Cyrillo

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Changement de cap

[Première partie ici]

2 - La découverte.

Avec Luc on est devenu copains, il arrive de temps en temps qu'on se fasse une soirée pizza en rentrant de la salle de gym. Nous sommes vendredi soir, fin mai, il fait chaud et lourd la séance était crevante et nous avons abrégé, j'ai proposé à Luc de venir manger un morceau chez moi, il a accepté. Nous avons fait le chemin ensemble en bavardant, arrivés à l'appartement, j'ai dit à Luc de se servir voir de nous servir un whisky pendant que je me changeais.

Je suis revenu en short sans rien dessous et un débardeur tant il fait chaud. Luc est en sueur, je lui propose de se mettre en caleçon et tshirt ce qu'il fait sans hésiter. On est là tous les deux à siroter nos verres en bavardant assis sur le canapé. Il fait toujours aussi chaud, je n'ai pas envie de faire la bouffe et je propose à Luc un petit restau à cinq minutes de chez moi il accepte. On se rhabille et direction le restau, pas grand monde ce soir, on passe un bon moment la salle est climatisée. En sortant je propose à Luc de prendre une bière à l'appart, sitôt dit sitôt fait.

Luc s'écroule dans le canapé, je file à la cuisine chercher des canettes qu'on débouche, on bavarde, on en vient à parler de cul, je confie à Luc mes mésaventures et lui dit que je n'ai pas eu de sexe depuis six mois, mais cette nana m'en vraiment trop fait chier que maintenant je suis devenu prudent, je n'ai pas envie de retomber dans les bras d'une autre gorgone. Il ne dit rien écoute.

Et toi Luc comment ça se passe avec les nanas ?
Oh moi tu sais, j'ai rencontré une nana comme la tienne, j'ai failli devenir fou, j'ai même pensé à la tuer, quand je m'en suis rendu compte, je l'ai larguée j'en ai bavé pendant six mois, après à chaque fois que j'ai rencontré une nana, je l'ai larguée de peur que ça recommence et aujourd'hui j'ai laissé tomber, j'en ai marre.
Un lourd silence s'est installé entre nous, on regardait chacun notre verre. Quand j'ai senti la main de Luc sur mon épaule, j'ai tourné la tête, il me regardait intensément, il s'est approché de moi et m'a roulé une pelle d'enfer, j'ai voulu me détacher lui dire d'arrêter, il a profité que j'ouvrais la bouche pour parler pour glisser sa langue dans ma bouche. J'étais surpris et écoeuré et comme cela faisait six mois que je n'avais échangé un baiser je me suis laissé faire et lui ai rendu son baiser.
Luc tu te rends compte de ce qu'on vient de faire ?
Je sais Jean, mais j'en ai envie depuis que je t'ai vu sur ton banc, c'est plus fort que moi, désolé.
Je suis resté sans voix, ce baiser d'un mec après six mois de jeûne, je dois avouer que j'ai aimé et j'en suis surpris. Luc est désemparé, il n'ose plus bouger.
Luc t'as déjà baisé avec un mec ?
Oui.
Combien ?
Cinq, six.

Et là tu voudrais baiser avec moi ?
Oui mais je vais te laisser, j'ai eu tort je te demande pardon.
Luc tremble maintenant, complètement paumé. Je dois avouer que ce baiser a réveillé ma queue j'en suis le premier surpris, moi un parfait hétéro, je bande parce qu'un mec vient de me rouler un pelle, et encore plus surpris parce que j'ai envie de recommencer. Ce mec me rend dingue, qu'est ce qui m'arrive.

Je me suis tourné vers Luc, j'en ai vraiment trop envie et cette fois c'est moi qui m'approche de Luc pour lui rouler une pelle. Luc surpris répond à mon baiser sa main caresse mes pectoraux ouvre ma chemise et moi je suis là à me laisser faire par un mec et je trouve ça bon. Il a ouvert ma chemise toujours en me roulant une pelle, maintenant il attaque ma braguette, il marque un temps d'arrêt s'écarte de moi me regarde, je ne bouge plus, je n'ai qu'une envie, qu'il continue. J'ai fermé les yeux en signe d'acquiescement. Il ouvre ma ceinture défait le bouton de ma braguette, baisse le zip, écarte les pans de mon jean puis vient poser les lèvres sur mon sexe emprisonné dans mon slip devenu trop étroit. Je sens la chaleur de son souffle à travers le tissu, il me mordille la queue à travers le slip, ma queue est devenue douloureuse à force de bander. Il dégage ma queue qui se dresse et commence à me lécher le gland. Quelle sensation délicieuse, aucune nana ne m'a jamais sucé comme ça, je m'abandonne. Machinalement j'ai posé ma main sur sa nuque et accompagne ses mouvements, c'est bon.

Luc t'es fou, mais qu'est ce que c'est bon, je n'imaginais pas l'amour entre mecs aussi bon.
Luc s'est redressé, il arbore un sourire et vient poser ses lèvres sur les miennes, nous échangeons un baiser passionné.
Jean mets-toi debout.
Je me redresse, je suis face à Luc. Il fait glisser mon jean puis mon slip devenu inutile, je suis maintenant nu devant lui un peu gêné alors que nous sommes vus tant de fois dans les douches. Il commence à me caresser les seins avant de les lécher, puis ses mains caressent mon dos puis mes fesses. J'ai l'impression que ses mains volent sur ma peau en provoquant des frissons, je suis bien, j'aimerais que cet instant dure éternellement. Il a repris ma queue en bouche en me malaxant les couilles. Maintenant c'est sa langue qui parcourt mes couilles, qui les gobe, j'écarte les cuisses pour lui faciliter la tâche, il ronronne de plaisir et moi avec lui.
Tourne-toi Jean.

Je me retourne un peu inquiet et désireux de connaître la suite. Il me caresse les fesses un main passe sous mes couilles pour les caresser, je me penche un peu en avant, il me lèche les fesses, sa langue est chaude et douce. Il m'a écarté les fesses quand je sens sa langue me lécher le trou, je me redresse, mais il me dit laisse-toi faire tu vas voir comme c'est bon. Je me penche à nouveau, impudique et lui offre mon trou, la langue me lèche le trou m'envoyant des ondes le long de mon épine dorsale. C'est un plaisir inconnu, des sensations nouvelles pour moi, jamais personne ne m'avait léché le cul, je n'imaginais pas cela possible et pourtant le plaisir est intense, nouveau, magique. Je sens malgré moi mon cul se détendre et s'ouvrir, moi un parfait hétéro, je me fais lécher le cul par un mec, je trouve ça bon, et en plus mon cul me trahit en s'ouvrant. Mais qu'est ce qui m'arrive ?
Luc arrête, je deviens fou, c'est trop bon, laisse- moi te rendre la pareille.

Luc ne se fait pas prier, il s'est mis debout, face à moi et me regarde en souriant.
Je m'approche de lui, lui donne un baiser puis entreprends de le débarrasser de sa chemise qui tombe sur le sol. Puis je m'attaque à sa ceinture que j'ouvre, les boutons de son jean sautent les uns après les autres, son pantalon glisse sur ses cuisses musclées. Il est là magnifique, son slip déformé par une barre impressionnante. Je n'ose bouger, je regarde, je l'ai déjà vu nu dans les douches, mais là il bande et il a une queue magnifique. On distingue le gland décalotté à travers le tissu, une petite tache sur le tissu au bout du gland. Je pose mes mains sur ses cuisses et doucement je remonte, mes doigts viennent effleurer sa queue emprisonnée.

Maintenant je lui mordille le gland à travers le tissu, Luc gémit de plaisir. N'y tenant plus je glisse mes doigts dans l'élastique de la taille et fait glisser doucement son slip, sa queue tendue résiste à l'élastique de la taille, encore un centimètre, sa queue s'est dégagée et est venue frapper son ventre plat, je contemple son membre viril fièrement dressé. Je suis muet, de ce que je vois et de ce que je viens de faire. Mon regard se tourne vers Luc il me fait un sourire et ne bouge pas. Ma première queue là devant moi je n'ose y toucher et pourtant, pourtant j'ai approché mes lèvres de son gland, déjà j'ouvre la bouche, un peu inquiet. J'ai avancé un peu et voilà son gland qui pénètre dans ma bouche, curieuse sensation la queue d'un mec dans ma bouche. Ma langue a commencé à tourner autour de son gland, je m'enhardis, maintenant c'est sa queue qui va et vient entre mes lèvres. Que m'arrive t il ? Je suis en train de faire une pipe à un mec.
Luc m'a relevé nous avons échangé un long baiser pendant lequel nos queues se livraient bataille.

On va faire un 69, tu vas voir comme c'est bon et ce faisant nous nous sommes allongés tête-bêche sur le tapis. Ma joue repose sur la cuisse de Luc, je contemple sa queue qui palpite devant mes lèvres. Nous commençons par nous lécher doucement puis nos queues rapidement glisse entre nos lèvres, je suis au paradis. Le doigt de Luc glisse sur mon trou, je n'y prête que peu d'attention quand tout d'un coup son doigt rentre en moi, je vais pour échapper à son doigt du coup, je m'enfonce un peu plus dans sa bouche. Il est en train de me rendre fou.

Luc arrête, tu vas me faire jouir.
Ah non, je veux ta queue dans mon cul. On fait une pause.
On marque une pause, on ne parle pas on se caresse doucement.
Jean j'ai envie de sentir ta queue en moi, viens me prendre s'il te plait.
Ok mais j'ai jamais fait ça.
Je vais te guider, détends-toi.
Il a fouillé dans sa poche de jeans a sorti une capote, et du gel, puis il est venu me pomper pour me faire bander dur, et ensuite a déroulé la capote sur ma queue avec ses lèvres. Je le regardais faire, fasciné.
Il a ouvert le sachet de gel, s'en ai enduit le cul puis en a mis sur ma queue protégée. Il s'est mis à quatre pattes devant moi et m'a dit.
Prends-moi, vas-y, j'en ai trop envie.
Je vais te faire mal.
N'aies pas peur, tu iras doucement c'est tout, tu arrêteras quand je te le dirai, OK ?
OK.

J'ai posé mon gland sur son trou et j'ai commencé à entrer doucement, j'avais peur de lui faire mal. Sans prévenir Luc a reculé d'un coup et s'est empalé jusqu'à la garde. Je ne suis pas Rocco Siffredi, mais je fais quand même 18cm x 5 et c'est rentré tout seul. Luc a poussé un cri, mais il m'a dit ne t'arrêtes pas, continue. J'ai commencé un va et vient lent, Luc me disait d'aller plus vite. Je me suis alors déchaîné et je lui ai littéralement défoncé le cul, mes couilles venaient buter contre ses fesses. Je ne me contrôlais plus, j'étais devenu une bête en rut.
J'ai senti le cul de Luc se contracter, provoquant chez moi une jouissance démesurée, j'ai cru tomber dans mes pommes, je me suis écroulé sur le tapis. Quand j'ai repris un peu mes esprits Luc me regardait souriant, il a posé un doux baiser sur mes lèvres puis il m'a regardé tendrement en prononçant un seul mot.
Merci.

Il s'est redressé à commencé de s'habiller je lui ai demandé de rester il m'a dit non avec un petit regard triste et a quitté l'appartement.
J'étais là seul nu sur le tapis, repensant à ce qui venait de se passer, je suis allé me coucher sans me laver pour garder l'odeur des ébat.

JOAO

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