Cyrillo

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Manoeuvre torride

Cela se passe pendant les manoeuvres de mon régiment de RCP en Provence.
J' étais de garde une chaude après midi pendant que le reste du régiment manoeuvrait avec un régiment allemand. Je vis arriver trois paras allemand, que j' avais déjà repéré : superbes males baraqués. Moi même, pratiquant à fond la musculation, j' étais musclé divinement. Et je fantasmais pas mal sur ce type de machos. C 'est alors qu'un des para s' approcha de moi, et me demanda de lui fournir une bouteille d' eau à cause de la chaleur. Il m' accompagna dans un baraquement faisant office de magasin. A l' intérieur, je me penchais pour attraper une bouteille, lorsque je senti une de ses mains caresser mes fesses mises en valeur par mon treillis étroit et cela me surprit.

Au moment où je me retournais, il m' embrassa fougueusement, nos langues, nos salives s' entremêlant.
Je me laissais faire avec délectation, savoir que ce beau male préférait aussi les hommes me faisait bander dur, et il s' en aperçu lorsque sa main vint masser la bosse qui déformait mon treillis.
Nous nous caressâmes et embrassâmes longuement, puis je sentis ses mains sur ma nuque. Il appuya dessus pour me faire descendre le long de son corps. Je me retrouvais à la hauteur de son pantalon, ma langue lécha le tissu rêche, et je sentais la forme oblongue de son sexe. Je commençais à le dévêtir, lui même enlevant son tee-shirt.

Faisant tomber son pantalon, j' eus l' agréable surprise de découvrir qu' il portait un string kaki, un de ces moule-burnes qui m' excite tant. Cela mettait en valeur un sexe de bonne dimension et une paire de couilles de gros calibre. Ma bouche et ma langue s' acharnaient dessus, son odeur de transpiration mêlée à l' odeur de son sexe développant mon excitation. Je gobais ses couilles ou son gland à travers le tissu du string complètement trempé par ma salive. Ses deux puissantes mains me forçaient à l' engloutir de cette façon, je sentais sa queue entourée du tissu au fond de ma bouche. Des gémissements, et une pression plus forte de ses mains, !
et je sentis le foutre jaillir à travers le string.

De longues saccades d' un liquide épais et chaud se déversèrent dans ma gorge, j' en avalait une bonne partie et j' en gardais de quoi remplir ma bouche. Je me redressais et je l'embrassais, lui faisant goûter à sa propre semence. Il me demanda de me déshabiller, ce que je fit rapidement, lui dévoilant un sexe turgescent et une paire de couilles rasées. il me retourna, et je me retrouvais à plat ventre, cuisses écartées. Je sentis sa langue dans la fente de mon cul, presque à l' intérieur de mon cul largement ouvert. Sa langue remontait le long de mes couilles, qu' il engloutit une après l' autre dans sa bouche, puis ce fut le tour de ma queue, qu' il aspira lentement jusqu' à ce que je sente ses lèvres à la base de mes couilles ( mon sexe mesurant pourtant 19 cm ). Il me pompa ainsi de longues minutes, pendant qu' il me fourrait deux ou trois doigts dans le cul. A mon tour de sentir un jet puissant remonter de mes couilles et je vidais mon foutre dans cette gorge chaude. Je me retournais sur le dos et j' aperçu les deux autre paras en train de se désaper. L' attente de la bouteille d' eau était
sans doute trop longue, et ils étaient entrés dans le magasin, il y a déjà plusieurs minutes, profitant ainsi du spectacle de leur copain en train de me pomper. Et ils avaient sûrement envie de participer à cette partouze.

Sur les deux paras, l' un était particulièrement bien monté, 22cm mais surtout sa queue était épaisse avec un gland énorme. Ce fut lui qui me soulevant les jambes, appuya son gland contre ma fente humide. Je crus défaillir au moment ou il enfonça son gland, puis lentement sa queue me remplit cm par cm jusqu' à ce que se sente ses testicules contre mes fesses. Son gros chibbre me remplissait entièrement. Le douleur fut vite remplacée par une excitation extrême lorsqu' il me lima à grands coups de reins. Les deux autres paras, accroupi au dessus de mon visage m' enfonçaient leurs sexes dans la bouche. Mes lèvres étaient distendues par leurs deux queues. Ils changèrent plusieurs fois de positions, mais j' étais toujours leur salope de service, leur objet de plaisir, leur vide-couilles.

Celui qui possédait cette énorme queue, s' allongea sur la table, sa bite dressée à la verticale, je ne l' avais pas encore sucée, tant elle me paraissait impressionnante, pourtant j' en avais fortement envie.

Je m' agenouillais devant lui et ma langue commença à l' exciter : je suivais les veines de son sexe gonflé, je le léchais sur toute la longueur, entourant son gland, redescendant sur ses couilles puis remontant sur son gland que mes lèvres entourèrent. Il posa ses mains sur ma tête et m' obligea à engloutir sa queue. Lentement je l' enfonçais dans ma gorge, et heureusement pour moi je pratiquais la gorge profonde, car il voulait visiblement que j' avale le maximum de son chibbre. Je m' étonnais moi même lorsque je sentis les poils de son pubis : j' avais 22 cm de queue au fond de ma gorge. Je le pris ainsi plusieurs fois, lui tirant des grognements de plaisir. Ayant envie de le faire juter, je l' engloutis d' une bonne moitié, une de mes mains lui malaxant les couilles et l' autre masturbant la deuxième moitié de son sexe. Les deux autres paras me masturbaient et me caressaient le corps. Je finis par obtenir ce que je cherchais : je sentis un flot de foutre remplir ma bouche, il y en avait tellement que je ne pouvais pas tout avaler et une bonne partie retombait le long de sa queue.

Lorsque ses couilles furent entièrement vide, je me releva. Sa queue quoique légèrement ramollie était toujours dressée et impressionnante, Il m' ordonna de m' asseoir dessus. M' empaler serait un terme plus approprié, je montais et descendais le long de ce piston qui venait de retrouver toute sa forme. Un des paras, s' agenouilla au dessus de son copain et m' attrapant par la nuque, il força ma bouche avec sa queue. C' est alors que je sentis le gland du troisième para près de mon cul. Je voulus résister, mais celui qui me limait la gueule me maintenait les deux mains dans le dos. Un deuxième sexe vint se joindre dans mon cul celui qui me remplissait déjà. Mon anus s' élargissait donc sous cette double poussée. J' étais pris par tout les trous, remplis de queues humides qui fouraillaient mon corps. Cela m' excitais vicieusement de me savoir pris ainsi par ces trois males qui utilisaient mon corps comme un objet de plaisir.!

Leur excitation était à son comble, et ils jouirent tous les trois en même temps. L' un se vidant dans ma bouche, et un flot de foutre dans mon cul qui leur servait de lubrifiant.
Nous étions tous les quatre en nage, et je pensais que notre étreinte était finie, mais, discutant entres eux, il m' allongèrent à nouveau sur la table. Un des paras me replia les jambes vers les épaules et il me lécha le cul inondé de sperme. Les deux autres me maintenaient dans cette position. Où voulaient- ils en venir ?... Je le su très vite. Il m' enfonça deux doigts dans le cul, puis trois. Cela me fit bander une fois de plus, ils voulaient me fister le cul, pratique que je n' avais jamais encore essayée. La main resserrée remplaça les trois doigts, et la pression se fit plus insistante, Heureusement la quantité de foutre qui remplissait mon cul servait de lubrifiant, et la main me pénétra lentement.

Je gémissais sous la pression, à la fois de douleur mais aussi de plaisir. Je sentais maintenant la main à l' intérieur. Il la retira, et cette fois ci, c' est le poing complet qui me déchira le cul. Il me prit ainsi plusieurs fois, mon anus complètement dilaté, le fion complètement éclaté. Les autres paras appuyèrent un petit plus sur mes cuisses ( j' étais assez souple pour le supporter ), et mon sexe se trouva juste devant ma bouche. Un filet humide coulait le long du gland, et mon excitation était si forte que j' ouvris la bouche. Un des paras attrapa mes couilles et tirant l' ensemble vers la bas, j' engloutis ainsi un bon tiers de ma queue.
Je me pompais furieusement, c' était la première fois que je pouvais sucer ma propre bite, et au moment où le para retira son poing, un flot de sperme jaillit dans ma bouche, et les deux paras qui me maintenaient et se masturbaient giclèrent sur mon visage. Ils essuyèrent leurs queues sur ma gueule, et j' avalais leur foutre mélangé au mien.

Ils se rhabillèrent, me laissèrent haletant sur la table, le corps souillé de foutre et de sueur, le cul complètement ouvert, les couilles vidées, et le goût de leurs queues dans ma bouche.

Homstring

25/06/02

Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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