Cyrillo

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Du sport chez les pompiers

Voila un bon moment que je n'avais pas pris le temps de rédiger une de mes aventures. En voici, une qui remonte à 2 ans.

Après un match de tennis particulièrement difficile et acharné, je me réveille le lendemain matin, sur les genoux. C'est clair, j'ai mal partout ! Et je me dis : Mon petit bonhomme, si tu veux garder ta ligne, voire renforcer tes pecs, te modeler un corps de rêve, et garder la forme, il faudrait peut-être faire du sport plus régulièrement.

Mon inséparable ami (ami- ami) d'enfance est maintenant médecin, et accessoirement médecin chez les pompiers, me conseille de prendre un entrainement gratos chez ses copains pompiers qui se sont aménagés, grâce à la vente de leurs calendriers, une salle de sport, externe à la caserne avec tout ce qu'il faut comme matériel de torture.
L'ambiance est décontractée et sympa, la salle est ouverte, presque tous les soirs, et avec les horaires de nos sauveurs, je vois défiler presque à chaque fois de nouvelles têtes.
J'y vais 2 fois par semaine, nous sommes rarement plus de 6, ce qui est très bien pour bosser et avoir de bon contacts avec les gars. Je vois le plus souvent Alain, capitaine, chargé de l'ouverture et fermeture du gymnase.

En fait, le plus intéressant pour moi, c'est après la séance, après l'effort, le réconfort: les vestiaires et la salle de douche.
Je ne suis pas particulièrement pudique, et c'est sans aucune gêne que j'imite mes compagnons de sport, en me promenant à poil au milieu de ce lot de jeunes mâles, le temps de se doucher et de s'habiller. Bien sûr, je mate, l'air de rien, pas trop quand même car je ne voudrais me taper une trique d'enfer devant tous, en fantasmant sur ces queues molles qui se balancent sous mes yeux et avec lesquelles je pourrais jouer. Mais il m'arrive de m'astiquer en y repensant.

Deux mois se sont écoulés, je connais quasiment tout le monde, sauf en ce vendredi soir d'hiver, où je découvre Nicolas, la dernière recrue. Nous sommes très peu ce soir là, il fait froid, on est proche de Noël. Il vient de débarquer en Normandie et d'acheter une maison, en tant qu'architecte, le dial s'ouvre facilement, on papote beaucoup, beaucoup...
Arrivé dans les vestiaires, il n'y a plus que lui et moi. On se déssape et évidement je détaille à fond son corps. Tout ce que j'aime ! Brun assez poilu, grand, bien foutu, une belle gueule et une bite très prometteuse, des fesses dodues comme il faut ! Humm je craque....
Je file en vitesse sous la douche, j'y reste peu de temps, car la vapeur ne réussit pas trop à mes p'tits poumons. Je m'assieds face à l'entrée des douches et peux mater en toute impunité ce mâle de 25 ans qui s'exhibe.

Là je bande comme un âne, ma queue est aussi dure que les barres en fonte que je soulève, et j'ai l'impression que mes bourses sont lestées par le jus qu'elles contiennent depuis 3 ou 4 jours. J'ai une grande serviette de bain qui cache mon état, et dont le maniement délicat sur mon torse pour essuyer l'eau, n'est qu'un prétexte pour, en fait, caresser mon gland turgescent, décalotté et rouge- indigo de plaisir. Je mouille comme un collégien qui va se faire dépuceler.
Nicolas sort enfin de son écran de buée, le corps ruisselant, la bite molle mais décalottée et les couilles ballantes, je l'ai vu se savonner le gland. Hygiénique le mec ! On reprend notre conversation. Je suis toujours sur mon banc, en pénitence, ma serviette en boule sur ma teub raide, il se pavane à 50 cm de moi, je n'ai qu'à tendre la main pour lui saisir la grappe qu'il secoue entre ses cuisses. Si je me penche rapidement je lui gobe les couilles, ou lui avale la queue en un quart de seconde. Il se retourne, et paf ! Je l'encule d'un bond, à fond ! Et lui, il ne remarque rien ! Il reste à poil, comme ça, c'est carrément une incitation au viol, mais je suis clean, alors je joue l'indifférence totale, même si en appuyant légèrement sur ma serviette je sens que ma fente laisse couler mon précieux pré cum.
Le voilà en tee-shirt, le cul toujours à l'air à l'instant où son portable sonne, se retournant et se baissant pour le prendre je vois son beau cul, certainement encore vierge, j'entrevois même sa rondelle. Il est en grande discussion avec madame. Serait-il hétéro ? , Bof! Ça ne prouve rien, je vis bien avec une nana.

Au tel, il arpente de long en large le vestiaire, toujours cul nu, un coup c'est sa bite qu'il m'offre, un coup se sont ses fesses. J'ai quand même réussi a enfilé ma chemise et mes chaussettes. Je ne peux pas rester à poil ad vitam aeternam, et depuis le temps que je me frotte le torse, je suis bien sec. Néanmoins j'ai ce bouchon éponge entre les cuisses qui me sert à la fois de cache sexe et de masturbateur de fortune.
Nicolas est pressé, madame râle pour son retard. Alors il se sauve en un éclair, après avoir enfilé son jogg en quatrième vitesse, faisant disparaitre sa queue sous un claquement d'élastique.

Je me retrouve seul, enfin seul dans les vestiaires, car près de la sortie il y a un petit bureau où sont entreposés le petit matériel et un peu de paperasse, Alain y fait je ne sais quoi en attendant de fermer.
Bon, comme je ne peux pas me branler, même si je suis au bord de l'explosion, je décide de me finir dans ma voiture. Dans 2 minutes je libère mes spermatozoïdes qui sont en ébullition depuis un bon moment. Ca va être la fête à noeud-noeud.
Je ne sais pas si parmi vous, il y a des sportifs, mais j'ai remarqué que la quasi-totalité des gars ne remettent pas leur slip après une douche. On ne remet pas un vêtement dans lequel on a transpiré. Donc c'est direct jeans, ou jogg. J'ai suivi cette pratique, sauf que là, j'ai un véritable chapiteau, la douceur du tissu de mon jogg sur mon gland gonflé à bloc ne fait qu'accroître mon excitation. Avec une proéminence d'environ 20 cm, (j'ai la bite très droite avec un angle droit quand je bande), je ne peux manifestement pas aller saluer Alain sans éveiller les soupçons...
A chaque problème, sa solution : le mieux est de laisser ma queue dépasser de mon jogg, le large élastique va me la plaquer contre le ventre jusqu'au nombril et je porte ma chemise dessus, mon sac de sport dans les bras et hop ! Ni vu ni connu ! Je vais vite pour aller me branler dans mon auto.

- Au revoir Alain, à mardi !
- Attends Laurent ! Tu peux m'aider à déplacer le bureau, pour le mettre au centre de la pièce, et pousser l'armoire dans le coin ? Juste 2 mn
ET merde ..... , pas de bol : - bien-sûr, aucun problème !
Et ma queue dans tout ça? La pauvre qui frétillait toute seule à l'idée que justement c'est dans 2 minutes qu'elle allait connaître l'extase, l'aboutissement de ces interminables minutes d'excitation.
Bah justement là voila la catastrophe, je pose mon sac, je soulève, je pousse... Bref en jouant les déménageurs, mon esprit étant ailleurs, et en bougeant, ma queue s'est dégonflée légèrement, repassant sous son tuteur, l'élastique, elle évolue librement entre mes jambes.
- Mais tu bandes mon gars ! s'écrit Alain
Mais non; mais si ! mais non; mais SI ! Mais Non; arrêtes tu bandes ! Mais Non, d'abord si je bandais, ça ne ferait pas une aussi p'tite bosse.
Déconnes pas tu bandes ! Mais non; mais SI; mais NON, j'ai pas de slip c'est tout! TU BANDES ! Mais non; Mais si, arrêtes ton ciné, tu B A N D E S !
- Mais non; bah fait voir alors ? Hein? Si tu bandes pas fait voir! T'es malade!
Bon bah alors tu bandes! mais non ; bah, fais voir !
Il m'emmerde ce mec! Bon je tire sur l'élastique de mon jogg une fraction de seconde, je ne bande pas voila!
- D'abords j'ai rien vu! Mais je te parie que tu bandes ! C'est Nicolas qui t'as excité ?
- Alain t'es lourd ! Je ne bande pas et j'ai même pas fait attention à ce Nicolas.
- bah fait voir alors !

J'en ai marre, alors j'écarte mon jogg plus longuement, Alain se penche pour constater l'état des lieux. En fait depuis le temps que cela dure, j'ai quand même sérieusement débandé. Cependant je n'ai pas non plus atteint le stade du rabougrissement maximal, mon gland est resté décalotté, la tige est encore un peu gonflée.
- J'avais raison ! Tu bandes !
Alain a saisit mon jogg en le maintenant décollé de ma peau, et surveille mon sexe. Vous voyez le ridicule de la situation ?
Depuis le temps qu'on parle de lui, il s'est réveillé, une légère saccade le fait remonter d'un cran et s'allonger, trahissant mes désirs.
- T'as envie de juter ?
Au stade où l'on est est, ça peut se faire!
Alain a 35ans, plutôt baraqué, ca n'est pas un top modèle comme Nicolas, mais pas mal de type voudrait sans doute être aussi bien que lui. Le genre macho, au crane rasé, carré et bien foutu en shirt et marcel
Assieds-toi sur le bureau ! Ok je me mets à l'angle. Alain prends une chaise et se place devant moi. J'ai le jogg baissé mi-cuisses, la bite à l'air.
Alain le descend jusqu'aux chevilles, puis ses mains puissantes sur mes genoux, m'écartent complètement les cuisses. J'offre une vue panoramique sur ma teub. Je rebande de plus belle devant ce voyeur.
Bah vas-y ! Hein?, t'as envie de juter alors branles-toi ! Caresses-toi !
Ok je commence donc à me tripoter les couilles, le manche.
C'est Nicolas qui t'as excité ? Avoue! -Ok - il est mignon c'est vrai je l'ai déjà vu nu. Tu aurais aimé quoi avec lui ? Enlève ta chemise, caresse toi les seins si tu veux, prends ton temps.

C'est alors une avalanche de questions sur ma vie sexuelle, ce que je fais, avec qui (homme et femme), comment, quelles positions, quand la dernière fois etc. Les questions sont crues, mais j'y réponds sans détour. Cela m'excite et je continue de me masturber. J'ai quelques fois tendances à contracter mes muscles quand j'astique mon manche, ce qui referme un peu mes cuisses, Alain me les ré écarte systématiquement. A moitié allongé sur le bureau et lui étant assis, je ne vois pas s'il bande ou pas. Nous parlons, enfin je parle maintenant de tout ce que j'aurais pu faire avec Nicolas. Excité à mort je sens que la sève monte. Je l'informe de l'éminence de mon éjaculation. Alain retire alors son marcel laissant découvrir un torse un peu poilu, mais surtout bien dessiné. Finalement c'est un canon ce mec!
J'ai la bite en feu, le gland écarlate me parait énorme et ma main qui caresse mon manche m'arrache quelques gémissements. Le rythme s'active, oh oui ça vient ! Je souffle Oh putain comme s'est bon !
Ca y est je lâche ma purée. Une première grosse giclée de jus chaud, gluant, m'asperge le ventre et remonte même jusqu'aux tétons, encore une secousse et un autre flot de sperme jaillit de ma fente pour tremper mon pubis, je jute encore, c'est tellement bon ! Je continue de masser ma queue avec mon jus et me l'étale partout sur le ventre, le torse. Je lèche mes doigts. Complètement barré dans mon trip, je ne fais pas trop attention à Alain. Il bande ou pas ? J'en sais rien. Il est resté assis sereinement.
C'est avec son tee-shirt qu'il m'essuie avec un certain détachement, pas plus d'attention que s'il essuyait de la vaisselle.

T'as bien juté? Ça t'a plus ? T'es salope toi ! De toute façon, maintenant, il connait de A à Z toute ma vie sexuelle, mes fantasmes etc...
A toi, je lui dis. Tu veux que je te suce ? Je te bouffe le cul si t'as envie.
Je viens de jouir, mais après t'avoir sucé tu peux m'enculer si tu veux. Dis-moi ce que tu veux que je te fasse pour te faire cracher ton jus!
Je suis étalé à poil sur le bureau, les jambes écartées, avec une pine qui a repris des dimensions presque normales. Alain se lève enfin, je ne distingue pas son shirt, mais son torse est beau ! Ses bras musclés, puissants. Je me bascule en arrière, remonte et écarte mes cuisses à l'aide de mes mains et lui offre mon cul.
Donnes-moi ta queue, allez baises-moi! Je suis sur que t'as une belle bite, fais la moi sentir dans mon trou, encules-moi! J'ai envie de sentir ton jus ruisseler sur moi. Défonces-moi la rondelle, pêtes-moi le cul à un grand coup de bite!
- t'es vraiment une salope toi !
- vas-y encules- moi bien profond, j'veux d'la bite, d'la bonne bite de mâle
- désolé mec !
- Quoi ?
- désolé, je n'suis pas PD
- tu rigoles ?
- Non, non, je t'assure, je ne suis pas PD, je voulais simplement voir jusqu'où t'irais !
Du coup, je relâche mes cuisses et me lève. Tu plaisantes ?
- pas du tout ! Je voulais juste voir jusqu'où t'irais, moi je ne baise pas avec les mecs.
Putain, il est manifestement très sérieux, je ne me suis jamais trouvé aussi con de ma vie. La Honte ! Et moi qui lui raconte tout ! Quel con !
- t'inquiètes pas me dit-il, je ne dirais rien à personne, et puis t'avais envie de juter, ça t'as plu? Bon alors il n'y pas de problème.
Non, à part que je me péte la honte de m'être astiquer comme un forcené devant ce mec et en plus je lui ouvre mon cul ! N'importe quoi!
Je rentre chez moi, penaud et déconcerté. Remarque c'est vrai que j'ai sacrement bien jouis, mais quel con !

La question se pose est-ce que j'y retourne? Comment on fait la prochaine fois?
Après maintes réflexions, j'ai décidé de poursuivre mon entrainement sportif, et ai revu Alain régulièrement sans qu'il y ait la moindre allusion à ce qui s'était passé, bien qu'à chaque fois que je lui serre la main pour lui dire au revoir, je me vois encore nu sur son bureau.
Il faut vous dire que malgré tout, je n'en suis pas resté là, mais c'est une autre histoire... la semaine prochaine si j'ai le temps, vous aurez la suite

Laurent

laurt@hotmail.fr

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