Cyrillo

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Plaisir interdit

Depuis mon très jeune âge, j'ai toujours eu de l'admiration pour mon travailleur social. Il était un homme doux, sensible, rieur, affectueux avec moi Il m'encourageait toujours à faire de mon mieux, de travailler plus fort afin d'atteindre mes objectifs. Je m'intéressais à tout ce qui l'intéressait lui aussi. Je me levai à 6 :30 du matin pour aller faire du jogging avec lui. Je raffolais de ces matins où je pouvait l'avoir pour moi tout seul. À l'école, je me surpassais afin d'être le meilleur pour qu'il soit fier de moi. Le soir, après son retour du travail, il m'amenait avec lui presque partout où il allait. Nous étions très proches l'un et l'autre. Depuis la mort de mon père, tué par un chauffard ivre, il y a près d'un ans, ma mère s'était complètement désintéressée de moi. Elle passait ses journées au lit à dormir et prenait des tonnes de médicaments.

Mon frère à toujours été du genre indépendant. Il avait ses amis, ses activités. sa chambre était rempli d'affiches de filles nues et d'après ce qu'il disait, il baisait une fille différente chaque fin de semaine. Cela ne me dérangeais guère car j'avais Paul, mon travailleur social juste pour moi. Rendu à l'âge de 18 ans, je pris conscience de mon homosexualité et le sexe commença à m'intéresser. Je ne pensais plus qu'à ça. Je me masturbais à tout moment, imaginant faire l'amour avec des vedettes de cinéma. Je pensais tellement au sexe que je regardait les entre jambes de tous les hommes que je rencontrais, Yvan y compris. Quand je dormais chez lui la fin de semaine, il m'arrivais de me cacher dans la salle de bain pendant qu'il prenait sa douche. Bien des fois je l'entendait se masturber dans la douche et cela m'excitais encore plus. Ma mère, enfoncée dans sa dépression, se foutait bien que je passe presque toutes mes fin de semaines chez lui.

Un soir, alors que sa femme et ses 2 filles était parties pour la fin de semaine et que j'étais seul avec lui, je me rendis dans ma cachette sachant qu'Yvan allait prendre sa douche. Comme d'habitude, je me rendis ensuite dans ma chambre. Couché sur mon lit, j'ai dégrafé ma braguette et légèrement glisser mon pantalon. J'ai sorti mon pénis de mon sous-vêtement et me branlai doucement pour faire durer le plaisir. Mon plaisir était si intense que je n'entendis pas entrer Yvan. Lorsque je me rendis compte de sa présence, je rougis. J'étais gêné, presque honteux. Il me sourit et me dit :
-Ça t'excite à ce point de me regarder prendre ma douche?

Je constatais qu'il se masturbait à travers son survêtement. Sous le tissu, je pouvais voir que sa queue était bien dur. J'étais estomaqué de voir qu'il savait tout. J'étais troublé par la situation mais en même temps si excité. Semblant deviner mes pensées, il me dit :
-Se masturber est une chose bien naturel, même si tu le fais en fantasmant sur moi.
Il s'approcha de moi. Il prit entre ses mains mon sexe et le branla lentement. Il me demanda de descendre son pantalon de sport. Je m'exécutais et je fis glisser son slip. Devant moi se dressait sa queue bien longue, au moins 18 cm et je la pris dans mes mains. Je sentis son membre palpitant et chaud entre mes paumes. Je le trouvais beau, doux et soyeux. Je commençais à le branler. Vite, il jouit sur mon torse et mes cuisses et j'éjacula aussi. Son sperme me collai et il me dit :
-Viens, on va prendre une douche.

Le jet d'eau venait à peine de mouiller mon corps que je sentis ses mains balader sur tout mon corps. Intérieurement, j'avais honte de prendre plaisir à ses attouchements mais je trouvais ça si bon. Il prit le savon qu'il mit au creux de sa paume et me savonna. Il n'oublia ni mon sexe, ni mes fesses. Mon érection était immense. Lui aussi prenait plaisir à me toucher. Sa queue était démesurément grosse, je savais qu'il était plus expérimenté que moi. Il me branla énergiquement et je ne tardais pas à éjaculer de nouveau. Il prit mes mains et se branlai avec. Je continuais de le branler jusqu'à ce qu'il inonde mes paumes de son sperme. En sortant de la douche, il m'avoua que c'était la première fois qu'il faisait ça avec un autre homme. Il m'assura qu'il ne regrettait rien et qu'il était aussi surpris du plaisir qu'il s'était procuré en me touchant. Je me dépêchai de me séché et je me rendis à ma chambre.

Assis sur mon lit, je ne cessai de penser à ce qui venait de se produire. J'étais partager entre le plaisir et la honte. Je voulais me convaincre que ce n'était pas si mal ce que je venait de faire avec lui. Il m'avait fait découvrir le plaisir. Pourquoi pas lui plutôt qu'un autre.. Je repensais à ses caresses et je sentis l'excitation envahir de nouveau mon corps. Je me sentais frustré de ne pas avoir tout connu. Je voulais en découvrir plus. Sentant mon sexe se raidir dans mon slip, je me rendis dans la chambre d'Yvan. Je le vis nu, allongé sur son lit. Il se caressait. Sa verge était bien dur et bien droite. Il me vit et ne s'arrêta pas pour autant. Je m'approcha de son lit et tout en retirant mon slip, je lui dit :
-Yvan, j'ai tellement envie de toi, fais moi découvrir le plaisir. Étendu près de lui, je sentais ses mains parcourir tout les parties de mon corps. Il se coucha sur moi et sa bouche se posa sur mon torse et glissa vers mon sexe. Sa langue excitait mon gland. À chaque succion, tout mon corps vibrait. Le plaisir me submergeait. Pendant qu'il me suçait, je ne pouvais me retenir de crier tellement j'aimais ça. Sentant que j' allais jouir, il se retira et me demanda de le sucer à mon tours. Je fus un peu récitent mais je le fis de bon cour. J'approchais mes lèvres de sa queue. Une odeur de sperme envahit mon nez. Ma langue toucha le gland pour me rassurer. Puis j'avalait son pénis entièrement. Je trouvais sa queue plutôt appétissante. Lentement, je me mis à le sucer avec délice. Je l'entendis gémir et il posa sa main sur ma tête pour pousser sa queue bien au fond.

C'est lorsqu'il me fit découvrir le 69 que je ne pus me retenir bien longtemps. J'étais certain que je ne pourrais jouir une troisième fois mais je me trompais. J'accepta qu'il éjacule dans ma bouche mais je recracha le tout. Je passai la nuit dans son lit, couché serré contre lui, sentant son sexe sur mes fesses. Le lendemain matin, il me dit que je ne devais parler de ça à personne car étant mon travailleur social, il n'avait pas le droit de baisé avec moi et qu'il risquait bien des problèmes. Je lui promit que jamais je ne parlerai et je tint promesse. J'aimais bien trop le plaisir qu'il me procurais. Avec le temps, je découvris avec lui bien des façons de jouir. La première fois qu'il me pénétra, je crus mourir tellement j'ai eu mal mais par la suite, c'est moi qui lui ordonnait de me défoncer tellement ça me faisait jouir. Nous étions devenu des amants et jamais sa femme ou ma mère ne surent ce qui s'est passé entre nous.

ken.tremblay1@caramail.com

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