Cyrillo

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Bisexualité à Dakar

Sory avait choisi "une fille pas trop maigre", comme il disait, car il aimait se repaître de gros seins et de fesses charnues à bouffer, ouvrir, malaxer, écarter, forcer. Le programme était clair : il allait la baiser sous mes yeux en s'exhibant au maximum et j'aurais le droit de la caresser en même temps. Aurais-je le droit de le caresser, lui, comme je le désirais tant ?
Nous n'en avions pas parlé et là était le seul suspense. Qu'il ne me l'ait pas interdit d'avance me donnait en tous cas l'espoir de faire bientôt courir mes mains partout sur le corps, que j'imaginais magnifique, de ce très beau et très sportif sénégalais de 27 ans.

Je l'avais levé et excité dans un bar à putes de la place de l'Indépendance, à Dakar, où il était videur. De banalités en sexualité, et sans l'avoir prémédité, je m'étais peu à peu découvert à lui : j'étais un touriste esseulé qui aimait les filles, surtout pour les regarder, de préférence avec un garçon sur elles, car j'aimais les couples et, pour tout dire, par dessus tout, les garçons...

La douceur, la gentillesse et la tolérance progressivement palpables de Sory m'avaient conduit à aller jusqu'au bout de ma vérité.
L'affaire s'était précisée et nettement emballée, lorsqu'il m'avait avoué, dans la conversation, que, une fois, un ami blanc de rencontre lui avait déjà demandé de choisir une fille et de la baiser devant lui.
-"Et tu l'as fait ?", avais-je demandé.
- "Oui", avait dit Sory.
- "Et tu as aimé ?"
- "Oui vraiment; c'était très excitant".
La suite était claire et je n'ai pas laissé passer l'occasion !
Il avait rattrapé sur le trottoir une des filles qui sortait du bar. Il avait brièvement parlementé et ri avec elle puis était revenu vers moi.
- çà c'est Awa; elle est d'accord; elle nous attendra à deux heures du matin, après mon travail... J'avais préalablement précisé à Sory que j'aurais bien trente Euros à consacrer au dédommagement de la belle... et au moins autant pour lui.

Awa, belle, parfumée, maquillée, ornée de bijoux dorés et légèrement mais superbement vêtue de rouge sur des dentelles noires, était au rendez-vous. Sory et elle formaient un très beau couple d'africains : avec sa casquette blanche, son t-shirt vert vif en faux Nike, ses baskets en faux Reebok et, surtout, ses beaux bras nus musclés couleur de chocolat, ce grand gars baraqué mais pas trop, sexy, au pantalon blanc gonflé sur le devant et au magnifique cul très cambré, aux cheveux bien coupés, courts et crépus, au bouc superbement taillé autour de sa belle bouche sensuelle me faisait craquer absolument et, déjà, bander.

A mon hôtel, je me crus obligé de faire le malin pour justifier la présence de mes invités. J'inventais, pour le veilleur de nuit ensommeillé qui, d'ailleurs, s'en foutait, que j'étais journaliste à la radio et devais m'isoler avec eux pour les interviewer tranquillement.

En entrant dans ma chambre, j'allumai les deux veilleuses autour du lit et, sans perdre de temps, je m'assis dans le fauteuil, au pied du lit.
- Allez y, faites comme chez vous, leur dis-je en désignant le lit.
Ils étaient tous les deux détendus et souriants et firent vraiment, je suppose, comme si je n'étais pas là.
Ils s'enlacèrent, s'embrassèrent et se caressèrent d'abords debout et habillés. Leurs baisers fougueux faisaient un bruit très excitant. Awa palpait la braguette distendue de Sory. Lui touchait tour à tour les seins, la chatte et les fesses d'Awa. Elle lui fit lever les bras et l'aida à retirer son t-shirt. J'admirai alors le torse nu, magnifiquement dessiné, de Sory, ses abdominaux sculptés et les tétons noirs et saillants, durs sans doute, qu'il devait aimer qu'on lui caresse, pétrisse, pince et tète. Il fit tomber la robe rouge puis le soutien-gorge noir d'Awa.

Il cria d'admiration en libérant les gros seins ronds largement auréolés qui roulèrent bien vite sur son visage et sous sa langue. Je vis les grosses mamelles durcir rapidement dans la bouche de Sory, tandis qu'Awa ouvrait la ceinture puis la braguette du mâle en rut. Le pantalon blanc tomba. Elle baissa aussitôt le caleçon gris en faux Calvin Klein. Ce qu'elle et moi attendions tant apparut : la grosse queue circoncise hyper bandée et les couilles rondes et fermes de Sory. Son beau cul rond et lisse aussi.

En même temps, j'avais moi-même ôté mon pantalon. Nu dessous, je me rassis pour me branler doucement, cuisses écartées en continuant de les admirer. J'étais déjà très excité et allais devoir faire gaffe à ne pas gicler trop vite.

Il la coucha doucement sur le lit et vint se mettre à quatre pattes sur elle pour lui donner des baisers, la lécher, la téter, lui doigter et lui dévorer les tétons, la chatte et l'anus. Awa s'offrait, soupirait, geignait, éprouvait de partout un plaisir palpable et palpé.

Je me levai et vint m'agenouiller au pied du lit pour voir de derrière le magnifique cul de Sory, ouvert, offert à mes regards et, entre ses cuisses musclées, ses couilles ramassées mais pendantes et sa grosse bite, le plus souvent emprisonnée dans les mains, puis dans la bouche d'Awa. A ce moment là c'étaient surtout la raie du cul, imberbe, et le bel anus plissé, noir dehors, rose dedans, qui me fascinaient et m'excitaient incomparablement; comme chaque fois qu'un beau garçon hétérosexuel avait écarté ses fesses pour me laisser voir et parfois toucher, lécher, pénétrer le tréfonds de son intimité virile.

Ils se mirent ensuite en soixante neuf, lui sur elle, Sory broutant goulûment la chatte humide et rouge d'Awa tandis que, sous mes yeux, elle dévorait sa grosse et large queue hyper bandée en lui caressant ses belles couilles rondes et fermes ainsi que ses belles fesses soyeuses. Elle m'a même paru jouer plusieurs fois à bien écarter les deux globes musclés du cul de Sory, pour que je ne perde pas trop longtemps de vue l'anus palpitant du mâle, qui me fascinait tant.
Toujours est-il que leur excitation, comme la mienne, monta de plus en plus.

Awa était une hystérique et elle m'offrit un spectacle extraordinaire. Elle ne se contenta pas de tirer Sory par la queue en le suppliant de la baiser mais, quand il fut en elle, elle ne cessa de le caresser et bouffer partout, de se trémousser et se tordre, de gémir, râler et couiner, de vouloir plein de fois changer de position. Il la troncha donc dans tous les sens, à tous les rythmes et par tous les trous. Car il ne tarda pas à l'enculer. Elle avait l'air d'adorer çà autant que moi. Il alla ensuite plusieurs fois de l'anus à la chatte d'Awa. A chaque fois qu'il changeait de position, il avait toujours un regard et un grand sourire pour moi. Il adorait visiblement qu'on le mate; cette complicité, sa beauté et sa gentillesse me comblaient de bonheur comme rarement.

A un moment je ne pus résister à l'envie de me risquer à les caresser. Elle d'abord, ses seins, ses fesses... Puis, très vite, Sory : ses épaules, ses bras, son dos... Comme il en murmurait d'aise, je caressai ensuite ses merveilleuses fesses, puis j'effleurai ses couilles. Définitivement encouragé par un "oui" éloquent, je n'hésitai plus. Je vins mater entre leurs cuisses réunies et touchai la queue de Sory dans la chatte d'Awa.
- Ouiii, répéta-t-il, tout simplement.
Alors, je me mis à délirer, comme eux, de plaisir et de lubricité. Longtemps et souvent je me suis vu dans la glace sucer et tenter d'avaler le gros esquimau noir qu'était le sexe de Sory et lécher, comme une glace à la fraise et au chocolat, avec la pépite de l'anus, la raie de son cul. Sans parler des deux boules couleur café que j'ai tant aimé peloter, gober, aspirer.
Puis, c'est Awa qui en parla la première.
- Tu devrais le baiser, dit-elle à Sory.
- J'ai jamais baisé un pédé, répondit-il.
- Tu en as envie, demandai-je en touchant mes fesses ?
- Tourne toi, donne ton cul, tu vas voir, répondit-il en me faisant signe de pivoter.

Comme Awa dix minutes plus tôt, je fus infiniment heureux de me mettre à quatre pattes et d'écarter mes fesses à deux mains.
- Vas-y Sory, encule ta chienne, lui dis-je.
Il cracha sur mon trou du cul, puis sur ses doigts, m'en mit un, deux puis trois dans l'anus puis, me prenant par les hanches, il m'enfila.

Le gros gland brun caoutchouteux puis la longue et forte pine tout entière ne tardèrent pas à me pilonner la prostate si fort que je bramai de jouissance. Awa se masturbait ouvertement la chatte tandis qu'elle tendait ses seins à Sory et que mon baiseur la tétait. Dans la glace où je matais nos trois corps nus en délire, je vis tout à coup Sory déculer et balancer en criant, au plafond, de longs traits de sperme. Je parvins à me retourner assez vite pour que les dernières giclées chaudes me retombent sur le visage. Awa lui relécha sa bite encore hyper dure. Il s'écroula sur nous ruisselant de sueur, de sperme, de cyprine et de salive, apaisé, heureux comme Awa et moi. Nous nous enlaçament tendrement tous les trois et dorminent un peu. Jusqu'à ce que Sory rebande dans nos mains et saillisse Awa puis moi, à nouveau, comme un dieu de la baise. Le dieu de la sensualité libérée qu'il était.

Si vous aimez comme moi mater, tâter, exhiber, partouzer avec des beaux africains, contactez moi à beletbon@hotmail.com: nous en débraguetterons ensemble, à Paris ou à Dakar.

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