Cyrillo

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Un Long Voyage en Compartiment

Ce qui va suivre est un pur fantasme trop dur à vivre mais cela excite mon imagination et pourquoi pas la vôtre, habillez vous légèrement,

asseyez vous et allons- y ...

Je prends le train un dimanche matin. Il n'y a pas beaucoup de monde. Il est si tôt. Et puis il fait vraiment beau. Je m'installe dans un compartiment ;et je sors une revue que je lis distraitement. Le train part.

A peine quelques minutes se sont écoulées que le contrôleur entre. C'est un grand noir, baraqué. Je m'attarde sur son physique. C'est assez rare de voir un beau mec au contrôle. Je lui tends mon billet, il le prend et se met à l'analyser dans tous les sens en ;s'approchant de moi. Je lui demande s'il y a un problème. Soupçonneux, il continue de regarder le billet ;en s'approchant de plus en plus près. Je me sens assez mal à l'aise, comme pris en faute. Mais en final, il me rend le billet et sort tranquillement en refermant le compartiment.

Plutôt étrange comme comportement, je vérifie, tout est en ordre. Je range.

Puis, regardant défilé la campagne, je m'assoupis en imaginant quelques jeux coquins avec le beau contrôleur. J'ai encore la bonne odeur de son parfum quand il était si près de moi.

Je somnole ;depuis une dizaine de minute quand la porte s'ouvre laissant passer, le contrôleur suivi d'une grande baraque de la police ferroviaire, taillé comme une grande armoire à glace.

Là, je m'inquiète. Je suis prêt à ressortir le billet et à demander des explications, mais les gars me saluent, s'assoient l'un en face de l'autre près de la porte et se mettent à discuter.

Mon regard évidemment a quitté le paysage. Je plonge dans un livre pour prendre un air dégagé et tout en les écoutant et je les regarde en biais. ;En suivant la conversation, ;je comprends qu'ils ont déjà comptés les passagers et que, vu le peu de monde, les 3 heures à passer avant la prochaine annonce vont paraître longues. De plus, ils seraient trois, presque autant que de passager donc ;ils ont laissé le petit nouveau Seb au commande avec la directive de ne pas les déranger sauf en cas d'incident.

Si le train est vide, je me demande pourquoi, ils sont venus ici!

Personnellement, je ne m'en plains pas, j'aime les beaux mecs et ;ceux là sont vraiment pas mal foutus. Cà m'excite un peu et je les reluque souvent.

J'observe surtout le policier. C'est géant en habit de combat du genre ;placide avec un visage super sympathique. Il n'y a aucun doute sur le fait que personne ne doit lui chercher des noises. Il est tout en muscles. Face à l'autre, qui n'est pas un gringalet non plus, il a du mal à placer ses jambes. Du coup, il est un peu en biais la jambe droite tendue vers moi. Ceci me donne une belle perspective de son entrejambe. Je me dis que je vais avoir matière à fantasmer pendant tout le trajet et j'ai du mal à faire semblant de lire. Je n'arrête pas de le mater à la dérobée et çà me fait de l'effet. Finalement je décide de ranger mon livre. Aujourd'hui, j'ai deux forces de la nature dans le compartiment et je vais en profiter. C'est de la chance.

Ils discutent, je les mate, et soudain je réalise que la conversation me concerne.

- Tout à l'heure quand je l'ai contrôlé, j'ai bien senti qu'il portait avec insistance le regard sous ma ceinture. J'ai vérifié en m'approchant de très près et il n'a pas quitté l'oeil de

ma braguette et tu vois où il regarde maintenant. Ouvre bien les jambes. Regarde çà! Je pense qu'il veut un calin entre tes cuisses.

- t'es sûr ?

Waouh, là, je suis inquiet, je regarde par la fenêtre l'air détaché.

Le contrôleur s'adresse à moi en souriant:

- Fais pas semblant ;mec, tu n'es pas discret. J'ai vu ton manège. Tu n'arrêtes de regarder un truc qu'on a bien envie de partager avec toi. J'ai déjà condamné ;la voiture, maintenant je vais fermer le compartiment, on ne va pas être dérangé pour s'occuper de ton cas.

Il se lève, ferme le compartiment à clef, tire les rideaux. Puis il jette sa veste et son képi sur la banquette et commence à dégrapher sa chemise.

Le policier lui fait remarquer en rigolant :

- t'as pas l'impression que tu sécurises un peu fort, mec. T'as pas peur qu'il s'échappe ? Il n'fait pas le poids, dit-il en se levant.

- On ne sait jamais si Seb ;ouvre la voiture et vient, çà peut être gênant, le compartiment fermé le retardera un peu, répond le contrôleur en tombant la chemise.

Le noir est beaucoup plus impressionnant torse nu. L'uniforme cachait sa musculature. En fait, il est super bien foutu, pas gonflé comme un altérophile, plutôt bien musclé comme un boxeur.

- T'as peur qu'il vienne, dit le policier en dézippant sa combinaison

- Normalement il ne devrait pas. Seb sait que qu'il a à faire et il a comme instruction de nous déranger sous aucun prétexte sauf en cas d'urgence évidemment mais uniquement par téléphone.

Il tapote le portable dans la poche de son pantalon et à côté de la poche, je devine un machin qui force sur le tissu.

Ils parlent comme si je n'étais pas là.

Ratatiner dans mon siège, inquiet de les voir se désaper, j'ose un:

-Eh oh, qu'est ce que vous allez faire ?

Le policier répond :

- Dis plutôt qu'est que vous allez ME faire? Eh bien, je pense qu'on va te baiser. Si t'es pas d'accord, tu peux encore le dire. On peut s'en aller. Par contre, si tu n'dis rien, t'auras pas intérêt à te plaindre.

Et le policier dégage ses larges épaules de la combi. Il la fait tomber sur ses hanches et plonge la main dans son pantalon en me fixant. Ce geste viril m'excite à fond.

Le contrôleur réagit:

- A vrai dire, c'est déjà un peu tard pour choisir, moi je bande, il va falloir au minimum que tu me fasses un petite gâterie.

Je reste sans réponse. Leurs allusions me font aussi bander.En fait, j'en ai très envie mais je prie que ce ne soit pas trop dur.

Ils rigolent. Le policier vient vers moi, me prend par la tête en me la plaquant sur sa braguette puis il nous entraine vers le contrôleur qui tripote sa ceinture.

Le policier se positionne face à lui ;me dirige le visage vers sa braguette en disant:

- Tu vois, il n'y avait aucun risque de refus. Il nous réclame. T'es si chaud que çà, toi?

Le contrôleur répond:

- Plus que tu l'imagines, j'ai rien eu à me mettre sous la bite depuis plusieurs jours, dit-il en venant à ma rencontre et en me forçant la déformation de son pantalon sur la face.

Coincé au milieu du compartiment pris en étau par deux beaux spécimen de l'espèce humaine, qui se frottent la braguette sur moi, je ne me débats pas, mais je savoure l'instant. En fait, j'aime être là et mon attitude passive les encourage.

Le contrôleur ;me parle.

- Ouais mec. C'est çà qui nous intéresse, profites en!

Je sens sur mes joues, les verges qui se tendent derrière le tissu. Les paquets gonflent dans les fûts. Les deux mecs se frottent tendrement sur ma tête, la réajustant des mains pour la maintenir aux points chauds.

Le contrôleur a une voix mâle et profonde, qui m'excite autant que son corps.

Il me dit:

-On a 3 heures de libre. On va te faire la fête. Tu peux même gueuler de plaisir, personne ne va entendre. On voit que t'en meurs d'envie. Eh bien, nous aussi. Tu les sens durcir ?

Dans ce piège de tissu, j'hoche la tête. Des odeurs diffusent. Tournant à gauche ou à droite, je respire les pantalons. ;Le noir sent bon, j'aime ;son parfum. Le policier lui est égal à ce que j'imaginais, il est taillé comme un joueur de rudby, il sent le mâle même à travers le tissu très doux de son uniforme.

En rigolant, ils se contorsionnent en enlevant les ceintures, se dessapant lentement. ;Le policier tombe tous ses accessoires et ouvre la combinaison jusqu'en bas du slip en la laissant pendre très virilement. ;Moi je ne peux pas le voir ;complètement mais de l'oeil gauche, je découvre qu'il a un slip noir et au dessus un bas ventre bien musclé, légèrement poilu chatain clair. Il me saisit, me plonge le nez dans le slip noir. Je découvre la marque CK au raz des yeux. L'odeur de mâle est forte et excitante. Un des deux fait d'ailleurs remarquer que je bande aussi.

Et en ;effet, je bande dur. Dans ces conditions, j'aurais du mal faire croire à un viol et ils le savent. Ils continuent à se mettre à l'aise sans se presser.

J'entends le zip d'une braguette, le pantalon gris du contrôleur s'ouvre près de mon oreille droite, pendant que je fouille le slip noir ;du policier avec le nez. Les mains du contrôleur m'accaparent et mon nez change de slip. De l'autre côté le slip est blanc, la marque Diesel remplace le CK.

J'hume à fond et le noir s'arqueboute de plaisir en me lançant:

- Oh toi, t'es volontaire, on va bien s'amuser. Allez on se met en slip.

Et il me ramène un peu plus haut sur son ventre. L'autre ;fait de même et me colle de très près sur ses abdos.

J'ai la tête coincée entre 2 murs de muscles. Je ne vois que la porte du compartiment que je sais bien fermée. Je suis complètement à leur merci. Pour faire, diversion je leur demande leur nom et je provoque l'hilarité.

Ils s'écartent et ;s'excusent goguenard de ne pas s'être présentés. Torse nu , braguette ouverte ils font très mâles et je biche. Tour à tour, tout me regardant bien dans les yeux, ils comblent l'oubli.

Le contrôleur commence. Il enjambe ma tête, m'écrase sa partie molle sur le nez me dominant de toute sa hauteur. Je peux admirer son torse puissant très peu poilu.

-Moi tu m'appelleras Sam, quand je vais te défoncer si c'est trop dur cela peut te servir.

Et il m'écrase son slip sur le visage en faisant enfler son pénis à la limite du bord. De plaisir, il rejette la tête en arrière, ;toute sa musculature est tendue. Le policier à l'arrière me plaque bien sur lui. J'ai un bel avant-goût de ce que je vais subir. Mais j'aime être écrasé et je ;suis impressionné par la forme de l'engin qui déforme son ;slip blanc. Je n'ai jamais été aussi prêt d'un pénis et c'est très excitant.Il me donne comme un coup de tampon de son sexe et se retire.

Maintenant au tour du policier.

Gentillement, doucement,il me positionne face à lui et descend lentement sa combinaison à mi-cuisse. Ouah! c'est fort. Il a une sacré érection. Avec ses énormes mains, il me prend la tête et l'ajuste lentement à la base du slip noir dans la masse molle de ses couilles en prenant la même position de domination que le contrôleur.

- Moi tu m'appelleras Greg, c'est court mais, contrairement à ce que pense Sam, je doute que quand tu l'auras profondément enfoncée dans la bouche, tu puisses parler.

Et il appuie sur ma tête en forçant le bassin en avant, tous les muscles durcis. Je prend la pression en m'accrochant à ses cuisses et je comprends que ce mec est en béton. Le plus remarquable est la belle ;bosse qui tend le slip noir au raz de mon visage. Encore un pénis très proche et je ressens la même excitation. Lui aussi se met à me tamponner le visage mais en plusieurs fois avant de se retirer.

J'ai bien compris que ni Sam, ni Greg ne s'appelle comme çà, ce sont des prénoms d'emprunt mais ils me plaisent.

Sitôt présenté, ils relèvent tous les sièges et m'amènent au centre du compartiment. Puis me plaquant la tête entre leurs abdos, ils se mettent à se désaper. Je suis tous les mouvements, et ressent le massage de leurs abdos lorsqu'ils se contorsionnent pour ôter chaussures, chaussettes, pantalons, combinaisons. Ils sont silencieux. C'est un vrai striptease: ralenti, excitant et ils ne manquent pas de me faire sniffer tout ce qu'ils tombent. C'est un long et bon moment d'excitation. Je vois tour à tour dans mon champ de vision les cuisses ;et les bras qui viennent me caresser le visage quand ils dégagent leurs affaires. Parfois perdant l'équilibre, ils s'appuient sur moi et j'aime çà. Dans la petite ouverture, je vois les vêtements se ranger sur les banquettes.

J'attends patiemment le tour des slips. Mais les slips restent en place. Bien campé sur leurs jambes, mains derrière le dos, Greg et Sam décident de faire jouer leurs abdos pour glisser ma tête lentement plus bas. J'y vais de bon coeur, c'est jouissif.

Je ne contrarie pas le mouvement et bientôt je me retrouve les joues collées entre les slips turgescents, noir d'un côté, blanc de l'autre. Les sexes sont durs!

- Il reste combien de temps, demande Greg

- Plus de 2h30 de plaisir intense, répond Sam

- Qu'est ce que t'en dirais qu'il découvre lui-même nos appareils en enlevant nos slips avec les dents?

- A ouais, c'est pas une mauvaise idée. Moi, je lui ferais bien l'enlever par l'arrière.

- Ok alors tu commences. T'as compris en bas, tu vas finir de nous dessaper.

Sam me quitte et s'appuyant sur le mur fesses en arrière il m'attend.

Le fessier est superbe, son boxer blanc le galbe parfaitement. Greg ;me positionne face au fessier de Sam et d'une main il me plaque le visage dans sa raie. Sam serre les fesses. C'est bon!

- Tu as compris ce que l'on veut, alors enlève le slip de Sam sans les mains mec et bien lentement pour nous faire jouir.

Le nez dans la raie odorante, je remonte la tête vers la ceinture Diesel découvrant le dos musclé de Sam. Je ;décolle l'élastique du corps noir avec les dents puis je tire vers le bas en regardant dedans. Je découvre une raie légèrement poilue frisée et Sam l'ouvre ;en tendant les fesses comme une invite à y plonger. Je descend doucement le slip, frottant bien mes narines dans la vallée. J'arrive tranquillement en bas à la limite entre les cuisses et les fessiers. C'est un endroit ;chaud bien poilu où on commence à voir apparaître les couilles qui embaument la testostérone. Je suis hyper excité.

Greg aussi, il me plaque ;dedans en disant:

- fourre la tête dans le slip et descends le au sol.

Je m'exécute en plongeant vers les boules, je plaque le visage dans le fond de culotte odorant et Sam m'y bloque en me malaxant la tête dans ses cuisses. Je l'entends approuver:

- Ouh, c'est bon çà.

Je sens ses couilles posées sur mon crâne, ce sont celles qui donnent tant d'odeur au tissus que je respire. Je commence à tirer vers le bas mais il me bloque de ses cuisses puissantes en me malaxant la tête. J'adore.

Puis, il me laisse aller par à coups en me bloquant régulièrement. Au niveau des genoux, il me laisse filer plus rapidement et je me retrouve au sol assez vite, il lève les pieds alternativement et me laisse accroupi au milieu du compartiment son slip bien enfoncé sur la figure.

Greg se présente devant moi et sans enlever le slip blanc de Sam, il me relève la tête face à son bas ventre et me la plaque sur son nombril des deux mains.

Puis se calant bien sur les jambes, il me dit de prendre son slip avec les dents sans lui bouffer les poils. Avec les lèvres, je chope la ceinture du CK et je tire. Immédiatement, son pénis sort et vient s'enficher dans le slip blanc sous mes narines. Ouah! ;quelle bonne odeur de gland!

-Maintenant descend le slip.

Je descend le slip noir et l'engin de Greg investit complètement le slip blanc. ;Tout son sexe me couvre le visage et il reste ainsi une minute à l'y frotter lentement. Entre le gland, les couilles, les poils de Greg ;et le fond de culotte de Sam, le mélange d'odeur est détonant. Je respire à fond et je les entends rire. Je dois bander à max.

Au bout de quelques minutes, ;écartant les cuisses, Greg m'enfile la tête sous ses couilles ;dans son fond de culotte et des mains il appuie ;sur mon crâne pour que je descende.

Le slip de Greg est ce qu'on appelle un moule bite. Le slip blanc de Sam est remonter sur mon front dans l'action et je me retrouve le nez gainé de tissu noir odorant mais les yeux bien dégagés pour suivre la descente le long des superbes jambes poilues châtains frisées de Greg jusqu'à ses pieds et le spectacle en vaut la peine. Quel athlète!

Arrivé en bas sur la moquette, Greg se débarrassant de son slip, me retourne avec ses pieds et là je vois les deux mecs nus au dessus de moi en train de se tripoter leur braquemard géant en le décalottant?

Greg, vient s'assoir sur la table à l'aplomb de la tête se met à se branler doucement en me fixant langue légèrement tirée comme pour me signifier de lécher.

Souriant lubriquement, Sam agit. Il m'enjambe, me tire vers la porte puis descend s'installer sur mon torse ses couilles me frottant le menton. Il me libère des slips et me caresse les narines avec son engin odorant. Puis en position de faire des pompes, il pointe son gland sur mes lèvres et m'ordonne d'ouvrir la bouche. Le mec est lourd et je refuse. Il essaye plusieurs fois de le rentrer de force mais je refuse de peur de ne pas pouvoir tenir sous la masse de muscle de Sam. Celà l'énerve, il se met à m'étouffer sous son sexe en m'écrasant la tête complètement arquebouté. Sa bite me laboure le visage et ses cuisses me prennent le torse en étau. Mais quand il repointe son pénis sur mes lèvres, pensant que je vais me soumettre, je ne l'accepte toujours pas. Il est en rogne. Greg lui propose autre chose:

- Arrête Sam, tu perds du temps, on va le prendre à genoux. Amène le au centre.

Sam se lève et m'entraine avec lui, en disant :

-Ouais viens mets toi à genoux au milieu de l'allée qu'on te baise grave.

Je m'exécute et je me trouve ;face de leur deux pubis les bites tendues très proches du visage.

Greg ;vient frotter son gland sous mon nez comme s'il en peignait les contours demandant à Sam:

- il reste combien de temps,

- 2h,

- c'est bon, on continue.

Puis s'adressant à moi:

- Dans quel sens tu préfères les bites, la noire sous la narine droite ou l'autre.

Soulagé de ne plus être à terre sous Sam, je réponds: "noire à droite"

Et dans un bel ensemble, ;le gland noir du contrôleur se plaque sous ma narine droite et le gland rose du policier sous ma narine gauche. Ils ;m'ordonnent d'humer à fond. Les deux sont déjà un peu baveuses et très odorantes. Je lève les yeux vers eux et respire à fond en jouant l'extase. Je sens un frisson parcourir leur corps. Avec un sourire salace, ils me plantent leur engin comme s'ils voulaient entrer dans mes narines. C'est chaud.

Greg constate:

- Ouah le salaud, il nous provoque. Il est vraiment très très coopératif.

Je sens que j'ai franchi une limite et Greg hyper excité me le signifie en me plaquant durement dans un des sièges relevé du compartiment et refermant son étreinte sur ma figure.

La face dans le pubis de Greg, je ne vois plus leurs visages. Greg me force à avaler l'intégralité de son pénis et le retirant, il passe la main à Sam. Ils entament un tour de rôle rapide. Le pénis noir me transperce la bouche, pendant que le blanc se frotte entre le pubis du baiseur et mes narines ou se branle au raz de mes yeux et vice versa.

Je subis une sacrée pression, mais qu'est que je suis bien, je pompe à fond ce qui se présente.

La tension monte, les corps sont chauds et les pubis humides de sueur. Mon nez plonge tantôt dans les poils noirs tantôt dans les poils châtains ;et, gourmand, je prends leurs fesses à pleine mains pour les aider à pénétrer.

Je les entends râler de plaisir au dessus de moi. A un moment, Sam prend le dessus en accentuant les coups de bassin. Poussant Greg de ;côté, il me saisit la tête à deux mains et, jambes bien écartées, il se met à se frotter langoureusement sur ma face en me pénétrant à fond. Je ne peux que suivre le mouvement. Je sens à la dureté du pénis ;et à sa pénétration appuyée que Sam est au bord de l'éjaculation. Elle n'arrive pourtant pas vite. Je la sens monter au fur et à mesure que les cuisses de Sam se tendent sous mes mains. A un moment il me plaque le front fortement sur son bas ventre pendant que son pénis me ramone par à coups et soudain le jet part abondant. Dans une étreinte prolongée, il me fait tout avaler en râlant de plaisir:

- Ouah c'est bon ! avale tout, il ne faut pas salir le matériel.

J'entends Greg assis sur la table qui se branle en soufflant. Le mec est sûrement fin prêt et dès que Sam sortira de ma gueule, il va me sauter dessus.

Mais Sam prend son temps, il me plaque le nez dans son pubis et laisse son pénis désenfler doucement dans ma bouche en me caressant le crâne et en ;m'encourageant à poursuivre :

- Ouais vas-y, pompe la grosse paille, vide la bien.

Et je pompe Sam qui se retire très lentement de moi, jouant le kako en bombant le torse et bandant les muscles de ses cuisses. Puis il sort ;son ;pénis humide et me le plaque sur la face virilement au point que l'engin se remet un peu à durcir le long de mon nez pendant que mes narines touchent ses couilles frémissantes. Il me monte sur le visage et ma tête disparait dans son entrejambe. Le nez maintenant écrasé par des testicules odorantes, j'observe au dessus de mes yeux, l'énorme pénis de Sam qui se tend dans un ultime barroud d'honneur avant de dégonfler progressivement en retombant sur mes yeux. Je peux voir la face goguenarde du contrôleur qui surveille l'opération en commentant.

- Oh Oui, elle t'a aimé et tu lui rends bien. J'n'ai pas eu une baise pareille depuis longtemps.

Puis s'écartant enfin, il cède la place et va s'affaler dans un siège complètement en extase, pénis mou pendant entre ses jambes.

Relâché brutalement, je me rattrape sur les mains en inspirant une bonne bouffée d'air frais.

Sam lance:

- Oaouh! quel suceur. Vas y Greg! Tu dois être hyper excité, défonce le que je m'amuse.

A quatre pattes au milieu du compartiment, je me tourne vers Greg. Il est assis sur la tablette, jambes écartées se caressant le sexe en me fixant avec un demi-sourire. J'aime ce que je vois dans ce regard. Greg se positionne en appui sur les bras et poussant son bassin sur le rebord de la table, montant les pieds sur les sièges,il érige bien en vu son énorme érection en me fixant. Il m'invite.

-Viens là que je te baise.

A quatre pattes, je fixe l'énorme phallus, les testicules bien calibrées et cet entrejambe musclé et poilu comme je n'en ai jamais imaginé. C'est très engageant mais je suis figé sur place comme hypnotisé.

Sam dit :" un peu d'aide ?" et joignant l'action à ses paroles, il se place derrière moi, me saisit le menton par derrière en me plaquant le crâne dans son entrejambe ;et s'avance vers Greg. Greg lui lance un regard de complicité touchant et se met en position d'attente, cuisses écartées au maximum.

A quatre patte, forcé de suivre le mouvement, ma face approche inexorablement du point de contact.

Sam prend un malin plaisir à faire durer et en positionnant mon nez à 2 millimètres de la peau de Greg sans la toucher, il me fait faire le tour de son entrejambe en commençant au raz de la table par la face intérieure de la cuisse ;gauche. Moi humant l'odeur des muscles; je ne quitte pas des yeux l'impressionnant phallus de Greg, complètement décalotté, qui bat l'air sous les pulsations de son coeur. Greg joue le jeu et se tend. Quand Sam approche ma tête à la base de son sexe, le nez touchant presque la raie de ses fesses, Greg ;tente de me toucher. Mais Sam est vif et me recule à temps puis sans perdre de temps, il m'engage dans un tour des testicules. Il me fait dessiner chaque couilles du bout du nez. A quelques millimètres de la peau suante de Greg je renifle. Sam en expert, me fait glisser sous les couilles dans les poils bouclés de la limite de la raie, puis dans les vallées tendres et odorantes à la base des cuisses, puis il remonte à la base du phallus et me fait descendre entre les deux testicules frémissantes. Il insiste dans tous les coins chauds de Greg. Quand c'est possible, je vois les abdos de Greg se tendre et se détendre sous l'excitation montante. J'en rajoute en respirant profondément tant l'odeur mâle de Greg me plait.

La montée du phallus est le point culminant de la visite. Sam prend son temps me faisant parcourir l'engin en zigzag, ne perdant pas une occasion de me faire caresser du nez la toison dru du pubis. Plusieurs tentative de Greg de me plaquer dedans échoue. Sam le pousse à bout, à chaque fois, je vois Greg tout en muscle, se tendre d'excitation, soufflant fort. C'est impressionnant.

Le phallus de Greg est animé de soubresaut et Sam renonce vite à m'éviter son contact. Je glisse donc le nez dessus et nous arrivons au point culminant, la cerise turgescent et humide. Sam me fait faire le tour de la base du gland et j'en prend plein le nez sur cette peau douce et humide, puis il me plaque les narines sur les petites lèvres du pénis et me laisse profiter de l'instant. Greg tous les muscles tendus me fixe en avançant le bassin comme pour me transpercer. Ses mains ont du mal à rester sur la table, son pénis ressemble à une lance et il s'arqueboute sous mon nez. Placé ainsi, je suis face à face avec Greg qui me regarde avec des yeux de braise en soufflant comme une forge. Son désir est exacerbé et je vois qu'il va m'exploser à la gueule lorsque Sam va le libérer. Bizarrement, j'attends ce moment avec désir. Placer comme je suis, en humant à fond ce gland odorant, je détaille toute la musculature de Greg du pubis au cou en plaçant par ses abdos bien dessinés et ses pectoraux d'athlète. Greg s'appuyant dos à la vitre, ramène ses bras derrière la tête, me faisant découvrir de sérieux biceps et des aisselles bien fournies. J'admire ce corps fabuleux et attirant. Prenant appui sur ses cuisses, je tente d'échapper à l'emprise de Sam, mais Greg grogne en m'écrasant son gland pendant que Sam me saisissant mieux me maintient fermement les narines sur la cerise. Un effet de va et vient s'instaure. Le gland de Greg de plus en plus humide dérape parfois de mes narines mais est vite réajusté par Sam. Greg souffle de plus en plus d'excitation. Son pénis est brûlant.

Soudain, Sam se retire et par réaction je me détache de Greg.

Un top vient d'être donné. Greg se levant brutalement me saisit la tête et me la plaque fortement sur son sexe en rut. Je paye durement le quart d'heure d'excitation, Greg est à bout, et mûr pour me baiser sauvagement.

Bien calé sur les deux jambes, il s'installe devant moi et de tout son poids mains derrière le dos et pénis en avant, l'athlète ;me plaque dans un dossier comme s'il voulait me faire rentrer dedans. Il me travaille du bassin et je sens une petite lubrification sur ma joue. L'odeur est forte et délicieuse. J'hume le pubis, en admirant le bas ventre puissant collé au dessus de moi. Greg se tend plusieurs fois de suite, m'écrasant fortement, mais je résiste en profitant au maximum de ce contact viril.

Soudain ;levant la cuisse gauche, il me plonge le nez entre ses couilles et sa cuisse et de la main droite m'y maintient bien collé en observant ma réaction.

Je ;frotte mon nez dans l'espace chaud. M'enjambant un peu plus, il ;fait tourner ses couilles autour de mon nez trois à quatre fois avec les encouragements de Sam qui, jambes très écartées, se caresse non loin. Greg s'assoit doucement me ;bloquant la tête pour suivre le mouvement. Je suis bientôt à quatre pattes la tête entre les cuisses de Greg le nez dans ses couilles posées sur le siège.

- viens te planter sur mon pieu! dit il en écartant les cuisses à fond.

Le phallus m'attend, Greg est au dessus de moi, me fixant de ses yeux de braise, bras écartés, les paumes de mains ouvertes prêtent à me saisir. ;Il est irrésistible, je me mets bien à genoux face à son torse et plongeant la tête vers le bas, j'absorbe la tige chaude. Les mains et les cuisses de l'athlète se referme sur moi et la baise commence...

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JV

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