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Premier épisode | Épisode précédent

La découverte du plaisir -6

La soirée Saoudienne

Pendant toute la semaine, je passai mon temps à soigner mon cul, j'avais acheté des crèmes qui rendent les fesses plus douces et qui assouplissent le trou lui permettant de s'ouvrir plus vite rendant donc la première intromission après une semaine d'inactivité nettement moins douloureuse.
Je m'étais aussi rasé les poils des jambes.
Le week-end qui venait était un week-end de trois jours, c'était super, mais j'avais un problème, j'avais enfin reçu une offre d'emploi de FRANCE et je ne savais pas comment l'annoncer à mes nouveaux associés.
Le vendredi arriva enfin, car je dois dire que pendant ces cinq jours, je m'étais ennuyé, j'aurai bien aimé prendre un bon coup de bite entre les fesses ou même plusieurs.
A sept heures, je retrouvai Abdelhak, Ali et Claude, ils montèrent dans la voiture et me dirent bonjour, je demandai des nouvelles de Freddy et Claude me répondit que les gosses, il fallait les laisser à la maison de temps en temps.
"Où allons-nous ? demandai-je.
- A Marrakech, répondit Abdelhak, on t'a dégotté un contrat pour la
nuit de Samedi avec trois saoudiens, ils payent trois millions
pour t'avoir de 10H du soir à 8H du matin, heure à laquelle on
doit te reprendre, d'ailleurs c'est toi qui recevra l'argent, en
plus tu as de la chance, ce ne sont pas des violents, ce qu'ils
veulent c'est baiser, se faire sucer et se faire branler, pour toi
pas de problème.
- O.K, mais si j'ai un problème, voilà depuis un an, je cherche du
boulot en FRANCE et hier j'ai reçu une réponse positive, ce qui
veut dire que dans un mois, notre association va se terminer, ce
que je regrette car vous êtes très sympa et en plus on pouvait
faire du fric.
- T'inquiètes pas dit Ali, j'ai des contacts en FRANCE, on pourra
continuer.
- Ça c'est super. Allez en route".
Trois heures, nous étions a Marrakech, Abdelhak me dit "Va à l'hôtel
KOUTOUBIA, il y a des chambres pour nous par tes clients de
demain.
- Ils sont bien ces gens là.
- Oui, très corrects, ils font tout pour que tu sois mis dans les
meilleures conditions".
Nous arrivâmes à l'hôtel, quatre chambres étaient réservées, je dis à Abdelhak "Je dors tout seul ?
- Oui.
- L'un de vous ne pourrait pas passer la nuit avec moi, j'ai envie.
- Non, ça c'est pas possible, c'est la seule exigence de tes
clients, ils ne veulent pas que tu ais le cul ouvert, ils veulent
eux te l'ouvrir, il faut que tu sois impeccable.
- Bien d'accord, je comprends, mais j'ai faim.
- Nous avons une table de retenue et on peut manger ce qu'on veut,
allons-y".
Le repas fut excellent, vers minuit je montai me coucher et je passai une très bonne nuit jusqu'à 10 H du matin.
Je descendis prendre mon petit déjeuner, nous passâmes toute le journée à la piscine, le soir nous dînâmes tôt et vers huit moins le quart, nous prîmes la route de la résidence des trois personnages avec qui j'allais passer toute la nuit.
Arrivés sur les lieux, nous descendîmes de voiture, nous étions devant une maison imposante entourée de grands murs. Abdelhak sonna et un majordome vint ouvrir, il dit quelques mots en arabe et Ali lui répondit, l'homme se tourna vers moi et me dit "Si monsieur veut bien me suivre".
J'entrai dans un immense salon dont le sol de marbre blanc était couvert de somptueux tapis d'orient.
Cette pièce devait faire au moins 200 m², tout au bout sous un splendide plafond de bois de santal sculpté de feuilles d'or il y avait un salon marocain où se tenaient trois hommes d'une quarantaine d'années.
Contrairement à ce que je pensais, je ne me trouvais pas en présence de personnes grasses comme le sont généralement les riches saoudiens, ils semblaient minces et étaient beaux, l'un d'eux me fit signe d'approcher et me dit "Tu es Damien et moi je suis Fouad et voici Fayçal et Farouk.
- Je suis très honoré messieurs.
- C'est nous, sais-tu pourquoi tu es ici ?
- Oui et c'est de mon plein gré.
- Bien, pour commencer viens t'asseoir avec nous et buvons quelque chose.
- Avec plaisir".
Je m'installai près d'eux et Fayçal me servit un whisky, puis pendant que nous parlions de choses et d'autres, Farouk me tendit une liasse de billets en me disant "Voilà ce qui te reviens, tu peux compter.
- Certainement pas, nous sommes entre gens de bonne compagnie pas entre voyous.
- Ta confiance nous honore.
- Je pense qu'elle est naturelle, vous ne m'avez pas l'air de gens qui ne tienne pas leurs engagements.
- Tu as raison, maintenant, nous aimerions que tu nous fasses un strip-tease et que tu nous montres le trésor que tu
caches au milieu de tes deux collines".
Je me levai et leur tournant le dos, je me dévêtis tout en tournant lascivement mes hanches.
Quand j'eus baissé mon slip je leur fis face, ils avaient ôté leurs habits et je me trouvai face à trois sexes en érection, le membre de Fouad était très gros et très long, beaucoup plus volumineux que celui d'Abdelhak, celui de Fayçal était un peu plus fin mais plus long tandis que Farouk arborait un pénis un peu plus court que les deux autres mais beaucoup gros.
Aucun des trois priapes ne faisaient moins de 25 centimètres, je sentis une douce chaleur m'envahir le bas ventre. "Mets-toi à quatre pattes me dit Fouad".
Je m'exécutai, il se positionna derrière moi et me caressa la raie de son énorme gland turgescent, cet attouchement me provoqua une étrange sensation de plaisir, un gémissement s'échappa de ma bouche, un doigt de Fouad pesa sur mon oeillet et me pénétra, je fermai les yeux et savourai la caresse, un autre doigt vint rejoindre le premier puis un troisième et un quatrième, je planai littéralement sous ces allées et venues qui lentement m'ouvraient le sphincter.
Fouad prolongea très longtemps ce préliminaires si bien que quand ses doigts m'abandonnèrent, j'avais les fesses brûlantes et je laissai échapper des petits râles de bonheur, le gros bout durci se posta contre ma pastille et mon amant entreprit de m'enfesser en de petits coups de reins, bien que largement ouvert, le passage du gland m'arracha un cri de douleur, mais une fois qu'il fut passé au lieu de s'enfoncer à fond en moi, mon mec commença à m'assouplir la rondelle par de petits va et viens, au début je me mordais les lèvres pour ne pas hurler tant ça me faisait mal, j'avais l'impression d'avoir le cul coupé en deux, puis peu à peu la souffrance fit place à une douce sensation de bien-être, je sentis mon fondement se décontracter, s'ouvrir totalement, c'est le moment que choisit Fouad pour s'enfoncer dans mon arrière-train jusqu'à la garde.
Quand les poils follets de ses couilles touchèrent ma croupe, je sus qu'il était entièrement en moi, je sentais palpiter au fond de mes entrailles ce pénis qui m'emplissait complètement.
Je soupirai de plaisir et tendis mes fesses vers mon homme pour accentuer la pénétration, me prenant aux hanches, Fouad se mit à me limer avec douceur me faisant perdre totalement pied, ce formidable phallus qui me forait les reins me procurait à chaque allée et venue des éclairs de jouissance qui remontaient par vagues de mon bas-ventre, je m'abandonnai corps et âme à cette bite roide qui me faisait tant de bien, je rejetai la tête en arrière et fermant les yeux, je laissai le plaisir prendre possession de mon être.
Soudain je sentis contre ma joue quelque chose de dur et doux, j'ouvris les yeux et me trouvai en présence d'une queue dressée, j'ouvris la bouche et avalai l'objet de ma dévotion, pendant ce temps le troisième s'allongea à mes côtés et posa sa verge érigée dans une de mes mains, je me mis à la branler doucement.
Celui que je suçai m'immobilisa la tête et se mit à me tringler les lèvres comme si il s'agissait de mon cul, celui que je masturbai jouit et je reçus ses jets abondants dans la paume de la main.
Tout à coup, plaquant mon visage contre son pubis, Farouk car c'était lui juta en râlant, son sperme crémeux coula dans ma gorge et je l'avalai avec délice.
Je ne savais plus depuis combien de temps Fouad me possédait, j'avais atteint le point de non-retour et roulant des hanches en cadence, je me mis à délirer "ahhhhhhhhhhhhhhh
hh ahh ouuiii oooohh h".
C'est à cet instant que, s'enfonçant au plus profond de moi, Fouad éjacula en râlant, ses jets de semence épaisse fusants contre mes parois surchauffées me déclenchèrent un spasme foudroyant, je me cambrais et un "ahhhhhhhh" pulsa de me lèvres.
Fouad se retira et aussitôt, une pine raide força l'orée de mon anus m'arrachant un gémissement.
Fayçal car c'était lui, se mit à me besogner à une vitesse folle, je croyais qu'il allait me déchirer le cul si il continuait comme ça, son membre sortait presque entièrement de moi pour replonger la seconde suivante au fond de mon anus, le plaisir ne fut pas long à refaire surface en moi, je me mis à gémir sous les coups de boutoir que mon amant m'assenaient, son ventre musclé claquait contre mes fesses en fusion à me faire mal, sa pine coulissait sans aucune gène dans ma grotte bien ouverte et lubrifiée par les assauts de Fouad.
Soudain, mon homme s'arrêta et me prenant à la taille, me fit basculer, je me retrouvai allongé sur le dos, mon amant sous moi continuant à me pilonner le rectum avec des "HAN" de bûcheron.
Une verge érigée força mes lèvres, j'ouvris la bouche et me mis à la sucer avec avidité tandis qu'une autre se posai sur ma main, j'enroulai mes doigts autour de la colonne de chair et commençai à la traire.
Farouk, car c'était lui déchargea, sa liqueur gicla sur mon ventre, je lâchai la biroute à demi flaccide et entrepris de ma masser la poitrine avec le foutre qui la maculai.
Je sentis sur ma langue la bite de Fouad tressauter, il colla mon visage contre son pubis et explosa en feulant, ses longs jets de semence se déversèrent dans ma gorge et je les bus avec un plaisir évident, pendant ce temps là, Fayçal me possédait toujours avec la même fougue m'amenant au septième ciel, je ne vivais plus que pour et par la hampe qui me défonçait le fondement, mon fessier brûlait, je voulais que ce priape dur reste éternellement en moi tant le plaisir qu'il me donnait était grand, mon corps sautait chaque fois que mon mec me bourrait, je me sentis perdre totalement le sens des réalités, je sombrai dans l'univers cotonneux où seul compte le bonheur physique, la tête rejetée en arrière, les yeux clos, je me mis à hurler toutes les phases du fade par lesquelles je passai "aahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
aahhh aahhh ahhh".
Plongeant au plus profond de mon être, Fayçal éjacula en râlant, ses traits de sperme fusants le long de mes parois en fusion me déclenchèrent un fabuleux orgasme, mon corps se tendit comme un arc, mes jambes battirent l'air et de ma gorge pulsa un hurlement de jouissance "aahhhhhhhhhhhhh" puis je retombai lourdement sur mon amant les yeux clos, cuisses écartées.
Fayçal se retira et aussitôt, on me releva les cuisses pour les mettre sur des épaules et un formidable pénis me pénétra et se mit à aller et venir entre mes fesses avec lenteur, bien que je fus très ouvert par les assauts que je venais de subir, je poussai un petit cri de douleur quand le gland de Farouk déflora ma corolle.
Mais sous les mouvements répétés de cette virilité dans mon tunnel intime le mal s'évanouit pour une fois de plus faire place à une douce langueur, qui je le savais allait se transformer en un plaisir intense.
Au bout de quelques instants de ce traitement, je me mis à rouler des hanches en cadence creusant mes reins pour venir à la rencontre du membre qui m'enfilai, je tendais mon cul pour recevoir encore plus, je voulais que Farouk tout entier entre en moi, je n'étais plus qu'un cul gigantesque affamé.
Mon homme enleva mes jambes de ses épaules et les releva vers ma tête, de sorte que mon trou ressorte plus encore favorisant l'angle de pénétration, de cette manière mes fesses n'étaient plus un rempart, tout le phallus pénétrait dans ma grotte, c'était merveilleux.
Je ne savais plus depuis combien de temps, mon mec était en moi mais je voulais qu'il y reste pour me procurer sans fin ce plaisir qui m'envahissait.
Soudain, je sentis des gouttes humides pleuvoir sur mon corps, Fayçal et Fouad s'étaient astiqués et déchargeaient sur moi, quand ils eurent terminés, ils essuyèrent leurs sexes sur moi, du bout de la langue, je récupérais le foutre qui me maculait le visage.
Les coups de boutoir de Farouk étaient tellement brutaux que je décollais du tapis chaque fois qu'il me défonçait la raie.
J'avais le cul complètement éclaté, et sous les assauts répétés de mon amant, je me tordais sous lui comme un damné griffant ses épaules de mes ongles, ma tête ballottait de gauche à droite, je n'étais plus que jouissance, seul pour moi comptait le formidable pal qui me ramonait le rectum, je me mis à délirer "ahhhh ahhhhhh
ahh ".
Farouk planta sa pine au plus profond de mon cul en fusion et explosa en feulant, son épais liquide séminal inondant mon canal bouillonnant me provoqua un orgasme dévastateur, mon corps se tendit comme un arc, mes doigts griffèrent les tapis, je me cambrais pour offrir encore plus mon cul à ce magnifique phallus, je hurlai de jouissance puis je retombai lourdement au sol, mon mec me décula et aussitôt un autre corps s'allongea sur moi et m'enfessa d'un violent coup de reins.
Je ne sais ni combien de fois ni combien de temps je fus enculé, mais quand les trois hommes m'abandonnèrent, je me couchai en chien de fusil pour récupérer ma respiration, j'étais rempli de sperme de la tête aux pieds, mon fondement était complètement éclaté et la semence coulait tout le long de mes cuisses, j'avais les lèvres gonflées à force de sucer.
Quand je revins à moi, Fayçal, Fouad et Farouk étaient en train de boire.
Fouad me dit "Très bien, tu as un cul superbe, tu nous as donné
beaucoup de plaisir jusqu'à présent, viens te rafraîchir avec nous
pour reprendre un peu de force.
- Merci, mais se faire tringler par trois bites comme les vôtres,
c'est une chance incroyable, vous m'avez fait prendre des pieds
superbes.
- On s'en est rendu compte, mais on voudrait te demander quelque
chose.
- Oui ?
- As-tu encore la force de continuer ?
- Mais, je suis à votre service, c'est vous qui commandez
- Là n'est pas la question, ce qu'on veut savoir, c'est si tu as
encore envie de te faire baiser, car même si on est les patrons,
si tu en as assez, on le comprendra très bien.
- J'ai encore envie.
- Bien dans ce cas, après un petit quart d'heure de repos, on
recommence mais voilà, on voudrait que tu te mettes debout contre
cette table, le corps reposant dessus et ton cul bien tendu. O.K ?
- D'accord mais avant cela, je demande la permission d'aller aux
toilettes et si possible de pouvoir me nettoyer un peu.
- Bien sur, prends cette porte là-bas, tu trouveras tout ce dont tu
as besoin.
- Merci".
Je me levai, j'avais l'anus douloureux, pour marcher je fus obligé de garder les jambes écartées, c'est dire s'ils m'avaient distendu le trou.
Après avoir uriné, je pris une douche réparatrice, puis allai les rejoindre au salon où ils m'avaient préparé un verre.
Après avoir bu, fumé une cigarette et discuté de choses et d'autres entre autre de sexe, je m'aperçus que les trois pines violacées pointaient vers le plafond, je me levai, pris un coussin que je posai sur la table puis je me courbai dessus en écartant les jambes.
Un corps se colla à moi, aussitôt une bite se positionna face à mon anus et le membre m'investit me faisant gémir, puis se mit à me ramoner vivement.
Au bout de quelques instants, le plaisir prit possession de mon corps montant de mon bas-ventre par vagues tumultueuses, je me mis à onduler sous les coups de boutoir que mon amant m'assenaient.
Les mains posées sur mes hanches, mon homme me défonçait le fondement, il me faisait décoller de terre chaque fois qu'il s'enfonçait au fond de mon cul, son ventre musclé claquait contre mes fesses en fusion, j'étais tellement excité que j'avais l'impression que de la lave s'échappait de ma grotte affamée, je savais que seul ce phallus qui me pilonnait la lune saurait éteindre l'incendie qui couvait en moi, les reins cambrés à l'extrême, m'offrant totalement aux assauts répétés, j'attendais l'explosion salvatrice, de ma bouche ne sortait plus qu'un "aahhhhhhhh" continu.
Soudain se plaquant contre mon fessier, mon mec éjacula en feulant, ses jets de sperme m'atteignirent au tréfonds de mes entrailles me faisant hurler de bonheur.
L'homme se retira et aussitôt, une autre verge érigée me pénétra et se mit à me besogner lentement faisant monter d'un cran le plaisir qui me ravageait le corps.
Chaque fois que le pénis tuméfié m'empalait, je sombrai un peu plus, dans la pièce hormis mes râles de bonheur on entendait un bruit de succion que faisait mon cul abondamment lubrifié en avalant totalement le membre qui me possédait.
Je ne savais plus depuis combien de temps cette hampe me limait le prose, jamais je n'avais ressenti autant de plaisir au cours d'une enculade, j'avais la vue brouillée tellement je jouissais, j'avais atteint la plénitude rectale, seule comptait pour moi, la queue qui me forait les reins, je sentais monter en moi les prémices d'un orgasme dévastateur et je me mis à délirer "ahhhhhhhhhhhh
ahhhh".
Plaquant son corps contre mon arrière-train, mon amant juta en feulant, ses jets de liqueur crémeuse m'inondèrent le canal en fusion, je tendis mon cul encore plus vers lui pour accentuer la pénétration, je hurlai de plaisir puis tombai lourdement au sol essayant de retrouver ma respiration.
On m'allongea sur le ventre tout en glissant deux coussins sous ma taille de manière à ce que mon derrière soit relevé, puis un homme s'étendit sur moi et me prit d'un violent coup de reins.
Je ne sais combien de fois ni combien de temps les trois se succédèrent sur moi, mais quand ils m'abandonnèrent, je restai longtemps sans bouger, le cul complètement éclaté mais comblé, j'étais rempli de foutre de la tête aux pieds mais jamais je n'avais joui autant.
Quand je repris conscience des réalités, je vis qu'il était sept heures du matin, nous avions baisé toute la nuit, les trois hommes portaient les stigmates de la grande fatigue qu'ils éprouvaient, leurs sexes étaient totalement flaccides, je partis dans la salle de bains, quand je passai devant la glace, je vis que des cernes énormes, témoins des fades que j'avais pris, marbraient mes yeux.
Je me lavai et quand je ressortis Fouad me dit "ton cul nous a donné
un immense plaisir et pour te remercier de cette merveilleuse
nuit, nous avons décidé de te faire un petit cadeau.
- C'est gentil, mais il ne faut pas.
- Allons, pas de fausse modestie, tu sais que tu n'es pas le premier
homme qu'on baise, d'habitude après deux ou trois heures passées
sur lui, le mec nous dit qu'il n'en peut plus, qu'il a trop mal au
cul alors que toi tu nous as vidés complètement les couilles".
Fouad me donna donc une liasse de billets contenant 500 francs et me dit "Ça tu ne le partage pas avec les autres, c'est pour toi".
Je les remerciai tous les trois, nous prîmes le petit déjeuner et à huit heures Abdelhak vint me chercher.
Le trajet se passa dans le silence, la seule envie que j'avais était de me glisser dans un grand lit moelleux pour savourer un repos bien mérité après la nuit exquise mais néanmoins épuisante que j'avais passé.
Arrivé à l'hôtel, je montai dans ma chambre et après avoir appliqué un baume sur mon anus, je m'endormis profondément.

Damien

lineenchasse@yahoo.fr

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