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HISTOIRE

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L'autostoppeur et le Quadra vicelard

21:00, ce jeudi 24 juillet, je suis au volant de ma voiture, je roule sur une nationale dans le département des Landes. Autour de moi, des pins typiques de cette région.

Il fait encore jour mais la nuit approche. Je pense à ce que je ferai pendant le week-end. Mon copain est absent jusqu'à mercredi prochain et j'ai bien décidé d'en profiter un peu.

Je réalise que je ne me suis pas présenté. Pierre, 42 ans, 1.78 m, 79 kg, trapu, cheveux châtains, coupés courts à la militaire, plutôt logique vu mon boulot :-).

Je vois apparaître un petit parking sur le bas côté. Un mec seul, fait du stop. Il a l'air assez jeune, il tient une pancarte devant lui où je lis rapidement " PARIS ".

Je ne prends que rarement des auto-stoppeurs. En plus, je ne vais pas à Paris, situé à 700 bornes de là, je rentre juste chez moi. Pourtant quelque chose dans sa silhouette ou son attitude, me fait freiner et je m'arrête environ 150 m plus loin.
Je le vois ramasser son petit sac à dos et rappliquer en courant.
J'ouvre la fenêtre.

- Bonjour
- Bonjour, Monsieur. Vous allez sur Paris ?
- Non, je ne vais pas si loin mais si tu veux, je peux t'avancer un peu.
- OK, super, c'est gentil à vous.

Il monte et s'assoit.

- Mets ton sac sur la banquette arrière.
- OK.
- N'oublie pas le " Monsieur " à la fin de la phrase, on n'a pas gardé les vaches ensemble !

Je le vois surpris par cette remarque. Son bras, qui passait son sac à l'arrière marque un temps d'arrêt, puis il accompagne le sac. Il se réinstalle dans le siège.

- Bien sûr, Monsieur, désolé.
- Pas de problème.

Je le regarde un peu mieux. Il doit avoir 23 ou 24 ans, il porte un débardeur gris qui met assez en valeur ses bras et ses pecs et un short qui lui arrive au-dessus des genoux. Il a des baskets aux pieds. Il doit faire 1.85m et 80 kg. Bref " tout à fait consommable ", lol.

- Qu'est-ce que tu fais dans la région ?
- J'étais en vacances chez un pote, Monsieur.
- Ha ? Et qu'est-ce que tu fiches à faire du stop à une heure pareille pour aller si loin ?
- Ben, c'est-à-dire, on s'est un peu engueuler et du coup, j'ai préféré partir, Monsieur.
- Wow, et bien, si t'es parti sur un coup de tête comme ça et à cette heure-là, ça devait être grave.
- Oui, enfin, non, c'est-à-dire, c'est un peu compliqué, Monsieur.
- Pas de problème, je ne suis pas là pour t'interroger.
Par contre, impossible pour moi de te mener sur Paris. J'habite à une quarantaine de kilomètres.
Si tu veux, je peux te rapprocher un peu.
- Ça serait très bien, Monsieur.
- Et tu vas dormir où ?
- C'est-à-dire, je ne sais pas encore, Monsieur.
- OK, OK, j'ai compris.
Ecoute, je t'emmène chez moi, tu passes la nuit au calme et demain matin, je te remets sur la roue pour que tu trouves un chauffeur jusqu'à Paris.
Ça te va ?
- Oui, Monsieur. Ça serait parfait.

On continue à papoter un peu de tout de rien. J'apprends qu'il a fini ses études et qu'il commence à bosser en septembre, qu'il fait un peu de surf -c'est pour cela qu'il était dans le coin-. Il s'appelle Mickaël.

Au bout de 35 minutes, on arrive devant la maison. C'est loin d'être un château, mais c'est une belle maison au milieu de terrain assez vaste à 2 km d'un petit village. Une des fenêtres est éclairée mais rien ne bouge.

J'arrête le moteur et lui dit de descendre. Il me suit. J'ouvre la porte entre et l'invite. Dès qu'il est entré, je ferme la porte à clefs et le bloque contre le mur.

- OK gars, je t'accueille pour la nuit, je vais t'offrir à bouffer, un lit, le petit dej, le tout, en plus des 40 bornes de stop que je viens de t'offrir, ça risque de ne pas être complètement gratuit.
TU COMPRENDS ?

Il semble terrorisé, ses yeux sont écarquillés, il panique.

- Mais, Monsieur, je ne comprends pas, vous m'avez pris en stop, je n'ai pas d'argent à vous donner, je suis un peu en galère, je ne comprends pas...
- Écoute-moi bien. Je sais que tu n'as pas de fric et je m'en tape... je ne vais pas de prendre 50 euros pour te faire dormir ici. J'ai assez d'argent pour ne pas dépouiller un jeune mec.
Par contre mon gars, tu vas payer de ta personne. Oui, ça c'est sûr, et la note va être plutôt salée.
- Mais, Monsieur, je ne comprends rien. Qu'est-ce que voulez ?
- Écoute-moi bien, mon bonhomme. A partir de maintenant, tu ne poses plus de questions, tu réponds uniquement à celles qu'on te pose. Tu fais ce qu'on te dit et tu te montres très, très gentil. Tu verras tout se passera bien.
Mais bon, avant de commencer, tu as le choix, soit tu acceptes MES règles et tu restes, soit tu décides que tu préfères repartir sur les petites routes pour trouver une voiture pour rentrer sur Paris.
Au cas où tu n'aurais pas remarqué il fait nuit dehors.
- Non, Monsieur, c'est OK. Je préfère rester. Merci pour l'invitation Monsieur.
- Oui, c'est ça, Merci. Ha ha ha.

Il baisse la tête. La première phase de mon plan a marché. Il reconnait sa défaite.

- Allez première règle de cette maison. Les petits bâtards comme toi vivent à poils.

Je lui tends un panier.

- Mets tes fringues la dedans.

Il se déshabille non sans hésitation et se retrouve très vite en calbut.
Il est encore plus canon que je n'aurais cru.

- Y a quelque chose de pas clair dans la phrase " A POILS ", bâtard ?
- Non, Monsieur.

Il enlève le calbut et se trouve enfin à poils.

- Mains sur la tête. Jambes écartées.
- Oui Monsieur.

Il est imberbe ou presque. Au-dessus de la queue sa toison est entretenue, un triangle part vers le nombril mais ne le dépasse pas.

- Bon il te faut une douche c'est sûr.
- Oui, Monsieur.
- Je t'ai posé une question ?
- Non, Monsieur.
- Alors tu la fermes.

Je le fais sortir dans la cour gravillonnée et je le mets en plein au milieu. Je ramasse le jet d'eau qui était par terre. J'ouvre le robinet et commence à l'arroser de la tête aux pieds. Au début l'eau est chaude, très chaude, car le tuyau a passé la journée au soleil, mais très vite l'eau devient plus fraîche. Du coup, il pousse un cri de surprise lorsque l'eau le frappe pour la première fois puis deux gémissements dus aux températures.

- T'es vraiment une petite nature, bâtard. Tais-toi et reste droit.

Il fait de son mieux et finit par encaisser l'eau qui le frappe dans le ventre, sur le torse, sur la queue, puis sur le dos et les fesses.

- Penche-toi en avant et écarte les fesses avec tes mains.

Il s'exécute et montre sa rondelle. Aussitôt, je la vise avec le jet et je me rapproche. Je diminue progressivement la force du jet, sinon, je vais lui déchirer les entrailles.
Il commence à crier et à pleurnicher.

- Doucement Monsieur, ça me fait mal.
- Tu te fous de moi ? C'est juste de l'eau ! Et je veux que tu sois propre.

Je finis par lui remplir les boyaux de flotte. Je lui dis de se relever et le fais marcher un peu dans la cour. Il me dit qu'il doit se vider. Je lui montre le pied de la haie et lui dit qu'il peut y aller. Sans demander son reste, il se rapproche des arbustes, s'accroupie et me jette un regard implorateur.

S'il croit que je vais me détourner... il me connaît bien mal. Non, il va devoir se vider là, devant moi. Et encore, ceci n'est qu'un avant-gout. Du reste de la nuit.

Il finit par fermer les yeux et se vide avec soulagement.

- OK, reviens ici.
- Oui, Monsieur.
- A quatre pattes.
- Oui, Monsieur.

Il se met à quatre pattes, à la limite entre le gravier et le gazon, le trou tourné vers les arbres.
J'approche le tuyau de sa rondelle et le remplie une deuxième fois.

- Voilà, bâtard. Tu vas te vider à quatre pattes, comme ça, comme un bon petit clébard.
- Non, Monsieur, je ne pourrai pas.
- Mais si tu vas pouvoir sinon, tu auras tellement pris d'eau que tu vas exploser.
- D'accord, Monsieur, fait-il en pleurnichant à moitié.

J'arrête l'eau et l'oblige à se soulager dans cette position bien humiliante.
Finalement, n'y tenant plus, il se laisse aller et se vide.
Moment d'extase que de voir ce beau mec humilié se laisser aller devant moi.

- Allez on rentre.
- Bien, Monsieur.

Je lui file une serviette pour sécher son corps trempé.
De retour dans la maison, on se dirige vers la grande cuisine.

- Tu as faim ?
- Oui, Monsieur, un peu.
- OK, mais avant, il faut m'ouvrir l'appétit. Il faut que je sache si j'ai choppé un bon petit bâtard qui va me donner du plaisir ou pas.
Je prends une chaise et la mets au milieu de la pièce. Je m'assois.
- Viens ici. Allonge-toi sur mes genoux.

Il exécute l'ordre mais je vois dans yeux de la peur. Il doit supposer qu'il va prendre une fessée dans cette position idéale. Et en effet, à peine est-il installé je lui envoie une bonne claque sur chacune de ses fesses. Je le sens se tétaniser et il étouffe un cri de surprise et de douleur.

Mais, alors qu'il s'attend à en recevoir une bonne volée, je me calme et lui maintiens la tête sur ma cuisse gauche. Puis, je m'écris :

- Kévin, viens ici

La porte s'ouvre et notre employé de maison arrive.
Il a à peine 25 ans, il est black et ressemble plus à une armoire à glace qu'à un employé de maison. 1.90, 85 kg des biceps à vous faire tomber. Bref, un super Apollon aussi agréable à regarder qu'à utiliser.

Mickael essaie de bouger pour voir le nouveau venu mais rien n'y fait, je lui maintiens la tête. Je suis donc le seul, dans la pièce à profiter du spectacle de Kévin, nu comme un ver et avec la queue déjà bien raide.

La mienne avait déjà pris de bonnes proportions suite à l'humiliation Mickaël dehors et à la petite fessée qu'il venait de recevoir mais à la vue de Kévin dans ces bonnes dispositions, elle menace de faire péter mon slibard tellement elle a envie de sortir.
Je dis à Kévin :

- Travaille le moi

Sans se faire priver, Kévin se rapproche du cul de Mickael. Il se met à genoux derrière lui et lui écarte les fesses, de ses mains puissantes. Et là, cette armoire à glace pleine de testostérone envoie sa langue sur la rondelle de Mickaël et commence à le lécher.

Ha, la langue de Kévin ! Pour l'avoir tester de nombreuses fois, je sais qu'il est expert pour s'en servir.

Evidemment, à peine quelques secondes après le démarrage de ce " supplice ", Mickaël se tortille sur ma jambe oubliant toute pudeur. Il laisse échapper des gémissements qui en disent long sur le plaisir qu'il reçoit.
Il couine comme une petite larve en chaleur qui, pour une fois, reçoit du plaisir, plus qu'il n'en donne.

Kévin, lui, en profite au maximum, je vois un sourire qui barre son visage alors qu'il fouille à qui mieux mieux ce trou serré.
Je leur laisse prendre un peu de plaisir sans rien dire, sans rien faire.

Puis je décide que la petite larve doit rembourser ce qu'il vient de recevoir.
Je fais un signe de tête à Kévin. Il me répond qu'il a compris par un petit mouvement de tête.
Sans prévenir, il se lève et d'un coup sec, comme une brute enfonce sa queue dans le trou de Mickaël.

Celui-ci ne peut rien faire d'autre que de pousser un hurlement lorsqu'il sent l'énorme bite de Kévin lui ouvrir la rondelle.
Mais, ça, ce n'est que le début, Kévin se met aussitôt à faire des allers-retours qui transforment Mickaël en véritable jouet sexuel. Kévin se déchaine. Je vois son énorme bite qui va et qui vient. Quand il s'éloigne un peu des fesses de Mickaël, il arrive même à sortir complètement de son trou. On entend alors un petit " pop "qui me fait durcir encore plus la bite. Car, bien sûr, je sais qu'une fraction de seconde plus tard, Kévin va ré-enfoncer sa queue dans le trou de Mickaël en lui arrachant un énorme râle.

Cette situation dure une dizaine de minutes. Puis, en sueur, excité comme un jeune puceau, Kévin me dit :

- Je vais juter, Monsieur
- Retire-toi

Immédiatement Kévin se retire du cul qu'il écartait et je le vois faire un énorme effort pour ne pas laisser sorti son jus.

- OK. Bien. Retourne bosser

Kévin sort de la pièce, Mickaël ne l'a toujours pas vu.

Mickaël ne bouge plus, il est tétanisé par ce qu'il vient de vivre. Il est là, sur mes genoux, essayant probablement de savoir s'il a rêvé ou si tout cela est réel.
Moi, je suis raide de chez raide, vois Kevin dans ses oeuvres m'a excité au plus haut point.

C'est à ce moment-là que je sens que mon pantalon est devenu plutôt poisseux. Mais pas au niveau de ma bite, non, sur la cuisse.

- Non ! T'as pas fait ça !

Je fais se relever Mickaël vite fait bien fait et je vois une énorme tache de foutre sur ma cuisse. Ce petit con à juté alors qu'il se faisait défoncer, sans le dire, juste comme ça en prenant son pied de façon égoïste.

- Qui t'a dit de juter, bâtard ?
- Désolé, Monsieur, c'est parti tout seul, je n'ai pas pu me retenir.
- Tu vas me payer ça !
Mets-toi à genoux et nettoie moi ça.

Il réagit presque au quart de tour, il s'agenouille devant ma cuisse et sort sa langue. Il lèche son sperme et avale tout ce qu'il ramasse. Une fois son ménage fini, je lui lance !

- Debout devant moi !
Penche-toi !
Ecarte tes fesses !

A peine a-t-il réalisé ces ordre, je lui enfonce un bon plug, bien large, dans le trou. Il étouffe un cri mais son trou est déjà bouché. Hors de question de perdre le résultat des efforts de Kévin.

Master Pierre

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