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Grosse queue
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Jeux dans le train

Je supporte le froid, bien que dans ma région les jours où la température tombe en dessous de zéro sont plutôt rares. Je déteste par contre la pluie. Ce matin-là, pas de veine, il pleuvait et il ne devait faire que 5 ou 6°... Du moins, à 6 h 30 quand j'attendais mon train en gare de Cannes. Le train arriva à l'heure ; 6 h 54. Le TER que je prends tous les matins pour aller bosser à Nice. Je monte à l'étage : personne... ou plutôt deux ombres, qui dans l'obscurité semblaient très proches l'une de l'autre. Après quelques secondes, la voiture déjà en mouvement est éclairée par un projecteur plus puissant au bord de la voie. L'éclair de lumière me permet de voir qu'il s'agit de deux garçons, jeunes, presque collés l'un à l'autre... Sans doute, ma venue a dû les décevoir, puisqu'à part eux et moi, aucun autre voyageur n'avait choisi de monter à l'étage. Mais, à peine le train a pris de la vitesse, je comprends que je ne les gêne guère... Leurs rires et leurs gloussements m'indiquent même, sans equivoque, que, de bon matin, leurs hormones les tiennent parfaitement éveillés et actifs. Au bout de quelques instants, n'y tenant plus, je me lève et traverse le couloir, comme si j'allais aux toilettes. En passant, j'ai pu mieux voir qui sont ces deux passagers si occupés et si joyeux... Deux beaux visages, de 18 ou 19 ans, des yeux noirs, le crâne rasé pour tous les deux, mais l'un avec une crête centrale décolorée. Je n'ai pas pu détailler ce à quoi ils passaient leur temps, mais j'ai vu clairement que celui qui avait la crête en me voyant me dresser a redressé sa tête, plongée jusque là sur le bas-ventre de son copain. Pas de doute : doute il était en train de le sucer, même si je n'ai pas vu le sexe du sucé sortie hors de la braguette... En me voyant me lever, il avait eu le temps de ranger son matériel. J'ai fait celui qui n'avait rien remarqué et suis allé aux toilettes. Une fois dans les chiottes, je me serais bien branlé, tellement ils m'avaient chauffé ces deux-là. En regagnant ma place, je suis passé près d'eux. Tout parait normal, ils se sont même séparés de quelques centimètres. Je les regarde, fixant même, avec insistance, droit dans les yeux, celui qui se faisait sucer il y a quelques minutes. Une belle gueule de jeune mâle, des traits fins mais très masculins, une bouche boudeuse. Il ne baisse pas le regard, soutenant le mien; je sens qu'il me provoque. C'est moi qui, le premier, baisse les yeux et regagne, gêné ma place.

Ils descendent à Nice Saint-Augustin, leur sac sur les épaules, marchant très naturellement. Je les suis du regard, le visage collé à la fenêtre. Ils s'éloignent sur le quai, vers la sortie de la petite gare. Deux beaux jeunes mecs, en pleine force, à la démarche sûre. Le plus grand, celui qui se faisait pomper, se retourne avant de franchir le portillon de sortie, regarde dans ma direction et lève le pouce. Que veut-il dire ? Ce geste m'est-il destiné ? Est-il sûr que je les regarde partir ? Ils doivent être élèves dans un établissement du coin. Comment se fait-il que depuis la rentrée je ne les ai jamais rencontrés dans ce train, ces derniers mois ? Je me dis que cette rencontre, fortuite ne se reproduira plus.

Le soir, pour rentrer, je prends le train de 17 h 33 qui arrive à Cannes un peu après 18 h. Je me dis que peut-être ils vont rentrer par le même train. Mais j'ai beau scruter le quai de Saint-Augustin quand le train s'arrête, je vois pas mal de beaux jeunes, mais pas mes deux compagnons de voyage de ce matin. Le lendemain, je choisis la même voiture que la veille, et monte à l'étage. Surprise, un seul passager, le beau jeune d'hier. Son copain, à la crête décolorée n'est pas là... Je m'assois sur la même rangée que lui, mais de l'autre côté. Pendant quelques minutes, je ne le regarde pas, même pas en biais. Les deux ou trois fois que j'ai tourné la tête vers lui, il a fait semblant de regarder par la fenêtre et de ne pas se rendre compte de mon intérêt. Je décide de faire comme lui et de regarder à l'extérieur du train. Mais dans le reflet de la vitre, je constate qu'à plusieurs reprises il a tourné la tête dans ma direction. Ces regards répétés provoquent un début d'érection chez moi. Ça me gêne, et pour cacher la bosse qui s'est soulevée sous mon pantalon, je mets une main sur mon paquet. Toujours dans le reflet de ma fenêtre, je vois qu'il suit des yeux le mouvement de ma main. Je décide de vérifier si c'est bien mon paquet qui l'intéresse et je me touche la bite, la changeant même de position, comme si, trop comprimée par mon slip et mon pantalon, elle manquait de place... Ses yeux restent fixés sur mon entrejambe. Le spectacle que je lui donne semble l'intéresser au plus haut point. Mais soudain il se lève, attrape son sac, qu'il accroche à l'une de ses épaules, me jette un regard noir, indéchiffrable, puis se dirige vers l'escalier intérieur, pour descendre. Pas de chance : le train arrive déjà en gare de Saint-Augustin ! Je regarde à travers la fenêtre et le voit se diriger vers la sortie. Une fois encore, avant de franchir le portillon, il se retourne et lève le pouce dans ma direction. Pas de doute ce geste est pour moi : a-t-il apprécié ?

A peine arrivé au bureau, je file aux toilettes me branler en pensant à ce beau jeune. Pourvu qu'il prenne le même train demain ! Plusieurs jours sont passés, sans que je voyage de nouveau avec lui. Prend-il toujours le même train ? Au retour, un soir, je remarque que sur le quai de la petite gare se trouve l'autre jeune mec, celui à la crête décolorée... Je m'aperçois qu'il monte dans la voiture qui précède la mienne. Je change de place, et vais m'asseoir à côté de lui. Il me reconnaît, semble gêné, mais me dit "bonsoir". Je lui réponds avec u sourire et en profite pour lui demander : "Ah, vous êtes seul ce soir ? Votre copain n'est pas là ?" Il attend quelques secondes, réfléchissant à ce qu'il peut me dire : "Ah, Sébastien ?... On n'est pas dans le même cours... on n'a pas les mêmes horaires..." "Ah, c'est pour ça..." Je sais maintenant le prénom du beau copain... Je continue mon enquête : "Et vous faites quoi comme études ?" "On fait tous les deux un B.T.S., moi en informatique et lui en électrotechnique..." Mais le BTS, c'est des études après le bac ? Vous avez quel âge ?... " "Moi, dix-neuf et Séb, il a vingt ans." Je m'exclame : "La fleur de l'âge !" En fait, je sens le ridicule de ma remarque, mais c'est que je ne sais pas quoi dire... Je pourrais bien le chauffer en me touchant le paquet... Je rêve un peu : me faire sucer par sa belle petite bouche aux lèvres roses doit être hyper-bandant !!! Mais, hélas, vu le nombre de passagers ce soir, il n'y a pas un coin tranquille pour aller m'y faire cajoler la bite. C'est pas l'envie qui me manque...
J'aurai ce plaisir le lendemain, le train étant presque vide et le jeunot à la crête blonde étant venu directement et naturellement s'asseoir près de moi. Les hauts dossiers des sièges du TER nous protègent des regards, et, en quelques minutes à peine, en me touchant la bite, j'ai vu que son jeans prenait lui aussi un certain volume... Je tends aussitôt ma main vers son paquet, appuie plusieurs fois sur sa braguette : je sens que sa queue est dure, prête à exploser. Je lui demande à l'oreille de déboutonner son Levis. Le jeunot s'exécute et sort sa verge. Elle est plutôt longue, bien blanche, la peau est fine. Je la saisis à pleine main et la branle. Je décalotte le gland : une merveille rose pale, je ne peux plus résister, je me penche et la prends en bouche. Le jeunot se tord comme un ver, je ne crois pas qu'il se soit fait sucer souvent. Je le pompe avec avidité, avalant toute sa tige. Ses couilles sont plaquées sous la verge, je les lèche avec un plaisir immense. Si on n'était pas dans le train, je suis sûr que le jeunot gémirait de plaisir, mais là il se contente d'apprécier mes câlineries, prenant sans doute de la graine pour reproduire mes attentions sur le membre et les testicules de son pote Séb. ... Très vite, je sens qu'il lâche son sperme dans ma gorge, sans me prévenir... Plusieurs jets délicieux que je m'empresse d'avaler. Même s'il m'avait annoncé qu'il allait éjaculer je lui aurais demandé de se vider dans ma bouche, tant j'aime le goût de la semence de jeunes mâles ! Je me redresse, ouvre ma braguette, sort ma queue, qui me fait mal tellement elle est dure, et lui demande de me rendre la pareille. Il ne se fait pas prier et prend en bouche mon gland, bien sûr d'un autre format que le sien. D'ailleurs d'un geste d'impuissance, il me fait comprendre qu'il n'arrive pas à avaler tout mon chibre. Je lui chuchote à l'oreille que ça ne fait rien, qu'il me lèche bien et que je vais me branler pendant qu'il me pompe. Je suis sans doute super excité, car je sens très vite que je vais lâcher mon yop... Je lui demande s'il avale tout, il me répond par ses hochements de tête que oui. Je me masturbe un peu plus vite et plus fort, faisant bien coulisser ma peau sur ma tige. Très vite, je lance tout mon jus dans la bouche du jeunot. Il a d'abord comme un mouvement de recul, étonné sans doute par la quantité et la force des jets, puis ouvre bien la bouche pour ne rien gaspiller. Je lâche, je le sens, pas mal de jus ! C'est qu'il m'a chauffé le petit ! Et ça fait quelques jours que je ne me suis pas vidé... Il avale tout, le petit gourmand, et me nettoie bien le chibre ensuite. Je n'ai pas vu le temps passer ! On est en train d'arriver en gare de Cannes, et je dois descendre. Lui continue jusqu'à La Bocca. Je me reboutonne vite, et en le quittant lui serre la main, sans rien dire. Lui me dit "A bientôt !". Et comment ! Tous les soirs s'il veut ! Pas meilleure façon de terminer la journée. Et si, le matin, je pouvais la commencer avec Sébastien son copain, ce serait super !

J'ai beau le chercher dans toutes les voitures du train, pas moyen de le retrouver, ce satané Sébastien ! A croire qu'il a changé d'horaire. Et puis un matin, bingo !, je le retrouve à l'étage, seul. Son sac posé sur le siège à côté de lui. Je vais m'asseoir en face, non sans le saluer au passage. Il me répond par un "bonjour". Plutôt encourageant. Est-il au courant qu'on s'est sucés, son copain et moi ? Je ne sais pas quoi faire. Me toucher la queue à travers le pantalon, pour le chauffer, ou alors sortir carrément ma bite, puisqu'il n'y a personne d'autre à cet étage. A ma grande surprise, c'est lui, Sébastien, qui va prendre l'initiative : il déplace son sac à dos pour que je ne perde rien du spectacle, sort sa queue encore molle et commence à se masturber. Très vite sa bite prend du volume et de la longueur : un superbe morceau ce chair, dur, raide, bronzé. Un petit chef d'oeuvre. Je suis littéralement fasciné par ce que je vois. Séb. a une queue de compétition : elle doit bien faire 20 ou 21 cm. Il voit que je l'observe et pour bien m'exciter s'arrête parfois de se palucher, saisit sa verge à la base et la secoue de droite à gauche pour que j'en apprécie bien le gabarit. Je le regarde et lève mon pouce pour le féliciter ! Il comprend et sourit de satisfaction. Il est fier que son instrument m'impressionne autant. Y'a de quoi ! je dois reconnaître qu'il est bien mieux membré que moi. Son petit copain doit se régaler quand ils s'amusent tous les deux le matin. Je me lève et viens m'asseoir à son côté. Je lui dis à voix basse : "montre-moi tes couilles... elles sont grosses ?" Il écarte les deux pans de sa braguette et m'expose son appareil génital au complet. Comme il se rase, ses couilles m'apparaissent dans toute leur splendeur : deux énormes testicules, allongés comme des quetsches, de couleur très foncée. Je ne peux m'empêcher de lui chuchoter ; "C'est superbe ! Putain tu as une bite et des couilles de vrai mâle !... Tu me laisses te sucer ?" Pour toute réponse il soulève son bas-ventre afin d'approcher sa queue de ma bouche. Je me lance dessus comme un mort de faim, je lèche sa tige, ses couilles, mordille son gland sans lui faire mal, gobe ses boules l'une après l'autre. Je suis déchaîné; lui me laisse faire, prenant sûrement un double plaisir : celui de se faire pomper, et celui de voir qu'il m'excite autant. Je lui bouffe le chibre comme rarement je l'ai fait et quand d'une main il appuie sur ma nuque pour que j'avale tout entière sa tige, je comprends qu'il ne va pas tarder à se vider... Et j'en suis ravi car je veux goûter à son jus avant d'arriver à destination. Je crois d'ailleurs qu'il a lâché son sperme au moment même où le chef de train annonçait l'arrivée en gare de Cannes. Un jus épais, tiède, dont j'ai gardé le goût en bouche, bien après être descendu du train, laissant mon jeune mâle poursuivre son voyage jusqu'à La Bocca, où lui aussi habite. Un sourire et un "au revoir" vont m'empêcher de trouver le sommeil ce soir-là. Une branlette dans mon lit n'a pas suffi. J'ai dû prendre une douche et me masturber une deuxième fois, pour qu'épuisé j'arrive enfin à m'endormir.

Toute l'année scolaire, j'ai retrouvé mes compagnons de voyage, sans régularité, mais toutes nos rencontres se déroulaient avec les mêmes jeux sexuels qui rendaient nos trajets de plus en plus courts. Un soir, je les ai retrouvés tous les deux ensemble. Inutile de dire que le voyage fut chaud. Sébastien me proposa de continuer jusqu'à La Bocca ; il n'y avait personne chez lui et il avait envie qu'on fasse un "truc à trois". J'ai bien sûr accepté et ne l'ai pas regretté... Je vous racontrerai ça une autre fois...

Rafael

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