Premier épisode | Épisode précédent
Après l'agression que j'ai subie de la part de lucius, je souffre des blessures qu'il m'a infligées. L'arcade sourcilière gauche ouverte, la pommette tuméfiée et la lèvre inférieure fendue. J'ai aussi l'anus très douloureux et sanguinolent. Alors que Maria me soigne et essaie d'arrêter le saignement de mon arcade, Gallius entre dans la pièce. Il voit mon état :
mais que t'est-il arrivé ?
Honteux, je n'ose réponde et je baisse le regard.
Gallius - réponds !
Maria - di-lui Situs.
Moi- c'est Lucius, il m'a demandé de le raccompagner à la sortit, mais dans le vestibulum, il m'a projeté contre le mur. Je suis tombé à terre presque assommé. Là, Lucius s'est couché sur moi et ....il a mis son sexe en moi.
Les pleurs emplissent mon visage.
Moi - je suis désolé maître.
Galius : je savais que n'aurait pas dû l'invité. Arrête de pleurer, tu n'y es pour rien c'est un gros pervers. Maria je compte sur toi pour bien le soigner et le remettre sur pied. Situs reposes-toi, tu reprendras ton service à mes côtés quand tu iras mieux.
Le lendemain, il demande quand même au médicus de m'osculter.
Le médicus : He bien, il a vraiment été malmené. Ses plaies au visage vont s'estomper, mais il gardera une petite cicatrice au- dessus du sourcil. Par ailleurs, son anus a éte très abimé, il va devoir rester allongé assez longtemps, le temps que ça cicatrise.
Gallius - très bien.
Les directives sont claires, je dois rester allongé, c'est vrai que dès que j'essaie de marcher, la douleur est terrible et les cicatrices de mon anus saignent. Maria a tenu a ce que je rete dans sa chambre pour, dit-elle, mieux s'occuper de moi. Elle est très soucieuse envers moi, elle fait tout pour que j'aile bien et ses nombreuses préparations à base de plantes me font beaucoup de bien.
Le gros problème, c'est quand je dois aller sur les latrines. Maria m'a donné un morceaux de bois pour que je puisse le mordre quand la douleur est trop forte. La première fois que j'y suis allé, la douleur était si forte que j'ai perdu connaissance.
Cela fait plusieurs jours que je suis allongé sur la couche de Maria, elle s'occupe bien de moi.
Ce matin, alors que je somnolais, j'ai entendu mon maître crier très fort, mais je ne comprenais pas ce qu'il disait. Dès que j'ai vu Maria, je lui ai demandé ce qui c'est passé.
Maria - Manius est revenu.
A l'entente de son prénom je suis pris d'un sentiment de peur et de dégout.
Maria - ne t'inquiete pas, le maître va s'en défaire, il est très mécontend de lui. Je crois qu'il va l'envoyer aux mines.
Je repense à quand il m'a mentit sur Servius. Maintenant c'est lui qui y va. Je suis rassuré il ne m'embeterras plus.
Un matin, alors que Maria est partie au marché et que je suis seul dans la chambre, Gallius vient me rendre visite. Il s'assoit sur le lit.
Moi - bonjour maître.
Gallius - comment ça va ce matin ?
Moi - un peu mieux.
Un silence de plomb se fait son regard est rempli de compassion.
Gallius - tu sais j'ai appris que Lucius a été agréssé hier soir par trois brigands qui l'on detroussé. Ils l'ont aussi brutalisé et un lui a même talladé le côté gauche du visage. Il va garder une méchante cicatrice.
Je ne dis rien, mais je sais que c'est lui qui a commandité cette attaque.
Lentement, avec douceur, il approche sa main droite et la pose sur ma joue gauche. Son pouce caresse ma cicatrice au-dessu de mon sourcil.
Gallius - tu as mal là ?
Moi - non maître.
Puis, son pouce caresse maintenant ma lèvre fendue.
Gallius - et là ?
Moi - non maître, moins. Mais ailleurs oui.
Il me caresse avec douceur la joue .
Gallius - je ne veux pas que l'on te fasse du mal.
Il approche lentement son visage du mien et depose ses lèves sur les miennes. Nos bouches s'entrouvrent progressivement et nos langues s'entremêlent.
L'excitation monte vite, je sens ses baisers plus chauds et sensuels. Mais, vu mes blessures, pas question de le sucer ou de me faire pénétrer. Je suis en érection et je sens bien que lui aussi. Je passe délicatement ma main droite sous sa tenue. Je remonte lentement tout le long de sa jambe jusqu'à atteindre son sexe. Je caresse du bout de mes doigts son gros membre bien dur. Je resses toutes les aspérités de sa bite et les veines turgescentes. Je passe delicatement mes doigts sur le gros gland et titille un peu le frein. Je sens que du bout, perle un peu de prés-sperme, j'en profite pour le branler avec. Je saisis fermement son sexe et le branle lentement en faisant bien glisser ma main sur toute la longueur de sa tige. Cela m'excite terribement de tenir fermement sa grosse queue. Elle est épaisse, lourde, dure et chaude. Je sens un léger picotement sur mon anus, je suinte de désir.
Mais, je continue de branler mon maître tout en l'embrassant. Il a l'air d'apprécier.
D'un coup, il retire le drap et découvre mon corps, il saisit ma bite aussi raide que la sienne et me procure le même bien. C'est extrêmement bon de se faire masturber alors que je le branle. De plus c'est la première fois qu'il me touche le sexe.
La jouissance monte vite et je sens sa bite durcir et grossir encore plus et dans un soupir d'extase mon maîte jouit. Je sens son speme me maculer les doigts. Immédiatement, comme une réponse, je jouis moi aussi en giclant tout mon jus sur mon torse et mon ventre.
On reprend vite nos esprits, il ne faut pas que quelqu'un nous surprenne. Il me donne un bout de tissu pour que je puisse m'essuyer. Il applique un tendre et dernier baiser sur mes lèvres.
Gallius - merci !
Moi - je suis rassuré maître, j'avais peur que vous ne vouliez plus de moi. Comme Luicius m'a souillié...
Gallius - non, ne t'inquiète pas, tu me plais toujours autant.
Se révélations me font plaisir, puis il me laisse.
Seithan
seithan@orange.fr
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