Cyrillo

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Match en bouche

Mon homme rentre du travail, un peu las. Mon mec c'est un drôle de mélange : son père est d'origine turque et sa mère est black, il a 40 ans, plus grand que moi, très poilu, assez baraqué, très légèrement en chair (il faisait du rugby dans sa jeunesse), des cuisses larges et un queue très épaisse. Il est très viril. Derrière son coté un peu lymphatique se cache un mec très sûr de lui ; sûr de lui car il sait qu'il en a une énorme entre les jambes et que ça, ça calme n'importe qui, surtout un gourmand de la bite comme moi. Moi, je suis tout simplement sa salope de service, beau cul, bonne bouche.

Il a eu une journée éreintante, il a fait chaud et je sens dès son entrée dans la pièce, l'odeur de sa bite. Ca me rend dingue, il le sait. Il le sait tellement que c'est un peu lassant pour lui : il sait qu'il peut à tout moment ouvrir sa braguette, sortir son épaisse queue (21cm, 6cm de diamètre, autant dire un monstre.) même molle, et que je serai là, bouche en avant pour le sucer. C'est lui qui a le gros machin dont j'ai besoin, là, entre les cuisses : il le sait et en profite régulièrement, sans se presser. C'est lui le vrai mâle et moi je suis toujours en manque de ça.

Ce soir il est particulièrement calme , il s'assoit dans le fauteuil de la chambre, les jambes écartées . Il porte un costume avec un pantalon à pince noir qui le serre à l'entrecuisse, à cause de ses jambes larges et de son cul bien rebondi. Il me raconte mollement sa journée dans son langage à lui, pas raffiné pour 2 sous, brut de décoffrage.
Je m'approche de lui à 4 pattes, tête en avant. Je suis obnubilé par sa bite énorme à travers le tissus; elle sent vraiment fort : je mouille du cul. Il continue à parler, me regarde à peine, s'écoute plutôt. Ma tête est à hauteur de sa braguette à un mètre. Je suis là comme une chienne aux pieds de son maître.

Contre toute attente, il se saisit de la télécommande et allume la télé : il y a un match ce soir ; j'avais oublié. Il me demande d'aller lui chercher une bière; je m'exécute.
Il est de suite très concentré sur le jeux, sirote sa bière, fait des commentaires et ne s'occupe plus du tout de moi toujours à ses pieds...

Quand soudain c'est le but ! Il explose , se dresse, crie puis se rassoit ragaillardi. Il prend la pause du mec qui se détend et machinalement ouvre sa braguette sans un mot et sans me regarder.

J'ai compris que ses pulsions de mâle se sont réveillées et que je dois le soulager. J'approche mon nez ; ça sent vraiment la queue. J'écarte sans le déranger les pans du pantalon. Dessous, son slip kangourou très rempli avec des bosses et des poils qui dépassent. Le slip est jauni par de la pisse séchée ou du sperme. Mon mec ne change pas de sous vêtement tout les jours, il s'en fout car il sait que je le suce quand même. Je vois la peau de sa bite dépasser légèrement de l'entrebâillement de la poche du slip. J'extirpe l'engin avec la bouche.

"Doucement!" dit il d'un ton imposant. Je m'exécute en faisant bien attention. Ca y est, je l'ai en bouche. Elle est un peu molle avec un début d'érection et surtout poisseuse, presque crémeuse et sent fort la pisse. J'adore ça pour commencer. Ces odeurs me font mouiller et me donnent envie de bien la nettoyer en avalant tout consciencieusement. Même légèrement débandée elle est énorme. Elle me remplie le gosier immédiatement.
Je commence à pomper doucement. Pas suffisamment car mon mâle me demande : "Plus doucement j'ai envie que ça dure". C'est dit doucement mais fermement. Mon mec n'a jamais besoin de hausser le ton plus que ça, il sait que je suis là pour sa queue. Alors j'y vais comme sur du velours, je vais et viens très doucement en frôlant le pourtour de l'engin de mes lèvres bien arrondies. Celui-ci est maintenant énorme dans ma bouche. Je me sens comme une femelle entubée par le gosier. C'est pour ça qu'il peut en profiter mon gros mâle. Il ne s'en prive pas et aurait tort de le faire.

La pipe au ralenti dure très longtemps, j'en ai la bouche paralysée. Par moment il débande un peu car son équipe favorite perd puis tout à coup ça redevient bien gros dans ma bouche et bien dur aussi , c'est qu'elle regagne du terrain je suppose, moi je ne vois rien, je suis dos à l'écran et je suce.

Quand on frôle le but, la pinne devient énorme et mon homme m'appuie à ce moment sur la tête pour que je l'enfourne bien à fond. Il donne même un coup de rein pour être bien sûr que j'ai bien tout le morceau dans la gorge. Autant dire que j'ai la glotte explosée. Il exulte alors et dit des trucs vulgaires de sa voix rauque, sans doute pour me donner du cour à l'ouvrage : "putain c'te pipeuse que t'es", "t'es vraiment une gourmande". Quand l'excitation lui vient, il se redresse sur ces jambes, m'attrape la tignasse afin que je reste bien ventousé, et fait des mouvements de va et vient dans le fond de ma gorge. Ces mots vulgaires et ses mouvements de bassin m'échauffent encore plus et je me mets à penser à mon cul qui mouille depuis plus de 3/4 d'heures. Ca aussi il le sait.

On arrive à la mi-temps, mon mec se calme et s'enfonce bien dans le fauteuil, il baisse son pantalon jusqu'aux chevilles. Je peux voir ses jambes très velues, ses mollets énormes et très musculeux, ses chaussettes de sport qui lui tombent sur les chevilles. Il attrape ma tête à 2 mains, me dit "vas y pompe, c'est la mi-temps" et d'autorité me fait aller et venir sur sa bite. Je suis au bord de l'étouffement à chaque seconde mais il ne ralentit pas le rythme. J'ai la bouche et le cul en feu.

Ca tombe bien car mon mec lâche prise et avec sa main libre me descend le pantalon sans précaution. Dessous, je n'ai rien et ma chatte mouille déjà. Il se lève, me retourne brutalement et m'oblige à m'encastrer tête dans le creux du fauteuil. Il passe derrière moi - ses jambes poilues qui font le double des miennes me frottant le cul et les cuisses - et pointe sa bite vers mon orifice. Sans ménagement il commence à forcer mon anus qui résiste. Je crie de douleur : "mets du gel au moins !" lui dis-je.

Il ressort de mon trou agacé , me flanque sa bite sous le nez et ordonne :"Non . pas de gel, c'est pour les tarlouses, si tu veux que ça glisse t'as qu'à y mettre ta salive ... C'est ça ou rien ."

Alors, malgré la douleur qui m'a refroidi je m'exécute. Je la reprends en bouche, je l'avale de tout son long; lui, les jambes écartées, les mains sur les hanches, regard méprisant, se fait lubrifier le manche comme un pacha, et rote un coup à cause de la bière. Puis, sans gêne, il me bourre à nouveau le fond de la gorge en se marrant un peu et en me traitant de " cochonne ". Enfin il me retourne à nouveau, me fait écarter les jambes en me donnant des coups de genoux, force ma cambrure en faisant pivoter ses deux énormes mains qui tiennent mes hanches provoquant l'ouverture automatique de mon anus, pointe son gros gland à l'entrée de ce dernier, me lance un "tu voulais du mâle ? Voilà !" de sa voix rauque et dans un mouvement de bassin viril me pénètre d'un coup avec ses 21 épais centimètres.

Mon cul s'est bien ouvert cette fois-ci et il va et vient à l'intérieur en bon propriétaire, comme chez lui. Je cambre bien les reins car je sais qu'il aime ça. Il bourre sans ménagement en me déformant l'intestin à chaque coup de rein.

L'enculage dure au moins 20 minutes comme d'habitude, car il est très endurant. Moi j'en peux plus, j'ai l'anus éclaté. Soudain il commence à grogner de sa voix grave. 8 ou 10 coups plus violents que les autres m'éclatent littéralement la chatte, il jouit à grands jets chauds et me remplit de foutre en grognant des " tiens. Tiens. Prends ça. Salope ". Le liquide déborde et coule le long de mes cuisses, je jouis à mon tour.

crisfield

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