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Vacances à Guayaquil

S'il existe de par le monde de nombreux lieux qui, aux yeux des gays, constituent de véritables paradis , personnellement je crois que peu méritent autant ce qualifictif que Guayaquil, grand port d'Equateur, d'où l'on embarque vers les Iles Galapagos. Guayaquil est une jolie ville, propre, moderne, qui, à la fois, par certains aspects rappelle Miami et par d'autres fait penser à Barcelone. On peut y passer de très agréables moments et se promener en compagnie d'un autre homme sans que celà ne vous attire, comme dans bien des endroits, de regards hostiles, ni ne choque le moins du monde la population locale.

A mon arrivée à l'aéroport international "Juan Joaquin de Olmedo", je prends un taxi pour me rendre dans le centre de Guayaquil. J'indique au chauffeur que je vais à l'Hôtel "Oro Verde". Le conducteur est un homme jeune, de 25 ans à peu près, au visage fin mais très masculin. Il porte une barbe de 2 jours, comme c'est la mode un peu partout désormais. Ses yeux sont d'un noir profond, mais il a le teint clair, comme un Italien du Sud. Il est très séduisant, et je ne peux m'empêcher de mater son beau profil pendant tout le trajet entre l'aéroport et l'hôtel. L'a-t-il remarqué? Sans doute, car, après avoir sorti ma valise du coffre, tout en me serrant énergiquement la main, il me déclare : "Me llamo Manuel. Y si quieres te puedo llevar a conocer la ciudad... y de paso el cielo" (=Je m'appelle M. T. Et si ça te dit je peux t'emmener visiter la ville... et même le ciel.) Tout ça avec un sourire plein de sous-entendus. Ce tutoiement immédiat et... sa carte de visite adroitement glissée dans ma poche, me surprennent beaucoup. Je suis tellement interloqué que je ne sais pas quoi répondre, et me contente de le remercier.

Bien sûr, je ne l'appellerai pas au téléphone, c'est trop risqué. Mais comme premier contact, c'est plutôt encourageant... D'autant que, physiquement, Manuel est plutôt du genre "vrai mâle" comme je les aime. Il a tout du jeune mec, bien dans sa peau, qui doit plaire aux femmes, et qui doit aussi bien aimer les baiser, même si parfois il fait des "infidélités" au sexe "faible", avec des touristes hommes de passage. La chambre que j'avais réservée par internet, est tout à fait à ma convenance. Seul inconvénient, je crains qu'il ne me soit guère possible d'y inviter une de mes conquêtes passagères... On verra plus tard. Je suis tellement crevé par le long vol et le décalage horaire que je décide d'aller dormir, sans même manger.

Je viens de passer plus de douze heures au lit, et après un petit-déjeuner copieux, je me sens à nouveau en pleine forme. Il est temps que j'aille faire un tour dehors. Dès mes premiers pas dans la rue, ce qui me frappe c'est la variété des couleurs de peaux. Autre surprise : le nombre nettement supérieur d'hommes de tous âges. Où sont donc les femmes ? Cette disproportion entre les sexes n'a rien pour me déplaire, vous vous en doutez, c'est un heureux constat que je fais. Tous les types ethniques se côtoient dans la rue : il y a de beaux spécimens d'allure européenne, blonds ou bruns, mais la majorité des gens sont des métis, des noirs, des mulâtres, des garçons à la peau cuivrée rappelant celle des jeunes Maghrébins. Pas mal d'hommes aux traits indiens, mais moins qu'à Quito, la capitale. Ce qui me frappe aussi, c'est le sex-appeal que dégagent tous ces mâles : ils se déplacent avec des allures félines, portent des pantalons moulants, beaucoup de jeans, qui mettent en évidence leurs fortes dotations génitales, et serrent leurs fesses au point qu'on se retient difficilement de leur donner une grande tape sur le cul ! Les plus jeunes, comme souvent en Amérique du Sud, sont à la dernière mode : crâne rasé sur les côtés, mais touffe de cheveux abondante, souvent décolorés, sur le sommet. Leurs jeans sont extraordinairement moulants. Ils y remuent leur petit cul, se touchent souvent le paquet, conscients qu'ils attirent de la sorte les regards tant des filles que des mecs ! Plusieurs, en quelques centaines de mètres, vont me sourire, quand ils se rendent compte que je les mate et ne suis pas insensible à la beauté sensuelle de leurs corps, et encore plus à leurs gestes de séduction, frisant la provocation.

Je vais passer tout l'après-midi à errer dans cette ville inconnue, sans véritable but que celui de prendre "la température" des lieux. A propos de température, Guayaquil est une ville au climat chaud, mais sans excès. Est-ce la raison qui explique que les gens ne pensent qu'au sexe, à toute heure, de toutes les manières, avec tous les partenaires possibles ? Ici on peut faire l'amour apparemment sans problème, tout le monde a sa chance, toutes les bourses aussi, tanrt est si bien que le sexe semble être le première des activités économiques de la ville... Personnellemnt je suis plutôt grand, athlétique, et ma plus grand fierté est de posséder une paire de fesses rondes et fermes, qui ne laissent aucun homme indifférent, pas même le "macho" le plus homophobe ! Mais je suis resté incrédule, quand, pour ce premier jour de mon séjour à Guayaquil, je suis sifflé comme une vulgaire fille de rue. Je cherche d'où peut venir ce sifflet admirateur et je découvre que son auteur n'est autre qu'un solide gaillard métis,qui me regarde depuis l'étage d'un immeuble en construction... D'ailleurs, comme il a vu que je l'ai repéré, il appuie sur le tissu de sa blouse de travail pour que je mesure bien la taille exceptionnelle de son sexe en érection. J'entrerais bien dans ce chantier voir de plus près l'organe mâle que me propose ce gaillard au corps viril et bronzé. Mais il y a peu de chances qu'il soit seul sur le chantier... Je risquerais gros, sans doute une tournante ! Patience, me dis-je, tu n'es là que depuis moins de 24 heures ! T'auras bien d'autres occasions !

Mes premières heures passées ici me font comparer Guayaquil à un immense supermarché de mâles, où tu peux rencontrer des hommes de toutes les couleurs, tous les aspects, toutes les saveurs... Il y en a des blancs et blonds, probablement enfants d'immigrants anglosaxons venus d'Europe; mais il y a aussi beaucoup de noirs, de métis, d'hommes café au lait, tous sûrement descendants d'Arabes, de gens d'Afrique Noire, ou de Méditerranéens du Sud, Espagnols ou Italiens. Sans m'en rendre compte ma découverte des ressources mâles de la ville va me pousser à poursuivre la visite de la ville jusqu'à la tombée de la nuit, qui, toute l'année, arrive vers 18 h. Nous sommes en Equateur, pays le bien nommé...

A mon retour à l'Hôtel "Oro Verde", je passe prendre une douche dans ma chambre, me change, puis ressors pour aller à l'Hôtel Hampton, indiqué sur mon guide, pour y prendre un verre au bar "Bankers club". Toujours selon mon guide, de cet établissement on a "une vue merveilleuse sur toute la ville". Le bar-man est un superbe mec et j'échange avec gourmandise quelques phrases avec lui. Il me conseille, quand j'aurai fini mon whisky, d'aller manger " un ceviche" à l'hôtel Colon. Il glisse, avec un sourire complice : "on y fait de belles rencontres". A-t-il, lui aussi, deviné que je ne suis pas insensible aux beautés de son sexe, de notre sexe..., ou parle-t-il de possibles conquêtes féminines ? Il rajoute, et cette précision est de la plus grande importance : "Vous savez, dans les hôtels de Guayaquil, on peut emmener qui on veut dans sa chambre..." Je le remercie, et je lui demande un conseil "pour bien passer la soirée... ou la nuit !" Il éclate de rire et, sans hésitation me donne deux adresses : "Si vous cherchez une belle femme, allez dîner au "Blue"... Par contre, si c'est les mecs qui vous intéressent, allez au "Shake", à l'Aventura Plaza. Je le remercie de ses bons tuyaux, lui laisse un super pourboire et file sans plus tarder au"Shake". A peine entré, je constate avec satisfaction qu'il ne s'est pas moqué de moi : je suis soufflé de voir une telle concentration de beaux mecs au mètre carré En me faufilant vers le bar, j'ai l'mpression de frôler des corps semblables à celui de David Beckam, de croiser le regard de Brad Pitt ou celui de Clooney. Tous sont souriants, sympathiques, volontiers bavards. Ils sont attirants, portent des tenues sexy et très vite proposent de te parler de leur ville, de leur vie, de leurs centres d'intérêt. Je ne suis là que depuis une demi-heure et j'ai déjà échangé avec trois ou quatre de ces jeunes mecs, qui ne semblent pas le moins du monde rebutés par notre différence d'âge. A la réflexion, je pense qu'ils doivent tous monnayer leurs charmes, ne serait-ce que pour acheter leur joint ou leur ligne de coque. Nul n'est parfait ! En revanche, question physique, ils ne sont pas loin de la perfection à mon goût. Je suis prêt à sucer des bites au kilomètre dans les toilettes de ce bel endroit !

Parmi les clients du lieu, il y a pas mal de mecs qui comme moi sont plus près de la quarantaine. Dans la vie, beaucoup doivent avoir femme et enfants, accomplissant ainsi leur devoir de reproduction. Mais, quand il s'agit de s'amuser, de sexe, de chair... ils préfèrent se frotter à la bite raide d'un autre mâle, lui offrir leur rondelle, boire sa semence comme des morts de soif, et recommencer très vite avec d'autres mâles tout aussi excités qu'eux et capables de baiser des nuits entières. Un mec de mon âge, que j'avais remarqué, s'est approché de moi et me demande ce qu'il peut m'offiir à boire. Je le remercie, lui montrant mon verre de bière à peine entamé. Il veut savoir d'où je viens. ""Ah, de Paris ! Superbe ! J'y suis allé... On s'amuse bien en France..." Le contact est établi. Nous parlons un peu de tout, mais le thème du sexe est très vite abordé. Je lui dis l'impression très favorable qui est la mienne, après 24 heures seulement passées dans sa ville. J'insiste sur la beauté des mecs. "On nous le dit souvent... Sans être vaniteux, ajoute-t-il, je dois reconnaître que les hommes de Guayaquil sont particulièrement bien fichus, physiquement... et sexy !" Selon lui, c'est dû au fait que les garcons font beaucoup de sport, dès l'enfance, du football surtout. Et quand ils sont adolescents, ils font en plus de la musculation, surout pour raffermir leurs jambes et leurs fesses. Cela explique, à son avis, qu'ils ont une excellente élasticité des sphincters ! Il rit de bon coeur : "Non, je suis sérieux, me précise-t-il, tu verras... quand tu encules un gars d'ici... c'est un pur bonheur !!! T'as la bite bien serrée... ! et tu éjacules tout de suite !" Et il ajoute : "Ils ont le cul tellement étroit, que tu as toujours l'impression que tu es en train de dépuceler un cul vierge ! De quoi te rendre immédiatement amoureux du mec que tu baises. D'ailleurs tu vas te rendre compte que la ville a un nombre incalculable de gymnases, de salles de sport ou de musculation. Très jeunes, les garçons ont des corps sculptés, à te faire baver, et en plus ils savent baiser comme des taureaux ! C'est des professionnels de l'amour, les gars d'ici, ils te caressent, t'embrassent comme des dieux, te prennent dans toutes les positions, te donnent l'impression qu'ils t'aiment vraiment, qu'ils ont envie de toi et veulent te donner un maximum de plaisir." Cette description élogieuse des mérites virils des représentants locaux du sexe masculin me fait déja bander et espérer d'inoubliables moments de jouissance au cours de mon séjour.

Après m'avoir chauffé avec d'aussi belles perspectives, sans autre précaution, mon interlocuteur me félicite pour mon cul : "J'aimerais bien explorer " tu huequito delicioso" (= ton délicieux petit trou). Je le remercie du compliment et, malgré sa confidence qu'il est très très bien monté... je prétexte que je dois absolument rentrer à mon hôtel, où je dois retrouver des amis qui voyagent avec moi. A vrai dire, je le trouve un peu trop enveloppé, j'aurais préféré me faire prendre par un de ces jeunes hommes si séduisants qui louent leur corps dans ce sympathique lieu de rencontres. Je quitte le "Shake" et reviens à mon hôtel. (la suite bientôt...!)

Rafael

Vacances à Guayaquil 2

Après une nouvelle douche (tous ces mâles m'ont donné chaud !), je descends dîner à la cafétéria. Il y a moins de monde qu'au "Shake", essentiellement des clients de l'hôtel. Je remarque très vite un jeune mec, de 25 ou 27 ans, blond, avec de longs cils qui donnent à son regard un air ténébreux qui me le rend encore plus attirant. Il a remarqué que je le matais, m'a souri, et est venu me demander s'il pouvait s'asseoir à ma table. Je réponds seulement par un large sourire. Il prend place aussitôt, sans un mot, me regardant fixement. Ses cils blonds sont vraiment très longs et fournis. Il est vraiment splendide ce mec ! Comme nous avons déjà mangé tous les deux, il me propose de prendre comme lui un verre de brandy, histoire de bavarder un moment. Il me raconte qu'il est un vrai "quayaquileño", depuis plusieurs générations, qu'il a des origines européennes : françaises et allemandes. C'est précisément, je crois, ce mélange de races, qui fait de tous ces garçons de Guayaquil des mâles aussi sexy et séduisants. Mon beau blond, aux yeux gris-vert, me fascine littéralement. Je fixe ses lèvres qui laissent passer des mots doux, des phrases harmonieuses, dans cet espagnol sans accent que parlent les Equatoriens. Après plusieurs minutes pendant lesquelles je l'ai écouté religieusement, ou plutôt amoureusement... mon jeune dieu blond m'annonce brutalement : " Quiero hacerte el amor!" Je n'en crois pas mes oreilles, et même si j'ai voyagé un peu partout à travers le monde, je n'ai jamais entendu pareille déclaration, de façon aussi immédiate. Incroyable : nous parlons ensemble depuis si peu de temps !... J'en viens à me demander s'il ne serait pas plutôt gigolo. Je reste sur mes gardes, il doit penser avoir trouvé le client de la soirée Je lui réponds tout de même, trop alléché par sa proposition, que moi aussi j'en meurs d'envie et que je suis à son entière disposition... Il se lève aussitôt, me precise que sa voiture est au parking. Nous sortons. Il marche devant moi : il est grand, athlétique, a un cul magnifique. Les deux globes de ses fesses, bien rebondis, me font baver d'envie. J'y glisserais volontiers ma queue... Il me propose de faire d'abord un tour en voiture, histoire de me montrer des coins qu'il aime bien, au centre, au nord, au sud de la ville. La visite finie, il choisit de m'emmener au "Malecon". Nous entrons dans un bar très élégant, appelé "Resaca", d'où l'on peut apprécier l'immense et romantique fleuve Guayas, fierté des habitants de la ville. Il me conseille de prendre cette célèbre bière glacée, produite ici et connue dans le monde entier. Je me laisse faire.. Je suis totalement fasciné par ce séducteur inattendu, un garçon si prévenant, si doux, si sexy... Aussi, quand il me propose de continuer la soirée à l'hôtel, "un coin sympa... dans le quartier de Kennedy Norte", je me contente d'acquiescer avec la tête. La chambre est superbe. Nous passons tous deux à la douche. J'en profite pour observer en détail le corps de celui qui va être mon premier amant guayaquilenio. Il est vraiment bien foutu ce mâle ! Un beau cul, je m'en doutais... Une belle queue aussi, qui au repos doit bien faire 14 ou 15 centimètres. Il n'est pas circoncis. Très prometteur tout ça, surtout que ses testicules sont deux énormes boules assez rouges, sans poils, sûrement pleines de sa divine semence ! Nous sortons de la salle de bain ensemble et sautons dans le lit. Très vite il m'enlace entre ses bras, et me roule une pelle divine, un de ces baisers pleins de douceur et d'amour, qui ont le chic de me faire craquer... Très vite je suis éperdûment amoureux de ce garçon, j'ai envie de son corps, de son sexe, de sa bouche. Quand il me demande s'il peut me prendre, je frémis de bonheur, je veux qu'il entre en moi au plus vite, qu'il me possède, qu'il jouisse dans mon cul, me remplisse de son foutre. Je me mets sur le dos et levant les jambes lui offre mon trou d'amour. Il se penche et commence à me lécher la rondelle; c'est absolument divin. Il mouille bien ma rondelle, la titille avec sa langue. C'est irrésistible; je veux, sans plus attendre, qu'il remplace sa langue par sa bite. Quand il s'apprête à enfoncer son dard, je peux voir son sexe en érection. Sacrée bite ! Elle doit bien faire ses 20 centimètres maintenant. C'est sûr, je vais la sentir ! Mais je n'en suis que plus impatient. Il crache sur sa queue, étale bien la salive. J'aurais préféré qu'il mette du gel et prépare ma pénétration par un bon doigtage. Mais tant pis, je suis tellement désireux de me faire baiser par lui que la perspective d'un enculage "à sec" rendra finalement cette soirée encore plus exceptionnelle. En bon actif, il place son gland face à mon trou et enfonce très lentement sa verge raide entre mes fesses. Peu à peu mon cul se dilate, je sens son pénis s'introduire délicatement en moi. J'ai un peu mal, c'est vrai, mais je suis ravi d'être enfilé par un aussi beau garçon et n'ai qu'un désir : lui donner le plus de plaisir possible. Constatant sans doute qu'il ne peut pas aller plus loin, que son membre viril a pris totalement possession de mon cul, il me demande : "Te gusta mi verga ?" (=elle te plaît ma queue ?) Je me sens au paradis, comme enivré de bonheur. Je lui réponds : "Si claro, mi amor... me gusta mucho ! No te detengas... por favor sigue asi..." (=Bien sûr mon amour, j'adore.... s'il te plaît, ne t'arrête pas... continue... continue comme çà !). Je prends conscience qu'il a réussi à enfoncer la totalité de son membre, jusqu'aux couilles... Son énorme bite est entièrement entrée dans mon cul, je suis totalement à lui... il peut me défoncer comme il veut... je suis prêt à endurer ses coups de boutoir. A ma grande surprise, il bouge sa queue doucement... tendrement même, je dirais... entrant et sortant de mon cul sans la moindre brutalité... Seule une légère brûlure me signale les va et vient de son membre. Ce qui me plaît aussi, c'est qu'il me prend de face, je peux ainsi voir tout son corps, son torse finement musclé, ses abdominaux qui se contractent avec les mouvements de son bassin, son splendide visage , ses yeux qui me fixent et me disent leur envie de sexe et leur amour. De toutes les positions, c'est celle que je préfère. Il continue de m'enculer tendrement. Ce traitement tout en douceur va très vite et brutalement changer. Le jeune blond commence alors à me pilonner sans pitié. Je couine de douleur et de plaisir à la fois. Mes petits cris de femelle auront pour effet de déchaîner encore plus mon mâle équatorien. Il me lime maintenant le cul sauvagement, et ça va durer comme çà pendant bien dix minutes, sans baisse de rythme. Puis soudain il s'arrête, s'arqueboute sur moi, pousse sa queue au plus profond de mes entrailles et sans cesser de me fixer droit dans les yeux, s'exclame : "Mon amour... je vais jouir... ça y est... ça vient... je te donne ma semence, mon jus... tu sens "mi leche" (=mon lait) couler dans ton cul ?.... c'est pour toi mon amour... je t'aime... ahhhhhhhh" Tout son corps vibre, il jouit, je comprends qu'il est en train d'éjaculer des litres de sperme. Quelques instants après, l retire son sexe et s'effondre à mon côté. Je suis aux anges. J'ai rarement éprouvé autant de plaisir à me faire enculer. Sa bite est encore énorme bien que molle. Je la caresse, étale le filet de sperme qui coule de son gland sur le reste de la verge. Ses poils, plus roux que blonds, sont mouillés de foutre. Quel magnifique spectacle ! Je bande comme un âne. Il faut dire que je n'ai pas encore joui, moi, et que le corps nu de mon amant m'excite au plus haut point. Il s'en aperçoit, comprend que j'ai envie de le baiser à mon tour. Il me demande de rester ccouché sur le dos et vient s'asseoir sur ma queue, dressée vers le ciel. Il sait y faire, il descend lentement, faisant progressivement entrer ma queue dans son cul. Ma bite est d'un calibre moyen, 17 cm de long, mais elle est plus épaisse que la sienne, ce qui explique ses petits cris de douleur au fur et à mesure qu'il s'empale sur mon membre. Ma bite finit tout de même par entrer totalement et à bien remplir son cul. La sensation est merveilleuse. Je n'aurais pas imaginé que j'allais pouvoir, dès ce soir, niquer un mâle équatorien, juste après m'être fait prendre par lui. Et quel expert ce garçon ! Je n'ai même pas à faire le moindre effort, c'est lui qui, montant et descendant sur ma queue, fait tout le boulot,; il s'encule sur ma bite à un rythme parfait, prenant et donnant du plaisir à tous les deux. Je suis tellement excité que je ne tarde pas éjaculer. J'avertis mon beau blond. Il n'arrêtera pas ses va et vient avant de sentir mon trop plein de sperme s'écouler de son cul et descendre le long de ma verge. Il remue alors les fesses pour mieux sentir mon membre mâle planté dans sa chatte de femelle. Cette façon de se faire enculer au plus profond me fait vibrer de plaisir. Je sens tout mon corps jouir. Lui aussi apparemment adore !

Après une bonne douche, au cours de laquelle nous avons mêlé nos langues et caressé nos corps, y compris dans les recoins les plus intimes, nous regagnons le lit et nous nous endormons, nos corps enlacés. A mon réveil, je ne peux m'empêcher de caresser le superbe jeune mâle nu qui est à mes côtés. Je ne fais qu'effleurer sa peau, toucher du bout des doigts ses tétons, pourtant mes gestes finissent par le réveiller. Son premier réflexe est de coller ses lèvres contre les miennes. Un baiser fougueux finit par nous réveiller vraiment. Nos sexes reprennent cette raideur totale, qui est le signe évident d'un désir réciproque. Nous refaisons donc l'amour. Il me prend par derrière cette fois. J'ai encore mal au fion, après l'enculade de cette nuit, mais je me laisse faire. Mon amant ce matin a très vite envie de jouir; pour se soulager, il retire sa queue de mon cul et, se mettant à genoux, m'asperge le visage de son foutre. Son sperme est épais et abondant. Je me demande comment ce mec a pu fabriquer autant de semence en si peu de temps...

Une nouvelle douche et nous décidons de quitter la chambre, où nous avons pris tant de plaisir l'un et l'autre. Juan Carlos (c'est son prénom, il a fini par me le dire) me dépose à mon hôtel. En sortant de la voiture, je lui dis que je serais fou de joie si nous recommencions la nuit prochaine. Il n'est pas contre... et, avec un clin d'oeil, me dit qu'il passera me prendre à la cafétéria vers huit heures, ce soir. J'attends que sa voiture s'éloigne pour rentrer dans l'hôtel et prendre ma clé à la réception.

Rafael

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