Cyrillo

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MON BEAU RITAL

Aéroport d'Orly. Dimanche 11 juin 2006. Il est 14 heures environ. Mon avion décolle dans quelques heures. J'ai du temps devant moi alors j'en profite pour mater la gueule et le cul des mecs qui passent et je ne me prive pas ! Je ne sais pas vous, mais moi, des beaux mecs bien bandants, j'en vois passer des tonnes dans les différents halls d'Orly ouest. De temps en temps, je vais mater aux chiottes, on ne sait jamais ...

Mais il y trop de monde, pas assez discret. Je vais donc faire un tour dans une des presses de l'aéroport. Je feuillette un magazine et ... un mec entre ! Nos regards se croisent : il est très beau, brun, pas très grand mais tellement craquant ! Une chemise sombre ouverte sur une torse récemment épilé, un petit cul rebondi comme je les aime. Il se place dans un rayon tout proche, juste derrière moi. Je me retourne de temps en temps pour vérifier ce qu'il fait ; à chaque fois nos regards entrent en contact.

Cette fois, c'est sûr, ce mec n'est pas là que pour les magazines ! Je passe à la caisse, il me suit de près. Je m'installe sur un siège, il se met tout près. Echange de sourires, d'abord timides, puis très appuyés... Il se dirige vers les toilettes. Je le suis. Toujours autant de monde, pourtant il s'installe à une pissotière. Je me place à côté. Il sort sa queue déjà bandée à moitié.

Wahh ! Quel morceau ! Un coup d'oeil en coin, un léger sourire de connivence, je mate sans complexe cette bite qui prend sa taille des grands jours. La mienne suit le même chemin et il ne se prive pas pour se rincer l'oeil. Nous attendons ainsi quelques minutes. Les autres usagers sortent progressivement. Un moment de répit : la dame-pipi est sortie et il n'y quasiment personne dans les toilettes. La conception de ces toilettes, un mur séparant les cabines de l'entrée, est propice à ce que nous voulons faire tous les deux. Il se dirige le premier vers un box, il entre. Je le suis de près et j'entre.

Il est déjà à moitié à poil : la chemise ouverte sur un torse bien dessiné et des abdos bien marqués, le pantalon et le slip sur les chevilles, la bite au garde-à-vous. Je ferme la porte à clé. Il se jette sur ma braguette, descend mon pantalon et sort ma queue de son écrin de coton. Goulûment, il enfourne mon pieu dans sa bouche et entame une fellation qui va durer des heures : il gère si bien les soubresauts de mon corps, alterne des instants de frénésie et des instants de douceur ... Pendant ce temps, il ne cesse de s'astiquer la tige, il prend un double plaisir : manuel et buccal ! Il me demande de le prendre ; avant que j'aie pu répondre, il est déjà en position, me tourne le dos et dirige mon chibre vers sa rosette qu'il prend soin d'humidifier par la salive qu'il récolte en enfonçant ses doigts dans ma bouche. Ce type est un expert, il s'enfonce délicatement sur ma teub enflammée et commence des mouvements en agitant son petit cul bien ferme que j'ai envie de frapper. Malheureusement, le lieu m'empêche d'exprimer ;ma reconnaissance de façon sonore !

Là encore, c'est lui qui gère la montée de nos désirs, alternant des moments très chauds et agités et d'autres beaucoup plus doux mais bien salaces. Je commence à être stressé, quoique très excité, par une nouvelle entrée de voyageurs dans les lieux. J'ai envie de jouir. Il doit le sentir car il se retire et reprend ma bite en bouche ; il m'astique fermement et, sentant monter mon jus abondant, resserre les joues et les lèvres autour de mes 18 cm tendus. J'explose dans sa belle bouche accueillante de longs jets de sperme dont il se délecte avant de lâcher ma queue et de rejoindre ma bouche pour un échange de cette substance laiteuse. Nos langues se mêlent, lubrifiées par mon sperme. C'est bon !

Pendant ce temps, j'ai agrippé sa belle tige qui n'a pas une seule seconde défailli. Je le branle et le mate : j'adore voir les mecs avec lesquels je baise arriver à l'extase et jouir ! Il se crispe et explose sur les parois des chiottes : la quantité de foutre qu'il éjecte est impressionnante ...

J'en ai aussi plein les doigts ; il me prend la main et la porte à sa bouche, il lèche chacun de mes doigts couverts de sperme ! Il fait sa salope, avec son regard lubrique et son cul qui se cambre, ses lèvres pulpeuses s'agitant autour de mes doigts désormais propres...
Nous nous rhabillons et, avant de sortir, nous nous roulons une pelle bien baveuse. A la sortie, il y deux mecs dans les parages. Le premier ne fait même pas attention à nous ; mais le deuxième, sûrement, a compris ce qui vient de se passer. D'ailleurs, au regard qu'il nous porte, il ne semble pas choqué de voir sortir deux gars d'une cabine de chiottes, plutôt en sueur et très ... gais. Je mate sa braguette : pas de doute, il a pris, lui aussi, son pied !

Je quitte mon partenaire près de son hall d'embarquement. Un petit regard complice et ... il s'envole !

Mon cher B., si tu te reconnais, tu sauras ce qu'est mon fantasme ! Ecris-moi ! Et vous, si vous voulez savoir quand je retourne à Paris, si vous voulez qu'on se croise à Orly, écrivez-moi !

Nico

digital.doc@wanadoo.fr

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