Cyrillo

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Fantasme...

Nous sommes dans le bus, une personne est assise, tout a l'avant.

Nous assis au fond, nous discutons, ma main entame son ballet en se posant sur ton sexe, a travers le pantalon, je le sens qui palpite, ma main te caresses, te massant la bite, je la sens durcir a travers le pantalon.

Mes caresses se font plus appuyées, plus entreprenante. Le bus s'arrête. La seule est unique personne, hormis le chauffeur descend, nous sommes désormais seul, au fond du bus. Le chauffeur est occupé par la circulation. Il ne s'intéresse pas a nous.

Mes deux mains se retrouvent sur ton sexe, je m'agenouille devant toi, te mordille le pantalon, je sens ton sexe qui palpite, mes tours de langue sur ce pantalon sont très évocateurs.

Mes mains s'aventurent sous ton pantalon, tu es nu !

mes doigts agrippent ton sexe et déboutonne ton pantalon, ma bouche avide contemple cette colonne de chaire et s'apprête a sauter dessus, quand ma langue, plus rapide donne des petits coup de langue sur ta hampe, ma bouche t'engloutit, tu vois ces lèvres s'écarter sur ton gland, l'avaler, l'engloutir, la hampe distendant ma bouche, ta colonne se trouve en moi, ma langue l'astique, je la suce, la lèche, te branle avec mes lèvres tout en te regardant d'un regard salace en disant long sur la suite. Ma bouche fait des aller retour sur ton sexe.

J'y dépose quantité de bave, la fait reluire sous mes coups de langue. Mais voici que déjà l'arrêt se présente. Nous descendons, entrons chez toi, si to fermer la porte je me rue sur ton sexe et l'engloutit, jouant avec comme une gamine avec une sucette, je l'engloutis a quatre pattes (tu est a genoux ou assis sur une chaise), comme une chienne.

Je suis si occupé que je n'ai pas vu ton ami. Celui qui vient des fois chez toi, qui est motard (ou policier, excuse moi je ne sais plus), il arrive par derrière, me descend le pantalon, je suis trop occupé a la tache, a engloutir ton chibre, le sucer, l'aspirer jusqu'a le vider. Ton ami que nous appèlerons monsieur Sodo J serra de première vue étonné de voir un string mais cela ne le dérangera pas outre mesure, plantant un doigt dans mon cul, il se mit a me masser le sphincter, (voyant l'état de celui ci soit lubrifiant soit pas de lubrifiant. et a sec ! J), ses doigts retiré il saisira son braquemart, apposera délicatement son gland contre cet anus vierge.

Moi toujours en train de sucer, plein d'appréhension, je pris pour qu'il m'encule vite, que je n'ais pas trop mal, mais qu'il me baise comme une chienne. D'un coup son gland pousse contre mon sphincter, le dilate et passe dans mon cul, millimètre par millimètre son sexe s'introduit en moi, je le sens, mon visage implore, mais Sodo d'une poussé rentre complètement en moi, je gémis, j'aime ! Ses couilles battent mes fesses, il commence a me limer, rentrer sortir, regardant mon cul engloutir ce sexe, se dilater sur son chemin et l'aspirer, bougeant, comme une chienne, m'emmanchant a fond dessus, faisant rouler cul.

Mais monsieur Sodo, voulant se plaisir se mettra a me labourer, sous ses coups de hanche tu quittera ma bouche désormais trop habité par les gémissements et les imploration, secoué comme un pantin, soumis je subirais cette sodomie avec plaisir, chevauchant se sexe. [.] Décidément cet anus picket, gonflant et vibrant.

C'est jouissif, je suis en train de te sucer, tu mange, porte la cuiller a la bouche, a coté Sodo s'occupe de moi en s'amusant de temps en temps a le gonfler, le dégonfler, le faire vibrer plus ou moins fort stimulant ainsi l'action de ma langue sur tes boules, ma bouche embrassant ta hampe, avalant tes boules, sentir rouler dans la bouche, taquiner ton frein avec ma langue, l'avaler jusqu'au fond de ma bouche. fatigué de cela tu m'ordonnera de me relever, tu t'allonges par terre et tends ton sexe vers les cieux, je m'assois dessus, dos a toi, et tu vois mon anus avaler ton sexe, je suis assis sur toi, tu savoure ton plaisir, je sens ton sexe en moi, commence a m'enfoncer a fond dessus, pour me relever et me l'enfoncer, cela ne te satisfait pas, tu te relève, me prend en levrette contre la table et me défonce la rondelle, d'une poussé tu enfonce ton sexe dans mon cul, mon petit cul de salope, ta soumise sexuellement roule sur se sexe, va a sa rencontre et ;profite de ce sexe le dilatant.

Tu prends le gode, il est 13h, nous sortons dehors, juste histoire de nous balader, avec un gode dans mon cul, que je le sente a chaque mouvement, me dilater l'intérieur. Un cinéma, on s'y arrête, prenons une place, le film le plus cour, celui avec le moins de personne possible, nous nous asseyons, ma main sur ton sexe. Les lumières s'éteignent, le film commence. Je te suce comme une pute, te pompant comme si ma vie en dépendait, après quelques minutes de ce traitement, tu décide de passer a la suite, tu m'emmène dans les chiottes et ne prend même pas la peine de baisser ton pantalon, tu sors ta verge, me baisses le mien et ni une ni deux m'encule, me labourant violemment tu est trop occupé, soudain la porte s'ouvre.

Un vigile ! Un immense noir de 1M90, me regardant, un immense sourire naît sur ces lèvres, baissant son pantalon, il exhibe un énorme sexe, je m'empresse de sauter dessus et d'essayer de le sucer. Mais ma bouche peine à engloutir ces 30 cm de chairs.

Insatisfait il me retourne violement et m'encule.

Plus tard, je décidais de rentrer chez moi en train...


Mais il y a un problème, je n'ai pas de ticket, et les contrôleurs arrivent.

Ils sont 3 et m'entourent. Me demande mon titre. Je ne l'ai pas, il commence à me fouiller.

L'un deux sens quelque chose de contre mon cul, il me baisse mon pantalon et tombe sur le gode maintenu par le string. A l'instant, l'ambiance changea, ils se firent plus menaçant, m'entraînant dans la locomotive à l'avant pour une soit disant fouille et prise d'identité, ne cessant de me traiter de petite salope.

Sitôt rentré, le dernier ferma le verrou, me jeta a terre. Ils sortirent tout les trois leurs sexe bandé a bloc et exigèrent une fellation.

Je pompais tant que possible ces sexes, espérant les faire juter le plus vite possible. Pour m'en aller. Mais eux ne contaient pas en rester la.

Le mieux membré s'allongea et me demanda de m'empaler dessus. Je m'assis non sans crainte. Etant dépucelé dans la matinée, ce sexe de 27 cm par 7 cm me terrorisait, m'écartant les deux jambes, ils me déposèrent sur le gland, ma rondelle était tout contre.

Doucement ils me firent descendre, je sentais ce sexe écartait mes chairs, ouvrir mon corps, une barre de fer me rentré dans le cul !

J'implorais, suppliais. Insensible, ils me lâchèrent, d'un coup je sentis ce sexe au fond de moi, ce pieu dans mon corps, une douleur énorme me lacerait l'anus.

Doucement je commençais a faire des allers retours, dessus, le spectacle de cette montagne de chair s'enfonçant dans mon corps, avaler par mon cul devait être assez impressionnant.

Soudain il m'attira par terre avec lui, d'une poussé du bassin sorti de mon cul et y ré rentra, mais comme gonflé, énorme, un deuxième sexe était la. Deux sexes était rentrés en moi, me labourant l'intérieur. Pendant que je suçais le troisième, j'étais pris par tous les trous !

Et bien pris ! Je devais crier comme une chienne avec ces deux pieux en moi.

Quand ils sentirent le plaisir venir, ils se relevèrent, prirent un morceau de baguette et éjaculèrent tous abondamment dedans, me forçant ensuite à me délecter de ce pain, recouvert de foutre.


Voila, je n'ai aucune expérience sexuelle... Malheureusement mais je rêve de beaucoup de chose, si ça vous a plus, contactez moi conkest@hotmail.com (je suis en Essonne, près de Arpajon)

Conkest

Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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