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28 ET 29 Mars

Grosse queue
"Plan à 3"
"handgag"

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HISTOIRE

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Mes légionnaires

J'ai toujours fantasmé sur l'uniforme des légionnaires. Je les voyais passer, dés mon plus jeune âge, dans les rue de la ville, pour le défilé du 14 juillet, en uniforme et avec leur képi blanc.
Je les regardais passer avec mes soeurs, du balcon de notre appartement, au pas du légionnaire, lent et rythmé, chantant des chansons de guerre. Je les imaginais, le crane rasé, musclés, travaillant dur en plein soleil, le corps bronzé presque brûlé, bêtes de guerre, en temps de paix.
J'avais grandi, et cette image restait dans ma mémoire. Fantasme ou rêve? Toujours est -il que je ne pouvais laisser libre cours à mon imagination, sans que cette dernière ne m'emmène sur une plage lointaine de sable fin, bordé de cocotier, en plein soleil, et ou ces garçons faisaient de l'exercice à quelque pas de moi.
Mon rêve commençait toujours de la même façon, sur cette plage. Je les regardais travailler et soudain l'un d'eux me voyais, et m'emportait dans les buissons pour faire l'amour.
Ou encore 4 d'entre eux m'attrapaient pour me violer a tour de rôle pendant que les autres me tenaient.
Toujours et-il que ce rêve ou fantasme restait une pure vue de l'esprit qui me faisait régulièrement bander, rien qu'en fermant les yeux, et devait à tout jamais rester un rêve.
En 1985 je me suis marié, oubliant pour un temps mes rêves d'adolescent et me consacrant exclusivement à ma femme, et à mon travail, qui me promettait une belle carrière et une vie des plus heureuses. Oubliant aussi les légionnaires et les belle plages de sable fin des tropiques.
Mais l'année dernière, au moment ou je m'y attendais le moins, et après une soirée ou nous étions sortis avec des amis en boite, et ou nous avion bu plus que de raison, je décidais d'aller prendre un bain de minuit dans une crique proche, pour me dessaouler. Je le proposai à la cantonade, mes personne ne fit écho à ma proposition. Un peu vexé, je m'y rendis donc seul.
Arrivé sur la plage, je me suis déshabillai et entrai dans l'eau tiède, nageant et profitant de cette eau particulièrement agréable. Ce mois d'août avait été chaud, et les nuits avait apporte outre leur fraîcheur, leur cortège d'effluves et de senteurs enivrantes venant du large et de je ne sais quelle île lointaine.
Inconsciemment je ne pus m'empêcher de repenser à mon enfance, peut-être à cause de cette chaleur, de ces senteurs, ou de l'alcool et je me suis mis à bander.
En sortant de l'eau, je m'aperçus que mes vêtements avaient disparus, et pris d'une grosse panique, je me suis mis à courir sur la plage dans tous les sens afin de les retrouver. C'est seulement au bout de quelque minutes que j'entendis un sifflement tel ceux des mecs dans la rue qui désirent attirer l'attention de telle ou telle fille. Je stoppai net et scrutai l'obscurité cherchant d'où venait exactement ce sifflement. Il recommença et furieux je me dirigeai vers le bruit.
Au bout de quelques mètre, je tombai sur un groupe de 4 mecs, à poil, certains allongés sur le sable, d'autre assis en tailleur et partageant une bouteille de whisky. A mon arrivée celui qui paraissait être le chef de ce petit groupe se leva en me tendant la bouteille et dit:
-t'en veux?
Je refusai et toujours en proie à la colère je leur demandai si ce n'était pas eux qui m'avaient pris mes affaires et tous mes papiers. Celui qui m'avait tendu la bouteille répondit:
-t'es pas bien comme ça?
Nous aussi on est a poil et ça ne nous dérange pas. Viens t'asseoir avec nous et ne joue pas ta mijaurée.
Il était grand et en même temps trapu avec de larges épaules que je n'avais pas encore remarqué, et malgré l'obscurité je vis qu'il était plutôt gâte par dame nature au niveau de son service trois pièces. Si c'était eux qui m'avaient pris mes affaires, je ne pouvais pas les récupérer par la force, (ils étaient quand même 4), il valait mieux essayer de les amadouer, je m'assis auprès du premier.
Pendant que nous discutions, les trois autres avaient lancé des petites réflexions de corps de garde concernant mon physique, l'étroitesse de mes reins, ponctuées de gros rires, et d'allusions plutôt cyniques sur le manque de femme et sur le fait "qu'un trou c'était un trou".
D'un seul coup, et après avoir bu plusieurs fois au goulot de larges rasades de whisky, je me rendis compte que les trois autres avaient disparu. Peut-être étaient-ils partis se baigner afin comme moi, de me dessoûler un peu. Je ne les entendis pas revenir non plus et l'un d'entre eux m'attrapa par les épaules et me jeta sur le dos, me fourrant sa queue et ses couilles au dessus de la bouche, pendant que ses compères se jetaient sur moi pour me tenir. La surprise fut énorme, et le chef me dit:

-UN CUL C'EST UN CUL, ET TU VAS APPRENDRE CE QUE C'EST QUE LA Légion.

Je délirais. Comment avait-je pu être aussi bête pour me jeter tête baisée dans ce piège, et qu'allait-il arriver?
Le chef pris alors la bouteille pendant que le plus petit me forçait à ouvrir la bouche et finit de me la faire boire. Puis il dit:

- Une bouteille, tu vas voir, ça aussi servir à autre chose.
IL se mit alors en quête de me l'enfoncer dans le cul pendant que ses acolytes riaient de plus belle.
Tenu par 3 mecs costauds, je ne pouvais que subir ce supplice, bien que je me débatte de toutes mes forces. Mais l'alcool ingurgité de force ne tarda pas à faire son effet et à m'anéantir. Me sentant moins combatif, celui qui me parlait presque pas proposa à ses copains de m'enculer, à défaut de fille, à tour de rôle et en tout bien tout honneur. Ils reprirent l'idée et celui qui me tenait les jambes, les souleva et enfonça la bouteille encore un peu plus, me déchirant complètement le cul en disant:

Il a l'air d'aimer ça cette petite salope.

Je n'avais plus de force et retirant la bouteille, il la remplaça par sa queue aux dimensions impressionnantes. Contrairement à ce que je pensais, ça ne me fis même pas mal et j'éprouvais alors une sorte de plaisir bien malgré moi. Il me prit et me bourra de toute ses forces, me tenant les jambes en l'air, pendant que tenaient toujours les épaules et les bras. Le chef décida alors de ce faire sucer, m'enjamba, et me planta sa grosse queue dans la bouche en me tenant très fort par les cheveux.
Celui qui me bourrait éjacula enfin et fut remplacé par un autre, dont la queue moins épaisse mais plus longue me ravagea les entrailles, me procurant un autre plaisir et me faisant rebander. Il s'en était aperçu et en fit part à ses potes qui rirent et qui desserrèrent un peu leur prises. Il me défonçait régulièrement avec un rythme de métronome, enfonçant sa longue bite jusqu'à la garde, puis la retirant doucement, pour la renfoncer brutalement. Lui aussi éjacula pendant que le chef m'éjaculait aussi sur la figure.
J'étais tout mou, mais je continuais à bander. Le dernier dit alors:

-On va la retourner cette salope et je vais la prendre comme une chienne qu'il est.

Ce qu'ils firent.
Il avait une queue complètement disproportionnée, plus qu'énorme, lui montant plus haut que le nombril, et d'un diamètre plus gros que celui des chevaux que j'avais vu pisser de temps en temps dans la campagne autour de la maison. Voyant la taille de son engin, et absolument certain que ça ne pourrai pas entrer, je me débattis de plus belle, mais le chef avait prévu ma réaction et m'avait pris le cou dans une prise militaire m'étouffant et m'empêchant de bouger. Il positionna alors ce terrible pieu en face de mon orifice déjà bien dilaté et m'empala d'un seul coup, me faisant hurler de douleur. J'eus alors des soubresauts incontrôlés et il s'arc-bouta pour ne pas lâcher prise. Enfin la douleur s'estompa et fit place à un plaisir tellement intense, que j'éjaculai en même temps que lui en beuglant des mots incompréhensibles.
Ils me laissèrent là, sur le sable, nu, et le chef une fois rhabillé se retourna et me dit:
-Si tu veux, on vient tous les samedi, ici après le bal.
Depuis, tous les samedi, je trouve une excuse bidon pour lâcher mon épouse d'une façon ou d'une autre et je retrouve mes légionnaires sur la plage pour bien me faire éclater la rondelle.

FIN

Nico76500

nicolasb76500@gmail.com

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