôt chaud. Je reviens sur mes pas, car je veux voir où conduit l'autre couloir. On passe d'abord devant une pissotière; un Rebeu qui fait mine d'uriner malaxe en fait son gros chibre, en espérant attirer une bouche intéressée. On entre ensuite dans une dernière salle, la plus grande, avec plusieurs rangées de fauteuils. Sur grand écran cette fois, un film hétéro montre deux lesbiennes en train de se bouffer la chatte. Quatre ou cinq spectateurs, tous silencieux et bien sages, aucune bite sortie. Ils semblent tous insensibles aux scènes pourtant torrides qu'ils regardent. Je décide de rester dans cette salle, le temps d'observer le manège de tout ce petit monde. Je choisis de m'asseoir au fond, dans la dernière rangée. Je m'aperçois qu'un fauteuil seulement me sépare d'un grand black, 25 ou 30 ans, belle gueule virile, les deux bras posés sur les dossiers des fauteuils de chaque côté du sien. Une de ses mains me touche presque l'épaule. Cette proximité m'émoustille... Et si je touchais sa main ? Non, calme-toi ! Le gaillard n'a pas vraiment l'allure d'un gay... D'ailleurs, réfléchis : il a choisi de regarder un film avec des meufs... Il ne doit pas trop aimer les tantouzes. A contrario, on peut se demander pourquoi il est entré dans un sex-shop où la clientèle est majoritairement composée de pédés... Aurait-il une envie pressante que seule une rencontre homo pourrait satisfaire ? Attendons de voir... Le film des deux gouines est bien fait, très excitant sans doute... pour ceux qui aiment, mais sans aucun effet sur moi.

Je suis pratiquement prêt à me lever et à retourner voir ce qui se passe ailleurs, quand je sens que le black tape discrètement sur mon épaule. Je me tourne, il me fait un clin d'oeil et de l'autre main se malaxe le paquet. Rien de plus clair ! Je me déplace sur le côté et viens m'asseoir sur le fauteuil le plus près du sien. Il a laissé son bras sur le dossier de mon siège. Je commence à caresser la volumineuse bosse de son entrejambe. Je serre sa queue, je sens quelque chose de très gros, mais de plutôt encore mou. C'est clair : il est super bien monté, mais ne bande pas, pas encore, du moins..., je vais l'aider... Il se laisse faire. J'essaye d'extraire sa queue, impossible ! il porte un pantalon de jogging sans braguette. La seule solution : descendre son froc. Je me mets au travail, le black lève les fesses pour me faciliter la tâche. La bosse que je découvre est énorme ! Je caresse d'abord son slip rouge, qui contient difficilement la bête que je viens de réveiller. Elle me semble de plus en plus vivante, cette bête, et de plus en plus volumineuse. Je plonge ma main dans le slip et fais sortir l'engin. Phénoménal ! On dirait qu'il me nargue, posé au-dessus de la ceinture élastique du Calvin Klein rouge. J'aime bien la touffe de poils frisés où se cache la bête noire. Je me mets alors à caresser ce superbe animal comme pour l'amadouer. Mais mes caresses ont l'effet inverse : la bête ne cesse de prendre du volume, de se montrer imposante, presque effrayante. Je baisse le slip pour libérer les couilles; elles aussi sont impressionnantes, de belles et grosses boules noires couvertes de duvet. Je tiens la queue du black à deux mains, elle est de plus en plus dure. C'est ce qu'on appelle avec raison "une bite longue et épaisse", un véritable organe de mâle black, un appareil génital hors normes, sauf chez les Africains et chez certains Latinos. C'est un magnifique jouet que j'ai entre les doigts. Je le triture en tous sens, le caresse, fais coulisser le prépuce sur un superbe gland violacé. Je sens soudain la main, qui se trouvait sur le dossier derrière moi, pousser ma nuque doucement vers l'avant, sans violence mais énergiquement. Ce qu'il veut le black, j'ai compris, c'est plaquer ma gueule sur sa bête noire. Je me laisse faire : mon nez est maintenant collé contre sa grosse verge. Un parfum très fort de bite, de couilles, de mâle quoi, vient me titiller les narines. J'adore cette odeur ! Aussi, je me plonge avec ravissement sur ses organes, reniflant avidement verge et boules, sillonnant de mon nez la jungle frisée dans laquelle la bête vit.

Je commence à lécher la longue tige raide, l'enduisant le plus possible de salive afin de mieux la pomper ensuite. Elle a bon goût. Je me régale. Ma langue va même fouiner sous la verge, séparant ses boules pour les gober une par une. Il a de très grosses couilles, le bougre ! Je ne pourrai sans doute pas les prendre toutes les deux à la fois dans ma bouche, comme j'aime tant le faire avec des garçons moins bien dotés que lui. Dommage. Mon beau gaillard noir écarte bien ses cuisses pour m'aider à câliner son trois-pièces. En voilà un qui sait comment prendre du plaisir ! Encouragé, je continue mon boulot en suçant la belle queue noire que j'avais préalablement lubrifié avec ma salive. Je prends sa bite en bouche. Mais seul son énorme gland et une petite partie de sa tige arrivent à entrer. J'ai beau écarter au maximum mes mâchoires, au risque de les décrocher, je ne peux pas aller plus loin. Difficile aussi de faire coulisser cet engin pour le masturber. Je suis vite bloqué par l'énormité de l'organe. J'essaye encore, je sens immédiatement une réaction du propriétaire, une espèce de geste réflexe de retrait. Le black se penche alors et me chuchote à l'oreille : "Fais gaffe... pas avec les dents !" Je lève une main pour m'excuser... puis reprends doucement et avec délices la sucette de sa barre chocolatée.. Tout en bouffant sa queue, je passe une main sur son bas-ventre, remonte jusqu'au nombril, caresse les collinettes de ses abdos. Quel mâle ce mec ! Sa peau est lisse, pas de poils à part ceux de son pubis. Il a un corps à faire baver !! Et je n'ai pas vu le reste...

Est-ce mon incursion sur son corps hors du "Triangle des Bermudes" qui est la raison de ce qu'il va décider? Je ne sais pas. Sans doute a-t-il pensé que je pouvais lui donner des sensations bien plus jouissives en excitant d'autres de ses atouts masculins. Car il se penche de nouveau sur mon oreille et me dit ; "C'est nul ici !... on peut rien faire... J'aime pas baiser dans une cabine ou une back-room... Viens ! on sort, j'ai envie de te faire ta fête !" J'en reste baba. Je croyais qu'une bonne pipe allait le combler. Mais à l'évidence mon grand black a besoin de s'éclater dans le confort ! Il se lève. Je le suis. Nous sortons du sex-shop. Il marche devant moi; je reste discrètement à une vingtaine de mètres. Il s'arrête un peu plus loin et m'attend. Quand je suis à sa hauteur (enfin, "sa hauteur"... façon de parler ! Il me dépasse d'au moins vingt centimètres !), le black me tend sa grosse main, me serre énergiquement la pince et se présente : "Je m'appelle Blaise." "Moi c'est Raphaël... enchanté !" "T'a aimé ?..." Sans attendre ma réponse, il ajoute : " Putain, tu suces bien mon salaud !... T'as compris pourquoi je suis sorti : j'aime pas trop ce genre d'endroit... on peut pas se mettre à l'aise... et en plus il y a toujours le risque de rencontrer quelqu'un que tu connais... Pour s'éclater, rien ne vaut un bon lit, t'es pas d'accord ?" "D'accord à 100 % !... Sauf que moi je suis pas d'ici, suis à l'hôtel..." "Pas de souci ! On va chez moi, ça va être super cool! Ça te dit : on se commande des pizzas, chez moi j'ai de la bière..." Je réponds : "Super programme !" "En plus, on a toute la nuit devant nous pour s'éclater : demain, je bosse pas !"

Il habite un studio, dans un quartier populaire, mais pas minable. Son petit appart est meublé simplement, mais sympa. Il me dit de m'asseoir sur le divan, un clic-clac convertible en lit. Et on a fait tout comme il l'avait prévu : commandé des pizzas, que j'offre, et bu de la bière. Il me raconte qu'il bosse dans un supermarché, un boulot de manutention plutôt chiant et crevant. Mais, il aime l'ambiance; en plus en déchargeant les colis, il fait de l'exercice... "C'est comme de la muscu ! sauf que c'est gratos !..." Je lui demande s'il a une copine. "Des meufs, j'en ai eu des tonnes. Des filles canons, parole... sans me vanter. Mais le problème c'est que j'arrive jamais à les baiser ! Et çà... tu sais pourquoi ?" Je tente une explication : "Elles ont peur d'être enceintes ?" "Mais non... de ce côté, y'a pas de risque... avec les capotes tu les mets pas en cloque ! Non, c'est qu'elles ont la trouille... Elles flippent, c'est vrai... j'te raconte pas des conneries ! Elles meurent de trouille quand elles voient ma bite ! J'te jure ! C'est pas de l'orgueil... Tu l'as vue... J'ai une trop grosse queue... Elles disent que je vais leur déchirer la chatte...des conneries comme çà... que je vais leur faire trop mal... Ch'sais pas ce qu'elles ont toutes, elles veulent même pas se laisser enculer ! Toujours pareil : la trouille que je leur défonce le cul !" Je rigole, mais discrètement, je ne voudrais pas qu'il croie que je me fous de sa gueule. J'avais jamais pensé à ça ; les grosses bites des Blacks ou des Rebeux, qui plaisent tant aux gays, font peur aux meufs ! Blaise continue : "Quand j'étais plus jeune, les filles me suçaient, me branlaient, je jutais ... c'était super ! ça me suffisait ! Même si je devais me masturber tout seul plusieurs fois par jour pour me calmer... je me branlais même en classe, pendant les cours, j'te jure !... Mais depuis que j'ai commencé à baiser, j'ai toujours le même problème, primo ma queue rentre à peine dans une capote et, bouquet final, les meufs ont des chattes trop petites pour que je les pénètre. Y'a qu'avec les femmes mariées, des salopes qui me draguent... elles, d'accord, elles se laissent baiser par devant et même niquer par derrière. La première fois que j'ai été dragué par un homo, je voulais pas. C'était pas mon truc, les pédés... J'ai même failli le frapper. Mais comme ce jour-là j'étais en manque, j'ai accepté qu'il me fasse une pipe... Putain, j'ai pris un pied incroyable, il m'a sucé comme jamais on me l'avait fait... Il a voulu après que je l'encule ! J'ai pas réfléchi. Il m'avait tellement excité que je l'ai pris comme une chienne... le cul en l'air, comme j'aime... Il kiffait grave, le salaud, il gueulait comme une truie, mais il amait çà... il voulait plus s'arrêter. J'ai adoré son cul ! Depuis ce jour-là, je l'avoue, je préfère troncher des gays... Avec eux, t'es jamais déçu... C'est vrai. Je t'le dis comme je pense... Attention, ch'uis pas homo, ch'uis 100% hétéro, mais j'aime bien baiser des pédés."

Je comprends pourquoi il a choisi de faire un tour au sex-shop... "Blaise, j'aime ta franchise... Tu es un super beau gosse, bien viril, avec tout ce qu'il faut pour donner du bonheur à tes partenaires, et je suis ravi de t'avoir rencontré !" "Moi aussi, t'as l'air d'un mec très gentil... En plus t'es doué pour les pompiers.... Ahahahaha... Je crois qu'on va passer un bon moment ! Mets-toi à l'aise, déssape toi !". Il me faut guère de temps pour me foutre en slip. Oui, je garde mon slip, j'ai quelques complexes à cause de la taille de sa bite... Blaise est resté lui aussi en slip. Je peux enfin voir tout son corps : c'est un homme superbe, large d'épaules, le torse taillé en V, des pectoraux bien dessinés, comme ses biceps aussi, et des cuisses longues et puissantes. Son corps est entièrement imberbe, comme s'il s'épilait. Mais chez lui c'est de naissance; çela donne à sa peau une superbe couleur, un noir brillant qui met en relief ses muscles secs et naturels. J'ai devant moi un mec solide, aux proportions parfaites, élégamment musclé, sans gonflette, un vrai et beau mâle, qui n'a aucun besoin d'affirmer par des artifices sa splendide virilité. Je regarde le contenu de son Calvin Klein rouge : il s'est apparemment rendormi depuis son réveil au sex-shop... Il reste néanmoins très vomunmineux. Je ne peux m'empêcher de le complimenter : "Chapeau ! Blaise. Quel corps ! putain... t'es vraiment un super beau mec !" Il rigole, à l'évidence il est heureux de mon compliment. "J'te plais, mec ? Tant mieux... Mais tu ne connais encore même pas la moitié de mes talents... Allez, viens que je te montre..." On s'assoit sur le clic-clac et, à ma totale surprise, Blaise me roule tout de suite une pelle. Quand il me parlait tout à l'heure, je matais ses belles lèvres pulpeuses et rêvais dy coller les miennes. Je croyais sincèrement ce rêve impossible, et voilà qu'il devenait réalité ! Blaise enfonce sa langue au plus profond de ma bouche, parcourant tous les recoins de ma cavité buccale, refusant que ma propre langue fasse de même. Même quand il embrasse, mon mâle black se révèle dominateur, m'impose son gros morceau de chair chaud. Quelle superbe pelle ! Une pelle très humide, des filets de salive coulent par les commisures de mes lèvres. Il fait ça avec une fougue surprenante : a-t-il oublié que son partenaire est un mec ? D'accord un gay..., mais quand même... Ne vient-il pas de m'affirmer qu'il est hétéro à 100% ? Je suis à la fois flatté et doublement excité par ce qui m'arrive. Car, il n'y a pas l'ombre d'un doute, le mec qui me serre dans ses bras est un mâle, un vrai de vrai, comme on en rêve quand on est homo... Pendant qu'il m'embrasse, j'en profite pour caresser son corps, ses cheveux, ses bras, ses pectoraux, son dos... Puis je m'occupe de son slip : il ne bande toujours pas, mais sa bite a pris du volume... Est-ce que je l'excite ? J'ai envie de le faire triquer. Je glisse ma main dans son slip et fais coulisser ma main sur sa tige; l'effet est immédiat : sa queue raidit et atteint très vite cette taille phénoménale qui effraie tant les jeunes femmes... Mais Blaise semble tout à coup pressé de passer à autre chose. Il se lève, ouvre un tiroir, en sort une capote et un tube de gel... D'un coup de dent il déchire l'enveloppe du préservatif, l'enfile sur sa bite. C'est sûrement une capote XXL, car elle couvre bien son bâton noir. J'ai subitement envie qu'il me prenne. J'enlève mon slip, je bande aussi, mais mon sexe ne soutient pas la comparaison... Je me mets à genoux sur le clic-clac, me tourne, offrant mes fesses à mon amant noir. Blaise commence à me préparer le fion : il fait entrer pas mal de gel dans mon trou, l'étalant du doigt, lubrifiant consciencieusement les parois... J'adore sentir un doigt, puis deux, me pénétrer... Quels divins préléminaires d'un enculage que je pressens particulièrement sauvage !... Et en effet ça va dépasser tout ce que j'ai vécu jusqu'ici. Blaise, en super pro, arrive, sans me torturer, à faire entrer son énorme membre dans sa totalité ! Il commence alors à me limer, d'abord lentement, puis avec une fougue extraordinaire. J'ai l'impression que son sexe me transperce de part en part. Je gémis, espérant une baisse de rythme. Mais mon amant paraît totalement insensible à ma plainte. Il va continuer ainsi pendant au moins un quart d'heure, jusqu'à un effondrement soudain sur moi, accompagné d'un long râle de jouissance... Il vient de juter. Il retire alors sa queue de mon cul. Sa capote est pleine de foutre, une quantité peu commune, mais à laquelle je m'attendais de la part de pareil étalon noir. Il me demande : "Alors t'as aimé ?" "Oui... mais tu m'as démonté le cul, mon salaud... je ne vais pas pouvoir m'asseoir pendant au moins une semaine !" Il rigole, fier de lui et de sa performance. Il me propose d'aller nous doucher. C'est pour moi la dernière occasion d'admirer son corps et son organe exceptionnel. Il me dit qu'on pourrait se revoir "si t'as envie..." Je suis désolé de lui répondre par la négative. Bien sûr, j'ai aimé et aimerais recommencer ! Mais mon séjour à Nice se termine... Notre rencontre n'aura donc pas de suite. A moins que l'année prochaine...

Rafael

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