Cyrillo

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Kiné

Cela fait deux semaines que j'ai mal au dos, je n'en peux plus, je vais voir
mon médecin. Il m'ausculte me pose des questions et me dit que mon problème
vient d'une mauvaise position de travail. Il me donne des médicaments pour me
soulager et dix séances de kinésithérapie. Je le quitte, passe à la pharmacie
et en rentrant chez moi j'ouvre l'annuaire à la recherche
d'un kiné. J'ai de la chance il y en a un à 300m de chez moi.

J'appelle, une, deux, trois sonneries
et une voix dynamique et jeune me répond. Je lui explique mon problème,
il me répond:

- Quand pouvez-vous être là? sachant qu'il est 6h30 et qu'il ferme son cabinet à 7h00.
- Je peux être chez vous dans 5 minutes.
- Ok j'ai un patient venez tout de suite, je vous prendrai après lui vous serez mon dernier patient de la journée.
- D'accord, j'arrive.

Je prends mes affaires et je me mets en route, j'arrive, la salle d'attente est
vide, j'entends des voix dans le cabinet à côté, je feuillette des revues,
elles sont toutes des magazines de planche à voile plein de mecs bronzés avec
des corps à faire bander une statue. Dix minutes passent, la porte du cabinet s'ouvre
et je vois un jeune de 18-20 ans sortir avec des béquilles,
le kiné lui tient la porte et le raccompagne en lui recommandant faire les mouvements qu'il
lui a montrés et de revenir dans 3 jours: "Salut et bon courage."

Il se retourne me fait un sourire et me dit:

- C'est vous qui venez d'appeler?
- Oui, merci de me recevoir si vite.
- C'est normal quand on peut aider quelqu'un qui souffre,
il ne faut pas hésiter. Vous êtes mon dernier patient, je vais fermer
la porte et couper la sonnerie de la porte d'entrée. On y va?

Il ouvre la porte du cabinet et me fait entrer.

- Donnez-moi votre ordonnance s'il vous plaît. Merci, mettez-vous en slip et
allongez-vous sur le ventre sur la table pendant que je remplis votre dossier.

Je commence à me déshabiller, je m'aperçois que je ne me
suis pas changé avant de quitter la maison et que j'ai un caleçon shorty en
lycra blanc moulant qui descend à mi-cuisse et monte haut sur la taille.
Enfin ce n'est pas grave puisque je vais m'allonger sur le ventre. Je grimpe sur la
table vite fait avant que le kiné ne me rejoigne, il ne verra pas mon service trois pièces moulé.
Il s'approche de moi me demande si j'ai froid je Lui réponds que non,
son cabinet est bien chauffé.

- Bon et bien on va commencer, dit-il.

Il prend une huile et commence à me masser la nuque puis
les épaules, je me sens glisser dans une douce chaleur.
Ses mains sont à la fois fermes et douces,
il fait jouer les muscles entre ses doigts sans faire mal
tout en appliquant une pression ferme.
Je me laisse faire et je pense à ce mec qui est en train de
me masser. Il fait à peu près 1m80, dans les 75kg, brun,
bronzé, d'allure dynamique. Il porte une courte blouse blanche avec des
manches courtes qui découvrent des avant-bras musclés.
Il ne porte rien sous sa blouse et on voit des poils noirs qui s'échappent du col.
Il porte un pantalon de toile blanche.
Il me fait tellement de bien que je me surprends à gémir
de bien-être.

- Excusez-moi lui dis-je mais vous me faites tellement de
bien que j'en gémis.
- C'est très bien, détendez-vous, je vais vous dénouer,
vous êtes tendu comme la corde d'un arc.

Sa voix est douce et amicale, il me pose des questions sur
mon métier, etc...

- Vous habitez où me dit-il?
- J'habite à 300m d'ici.
- Ah c'est très bien vous n'aurez pas long à faire pour
rentrer chez vous.

Ses mains descendent le long de ma colonne vertébrale et
arrive à mes reins qui étaient douloureux, il commence à me faire bander ferme,
heureusement que je suis sur le ventre. Ses mains me procurent un bien fou,
je rêve, qu'au lieu d'être une séance de kiné ce soit un massage érotique,
du coup mon imagination s'emballe et ma queue gonfle sous moi.
Je m'imagine avec mon kiné, entraînés dans une séance plus érotique.
Je ne peux m'empêcher de lever les fesses à chaque fois qu'il descend au bas de mes reins
et que ses doigts viennent buter contre l'élastique du shorty.

Quand tout à coup, tonnerre, il me demande d'enlever mon shorty pour pouvoir me
masser les reins plus facilement, mon shorty le gène.
Je lui dis que je peux baisser l'élastique, il me répond, que ce n'est pas grave
que je peux enlever mon shorty, on est entre hommes.
Il s'écarte de la table de massage, je me relève rouge pivoine,
je ne peux pas cacher mon érection et comble de tout j'ai une large tache d'humidité
au bout de ma queue qui se voit sur mon shorty.
Quel âne je fais, si j'avais mis un slip taille basse cela ne serait jamais arrivé.
Ça m'apprendra, en plus il va voir que je suis complètement rasé,
c'est bien ma veine.

Il a remarqué la tache sur mon shorty et que je bandais
comme un âne. Je bredouille des excuses, il me dit que c'est fréquent que
des mecs bandent quand on les masse, il a l'habitude. Il a l'habitude peut être,
mais est-ce qu'il a l'habitude de voir des mecs bandés raides avec le bas du
ventre la queue et les couilles rasées, là c'est moins évident.
Enfin au point où on en est, je ne peux plus reculer, je prends mon courage à deux mains et
baisse mon shorty, ma queue la traîtresse se dresse fièrement avec un peu de
liquide transparent au bout du gland, mes couilles apparaissent rasées bien
pendantes. Il me fait un sourire et me dit:

- Je vois. Vous êtes très tendu à ce qu'il me semble,
ajoute-t-il avec cette fois un large sourire. Allez, allongez-vous sur le
ventre, je termine avec vos reins et je vais vous faire un massage pour vous
détendre.

Il se remet en place reprend son massage sur mes reins, je
ne peux m'empêcher de lever les fesses à chaque fois qu'il descend vers mes
fesses. À un moment il arrête ses massages, je me retourne, il me dit qu'il a
chaud et qu'il va enlever sa blouse, ce qu'il fait dévoilant une poitrine
musclée sans excès et bronzée, légèrement couverte de poils noirs.

- Bon reprenons notre massage.

Il prend une nouvelle huile, s'en enduit les mains et les
posent directement sur mes fesses y appliquant une pression ferme, il les
pétrit, à chaque passage ses pouces écartent mes fesses et se rejoigne près de mon
trou. Je me laisse faire, il est expert l'animal. Maintenant ses doigts
tournent autour de mon trou, se font insistant tantôt il écarte mes fesses pour
faire glisser ses doigts sur ma rosette tantôt il les resserre. Un vrai
supplice. Un doigt se fait plus insistant et commence à me pénétrer, quand je
sens sa main glisser sous moi, et venir me caresser la queue et les couilles.

- Si on changeait de position, me dit-il. Tourne-toi et
mets-toi sur le dos, me dit-il.

Tiens il me tutoie. Sa voix est ferme et sensuelle,
prometteuse de nouveaux plaisirs. Je me retourne, et lui présente ma queue raide
avec un petit filet qui pend au bout du gland. Il rit et me dit:

- J'ai l'impression que mes massages te font de l'effet
non? Bouge pas je reviens.

Il passe dans une petite pièce à côté et revient avec des
gouttières
comme celles qu'utilisent les gynécos pour leurs examens.

- Tiens mets tes jambes dedans.

Me voilà allongé sur le dos les jambes dans les gouttières
le cul et les couilles offerts, il s'installe entre mes jambes et
commence à me doigter lentement mais fermement,
son doigt entre dans mon trou, tourne et vient me
masser la prostate. De son autre main il commence à me
branler doucement. Il se penche sur moi et me roule une pelle magistrale sa langue
agile tourne autour de la mienne me pénètre, m'investit.
Il continue de me branler doucement attentif à ne pas m'emmener trop loin.
Il vient de glisser
un deuxième doigt, il les fait entrer et sortir comme s'il me baisait.

Sa main a quitté ma queue pour me masser les couilles
qu'il tire d'avant en arrière. Il se recule pour voir si son travail de cul
avance bien, je vois une bosse imposante dans son pantalon de toile. Il a l'air
satisfait. Il replonge ses doigts dans mon cul, il en profite pour y mettre un
troisième, il les fait tourner pour élargir l'entrée pendant qu'il me raconte des
histoires bandantes. Tout sourire, il me dit:

- Tu es fin prêt, il va falloir que tu m'aides un peu.

Il contourne la table vient se placer à côté de moi et
replonge ses doigts dans
mon trou. Sa braguette est à quelques centimètres de ma
bouche, je pose mes doigts sur le bouton de la ceinture pour le faire sauter
et je sens une bête prête à bondir derrière, je lui masse l'entrejambe.
Je sens une barre bien dure et dessous une belle paire de couilles lourdes.
Sa respiration s'est accélérée.
Je fais descendre le zip, il ne porte pas de slip et la
bête jaillit sous mon nez. Elle doit faire dans les 19cm et le gland est
recouvert par le prépuce. Il n'a pas de poils lui aussi est rasé, sa queue n'en paraît
que plus longue et ses couilles plus importantes.

Il me fait un sourire et me demande de le lubrifier. Je
prends sa queue, tire doucement sur la peau et dégage son gland, un petit coup
de langue pour lécher le liquide transparent au bout, et je fais glisser son
gland entre mes lèvres serrées comme s'il s'agissait d'un petit cul vierge.
Il me dit:

- C'est bon continue.

Sa queue glisse dans ma bouche, ma langue tourne autour de son gland lui
arrachant des soupirs. Ma main glisse sous ses couilles pour les masser et
s'aventurer jusqu'à sa rondelle, il ne proteste pas, au contraire il bouge son
bassin pour accompagner mes mouvements. Il pousse des gémissements, des "hum c'est bon".

- T'es prêt? me dit-il.

Je me suis redressé sur les coudes et je peux voir son
gland posté à l'entrée. Il me fait un sourire et enfonce lentement son gland que
je sens entrer en moi.
Sa chaleur se communique. Il fait une petite pose le tempsque je me fasse à son engin,
puis d'une seule et longue poussée il me pénètre à fond.
Quand ses couilles viennent toucher, mes fesses il s'arrête.
Avec un sourire, il me laisse le temps de prendre la dimension de son engin,
il a vu la petite grimace que j'ai faite quand il est entré. Il me dit "Détends toi"
et joignant le geste à parole il entreprend de me masser les seins et les
épaules. Je me laisse faire, la douleur a disparu et je ne sens plus que sa
queue qui ne demande qu'à s'activer dans mon antre.

Il se penche vers moi pour me donner un baiser langoureux
et profond et commence ses va-et-vient. Doucement, il entre et sort au
passage son gland vient frotter contre ma prostate déclenchant des ondes de
plaisir. Une douce chaleur envahit mon bas-ventre, pour le caresser je serre
les muscles de mon sphincter comme si je voulais le branler avec mon cul.

- Oui continues à me serrer c'est bon, vas y.

Il accélère son rythme, sa respiration est plus courte.
Moi-même je sens mes couilles remonter, la jouissance approche.
Il le sent et me dit qu'il va venir,
il va de plus en plus vite. Je sens les premières contractions dans mon cul, je
vais jouir sans me toucher. Mes contractions se
communiquent à sa queue qui elle aussi semble gonfler un peu plus. Mes spasmes passent
à sa queue, mes couilles me font mal, je sens le jus monter puis une
impression de vertige je me vide sur mon ventre. Au même moment, je sens sa queue
se contracter dans mon cul, il pousse un cri rauque et m'envoie cinq longs jets
dans les entrailles. Il se laisse tomber sur moi haletant et me donne un baiser
fiévreux.

- Merci me glisse-t-il à l'oreille . Veux-tu me rendre la
pareille quand tu auras repris la forme?
- Je ne demande, pas mieux lui dis-je, mais cette séanc m'a donné faim,
veux-tu venir chez moi?
- Avec plaisir me dit-il. Veux-tu m'aider à ranger pour
que je puisse recevoir
demain mon premier patient?
- Avec plaisir.

Nous rangeons la salle, il se change pendant que je me
rhabille. Nous quittons le cabinet et cinq minutes après nous sommes chez moi.
On
prend un verre le temps de réchauffer un plat en repassant en vue les
derniers moments que nous avons passés ensemble. Le dîner se passe le mieux du monde
interrompu par des caresses et des baisers. On passe au salon pour un verre
de cognac assis l'un à côté de l'autre. Il me dit:

- J'ai envie de toi, maintenant.
- Viens lui dis-je en l'entraînant vers la chambre.

Là, il entreprend de se déshabiller. Je lui dis "Laisse- toi faire", ce qu'il
fait radieux. Maintenant, il est nu devant moi je me mets
à genoux et prend sa queue dans ma bouche, de ma main gauche j'explore ses
fesses et je trouve son petit trou, il gémit. Il me relève me donne un baiser en
me déshabillant à mon tour. Mon doigt n'a pas lâché son trou, qui devient humide.
Maintenant, nous
sommes nus l'un contre l'autre, queue contre queue.

- Viens lui dis-je, on va se préparer mutuellement.

On s'allonge sur le lit en position de 69. Je lui donne ma queue à sucer et lui
m'offre son trou à préparer. Ma langue s'agite autour du trou et commence à y
pénétrer. Pendant ce temps lui s'active sur ma queue qui
devient de plus en plus raide. Son trou s'ouvre progressivement, j'y glisse
alternativement mon doigt et ma langue lui arrachant des soupirs. Maintenant
son trou est ouvert, ce sont trois doigts qui entrent et sortent. Il s'active
de plus en plus sur ma queue je lui demande de se calmer sinon il va ma faire jouir.

- Oh non me dit-il, je veux ta queue dans mon cul.
- Je suis prêt, on y va?
- Oui, me dit-il. Allonge toi sur le dos je vais m'enculer
tout seul.

Je m'allonge sur le dos, il vient s'asseoir à califourchon sur moi, il prend ma
queue couverte de salive et la présente sur son trou. Mon gland est à l'entrée
des deux mains il s'écarte les fesses puis se laisse descendre le long de ma
queue. Je sens mon gland rentrer dans cet antre chaud et humide qui me serre.
Mon gland vient de passer le barrage de son sphincter c'est maintenant le reste
de ma queue qui force le passage. Il descend toujours lentement pour bien
prendre la mesure de mes 18,5cm. C'est bon. Ses couilles viennent de toucher
mon pubis, je suis à fond en lui. Il me sourit, il a une petite larme au coin de l'oeil,
il a du souffrir un peu au passage de ma queue.
Il souffle fort pour s'oxygéner, je sens son conduit se détendre, je suis bien.
Je commence un petit mouvement de va-et-vient. Il me dit:

- Arrête, c'est moi qui vais faire le travail, et il
commence ses mouvements de
bas en haut le long de ma queue, ponctué de que c'est bon.

Il se déchaîne, on a l'impression qu'il est monté sur un cheval de rodéo, tant
il s'agite. Je lui dis de se calmer, mais rien y fait, il
se défonce sur ma queue. Je lui dis que je vais venir, il me dit que lui
aussi. Je sens les premiers spasmes dans son cul qui provoquent chez moi la
montée de la jouissance. Comme une décharge électrique ma queue explose
dans son cul si chaud et humide provoquant sa jouissance, son cul se
contracte plusieurs fois avant qu'il ne me balance 6 longs jets de foutre sur le
corps, il y en a même un qui me tombe sur les lèvres que je m'empresse de lécher.

Il s'écroule sur moi. Je lui donne à goûter le sperme
qu'il m'a envoyé sur les
lèvres. Il me rend un baiser furieux. Nous nous écroulons
épuisés et heureux. Je lui propose de passer la nuit avec moi,
il accepte avec enthousiasme.

Ce matin je me suis réveillé de bien agréable façon.
Il s'était glissé sous la
couette et ma sucé doucement, c'est le contact de sa
langue sur mon gland qui m'a réveillé. Je l'ai laissé faire. Je me suis vidé dans
sa bouche, il m'a bien nettoyé, puis il est venu partager mon sperme dans un
baiser des plus tendres.

- Je suis bien me dit-il, veux-tu que nous soyons amants?
- Ce sera avec joie, que je lui réponds.
- Voilà une journée qui commence bien, me dit-il en se levant et dans un éclat
de rire il me donne une tape sur la fesse en me disant:
Allez debout on a une journée de travail devant nous. Comment va ton dos? me dit-il dans un grand éclat de rire.
- J'ai plus mal luis dis-je, ce doit être ta crème et ton
sirop qui m'ont guéri.

Nous éclatons de rire tout les deux

SUITE

Cela fait deux semaines que je suis en province, mon kiné me manque, ah au fait
il s'appelle Loïc. Je l'ai eu tous les soirs au téléphone, il me racontait des
histoires bandantes. Et comme toutes les histoires bandantes, je finissais la
queue raide, il ne nous restait plus qu'à nous branler en écoutant l'autre.
C'est plutôt frustrant.

Nous sommes Vendredi, je lui ai dit que je revenais ce soir et que je pourrais
passer à son cabinet pour une séance de relaxation: "Tu connais les lieux et
l'heure, je serais là." J'arrive donc à son cabinet, il est 18h30 la salle
d'attente est vide, toujours les mêmes beaux mecs bronzés sur planche à voile.
Un petit quart d'heure, j'entends des voix puis la porte du cabinet s'ouvre sur
un mec baraqué qui marche en grimaçant, il ressemble furieusement à un
rugbyman, il en a tout corps, muscle et tête. Je n'ai rien contre les rugbymen
bien au contraire. Sur ses talons un mec en blouse manches courtes, pantalon de
toile blanche, l'accompagne. Ce n'est pas Loïc, où est il passé!

Je vais pour me lever et quitter la salle quand le kiné se retourne vers
moi avec un large sourire:

- Que puis-je pour vous?
- Excusez moi, je pensais que Loïc était là, je repasserai.
- Non ne vous inquiétez pas, il m'a demandé de le remplacer au pied levé. Je
vais vous recevoir à sa place.

Tu parles recevoir à sa place, il ne sait pas ce que je suis venu chercher.
Enfin il est pas si mal que ça ce mec. Dans les 1m80, roux avec des yeux verts
intenses que je n'avais pas remarqué. Allons-y après tout, une séance de
massage ça ne peut pas faire de mal.

- Vous m'excusez je vais fermer la porte et couper la sonnette, vous êtes mon
dernier patient.

Là j'ai comme une petite clochette qui résonne dans mon crâne, cela me rappelle
quelque chose. Je passe dans son cabinet, il y fait chaud une musique douce est
diffusée par un chaîne invisible. Plus ça va plus je trouve ce mec pas mal: il
a la peau blanche, laiteuse et de petites tâches de rousseur, et puis ses yeux
émeraude.

- Asseyez vous, monsieur!

Je lui donne mon nom, il le frappe sur le clavier d'ordinateur pour faire
apparaître ma fiche. Il fait défiler ma fiche, un léger sourire passe sur ses
lèvres, qu'y a-t-il sur cette maudite fiche! Je commence à bander légèrement,
ce mec est bien foutu, il a vu ma fiche et a souri, le coup de fermer et de
couper la sonnette comme Loïc. Tout ça fait que je commence à être à l'étroit
dans mon jock-strap. Putain j'ai mis mon jock en pensant à Loïc, et me voilà
devant un mec que je ne connais pas, c'est tout moi ça. Enfin au point où j'en
suis.

- Bon, vous pouvez vous déshabiller et vous allonger sur la table.

J'enlève mon sweat-shirt, j'ouvre ma braguette, je commence à bander, et pour
mon malheur, j'ai une belle tache au bout de ma queue, impossible à cacher, je
suis rouge de honte en plus j'ai les fesses à l'air avec mon jock, la honte
quoi. Le kiné me fait un large sourire, je vais pour m'allonger, et là il me
dit de tomber le jock, j'hésite, il me dit en souriant qu'il ne faut pas être
gêné et que c'est un signe de bonne santé. Je baisse mon jock, ma queue la
traîtresse en profite pour se dresser.

Je grimpe sur la table pour cacher ma queue, idiot je sais, il n'a rien manqué
du spectacle. Au moment où je vais m'allonger il glisse une main sous mon
ventre et me rabat la queue et les couilles en arrière entre mes cuisses de
sorte qu'il peut me voir bander entre mes cuisses. Je vais pour me soulever et
remettre mon matos sous mon ventre, il pose sa main sur mes fesses pour me
plaquer en me disant de me détendre. Tu parles! Détends toi, avec un mec qui
t'a vu bander qui t'a pris la queue et les couilles pour le mettre en évidence
sur la table.

- Bien. Détendez vous, croisez les mains sous votre menton, fermez les yeux et
laissez vous aller.

J'obéis, pendant ce temps j'entends le bruit du flacon d'huile, et deux mains
fermes et douces comment à me masser la nuque et les épaules. Je me laisse
envahir par une douce torpeur. Il me parle doucement, me demande de raconter
mon voyage en province, et je me laisse faire.

- Ça ne vous ennuie pas si j'enlève ma blouse, mais je commence à avoir chaud!
- Non pas du tout.

Ça me rappelle quelque chose, deuxième coup de sonnette sous mon crâne. J'ouvre
les yeux, il est en pantalon de toile blanche, et si je vois bien, il y a comme
une belle bosse derrière la braguette. Sa peau est laiteuse, un peu de poils
roux autour des seins, puis un mince filet de poils qui partent du nombril pour
disparaître sous la ceinture du pantalon.

Il s'est placé à ma tête et me masse maintenant les reins, de sorte qu'il
s'allonge presque sur moi, j'ai le visage à hauteur de sa bosse. Ses mains
tournent le long de ma colonne vertébrale et descendent de plus en plus vers
mes fesses. Ça y est, il m'a caressé les fesses ou plutôt, massé fermement.
Maintenant à chaque passage il les écarte, laisse glisser ses doigts sur ma
rosette, encore un peu ses doigts glissent entre mes cuisses et viennent
effleurer ma queue. J'attends, j'attends qu'il aille un peu plus loin, ses
doigts recommencent à faire le tour de ma rosette, il commence à appuyer un peu
pour voir sa résistance. C'est bon, alors qu'il me masse la rosette, sa
braguette vient buter contre mon nez, je ne bouge pas, et lui reste collé à
moi.

Je me lance, je fais sauter le bouton du pantalon, baisse le zip, rien en
dessous, une jolie queue blanche apparaît au milieu d'une touffe de poils roux,
légèrement décalottée. Je tire sur la peau et découvre un gland un peu englué
d'un beau rose, je le hume avant d'y passer le bout de ma langue, il gémit, je
commence à le prendre en bouche d'abord le gland que je fais tourner avec ma
langue puis sa queue que je commence à sucer. Lui de son côté a mis de l'huile
sur ma rosette et commence à y faire glisser son doigt. C'est bon. Je continue
de le sucer, il m'écarte bien les fesses me masse le trou. Le temps semble
suspendu.

De mon côté j'ai commencé de le branler en le suçant, je masse ses couilles
entourées de poils roux, il gémit. Je me laisse faire, il m'écarte les fesses,
me caresse les couilles, quand tout à coup je sens une langue me lécher le
trou. Panique, impossible que ce soit lui. Je vais pour me relever mais il me
prend la nuque me force à le sucer, quand j'entends la voix de Loïc me dire de
me calmer et de me laisser faire. Revenu de ma surprise je me laisse faire, sa
langue rentre dans mon trou, j'ai une belle queue dans la bouche, tout va bien.

La belle queue est sur le point d'exploser, il va pour se retirer, je le prends
par les hanches pour qu'il reste en bouche, il hésite un moment puis se met à
me baiser la bouche. Une puis deux, trois contractions et voilà qu'il m'envoie
quatre longs jets dans la bouche en criant comme un forcené. Loïc lui a
continué de me préparer. Il me demande de me mettre sur le dos, ce que je fais.
Il me roule une pelle d'enfer, pendant que nous nous embrassons il pose sa
queue sur mon trou dilaté et me pénètre d'un seul mouvement jusqu'à ce que ses
couilles viennent buter contre mes fesses.

Il est tout sourire et me présente Emmanuel un copain d'école de kiné à qui il
raconte tout. Là il me dit qu'Emmanuel, après avoir entendu ses récits, voulait
me rencontrer. Un seul hic, Emmanuel est hétéro, je ne m'en serais pas douté vu
le plaisir qu'il a eu à se laisser sucer et la façon particulière qu'il a de
masser. Loïc me dit qu'il a tout vu qu'il est excité au plus haut point et
qu'il va bientôt venir. Je demande à Emmanuel de me sucer, il me dit qu'il ne
veut pas, mais qu'il veut bien me branler et il s 'attaque à ma queue qui ne
demande que ça. Je sens que je vais venir et mes contractions se transmettent à
Loïc qui dans un cri se libère dans mon trou moi de mon côté je couvre la main
d'Emmanuel de mon foutre épais.

Après avoir repris nos esprits, je propose à Loïc et Emmanuel de venir à la
maison. Je sens qu'Emmanuel est réticent, j'insiste, il finit par accepter. En
douce je dis à Loïc que je vais essayer de faire virer son copain. Il me dit:

- Tu peux essayer mais tu n'as pas beaucoup de chance, il préfère les nanas.
- Veux-tu m'aider quand même?

Loïc me répond:

- Oui, ça m'amusera, j'avais renoncé à lui faire goûter aux mecs.

Arrivés chez moi où j'avis poussé le chauffage à tout hasard, mes invités ont
chaud. Je leur propose de se débarrasser de leur vêtements pendant que je
prépare un verre. On s'installe: Loïc à côté de moi sur le canapé et Emmanuel
en face de moi sur un fauteuil qui fait que quand on est bien calé, on a une
vue plongeante sur la braguette de son hôte. Le verre de cognac aidant,
Emmanuel se dégèle un peu. Je lui fais remarquer que pour un hétéro, il avait
l'air d'apprécier mon jeu de bouche. Il sourit en rougissant un peu, je lui dis
qu'il me doit un retour, il me dit qu'il est hétéro et que s'il a aimé se faire
sucer, il a peur d'en faire autant. Je lui dis qu'il ne risque rien. Il est un
peu mal à l'aise.

Loïc se lève pour prendre une clope et au passage s'arrête à coté d'Emmanuel et
lui fait remarquer que pour un hétéro le fait de parler queue le fait bander.
Moi qui suis en face, je lui dis qu'en effet, de là où je suis, je peux
attester qu'il bande bien et qu'il ferait mieux de se donner un peu d'air sinon
sa queue va asphyxier. Il pose sa main sur sa braguette pour la cacher. Je lui
dis de ne pas avoir honte, sa queue je la connais elle était il y a moins d'une
heure dans ma bouche. Emmanuel surpris, éclate de rire et dit qu'après tout on
a raison, qu'il a pris du plaisir et que son comportement est idiot. Sur ce il
se lève ouvre sa braguette fait glisser son jeans et se retrouve en slip, ma
foi bien gonflé.

- Tu peux continuer, lui dis-je.
- Je me mettrais à poil quand vous y serez tous les deux, ok?
- Ok!

Je me lève et m'approche de Loïc et commence un long déshabillage sous les yeux
d'Emmanuel qui n'en perd pas une. Quand Loïc est en slip, j'arrête et c'est lui
qui entreprend de me déshabiller. À mon tour je me retrouve en slip. Je
m'approche d'Emmanuel et je lui dis de faire glisser mon slip avec ses dents.
Il hésite puis approche de mon slip. Au moment où il va toucher ma bosse je lui
plaque ma bosse contre ses lèvres, mouvement de recul suivi de son nez qui
frotte mon paquet. Il est en train de craquer. Doucement il remonte jusqu'à
l'élastique de mon slip, il en profite pour me lécher le ventre et commence à
me baisser mon slip. Ma queue se libère et viens frapper son visage, il recule
et là je lui prends la nuque et présente ma queue devant sa bouche.

- Non, je ne veux pas.
- Si... Tu vas essayer.

Pendant ce temps, Loïc s'est placé derrière lui et lui masse le dos en le
poussant en avant. Il hésite encore puis ouvre la bouche timidement, je ne le
force pas c'est lui qui vient au devant de ma queue. Je sens son souffle, il
avance et referme sa bouche sur ma queue, je sens sa langue, il ne bouge plus:
il goûte. Enfin il commence un long va-et-vient.

- Tu vois ce n'est pas difficile.

Je me retire et lui dis de goûter au morceau de son copain d'école. Bref moment
d'hésitation puis à genoux, il baisse hardiment le slip de Loïc et s'empare de
sa queue, il semble y prendre goût. Pendant ce temps, Loïc et moi nous roulons
une pelle. Loïc se retire et lui dit que pour un débutant il est bon. Je
propose à Loïc et Emmanuel de faire un 69. Ils acceptent avec enthousiasme. Je
les regarde se sucer, Emmanuel semble prendre beaucoup de plaisir. Loïc est
allongé sur le dos et Emmanuel est à califourchon au dessus de lui, il présente
son cul qu'il a rasé, curieux pour un hétéro! Je m'approche de lui et commence
à lui lécher les couilles, il ronronne de plaisir. Je remonte un peu plus et je
commence à lui lécher le trou, il s'arrête de sucer Loïc pour me dire d'arrêter
et comme je n'en fais rien, il reprend sa suce et se laisse faire.

Ma langue et mes doigts ont vite fait de lui ouvrir son petit cul vierge. Il
est bien ouvert et couvert de salive. En dessous je vois le visage de Loïc, qui
le suce, il me fait un clin d'oeil pour m'inviter à prendre son copain d'école.
Je pose mon gland sur son trou ouvert. Emmanuel se redresse pour protester,
mais Loïc lui prend la nuque et l'oblige à revenir le sucer. Emmanuel abandonne
et se laisse faire. Je lui dis de se détendre et que tout va bien se passer. Il
se laisse faire, je glisse mon gland dans son trou, je sens sa chaleur se
communiquer à moi.

J'attends un peu qu'il se fasse à mon gland puis tout doucement je m'enfonce
dans son trou. Quand je sens mon pubis toucher ses fesses, j'arrête, il est
haletant. J'attends encore un peu qu'il se fasse à ma queue puis je commence
mes mouvements. Au début lentement, je vois Loïc qui continue de le sucer plus
lentement, ma queue rentre et sort cette fois sans problème. Elle coulisse
parfaitement, Emmanuel est complètement libéré. Je n'entends plus que des: "Oui
c'est bon, défonce moi." J'accélère, je sens son conduit se contracter, une
fois, deux fois il va me faire jouir, ses contractions passent à travers ma
queue, je sens une onde de chaleur partir de ma queue, envahir mes couilles qui
deviennent un peu douloureuses, remonter le long de ma colonne vertébrale. Je
sens la jouissance monter, mes couilles se ratatinent dans leur sac, je
préviens Emmanuel que je vais jouir, il contracte son trou, je sens mon foutre
se ruer vers la sortie et inonder le cul d'Emmanuel.

Lui pendant ce temps s'est mis à crier et a déversé son sperme dans la bouche
de Loïc qui n'en perd pas une goutte. Je m'écroule sur le dos d'Emmanuel qui
roule sur le côté, nous nous retrouvons tous les trois vidés et heureux. Au
bout d'un long moment de récupération, Emmanuel se dresse en nous disant qu'il
veut nous enculer tous les deux. Je dis oui et me mets à quatre pattes,
Emmanuel qui apprend vite m'a pris les couilles et la queue dans sa main et les
a placées entre mes fesses, ainsi il peut me lécher la queue, remonter jusqu'à
mes couilles et finir par me lécher le cul. Comme il est très excité et que
l'idée de me faire enculer par un "parfait hétéro" m'amuse, je lui demande de
me prendre.

En deux temps trois mouvements, il pose sa queue sur mon trou, pousse et avant
que j'aie eu le temps de dire ouf, m'enfonce d'un seul coup la queue. Une vive
douleur me parcoure, je tombe sur le lit en criant, Emmanuel reste la bouche
ouverte et me demande pardon. Loïc lui dit d'y aller plus doucement, alors il
recommence à me lécher l'entrée, la douleur disparaît, je lui propose de
recommencer mais en douceur. Son gland passe la barrière, il attend. Cette fois
c'est moi qui recule pour m'empaler sur sa queue. Une fois bien en moi, je lui
dis d'y aller. Il commence doucement puis accélère un peu. Loïc qui s'ennuie
un peu, m'a donné son cul à bouffer et à préparer, ce que je fais avec entrain.
Quand je juge le trou de Loïc prêt pour la bataille je propose à Emmanuel de
changer.

Loïc vient se placer près de moi, Emmanuel se retire et plonge dans le trou de
Loïc. Et puis régulièrement il change de cul. Nous nous embrassons pendant
qu'Emmanuel s'occupe de nous.

- Les mecs je vais venir, nous dit-il. Je ne sais pas quel cul remplir.

On se retourne tous les deux et nous plaçons nos langues de chaque côté de sa
queue. Deux mouvements et elle explose, Loïc et moi récupérons sa semence
abondante. Emmanuel rayonne en se vidant. Puis sans prévenir tombe raide sur le
lit, terrassé par l'effort. Nous nous assurons qu'il va bien, en fait, il dort.
Un dernier baiser à Loïc et je lui dis que demain après le super marché nous
aurons un samedi et un dimanche pour nous éclater. Loïc me demande si je ne lui
en veux pas pour son stratagème de tout à l'heure dans son cabinet, je lui
réponds que non et que j'ai passé une soirée inoubliable. Il me fait un sourire
radieux et me dit:

- Lui c'est un copain depuis longtemps mais toi tu es mon amant, n'oublies pas.
- Oh que non je n'oublies pas. Allez bonne nuit il retrouver des forces pour
affronter ce bel hétéro.

Loïc et moi éclatons de rire à côté de notre bébé endormi. Il est déjà 3 heures
moins le quart, j'éteins la lumière, Loïc passe un bras autour de ma poitrine
et s'endort presque aussitôt, je l'imite. Ce week-end sera fatiguant. On verra
bien...

joao1@caramail.com

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