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HISTOIRE

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Si jeune et déjà salope

Tout à commencé l'année passée. J'avais 18 ans et je découvrais mon attirance pour les hommes, les vrais ! J'étais plutôt petit format. Un mètre septante-sept pour soixante kilos tout mouillé. Châtain clair et totalement imberbe. Un simple petit triangle blond bien dessiné, sans que j'aie à tailler, sur mon pubis. Enfin, un joli petit cul bien rebondi.

J'habitais encore à cet âge et bien naturellement chez mes parents. En fait chez ma mère. Mon père n'était pas vraiment mon père. C'était un beau père. Mais je l'appelais papa. Il était entré dans notre vie deux ans après le décès de mon père de sang. J'avais alors 5 ans. Mario était d'origine italienne. Il était plus âgé que ma mère. Il avait alors 48 ans. Pas très grand non plus et très poilu. Un peu bedonnant. Il était veuf et avait deux fils, Angelo et Pietro. Mario n'avait pas eu la garde de ses fils ce qui l'avait rendu triste car il était terriblement paternel. Ce fut donc un vrai père pour moi. Toujours présent, et très câlin. Mais voilà à 18 ans, mon beau père était un fantasme que je me forçais à écarter de mon esprit car ces choses là ne peuvent se réaliser. J'avais de plus beaucoup de respect pour cet homme si gentil et si tendre. De son côté, il n'avait jamais eu de geste déplacé envers moi et se comportait très correctement. Malheureusement les nuits, je ne pouvais éviter de penser à lui pour me branler en cachette dans mon lit. Il fallait que je dise à mes parents ma sexualité.

C'est donc quelques mois avant mon 16ième anniversaire que je décidai de révéler mon homosexualité. Ma mère très libre le prit bien. Je pense que comme toute mère, elle s'en doutait depuis longtemps. Mario ne dit rien mais il sembla ne pas comprendre et je le vis triste. Ma mère m'avoua plus tard qu'il s'était interrogé sur le pourquoi de mon choix sexuel et surtout, il cherchait l'erreur qu'il avait bien pu faire dans mon éducation. Ses deux autres fils étaient de vrais machos. Angelo était marié et avait déjà 5 enfants. Pietro était un coureur de filles invétéré !

Très vite pourtant, Mario redevint le père attentif. Un mois avant mon anniversaire, il vint s'assoir dans ma chambre pour discuter. Il me demanda ce qui pouvait me plaire pour mon anniversaire. Je ne savais pas quoi répondre. Il proposa une grande fête où je pourrais inviter tous mes amis. C'était une super idée. Dans mon délire je proposais une soirée déguisement. Je pensais déjà à mon travestissement en femme très sexy ce qui ne manqua pas de me faire bander. Papa, me dit de préparer la liste de mes invités. Il allait organiser tout le reste. Il semblait vouloir se rattraper de la distance qui avait suivi de mon annonce sur mes préférences. C'est vrai que j'en avais éprouvé une grande tristesse. J'étais donc heureux de retrouver la complicité avec ce père d'adoption.

J'invitai quinze de mes amis les plus proches. Il y avait 8 garçons et 7 filles. Il y aurait aussi mes demi-frères rentrés d'Italie pour une semaine de congé. Mon oncle, le frère jumeau de mon père, qui était également mon parrain serait invité. Je n'avais pas d'aussi bons contacts avec lui qu'avec Mario. Jean était grand et maigre. Il était blond et avait l'air un peu cruel avec ses yeux bleus. Il avait 38 ans. Toujours célibataire, on ne savait pas grand-chose de sa vie. Il vivait de manière luxueuse mais c'était un pingre vis-à-vis de ma mère et de moi. Je regrettais sa présence, mais ma mère insista car il était de la famille et c'était mon parrain.

Le jour J, je mis un point d'honneur à me déguiser de manière telle que personne ne pourrait me reconnaître. En jeune fille, j'étais superbe ! Je me surpris à me désirer en me regardant dans le miroir. Mes deux meilleurs amis hétéros qui vinrent me rejoindre accompagnés de ma meilleure amie, étaient soufflés ! Ma mini jupe rouge sur mes fesses rebondies, mes hauts talons de + de 10 cm, mes cils recouvert de mascara, sans oublier ma perruque blonde, me rendaient terriblement désirables. Sabri l'un de mes potes m'avoua bander rien que de me voir. Ce fût un premier cadeau pour moi car j'aimais en secret Sabri et son corps sec parfaitement musclé.
Ma mère et Mario furent saisis de surprise. La fête pouvait commencer. Mon père avait bien fait les choses. Il avait transformé le garage en véritable boite de nuit. J'étais la reine de la soirée.
Mes beau-frères se faisaient draguer par me copines midinettes ! Pietro le dragueur roulait des pelles à Nathalie la plus jolie de mes amies. Angelo semblait regretter la présence de sa femme trop proche pour lui permettre de faire comme son frère ! Moi, je riais, je dansais, je tourbillonnais. Sabri m'offrit un petit joins alors que je prenais l'air pour me rafraîchir un peu et que je regardais les étoiles dans ce beau ciel si noir. De retour à la fête encore plus guilleret, mon père vint avec une coupe de champagne. Ma première coupe de champagne que je bu d'un trait tellement c'était bon ! Papa fit un vrai discours de père. Il m'émeut terriblement. Pour mes 19 ans il m'offrait un scooter de rêve, rouge, assorti à ma robe. Il était déjà tard mais j'avais terriblement envie de l'essayer. Je promis à mes parents que je serais prudent et parti pour un petit tour. De toute façon, le village était isolé et il n'y avait personne la nuit. Ma mère accepta sous réserve que Quentin, l'un de mes amis m'accompagne.

Après une toute petite demi-heure, alors que je faisais demi-tour, une Mercedes SLK s'arrêta à ma hauteur. C'était mon oncle. Je le reconnu immédiatement alors que lui ne pouvait me reconnaitre. Il faut dire que ma mère n'avait pas parler de soirée déguisée, ce qui l'aurait fait fuir ! Il me demanda d'un air charmeur que je ne lui connaissais pas, le chemin pour la maison des X....(notre maison). Je lui indiquai alors le chemin de manière telle qu'il ne puisse retenir mon explication. Puis une idée me vint, sans doute sous l'effet du joint et de l'alcool, je lui proposai de l'accompagner. J'embrassais Quentin sur la bouche. Ce dernier fut surpris mais ne dit rien. Je lui dis de retourner chez moi sans préciser qu'il se rendrait à la maison des X.... De mon côté je faisais tourner ma robe qui se soulevait avec légèreté, laissant apparaître le haut de mes cuisses. Jean ne perdait pas une minute de ce spectacle. Il sortit de sa voiture pour m'ouvrir la porte passager de son cabriolet. Quentin partait déjà. Je me dandinai jusqu'à la portière et fit semblant de me fouler le pied, arrivé à la portière. Je me penchai en avant pour me saisir la cheville offrant ainsi une vue splendide de mon arrière train à mon parrain. Le tissu léger de ma robe ne couvrait plus l'entièreté de mes fesses. Et le port d'un string rouge à dentelles permettait de voir une bonne partie de mes lobes fessiers. Mon parrain respirait bruyamment.
- Oh mon dieu mademoiselle, j'espère que vous ne vous êtes pas fait trop mal
- Non, c'est sans doute un peu l'effet de l'alcool. Je reviens d'une fête.
- Voulez vous que je vous masse la cheville.
A ces mots, il avait déjà déposé un genou par terre et prenait de ses grandes mains ma cheville qu'il massait avec soin. Cet homme à mes pieds me faisait de l'effet. Je ne l'aimais pas particulièrement, mais le voir ainsi à mon service m'excitait. Ses mains remontaient déjà le long de mes douces jambes imberbes. Alors qu'il était à me masser le début des cuisses, je l'interrompis avec un soupir.

- Monsieur, soyez sage. Je suis une jeune fille.
- Quel âge as-tu ?
Ses yeux étaient enflammés. Je devais me vieillir un peu pour ne pas qu'il fasse le lien avec l'anniversaire de son neveu.
- 18 ans et vous ?
- 34 ans ma jolie
- (quel con je savais qu'il en avait 38 ! pourquoi mentir ? Me draguait-il ? ) C'est un bien bel âge.
- Je t'en prie, entre, tu vas attraper froid.
Il claqua la porte, j'ajustai rapidement mon sexe que je coinçai entre mes jambes et fit en sorte que ma robe soit le plus relevé possible. Un petit bout de ma culotte était visible. Jean le remarqua immédiatement en pénétrant dans le véhicule. Il démarra en trombe comme un jeune fanfaron ... Et la conversation s'engagea
- Tu as un petit ami.
- Non, pas encore, j'aime bien Thibaut (c'était mon nom, c'était moi !, je ne manquais pas de culot !) mais il reste timide, continuais-je
- C'est un grand dadet et je sais de quoi je parle, j'ai le déplaisir d'être son oncle.
Il ne dit même pas parrain !
- Ah oui vous le connaissez
- Oui, mais une belle fille comme toi mérite mieux. Tu devrais prendre un homme plus viril que ce gringalet. Tu t'appelles comment ?
Sa main se reposait sur ma cuisse. Il me caressait doucement. La situation était totalement exceptionnelle. Ce type critiquait son filleul à une jeune fille qui n'était autre que son filleul !
- A droite, puis au bout de la rue vous pouvez tourner à gauche. Je m'appelle, ... euh, Tatiana (c'est le seul nom de salope qui me vint à l'esprit)
- Tu aimes quand je te caresse Tatiana?
- Oui, c'est doux.
- Ca te fait de l'effet.
- Je ne sais pas, je ... je n'ai jamais ....
- Tu n'as jamais fait l'amour ?
- Euh ... non ...
- Je te plais ?
- Euh ...
Sa main était maintenant ferme et tentait de caresser ma chatte. Je serais les jambes le plus possible.
- Monsieur, s'il vous plait, non, je ... je veux ..., je ne veux ...
- Laisse-toi faire ma belle.
- Non pas par là, s'il vous plait.
- Tu veux rester vierge pour ton Thibaut ?
- Non, enfin oui ...

Soudainement et abruptement il stoppa, pris ma main et la posa sur son sexe gonflé de manière extraordinaire. Je n'avais jamais touché un sexe aussi dur et aussi grand. Il faut dire que de ce côté-là, je n'étais pas trop bien servi. J'avais un petit pénis. Dans le même temps, il se pencha sur moi et m'embrassa comme personne ne l'avait jamais fait. Sa langue fouilla ma bouche, tournant langoureusement. L'une de ses mains remontait vers mon absence de sein, côté droit. Je paniquai un instant car je cru qu'il se rendrait compte d'un subterfuge. Je tentai alors de me dégager. Il se redressa dans son siège. Rougi par l'émotion, je m'excusai timidement de ne pas avoir de poitrine. Il rit.
- Tu es encore jeune. Certaine femme n'attrape de la poitrine qu'après leur premier enfant. Mais j'ai senti tes tétons durcir sous mes caresses. Tu es une jeune fille tellement belle, tellement excitante. J'aimerais beaucoup te revoir. As-tt un gsm ? veux-tu mon numéro ?

- Je préfère que vous me donniez votre numéro. Je vous appellerai, dis-je tout en matant sa queue qu'il avait oublié de remettre dans son pantalon et qui continuait de vibrer de plaisir.
Le gland était maintenant totalement décalotté et de la mouille sortant donnant un aspect luisant à ce sexe terriblement attirant pour moi qui n'en avait jamais vu de si grand en érection. Mon parrain qui n'était manifestement pas né de la dernière pluie remarqua naturellement mon trouble par rapport à ce sexe. Echaudé par l'ambiance de la voiture, il me demanda brusquement, si je souhaitais y goûter. Que faire. J'en avais tellement envie. J'avais les tempes qui battaient. Sans réfléchir je fonçai sur ce sexe sans un mot et me mis à le sucer goulument. Mon parrain gémissait de plaisir de sa main gauche il avait basculé en arrière son siège et de sa main droite, il caressait mon dos et soulevait déjà ma jupe pour découvrir mon beau petit cul avec le string en dentelle rouge. Alors que je n'avais plus aucune retenue pour le sucer tellement l'excitation avait pris le pas sur ma raison, je sentis un doigt titiller mon anus. Je ne pu m'empêcher de gémir à mon tour. La pression de son doigt se faisait insistante jusqu'à ce que sa main gauche me tienne fermement contre son pubis et que je sente 5 grands jets de sperme frapper mon palais et le fond de ma gorge. C'était la première fois pour moi. Je n'avais même jamais gouté à mon propre sperme. Le gout était aigre et légèrement sucré mais il me plaisait.
- Oh Tatiana, merci ! C'était délicieux. J'ai beaucoup envie de te revoir. S'il te plait appelle-moi à ce numéro dès que tu le souhaites. Je voudrais te faire découvrir l'amour, le vrai.
Il me tendit sa carte de visite. Et ajouta.
- Ne le prend pas mal, mais je voudrais te faire un cadeau mais là pour l'instant je n'ai que ....
Il ouvrit son portefeuille et en sorti un billet de 500 EUR
- ... je n'ai que 500 EUR que je voudrais que tu prennes pour t'acheter une nouvelle robe de nouveaux dessous pour une prochaine rencontre ... accepte s'il te plait car tu m'as donné tant de plaisir ce soir ...
Ce pingre donnait sans vergogne 500 EUR à une fille rencontrée au gré du hasard sur la route ! Je n'avais jamais vu de billet de 500 EUR. Je ne pouvais refuser. Je les pris donc et dis merci.
- Bon ce n'est pas tout, mais je suis maintenant vraiment en retard pour l'anniversaire de ce petit con. Tu me montres le chemin ? Tu pourrais encore un peu danser sur place ? Tu serais ma cavalière ?
Je ne savais plus quoi dire. J'étais brusquement revenu à la réalité ! Comment allais-je faire pour me sortir de ce pétrin. J'indiquai la route. En deux minutes nous étions à la maison. J'indiquai à mon oncle que je devais entrer en premier et lui demandai de ne suivre que 5 minutes après.
J'entrai dans la maison ouverte. Sabrina, Quentin et Sabri fumaient à nouveau un pétard. En passant à proximité, Sabri me claqua les fesses. Quentin m'interrogea sur mon oncle. Je répondis qu'il suivait et m'enfui dans ma chambre en pleurant. Je croisai dans les escaliers mon père étonné de me voir si triste le jour de mon anniversaire et entendis ma mère saluer l'arrivée de mon oncle avec effusion. Dix minutes plus tard alors que je sanglotais toujours légèrement, mon père vint me rejoindre. Tout le monde m'attendait. Il y avait encore des cadeaux à ouvrir. Mario s'approcha de moi me pris paternellement dans ses bras et me demanda ce qui n'allait pas. Je me blottis dans ces bras et sanglotai de plus belle.

- Mon petit Thibaut ! Que se passe-t-il ?
- Papa j'ai honte ! J'ai fait une bêtise et je ne sais pas comment la réparer.
- Mais enfin de quoi me parles-tu mon chou. On est tous là à fêter ton anniversaire.
Il me serait fort. Il avait un peu bu car je sentais une forte odeur d'alcool quand il me parlait.
-Il n'y a pas de bêtise qui ne peuvent racontée à un père. Dis-moi tout Thibaut.
- Avec Quentin on a vu Jean qui nous a demandé le chemin de la maison. Il ne m'avait pas reconnu et m'appelait Mademoiselle. Je ne sais pas pourquoi, je trouvais ça marrant et je n'ai rien dis. J'ai au contraire accepté de l'accompagner en voiture pour lui montrer le chemin alors que Quentin rentrait avec mon scooter.
- Mais je sais tout cela. Ton parrain est en bas et pour une fois il a l'air de bonne humeur même ... s'il semble chercher quelqu'un. Je l'ai entendu demander à quelques uns de tes amis s'ils savaient ou était Tatania ?
Je me remis à sangloter.
- Oh papa, j'ai honte, c'est moi Tatiana ..
Mon père parti d'un grand éclat de rire.
- Tu l'as bien eu alors ! ahahaha
Il me prit la main, se leva et me tira sur le bras pour que je me lève également.
- Vient on va lui faire la surprise de lui dire qu'on a retrouvé Tatania.
- Tatiana papa, pas Tatania. Je ne veux pas. Je ne peux pas
- Mais enfin Thibaut. C'est une soirée déguisement et ton déguisement est tellement parfait que même moi j'aurais pu de draguer car tu es sacrément jolie comme ça avec ta petite robe rouge.
Sa main caressa ma hanche et un peu mes fesses.
- Papa tu as trop bu. Tu ne comprends pas. Je ne peux pas. Jean va se mettre dans une énorme colère.
- Mais pourquoi donc mon bouchon.
- Il m'a dragué dans la voiture
- Ahahaha ! Tu l'as bien eu alors ! et jusqu'au bout ! ahahaha. Ce n'est pas grave je t'accompagne et je prendrai ta défense s'il se montre offusqué !
- Non papa, il y a eu plus que de la drague.
Mon père se rassit à côté de moi. Il semblait un peu abattu. Il ne devait plus savoir quoi penser. Il était là à côté de moi, tout rond, tout gentil. Sa main gauche se posa sur ma cuisse.
- Que s'est-il passé ?
- Il m'a ... comment dire, il m'a embrassé ...
- Un vrai baisé ? Avec la langue ?
Je me blottis contre mon père et me remis à sangloter. Sa main toujours posée sur ma cuisse me caressait doucement pour m'apaiser. Son autre main me frottait l'épaule pour me consoler.
- Ah le cochon ! Mais ce n'est pas allez plus loin ?
- Il bandait papa. Il bandait très fort !
- Comment le sais-tu ?
- Il m'a pris la main à un certain moment pour la déposer sur son sexe.
- Mais enfin Thibaut, tu aurais du tout avouer à ce moment là !
- C'était la première fois que je voyais un homme bander pour moi et que je le touchais. Oh pardon papa, mais mon excitation était plus forte que ma raison. J'ai aimé me sentir femme. Et la je voudrais redevenir un petit garçon et que tu me prennes sur tes genoux comme quand je me blessais petit ... Oh papa je ne sais pas quoi faire.
Mario me souleva et me déposa sur ses cuisses. J'étais blotti contre lui. Il transpirait fort. Sa chaleur irradiait contre mon corps. Ma jupe tombait dans le vide et la main de mon père soutenait mes fesses qui dépassaient de ses cuisses.

- Bon, me dit-il, ce qui est fait est fait. Tant pis pour lui ! Et puis un baisé et une bite touchée ce n'est pas grave.
- Il y a plus ...
- Quoi encore ?
- Il , il a sorti son sexe et m'a demandé de le sucer ...
- Tu as refusé ?
- Oh papa j'ai honte. Mais j'étais hypnotisé par son gros sexe en érection. Je lui ai fait une fellation !
La main gauche de mon père, sous mes fesses, devenait moite. Il transpirait de plus en plus. Sa main droite sur l'avant de mes cuisses, me serra pour me repositionner plus contre lui alors que je glissais. Je sentis alors que son sexe avait durci. Il respirait fort. Cette respiration me faisait penser à celle de Jean. Contre mon gré, ma tristesse et mon désespoir se transformèrent en nouvelle excitation.
- Madre dios ! mon fils ! tu as sucé la bite de ton parrain !!!
- Oui et pendant ce temps et il avait posé un doigt qu'il pressait contre mon anus
- Et que s'est-il passé d'autre ?
- Oh mon petit papa, je suis tellement désolé. Tu es le seul a qui je puisse tout dire.
Je me serrai encore plus fort contre lui, enroulai mes bras autour de sa nuque et posai ma tête dans son cou. Son sexe était maintenant vraiment dur contre ma cuisse. Je lui fis 3 baisés dans le cou avant de lui dire tout bas à l'oreille
- Je l'ai sucé jusqu'à la jouissance et j'ai avalé tout son sperme
- Mais Thibaut que me dis-tu là ?
- Ce que j'ai fait papa et ce que j'ai aimé faire
- Mais tu me dis que tu es une sacrée pute qui aime recevoir plein de foutre dans la bouche ?
A ce moment, la main de Mario, sous mes fesses, vint se caler parfaitement le long de ma fente et un doigt vint faire une pression sur mon anus.
- Et maintenant tu vas me dire que ton oncle t'a prise comme une pute et qu'il s'est vidé dans ton cul aussi ?
- Non papa, croit moi, il m'a juste caressé les fesses et la rondelle. Je n'ai pas accepté d'aller plus loin.
Alors que les doigts de mon père continuaient de s'activer contre mon petit trou encore vierge, je pris son visage entre mes mains, je le regardai avec des larmes plein les yeux et je l'embrassai sur la bouche. Son autre main, remonta de me cuisses jusqu'à mon pubis, sa bouche s'ouvra et j'en profitai pour entrer ma langue. Tout en l'embrassant, je me bougeai un peu pour me retrouver à califourchon sur ses cuisses. Nos langues continuaient leur exploration buccale. Ses mains s'activaient sur mes fesses. J'avais le cul ploté avec force.

- Papa, que faire maintenant. Protège-moi. Je ferai tout ce que tu veux.
Il s'écarta un peu de moi se leva, dégrafa son pantalon et sorti sa bite dure. Elle était massive mais pas très longue. Pour ses 49 ans, il était encore bien fait malgré un petit ventre rond et extrêmement poilu
- Fais-moi jouir comme tu as fait jouir ton oncle.
Je ne me le fis pas dire deux fois. A genoux devant mon père, je m'appliquai à le faire jouir. Ce ne fut pas long. Je réalisais mon fantasme le jour de mon anniversaire !

A suivre

Lexa

nakibe@yahoo.fr

Suite de l'histoire

Autres histoires de l'auteur : Si jeune et déjà salope | Découvertes multiples | Sacrifice familial | À la recherche de mon père | Le monde est si petit | Soirée surprise | Découverte qui m'a transformé

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