Cyrillo

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La tentation de Sébastien

Généralement, je ne suis pas trop regardant sur l'âge de mes partenaires, mais je dois avouer que lorsque l'occasion se présente, il n'y a rien que j'aime autant que de baiser un tendre éphèbe, un beau garçon à peine sorti de la puberté.
À 18 ans, le corps est en plein épanouissement, il est délicatement musclé, peu ou pas de poils et surtout, plein de désirs sensuels encore inassouvis. Le corps frêle du garçon porte encore les traces de l'enfance toute proche mais son sexe, souvent énorme en proportion du corps en croissance, proclame son indomptable et juteuse virilité. Ce qui me plaît surtout chez les jeune adultes, c'est qu'ils débordent d'énergie sexuelle et sont prêts à tenter toutes les expériences et découvrir tous les plaisirs. Enfin, le jeune mec a souvent la faculté excitante de pouvoir jouir à répétions, ce qui est un atout certain pour l'homme lubrique et insatiable que je suis.

Voici une aventure délicieuse qui j'ai connue avec un beau jeune homme sans complexes, brûlant de sensualité et, pour ma plus grande satisfaction, grand amateur de plaisirs sexuels avec un homme plus âgé que lui.

Je suis en visite chez Michel, un copain straight qui vit à Québec. Il m'a invité à souper pour me présenter sa petite famille.
À 42 ans, Michel est très bel homme et, tout en mangeant mon steak, j'envie sa bonne femme de se faire mettre par un si bel étalon.
J'espère qu'elle en profite, me dis-je, en me resservant des petits pois.
Durant le souper, j'apprends que la nouvelle compagne de Michel a eu un garçon d'une première liaison. Je dresse l'oreille, curieux de faire sa connaissance, mais le garçon n'est pas là, sans doute sorti chez des copains.
Ce soir-là, je reste à coucher chez eux. La chambre d'invités, en fait le bureau de Michel, est située à l'arrière de la maison et on y accède par la cuisine.

Durant la nuit, j'entends du bruit dans la cuisine. Je me lève et allume la lumière. Un beau garçon de 18 ou 19 ans est là, devant moi, flambant nu, appuyé nonchalamment sur le comptoir, exposant sans pudeur son corps svelte et lisse.
Il est surpris naturellement car il ne s'attendait pas de me voir.
Je me présente et nous jasons un moment. Il m'explique qu'il est descendu manger un peu avant de prendre une douche et d'aller dormir.
Je me rends bien compte que je suis tout nu moi aussi et que si on nous surprenant, cela pourrait avoir l'air étrange.
Tout en me parlant, le garçon ne fait aucun mystère de sa fascination pour mon sexe, peut-être parce que je me rase complètement la région. D'ailleurs, devant tant de jeune beauté animale, ma queue a tendance à prendre du volume pour montrer sa satisfaction.

Sébastien est tout à fait charmant, il sourit de façon enjôleuse. Ses lèvres pulpeuses ont certainement l'habitude de baiser malgré son jeune âge. Ses yeux cochons savent comment séduire un homme plus mûr. Il lit le désir dans mon regard appuyé sur son corps et il semble en être excité. Je commence à bander parce que je trouve ce jeune mec très sexy. Je n'ai plus qu'une obsession : comment amener cet éphèbe à s'étendre sous moi pour une nuit de caresses, de baiser et de volupté.

Il a un beau corps lisse et finement musclé, des tétons alléchants comme des bonbons, une belle queue qui renfle doucement. J'aimerais bien la lui bouffer se petite queue juteuse, et lui manger la poche d'un beau brun foncé qui sent si bon le sexe. Le garçon a eu chaud et ne sent sûrement pas encore lavé d'où l'entêtant parfum de sexe mâle que son entre jambe dégage.
Quant à ses petites fesses blanches, fermes et lisses, elles sont faites pour l'amour et les plus tendres voluptés.
Justement, Sébastien s'étire pour atteindre un verre sur la dernière tablette d'une armoire. Je me régale de la vue de son corps mince mais proportionné, et de ses fesses blanches aux lobes parfaits. Conscient que je le dévore des yeux, le garçon pose un genoux sur le comptoir afin de se hisser, offrant à mes yeux lubriques une vue imprenable dans la craque de ses fesses écartées et sur son anus humide qui luit comme un bouton de rose.
Soudain je n'ai plus qu'un but dans la vie: enfoncer ma queue dans ce petit cul tendre et innocent et le fourrer jusqu'à l'extase.

S'il a voulu me provoquer, il a réussi car je bande incontrôlable ment maintenant. Je ne m'en cache pas et mon pénis se dresse de toute sa longueur. Sébastien est assis sur le comptoir et grignote un biscuit en buvant un verre de lait. Il me dévisage en souriant et promène son regard partout sur mon corps en prenant des poses lascives pour bien mettre en évidence tous les charmes de son jeune physique.
Je m'approche de lui et il place ses jambes autour de mes cuisses. Il regarde mon sexe vibrant avec fascination.
- Tu en as une crisse de belle chuchotte-t-il.
D'un doigt expert, il caresse délicatement mon gland qui laisse couler un peu de liquide. Il prend une dernière gorgée de lait mais laisse couler le liquide sur son menton puis sur sa poitrine. Le lait descend lentement entre ses pectoraux et coule vers son nombril.
- Il ne faut pas laisser perdre ça, murmure le garçon, les yeux mi-clos.
Je réponds à l'invitation et pose mes lèvres sur sa poitrine et lèche la coulée de lait. Il respire profondément, faisant gonfler sa cage thoracique et pressant son torse contre ma bouche gourmande. Mes mains chaudes caressent ses cuisses qui enserrent mes hanches. Je perçois les battements rapides de son coeur. Sa peau est douce et chaude contre mes paumes. Il effleure mon gland gonflé à bloc de ses doigts et murmure,
- Les femelles donnent du lait, mais les mâles, de la crème !
- Tu peux le dire mon beau, et j'adore la crème de mâle !

Je l'arrête car je ne veux pas éjaculer tout de suite. Sébastien lève ses bras derrière la tête, m'offrant complètement sa frêle poitrine. Ses petits seins durcissent entre mes doigts. Je les caresse et les frotte avec insistance. Le garçon ondule lascivement du corps, les yeux fermés et la bouche humide, ouverte. Ses mamelons sont si durs maintenant que les pointes blanchissent. Ils ont délicatement pour faire frissonner et gémir le garçon de plaisir. En quelques minutes, j'ai développé une brûlante passion pour ce garçon sensuel. Il est si beau, si désirable et, de toute évidence, il ne répugne pas au plaisir charnel avec un autre mâle, alors à moi d'en profiter.

Sébastien est bandé raide maintenant et sa belle queue se dresse contre son bas-ventre. Le gland humide atteint presque le nombril. Alors je l'attire à moi et le serre contre mon corps haletant, je pose mes lèvres sur sa bouche et il s'abandonne aussitôt. Pendant que nos bouches se dévorent, mes mains glissent le long de ses flancs étroits et s'emparent de ses fesses.
Ah! Les fesses d'un beau garçon quelle splendeur ! Quel régal! Je les caresse, les pétris, les palpe amoureusement, puis, alors que nos queues dressées l'une contre l'autre se croisent et se frottent comme deux glaives glorieux, j'écarte ses miches et effleure l'anus humide du bout du doigt.

Alors Sébastien ne se possède plus, il gémit et se tortille si bien que je ne doute plus des étourdissantes voluptés qui nous attendent. Ce gentil garçon brûle de se faire fourrer dans le cul, il désire se faire mettre et moi, j'ai le goût de le satisfaire.
Je l'entraîne dans la chambre.

Sébastien est si excité qu'il m'attire contre lui alors qu'il se laisse tomber sur le lit. Je m'étends sur lui et me vautre avec délices sur le corps voluptueux du garçon. Je l'embrasse partout, affolé par l'odeur enivrante de sa peau en sueur. J'ai une main sur sa poche duvetée et je joue avec ses gosses. Ses longues jambes largement écartées bandées raide, les seins pointés, Sébastien se trémousse et se tortille si bien qu'il jouit avec profusion. Je sens son petit corps s'arc-bouter sous la force de son orgasme, il s'accroche à moi, ses ongles me grafignent, il me mord les oreilles et le cou tellement il jouit avec ardeur. La pression de mon sexe sur le sien l'a fait éclater comme un gros fruit mûr. Je sens les jets de sperme chaud gicler sur mon ventre. J'ai très envie de me laisser aller et de rejoindre le garçon dans la volupté, mais je me retiens car son petit cul blanc est un morceau de choix et j'ai bien envie d'y goûter.
De toutes les voluptés charnelles, la plus intense et la plus satisfaisante est, selon moi, la sodomisation lascive d'un jeune homme consentant.
Empaler un oison frémissant sur sa queue rigide et pulsante et le conduire peu à peu au paroxysme de la volupté anale, rien de plus excitant. La sensation de possession complète du jeune mâle est grisante et la jouissance tout au fond de son rectum chauffé à blanc n'en est que plus étourdissante.

Sensuel il s'offre à moi non seulement sans résistance, mais avec tout l'enthousiasme de sa jeunesse. Il se tourne à plat ventre sur le lit et pointe son mignon derrière vers moi. Je baise ses jolies fesses, je lèche le fond de sa craque au parfum musqué, je force l'ouverture avec ma langue. J'ai toujours du lubrifiant dans mes bagages. Je prends plaisir à en enduire soigneusement son anus tiède, le pénétrant avec mes doigts, l'excitant jusqu'à ce qu'il me supplie d'assouvir son désir et de l'enculer.
Enfin, mon pénis s'enfonce entre ses petites fesses crémeuses comme un couteau chaud dans du beurre. Le garçon étouffe ses gémissements dans l'oreiller. Lorsque mes couilles touchent ses fesses je pause un moment, me retire un peu puis le darde jusqu'au fond, en pensant que jamais mon pénis ne s'est senti aussi chez lui que dans le cul serré de ce minet.
Je le fourre longuement, lentement, amoureusement. Le garçon nu gémit et frétille de plaisir pendant que je le sodomise allègrement. Couché sur lui, je le cloue au matelas et savoure chaque seconde de la volupté que me procure l'extraordinaire sensation de l'enculer.

Manifestement, le garçon n'en est pas à sa première expérience. Il s'ouvre lorsque je l'enfonce se serre son sphincter autour de mon pénis lorsque je me retire. À plusieurs reprises, je me retire complètement pour reprendre mon souffle et contempler son petit derrière si mignon, avant de replonger avec délices dans son rectum étroit. IL pousse un râle de volupté à chaque fois. Il aime se faire fourrer dans le cul, le petit cochon, et moi, j'aime ça encore plus que lui, si c'est possible.

Notre plaisir devient insoutenable. Je serre le corps du garçon contre moi, enveloppant son sexe tendu à éclater d'une main et de l'autre, je caresse les pointes de ses seins. En quelques secondes, Sébastien se cambre et jouit, le corps secoué de spasmes. Je sens son sperme chaud et gluant couler dans ma main et un raz-de-marée de plaisir me submerge alors que je décharge à fond dans son derrière de garçon. Salve après salve, mon pénis gicle mon sperme bouillonnant tout au fond de ce petit cul qui se trémousse. Notre volupté est totale et complète.
Nous restons un long moment immobiles, moi toujours étendu sur lui, les bras et les jambes chaque côté de son corps, ma verge encore enfoncée dans son rectum. Déjà l'extase s'estompe et nous reprenons notre souffle. C'est si bon que je resterais toujours dans cette position, le jeune mec et moi soudés à jamais.
Quelques instant plus tard, le garçon se rend discrètement à la salle de bain pour ne pas réveiller personne. Il revient dans ma chambre portant une serviette humide avec laquelle il me nettoie. Lorsqu'il s'étend contre moi, je le serre dans mes bras et nous nous embrassons en chuchotant.

Sébastien m'apprendra que son beau-père, mon copain Michel, l'a initié au sexe entre hommes il y a plusieurs mois.
- Il me baise en en échange, j'ai la permission d'utiliser se Corvette.
- Il a une petite quéquette, le beau Michel ?
- Pa pire, mais pas aussi grosse que la tienne.
Et il plongea ses deux mains entre mes cuisses, me caressant délicieusement avant de continuer.
- C'est un bon deal. Il m'a payé mes cours de conduite, mon permis et mes assurances.
- Ta mère ne sait rien de tout ça?
- Non. Il faudrait pas ! Elle est tellement contente de voir qu'on s'entend bien son chum et moi.
- Qu'est-ce qu'il te fait, le beau Michel quand il te baise ?
- Un peu comme toi, mon cochon, il aime me fourrer dans le cul. Au début ça faisait mal, mais maintenant, je suis habitué et, comme tu as pu voir, j'aime ça.
- Tu peux le dire que t'aimes ça, petite salope, par moments je croyais que tu allais m'arracher la queue !
Pendant que nous parlons doucement, je glisse une main entre ses cuisses, puis entre ses fesses chaudes, et je lui rentre mon index dans son petit trou de cul.
- Et ta petite amie ?
- Elle se doute de rien, du moins je crois
- Tu la baises ?
- Bien sûr, 2 ou 3 fois par semaine. Elle a de beaux petits seins qui pointent quand je les suce. Quand je la fourre, je lui pince les mamelons et ça la rend folle de plaisir. Elle peut jouir 3 ou 4 fois de suite. Mais moi, j'ai de la misère à venir. Je trouve son corps trop mou. J'aimerais mieux la mettre dans les fesses, mais ma blonde aime rien faire avec le cul. En plus, elle ne comprend pas que moi aussi j'ai les tétons sensibles et que j'aime me les faire caresser.
- Comme ça ? et j'effleure les pointes de ses petit mamelons durs.
- Ouais, c'est bon...
- Je vois ça, tu bandes encore...
- Mmm frotte mes tits... plus fort... oui... comme ça! Woe, tu as le tour de me faire jouir des seins.
- Je pratique souvent sur les miens et je sais ce que tu ressens.
- C'est vrai que tu en as des gros. Je peux les sucer ?
Il se jette sur mes mamelons avec avidité et je sens avec plaisir sa bouche mouiller mes seins, il les tète, les excite avec sa langue râpeuse, les mordille du bout des dents. Une onde continue de volupté irradie de mes tétons hypersensibles dans tout mon corps et se concentre dans mon sexe et mon anus.
- Wow que tu suces bien, mon beau, aimerais-tu m'enculer maintenant?
- Depuis le temps que j'ai envie de fourrer un mec... Michel veux pas lui.
Je suis très excité. Je lui offre mon cul à quatre pattes sur le lit. Aussitôt, je sens avec délices le dard vigoureux de Sébastien glisser entre mes fesses et s'introduire dans mon anus gourmand.

Je ressens une indicible volupté pendant que sa queue s'enfonce profondément dans mon cul. L'ardeur de ce garçon compense son inexpérience et il me baise avec la vigueur de la jeunesse.
Son pénis insatiable me ravage le rectum, excité ma prostate, fait monter ma jouissance jusqu'à l'explosion de l'orgasme anal.
Cette fois encore, nous venons ensemble, lui dans mon fondement et moi sur le drap, nos corps vibrant de plaisir sexuel. Son jeune sperme gicle et remplit mon cul de sa douceur crémeuse. Je serre mon anus autour de sa queue que je voudrais garder en moi. Tout au plaisir d'enculer un mec, Sébastien infatigable continue de se faire aller le bassin, son sexe coulissant dans mon trou comme un piston bien huilé
- Comment y'aime ça le mononc' se faire fourrer dans le cul par un petit jeune ?
- Il adore ça ! Continue ! Bourre-moi, pt'it mec !

Sébastien est bien décidé à profiter au maximum de l'occasion et il me fourre dans toutes les positions sans débander, mais sans atteindre l'orgasme non plus. Finalement, je le baise en position du missionnaire, lui sur le dos, et moi couché sur lui, enlaçant étroitement son corps mince de mes bras et mes jambes. Tout en le frenchant à pleine bouche, je frotte mon sexe bandé sur sa queue et sa poche. Le garçon râle de plaisir, s'abandonnant totalement à la plus intime des caresses, nos corps soudés dans l'amour. Cette dernière extase est particulièrement sensuelle et langoureuse, comme celle des amants.
Épuisé et repu, Il se blottit dans mes bras et s'endort aussitôt comme un bébé. Dans quelques heures, je devrai me séparer de ce garçon, me priver de la chaleur de son corps, de la douceur de ses caresses, de l'ivresse de ses baisers. Il me faudra le chasser de mon lit et le renvoyer dans sa chambre. Que diraient ses parents, s'ils nous surprenaient ensemble !
Je somnole en imaginant que nous somme tous les deux sur une île déserte et que nous faisons l'amour à la journée longue, ne prenant un peu de repos que pour mieux baiser.
Mon copain Michel est bien chanceux d'avoir à sa disposition pour ses menus plaisirs un jeune éphèbe si beau et dont le petit cul est si doué pour la baise

(fin)

noix7156

norlaf46@hotmail.com

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