Cyrillo

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Nico, venu pour mon plus grand plaisir...

Bonjour, je m'appelle Bruno, j'ai 27ans, je suis belge, je suis plus tôt pas mal (ce qu'il faut là où il le faut) ben oui, mais vous me connaissez déjà peut -être pour avoir lu mes histoires précédentes...
Donc je résume, je suis commerçant ambulant dans le domaine de l'horéca et je balade donc une remorque qui fait friterie à travers tout le pays, il est d'ailleurs inutile de vous dire que des petits minets sur mes différents champs de foire ben j'en vois et beaucoup.
C'est d'ailleurs sur l'une de ces foires que l'histoire suivante a vu le jour. Nous sommes fin Août 2004 et à ce moment là, dans ma ville natale et bien entendu de résidence officielle, a lieu deux fois par an la plus grande foire de la région, et chaque année ben je m'y installe avec mon petit commerce pour une durée de plus ou moins 1 mois a chaque fois.
Les week-ends les affaires tournent bien par contre la semaine et ce même pendant les vacances scolaires c'est calme, très calme.

Nous sommes donc mercredi et comme, à l'habitude, j'ouvre, ma friterie a 14 heures comme chaque jour qui débute dans une monotonie à dormir debout. La température est de 28°c donc les gens ne recherchent, certes, pas du chaud à manger quand soudain, s'approche de la remorque deux jeunes garçons l'un grand et blond avec un charme révolutionnaire et l'autre plus petit et châtain avec une tête qui ne me plaît pas vraiment.
Ils réfléchissent un moment sur ce qu'il allait prendre et pendant qu'il regardais le tarif je vis le grand blond qui était vêtu d'un pantacourt et d'un t-shirt blanc qui se caressait le ventre sous ce t-shirt, moi je regardais discrètement et lui distrait levait de plus en plus son t-shirt laissant apparaître ainsi l'élastique de son boxer car il portait son pantacourt très bas a la taille.
Etant commerçant dans l'âme, je me dois de dialoguer avec ma clientèle, ce que je fit avec le grand blond qui doit avoir 20 ans a tout casser.
Je luis dit :
- Il est beau
Un peu étonné et surtout interrompu dans ses rêveries, il me regarde et me demande :
- Quoi, quoi qui est beau ?
Ben ton boxer mon gars, il est magnifique, j'enchaîne en lui demandant :
- C'est quelle marque ?
- C'est un Calvin Klein me dit -il et il est très confortable car il est matelassé dans le milieu pour plus de douceur pour les fesses et permet également au sexe de s'épanouir en cas d'érection.
Son copain prend alors la parole et nous dit :
- A titre d'infos, vous êtes sur un champ de foire
- Ben oui, et alors fit le grand blond
- Ben on croirait deux PD qui discutent ensemble c'est pas possible quoi.
Je lui dis :
- Et alors, les gonzesses peuvent parler de string ou de maquillage n'importe où pourquoi pas nous les hommes et puis si ça ne te plaît pas c'est pas un problème, tu peux partir.
Le type s'en va choquer par mes propos et le grand blond le suis.
Au bout de 10 minutes il revient et me dit :
- Je l'ai envoyé balader et je suis revenu pour discuter avec toi pour faire plus connaissance car je t'ai trouvé sympa.
Est-ce, la présence de ce beau mâle a mon échoppe qui a fait, j'en sais rien mais toujours est - il que je n'ai plus arrêter de bosser de toutes l'après-midi.
Au bout de deux heures je vis qu'il s'impatientait et je lui fit signe de venir derrière la remorque.
Il vient et je lui dis:
- Je suis désolé de te faire attendre mais bon le client n'attend pas.
- Pas grave me dit-il, au fait moi c'est Nicolas.
Je glisse discrètement dans sa poche un petit papier contenant mon nom, mon téléphone, mon adresse ainsi qu'un rendez-vous 00 h 30 a cette adresse pour faire plus connaissance autour d'un verre.

Sachant que je lui avais donner rendez-vous je décidai de fermer la friterie plus tôt et de renter chez moi sans trop croire qu'il viendrait au risque d'être déçu.
Lorsque je suis arrivé vers 00 h00, la rue était déserte, je rentrai donc chez moi et me dirigeai fatigué vers la salle de bain pour prendre une bonne douche pour enlever cette odeur de frite désagréable de mon corps.
Vers 00h45 heure, j'étais toujours dans la salle de bain en train de me remettre en question quand tout à coup la sonnette de la porte d'entrée retentit, je ne pensais plus à Nicolas et donc j'enfilai un peignoir de couleur verte
J'ouvris la porte et là pour quel motif je suis resté bloqué comme un pantin devant lui, il était là dans toute sa beauté juvénile.
- Nic, Nicolas, je croyais que tu viendrais pas
- Ben si je suis là me dit-il
- Ho je suis impoli entre voyons, tout droit là bas c'est le salon installe toi, je reviens de suite après avoir enfilé une tenue convenable.
- Tu peux rester comme ça si tu veux ça ne me gêne pas ! me répondit - il.
Je lui souris et l'accompagne au salon il s'assied dans le fauteuil et moi je me laisse tomber dans le sofa.
On commence alors a parler de chose et d'autre et dans la discutions je luis demande:
- Que veux-tu boire?
- Un coca bien frais si tu as me dit-il.
Je revint avec sa boisson et une verre d'eau pour moi et la je constate qu'il sait alors assis dans le sofa ou j'étais cinq minutes auparavant.
On discute de nouveau de chose et d'autre et dans la discussion il me dit qu'il a 19 ans et qu'il étudie l'art dramatique à l'institut Don Bonsco.
Moi je luis dit :
- Ben moi c'est Bruno, 26 ans et comme t'as pu le constater je suis forain et je suis célibataire et toi?
- Moi aussi depuis peu je suis célibataire me dit-il avec une voix tremblante
- Ca n'allait plus avec ta copine que s'est-il passé? Tu n'est pas obligé de répondre si ça te gêne lui dis- je.
- Si je vais répondre mais, en fait fait je suis gay et j'ai rompu avec mon copain parce qu'il me prenait pour son esclave et devais le faire pour préserver mon orgueil me dit -il
- Je n'étais que bon pour la cuisine et pour lui vider les couilles alors que moi tout au fond de moi ce que je recherche de mon partenaire c'est de l'amour tout simplement m'expliqua-t-il.
Un silence s'installa dans la pièce, et puis je luis dit :
- Je suis désolé, je n'avais pas à te poser ce genre de question
- Ce n'est rien me dit-il avec un sourire tu ne savais pas.
Je change alors l'objet de la discussion et je reviens sur ce qu'il m'a expliqué au sujet de son boxer cet après-midi.
Il me redit avec une élégance du tonnerre la même chose que tout à l'heure et il ajoute en riant :
- Tu veux le voir, l'essayer, tu verras à mon avis tu l'adopteras immédiatement.
Je suis très nerveux par ce qu'il vient de dire et je lui dis :
- Je suis, moi aussi, gay, et au même instant ou je t'ai vu j'ai flashé sur ta beauté.
- Il me dit, je sais j'ai vu c'est pour ça que je suis revenu tout à l'heure.
Je me rapproche alors près de lui pour prendre son visage entre mes mains et viens délicatement déposer un baiser passionné sur ses lèvres.
Je passe ma langue sur ses lèvres et le force le passage de sa bouche pour partir dans un baiser langue à langue pendant 5 grosses minutes.
Son haleine est fraîche et mentholée, c'est un plaisir délectable.
Je lui dis :
- Tu es superbe !
- Toi aussi, t'embrasses comme un Dieu !
Et nous replongeons de nouveau dans un baiser langoureux, je me retire de sa bouche et l'embrasse partout dans son cou tout en explorant ce jeune corps qui se donne à moi je me dirige doucement vers son entrejambe que son short cache encore et je lui caresse la queue doucement qui se raidit davantage sous l'effet de mes caresses.
Je remonte ensuite pour lui retirer son t-shirt qui cache encore son jeune corps que je découvre alors imberbe à l'exception d'un léger duvet remontant du pubis au nombril (c'est craquant).
Il frissonne au contact de mes caresses et je lui lèche les tétons qui durcissent sous mes coups de langue.
Il entreprend à son tour des caresses sur tout mon corps ce qui a pour but de me faire bander comme un âne.

Je défais le lacet qui tient son short a sa taille et lui dit :
- Mets toi debout Nico.
Il s'exécute et je me place devant lui, mes mains s'aventurent sur son beau petit cul et je prends ses deux fesses dans mes mains comme pour les sous-peser.
Je remonte tout en l'embrassant et là je place mes mains à sa taille pour lui faire tomber le short sur ses chevilles.
Moi, je suis toujours en peignoir devant lui et soudain je sens sa main qui s'aventure sous celui-ci pour saisir ma verge bien dure.
Je retire sa main et lui murmure à l'oreille :
- Chuuuuuuut
- Laisse toi faire bilou je veux te faire du bien, rien que du bien.
Tout en lui parlant je malaxe sa queue toujours dans le boxer et effectivement elle se trouve bien devant et épanouïe comme il me l'avait expliqué un peu plus tôt
Je le pousse délicatement dans le sofa et je passe ma main le long de sa jambe et je descend son caleçon pour voir apparaître le bout de son gland qui est maintenus par le boxer contre son ventre et je viens lécher doucement avalant ainsi le petit peu de jus qui s'est écouler sous l'effet de mes caresses.
Il frémit sous le contact de ma langue qui s'attarde sur son méat et puis je fais glisser son boxer.
Il soulève son bassin pour me faciliter la tâche et là je découvre une bite fine et bien droite comme je les aime, avec au bout de celle-ci un gland d'une teinte rosâtre et quelques poils au niveau du pubis qui rase apparemment avec beaucoup de savoir-faire ce qui fait son charme.
Je prends sa bite entre deux doigts et je fais coulisser son prépuce tout en humant ce jeune sexe qui se raidit d'avantage sous le contact de ma main, je saisis alors sa queue et le branle doucement, comme si j'avais peur de lui faire mal.
Je prends ses couilles qu'il a parfaitement rasées dans ma bouche et les lui dévore comme deux abricots.

Il est aux anges et il vient susurrer à mon oreille d'un ton racoleur
- Arrête où tu vas me faire jouir trop vite, et je n'y tiens pas trop car je passe un moment divin avec toi car tu es très doux
Je le regarde lui sourit, et il me dit alors :
- En plus, j'ai moi aussi une envie folle de te faire du bien
il hôte mon caleçon et prend directement ma verge dans sa jeune bouche chaude et humide, je constate qu'il n'en est pas a sa première pipe car il fait cela très très bien.
Il a ses mains plaquées sur mes fesses et je sens ses doigts s'aventurer à la recherche de mon trou qu'il trouve et qu'il me masse délicatement.
À ce moment je sens une envie de jouir en moi, je veux m'enlever de sa bouche mais il me sert les fesses et me gobe encore plus loin, je ne résiste plus je lui balance cinq jets de sperme au fond de la gorge.
Il retire ma queue de sa bouche et vient m'embrasser mélangeant ainsi mon sperme à sa salive pour me le faire goûter et il avale le reste et me dit :
Tu as une queue formidable et un sperme qu'on buverait dans des verres à bière tellement il a bon goût " et il se mets à rire.
Je le pousse il se laisse tomber dans le fauteuil et là sans le prévenir je lui attrape la bite et l'enfourne dans ma bouche pour lui tailler une pipe dont il se souviendra.
Je le suce de tout mon savoir-faire et il me dit :
- Bruno, tu sais quoi ???
- Non dis-je
- Normalement, je suis plutôt actif, mais là j'ai une envie brûlante au fond de moi
- Ha, et laquelle lui dis-je d'un air curieux
- Ben j'ai envie que tu me prennes, je veux te sentir en moi, je veux que tu me fasses l'amour dit-il avec un frisson qui lui parcours le corps.
Dans ma tête, je pense et me dis à moi-même que ce jeune mec est bourré de désir.
Je lui souffle à l'oreille :
- Ok Nicolas, je suis ton serviteur et je vais te faire l'amour comme tu le veux, mais si cela ne te dérange pas j'aimerais que nous allions dans ma chambre pour être mieux.
Il sourit, me fait un clin d'oeil et me dit :
- D'accord mon amour.
Je le prends comme un homme prend sa jeune épouse, lors de la nuit de noce, et me dirige vers ma chambre.

Je le dépose avec délicatesse sur le lit et viens l'embrassé amoureusement tout en prenant le temps de redécouvrir le corps de ce jeune homme venu pour mon plus grand plaisir, je caresse ses formes et ses muscles naissant avec tendresse, et je reprends alors son chibre en bouche et la lèche tel un " ice-cream ".
Je m'absente un bref instant et je reviens dans la chambre avec dans une main de la sauce au chocolat et dans l'autre une bombe de chantilly.
Je badigeonne généreusement la bite de Nico avec d'abord la sauce choco pour ensuite recouvrir d'une épaisse couche de crème fraîche avant de me remettre à le sucer.
Une fois sa queue bien nettoyée de ce phantasme qui avait pris réalité, je me retourne et il vient se mettre dans la position que je préfère, le 69.
Lui me lèche les couilles et la bite tandis que moi j'ai la tête entre ses fesses et je lui lèche la rondelle en y pénétrant ma langue, quel bonheur ce garçon.
Je fouille le cul de Nico avec mon majeur et il se tortille sous l'effet de mon doigt et de ma langue, je lui entre alors un second doigt et là il se rétracte et me dit d'un ton excité :
- Doucement, je vais jouir.
Je lui dis :
- Mais enfin Nico arrête de te retenir et profite de chaque instant que je t'offre, nous avons toutes la nuit.
Comme si mes paroles l'avaient décontracté un peu plus, je sens quelques minutes plus tard trois longues salves de sperme bouillant sur mon visage, qu'il s'empresse de venir lécher et me dépose en bouche.
Il me regarde avec des yeux tendres et me dit :
- Quel baiseur tu fais, je t'adore.
" Ho mais attend " lui dis-je, tu n'es pas mal du tout mon beau.
Je ne sais pas pour quel motif, mais toujours est-il qu'il vient se blottir dans mes bras et se met à pleurer à chaudes larmes.
Je relève sa tête et lui dis :
Ben voyons mon Nico qu'est ce qui se passe ?
Il s'essuie les yeux et me dit d'un air triste :
- J'ai un coup de foudre pour toi, je suis amoureux de toi et pourtant je sais qu'une fois la foire terminée, je te verrai plus.
Je tente de le consoler du mieux que je peux et puis il me dit à l'oreille :
- Prends moi Bruno, fais-moi découvrir d'autres horizons.
Je le retourne et remonte son cul face à moi, je prends alors mon gode à tête rotative dans le tiroir et lui enfonce en ayant pris soin de lui lubrifier l'anus.
Lorsque le gode est en lui je lui demande si ça va et il me répond oui en gémissant de bonheur.
J'enfile une capote que je lubrifie aussi pour ne pas lui faire mal et je m'enfonce dans le trou que le vibro avait fait.

Je commence mon va et vient et lui hurle de plaisir en se cramponnant aux draps.
Je sens son anus se serrer contre ma bite qui est dans son cul et c'est un réel bonheur.
Moi de mon côté, je pistonne en touchant l'arrière de sa prostate ce qui déclanche une nouvelle jouissance de mon petit gars en trois jets puissant sur les draps de satin.
Je continue a la pistonner en changeant de position pour qu'il découvre tout le plaisir de l'amour entre homme.
C'est alors qu'il me dit :
- Bruno je veux te voir jouir, crache ton jus sur mon corps.
Je me retire de son cul, enlève la capote et m'astique le membre sur le bout du gland et lui balance 4 jets de jute sur sa bite et son corps, je lèche le résidu de sperme sur son corps et partage avec mon Nico dans un langoureux baiser.
Je m'allonge à ses côtés et lui demande doucement :
- Alors mon bébé c'etait bon ?
- Ho alors là oui Bruno, excellent même, mais tu sais quoi ?
- Non lui dis-je
- J'ai envie de recommencer !!!
- Ho là doucement mon jeune pilou, laisse moi récupérer un peu dis-je
Il me regarde étonné et me dit alors :
- Tu veux que je te laisse dormir.
Je lui réponds :
- Quoi dormir !!! Avec un mec comme toi dans mon lit, je ne peux pas dormir.
- Je n'ai rien d'exceptionnel me dit-il.
- Chuuuut, assez bavarder, prend moi, fourre moi ta queue dans mon cul lui dis-je.
Il s'exécute et me lèche le fion, avec une précision du tonnerre qui ma procure un bien fou
Il caresse mes fesses, gobe mes couilles une à une et me pénètre de deux doigts et a l'aide de sa langue aide mon anus à se dilater.
Il enfile alors une capote et se place derrière moi et pousse sa queue dans mon derrière.
Elle s'enfonce sans mal jusqu'à la garde et il commence à me labourer le cul comme un dieu.
Il me pénètre comme un fou et il m'offre ce plaisir pendant 45 minute Durante.
Je l'ai senti se cambrer et à déverser dans mon antre de feu une quantité impressionnante de sperme pour un garçon de son âge.
Nous nous sommes douchés et puis allongés sur le lit côte à côte et nous nous sommes endormis lui sa tête sur mon torse et moi la main dans ses cheveux blonds comme le blé.
On s'est réveillé aux alentours de 13 heures le lendemain et je n'ai pas ouvert la friterie ce jour-là je suis resté au lit toute la journée à flirter avec Nico.
Il a de nouveau pleuré dans mes bras car il ne voulait pas renter chez lui et de nouveau rester seul.

Je lui ai proposé d'aménager avec moi et il accepta.
Les nuits suivant ce récit ont été similaire à celle que je vous ai racontée sauf que Nico et moi, sommes chaque soir à la recherche de nouveaux plaisirs que je vous raconterai une autre fois si vous êtes bien sage...

Bruno

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