Cyrillo

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LE DOC ME VISITE LE FION !
Dites "33"... centimètres !

J'avais très mal au ventre depuis quelques jours. Plutôt inquiet, je fonce chez le toubib. Il me reçoit avec un de ses élèves assistants, un blondinet superbe et très bandant.
En slip, je me couche sur la table d'auscultation. Les deux "blouses blanches" s'approchent et, à tour de rôle, commencent à me palper le ventre et l'aine sous tous les angles. Puis le doc' fait glisser mon slibar pour voir si tout va bien, côté couilles. Après les avoir longuement soupesées, il me les prend délicatement entre trois doigts de chaque main, et les fait rouler lentement, en pressant plus ou moins fort.

Toutes ces manipulations commençaient à sacrément m'exciter et ce n'est qu'au prix de violents efforts que j'ai réussi à ne pas bander.
"Pas de douleurs dans le sexe, de brûlures ou autres ?"
J'ai répondu que non, mais il a quand même tenu à vérifier.
Il attrape ma pine à pleine main et la décalotte à fond pour observer le gland. Pendant ce temps, l'assistant vient tripoter mes couilles à son tour. Je sens ma queue se raidir. J'ai de plus en plus de mal à me contrôler. Ils s'attardent, me tripotent avec insistance. "Effectivement, de ce côté Ià tout va bien ! On va faire un toucher rectal".

Je me mets à quatre pattes, le cul cambré au maxi en arrière et le visage collé sur le cuir de la table. Quand le médecin a enfilé un doigt ganté et vaseliné dans mon trou du cul je me suis mis à bander aussi sec. Une trique d'enfer me durcissait les roustons et je sentais le foutre monter rapidos dans ma queue. Le doigt caoutchouté fouillait de plus en plus profond dans mon anus.
Dès qu'ils ont vu ma gaule, ils ont ricané. L'assistant a immédiatement plongé une main chaude et très douce sur mon noeud, et a commencé à me branler doucement. Je n'étais pas loin de larguer la purée. Me sentant prêt à juter, il m'a astiqué encore plus lentement, sans insister et, de l'autre main, il a dégrafé sa braguette. Il en a extirpé une bite courte mais très grosse, qu'il a enfilée brutalement dans ma bouche. J'ai joui instantanément.

Le toubib a ajouté deux autres doigts dans mon trou. Il me l'a limé un moment, puis s'est retiré.
"Ben mon salaud! Il yen a du monde qui doit le visiter ton fion, hein ? J'ai jamais vu un anneau aussi dilaté. Je pourrais y enfoncer mon poing sans forcer! Petite pute, va ! Grande salope !"
II ponctuait chacune de ses phrases par une volée de coups très violents sur mes fesses.
"Hein ? C'est pas vrai ? C'est le rendez-vous de tous les zobs cradingues du quartier! Dis-Ie !
Mais je ne pouvais pas parler ! Ses mains claquaient de plus en plus fort et me déstabilisaient. A chaque coup, la bite de l'assistant s'enfonçait plus profond dans ma bouche. Ses couilles ont fini par se coller à mon menton. J'étouffais, je suffoquais, mais je pompais de plus belle. Sur ma langue, je sentais palpiter son gland et toute sa tige. Je me suis alors légèrement retiré pour lui faire un va-et-vient. Solidement serrée entre mes lèvres, la grosse peau de son prépuce allait et venait de plus en plus vite. Il a déchargé son foutre que j'ai avalé goulûment jusqu'à la dernière goutte. Le médecin a arrêté de me frapper. J'avais le cul en feu.

Je l'ai entendu quitter son pantalon, monter sur la table et j'ai enfin senti la chaleur de son zob dans ma raie. Il faisait courir son gland baveux entre mes fesses puis il a collé sa queue contre la mienne. Je me suis remis à bander encore plus dur que la première fois.
Il a forcé mon anneau dilaté et m'a enculé d'un violent coup de reins. Puis il m'a limé en puissance tout en me branlant énergiquement. L'assistant s'est astiqué en nous regardant.
Ces deux salopards m'ont bourré par tous les trous. Ça a duré une heure et demie ! Après avoir juté sur mon visage, l'assistant m'a sucé pendant que son patron l'enculait. Ensuite, ils se sont mis l'un à côté de l'autre, et je les ai enfilés l'un après l'autre.

Je suis rentré chez moi rassuré: je n'avais rien... à part du sperme qui dégoulinait de mon trou du cul.
Histoire extraite de MARCUS #2, 1990.

etienne02

etienne02500@caramail.com

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