Cyrillo

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Année 2098:

chronique d'un chercheur de sperme

Cela fait maintenant 1 an que j'avais entendu parler du temple des moines Protixtes lors d'un de mes nombreux reportages sur la planète.

Lors d'une soirée au "Fontanea-lactae", été 2098, un ami me fait part de sa connaissance de moines nichés dans les hauts de l'Atlas de Khaphren, dans l'est de la France. Tout en goûtant son cocktail à base de sperme de cheval , très en vogue, (personnellement, je préfère celui de porc, celui de chien étant trop marqué et assez cher) il se marre en me disant que ces moines se "retiennent" sexuellement jusqu'à l'arrivée d'un nouveau venu.

Ces périodes d'abstinences peuvent durer jusqu'à 2 ans!L'abstinence est contrôlée par l'évolution de la taille de leurs coulisses qui grossissent à mesure qu'il s'abstiennent d'éjaculer. Une décoction de plantes locales augmente leur production de sperme (et aussi leur souffrances) mais leur ote toute envie de plaisir. Un soir seulement, (l'arrivée du nouveau) ils déchargent leur trop-plein de sperme sur la nouvelle recrue.

Le sang de ma verge ne fait qu'un tour! Je décide de partir pour les hauteurs de Khaphren. Je mets un mal fou à trouver le chemin du monastère. Tout le monde, ici, semble avoir honte de ce dernier. A la sortie du village, je croise un homme d'une soixantaine d'années pissant contre un buisson. Je m'approche de lui pour lui demander le chemin du monastère, je regarde sa bite en souriant avec admiration parcequ'elle est belle et grosse. Il commence des allez-retours sur sa queue "demi-molle" tout en pissant. "tu n'est pas d'içi toi! Tu es jeune, tu viens par curiosité au monastère...J'aurais aimé être candidat, mais je me branle trop et ils m'ont considérés comme trop vieux...mais laisse moi finir, je vais te montrer le chemin".

Sur ce, ce brave homme avait fini de pisser et sa bite était devenue très dure et il finissait ses allez-retours par une belle éjac. Je lui signifie mon admiration mais il me rétorque que ce n'est rien comparé à ce qui se passe "là-haut".

J'arrive au monastère et je suis accueilli par un moine sympa, en robe de bure. Je lui explique que je fais des reportages sur les communautés reculées. "Vous venez seulement pour un reportage? Dommage!" me dit-il en se passant un doigt sur les lèvres et aux yeux cocquins. "Je pensais que vous veniez comme nouveau moine".

Je suis logé dans la chambre d'un moine tout aussi sympa. je pose des questions sur ce mystérieux rituel et cette pratique d'abstinence... Il me répond: "ici tu peux te branler, mais pas éjaculer...regarde:" Il soulève sa robe et je vois une paire de couilles énorme: deux pamplemousses! Il m'explique ce que mon pote m'avait indiqué: une drogue locale leur permet d'augmenter leur production de sperme et leur coupe toute envie de masturbation.

Je tente de toucher cette merveilleuse paire de testicules qui promet quelques belles éjacs. Je me heurte à un violent mouvement de bras de mon moine :"ne touche pas, c'est extrêmement douloureux!".

Qu'il est mignon, mon moine, avec ses couilles douloureuses pleines de sperme qui attend une occasion de se décharger.

Je me branles, il bande. Il me propose de me sucer au prétexte que le goût du sperme lui manque depuis 1 an. J'éjacule dans sa bouche et il avale tout. je suis aux anges et d'un coup, il se précipite vers une fiole de décoction de plantes qui le pousse dans un calme artificiel: il a goûté la "potion" qui lui coupe toute excitation: il débande aussitôt!. J'ai beau essayer de le masturber, il est dans un état de "sur-relachement"....Il ne bandera pas, et je goûterais pas à son sperme.

Le lendemain, je lui parle d'une éventuelle participation "au rituel" et il me propose de rencontrer le "moine suprême". La visite au "moine suprême" est courte: il me regarde, me demande de me déshabiller et un de ses disciples annonce "le chibre du moine suprême parlera". Et là, d'un geste violent, le moine suprême soulève sa robe et montre un sexe bandé turgescent monté au dessus d'une paire de couilles énormes! je voulais participer, je serais pris comme "l'élu". Je prends la nouvelle avec appréhension et beaucoup de curiosité (après tout, personne n'est mort ici et celà s'annonce très sexuel! Moi qui aime le jus d'homme, je vais être gâté!).

Pendant quinze jours, tout les soirs, mon mignon moine m'administre cette curieuse décoction de plantes au goût citronné en l'avalant. Cette potion, un peu différente de celle des moines, augmente ma production de sperme dans la nuit. Le lendemain matin, je dois passer à la "trailleuse": une espèce de tube transparent où je dois fourrer ma queue. C'est toujours mon mignon moine qui m'assiste à ce rituel matinal: il place ma queue bandée du matin dans le tube, met en route l'engin. Le tube vibre et je sens la chaleur d'une bonne branlée monter. Mon mignon moine amplifie mon plaisir en introduisant un gode en jade entre mes fesses au même rythme des vibrations du tube. Il bande sous sa robe.

Au bout de quinze jours, mon mignon moine me dit que la récolte "a été bonne": 1/2 litre de mon sperme! Et que je suis près "au rituel" d'introduction dans la communauté des moines.

Je lui précise que je ne souhaite pas entrer dans la communauté et que je ne suis que de passage, par curiosité. "C'est pas grave! Celà fait si longtemps que nous attendons le moment de nous vider! Tu peux ne pas rester après...comme tu veux..."

Le soir venu, je me retrouve dans la salle principale du monastère. Un moine préparateur me donne une robe de bure et m'installe sur un cousin au milieu de la pièce. Une musique et des odeurs étranges envahissent le lieu. Je dois faire un lavement anal et me faire un raser les quelques poils de mon culs. Tout les moines apparaissent en robe. Ils ont tout les âges: du jeune imberbe au très vieux poilu. Tous ont une bosse à l'entrejambe et défilent devant moi, rituellement en soulevant leur robes. Ils me montrent ainsi leurs grosses couilles et leurs sexes dressés. Ils reprennent leur place.

C'est le soir où il ne boiront pas leur potion habituelle de plantes. Le soir où ils déchargeront. Un autre moine préparateur présente à chacun (ils devaient être vingt) une coupe d'un soupe faite avec divers légumes et mon sperme récolté.

Le "moine suprême" s'approche de moi, rejette sa robe jusqu'aux épaules et me laisse découvrir son énorme paire de couilles sur lesquelles est posée une petite queue comme un bijou sur son écrin. Il devait avoir dans les 60a, chauve, très poilu de son ventre rebondi. Il se positionna à la hauteur de ma bouche et commença à faire des allez-retours sur sa queue en décalottant son gland. Il ne bandait pas encore: j'ouvrais la bouche pour prendre en bouche cette queue molle. Cette belle paire de couilles et la vue des moines avec leur bosses sous leur jupes m'excita terriblement. Je bandais et avais soif de toutes ces semences.

Je prends en bouche le gland du moine et il continue ses allez-retours sur son sexe. Il commence à pisser et je sens des jets plus forts à chaque fois qu'il ramène sa main vers ses couilles. Je pose ma main sur la sienne pour accompagner le mouvement . Surpris au début, je suis très excité par cette urine qui se déverse dans ma bouche. A mesure qu'il se vide, je n'avale rien et entrouvre la bouche pour laisser couler l'"eau dorée". J'ai pris la main sur son sexe: j'attends plus! Sa bite, avec mes mouvements rapides, gonfle et prends grande place dans ma bouche. C'est une belle queue large 6cm au moins, pas très grande (16cm env.). Je sens alors une arrivée de liquide chaud dans la bouche. D'abord par jets, puis de manière continue. J'avale ce que je peux, j'en ai trop dans la bouche. J'ai beau cerner ma bouche autour de sa queue, le sperme coule à la commissure de mes lèvres.

J'adore son goût, mais je ne peux pas contenir la quantité. Je repousse le moine "suprême" pour respirer. J'avale le contenu de ma bouche et je me trouve de nouveau, prêt à avaler. Le moine se positionne au dessus de moi et fini de décharger dans ma bouche ouverte; non plus "par jets" mais de manière continue: il décharge comme il pisse! Du sperme en continu! J'avale tout de manière toute aussi continue....j'adore.

Le "moine suprême" se retire et une autre phase du cérémonial se met en place: un moine assistant me met sur le ventre sur un empilement de coussins. Le cul offert. Le premier moine s'avance et introduit sa queue dans mon cul. J'y trouve beaucoup de plaisir! Mais au moment où il décharge, je sens un liquide chaud abondant envahir mon ventre en quantité abondantes. Un deuxième arrive et décharge, puis un troisième, puis un quatrième, puis un cinquième....Au bout du 11eme, j'ai le ventre gonflé par les décharges volumineuses et le foutre de ces moines (des gros, des vieux, des jeunes...). Les moines suivants entrent dans mon cul et à chaque introduction de queue, un jet de sperme s'échappe de mes fesses....trop pleines de "jus de moine". A la fin, en position de levrette, j'ai les fesses, les jambes recouvertes de sperme et la rosette ouverte comme un trou béant. Un cheval serait passé par là que cela ne m'aurait pas plus dérangé!

Par la suite, ayant fait un lavement au préalable, le moine préparateur m'expliqua que la tradition voulait que je relâche le foutre dans mes fesses dans un bocal qui sera conservé dans les archives du monastère. Je pousse alors fort sur mes fesses et libère 3-4 litres de sperme de plusieurs moines et me libère ainsi d'une douleur abdominale de tant de foutre accumulé.

Les moines sont exténués, leurs "grosses couilles" ont reprit un volume normal pour quelque temps. Après une nuit, je décide alors de repartir en route pour le monde à la découverte de nouvelles aventures sexuelles...

julien.nl@caramail.com

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