Cyrillo

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La cabane dans les arbres -2

Chaque jour comportait son lot de longues baignades suivies de belles parties de branle mutuelles. Nous étions maintenant des habitués de la fellation et décision avait été prise de boire le nectar de l'autre.

Nous adorions celà, boire celui de l'autre au fond de sa gorge, sur la figure, bouche ouverte, ou nous étreindre en étalant nos spermes sur nos torses bronzés. Il était facile de se laver après car la grotte était en bordure de la rivière.

Un matin, alors que nos testicules respectives étaient bien pleines pour la première giclée du matin, nous décidâmes de gouter chacun notre propre nectar et fûmes très surpris par une différence de goût notable. Les deux étaient sublimes, mais différents comme peuvent l'être deux miels.

Nous étions jeunes et capables de nous donner du plaisir au moins cinq ou six fois par jour, dans notre chambre, la grotte ou hissés dans la cabane. Et c'est en nous y rendant que nous rencontrâmes un jour Julien, que nous connaissions depuis toujours. Il avait a peu près maintenant et nous expliqua avec son accent qu'il rejoignait les brebis parties en altitude pendant la bonne saison. Décision fut prise de le rejoindre pour une soirée ou deux et camper à la belle étoile car il restait seul toute la semaine avant d'être relayé par son frêre ainé.

Julien ne connaissait rien de la ville. Ses cheveux étaient très blonds et bouclés. Nous lui avions appris à nager quelques années auparavant et il nous en était reconnaissant. Nous décidâmes de le rejoindre le lendemain soir, avec nos sacs à dos et quelques bouteilles de vins piquées à notre grand mère.

Rentrés à la maison pour le dîner, Mathieu trouva un paquet qui était arrivé pour lui par la poste. Il ne l'ouvrit pas tout de suite et me glissa dans l'oreille que celà devait attendre demain, dans la cabane.

Après une dernière fellation où nous avons tentés un 69 pas très réussi, nous nous jouimes respectivement dans la bouche. Après quelques mots échangés pour caractériser la différence dans le goût de nos deux spermes chacun s'endormit profondément.

Pendant le dîner, il fut question de notre petite escapade dans les hauteurs en compagnie d'Alexandre que notre grand-mère connaîssait mieux que nous.
"C'est une très bonne idée car je sens que c'est le dernier été que vous passerez comme des petits paysans, loin de la ville. Vous connaissez la montagne et j'ai toute confiance car Alexandre la connaît bien mieux que vous. Et puis vivre la transhumance, c'est peut-être une chose qui n'existera plus bientôt. Mais faites attention car les nuits sont fraîches là haut. Je m'occupe de vous préparer les victuailles nécessaires".

Mathieu semblait absorbé par le paquet qu'il avait reçu. En montant dans la chambre je sentais sa respiration derrière moi. Il me semblait plutôt qu'il regardait mes fesses.

J'enfilais rapidement ma chemise de nuit.
Mathieu, toujours en slip vint se coller juste derriere moi et je sentais son souffle chaud dans mon cou.
Il souleva ma chemise de nuit et me claqua une bise sur chaque fesse, ce qui était une première.

Je trésaillis alors qu'il avait retiré son slip et qu'il m'embrassait tendrement dans le cou. Je sentais sa bite bien dure contre mes fesses et me retournais alors, terriblement excité par cette sensation nouvelle. A mon tour je me baissais pour embrasser chacune de ses fesses. Mon dieu que son petit cul était joli, tout bronzé musclé et rebondi.

Tu sais comme ton cul est joli ! Je n'avais jamais fait attention à cette partie charnue de notre corps. C'est vrai que de quel coté que l'on se tourne, on a toujours ses fesses derrière soi ... Il me complimenta alors sur le mien qui était selon lui charnu à en manger. Nous nous carressions mutuellement les fesses en nous embrassant, bite contre bite lorsqu'il me proposa de donner un indice sur le contenu de son colis, qui ne devait être ouvert que le lendemain.
Il mit alors un doigt dans sa bouche, ecarta un peu mes fesses et chatouilla ma petite rosette, aussi étonnée que moi.

Ce contact provoqua chez moi une sorte de râle de plaisir, j'écartais alors ses fesses pour caresser son petit trou à lui.

Nous éjaculâmes alors sur nos ventres respectifs, encore tout bouleversés par cette nouvelle sensation qui ouvrait un nouvel univers à découvrir.

Il s'endormit dans mes bras et j'eu vite fait de le rejoindre.

Demian007

mat00786@hotmail.fr

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