Cyrillo

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Le train du plaisir -2

Le train du plaisir II

Je lui proposais de descendre à la prochaine gare, là ou mon trajet se termine. Il accepta, à mon plus grand plaisir.
"-Viens chez moi, ti tu en as envie" lui dis-je.
"-J'attendais que tu me le propose, je suis pas de la région et je cherche un hôtel pour deux nuits."
"-Tu peux les passer chez moi ces deux nuits...."
Il dit oui à mon plus grand plaisir.... et au sien aussi....

J'entends du bruit dans le wagon, sans doute le contrôleur... Il retira sa main de mon short et je me rhabillais.
Arrivé à la gare, nous descendons du train. Nous nous regardons avec insistance....Ma maison se situe à dix minutes à pied de la gare et nous devons traverser une petite forêt.

A peine entré dans la forêt, il me plaqua contre un arbre et me roula un pelle royale.....J'enlevais ma liquette sans manche (c'est pratique ces liquettes, c'est vite enlevé !!!) et me retrouva torse nu contre lui. hmm quel régal...Il en fit de même et nous sentions la chaleur de nos deux torses totalement imberbe... Il bandais encore plus fort que moi !
je commençais à lui faire de petits bisous sur le haut de son torse, en descendant lentement et voluptueusement vers le bas. je lui descendis son bermuda et son slip et pris sa queue dans ma main...Quel bonheur, une bite pareille....19 cm au moins...
"-ma bite est autant grande que la tienne" me dit-il.
Il avait commencer à me branler dans le train et il avait aimer ma grosse bite. Elle mesure 20cm.
je le masturbais une ou deux minutes et n'y tenant plus, je pris son engin dans ma bouche et le suça langoureusement....
"-Allons vite chez moi, on y sera mieux"
"-OK"
Nous nous rhabillons donc et parcourons avec impatience le trajet jusqu'à mon domicile.
J'ouvris la porte de ma maison et lui dit d'aller s'installer sur le divan du salon. Je vais dans la cuisine chercher deux bières et je reviens au salon.
Il était coucher complètement nu sur mon divan. Ses jambes écartées me dévoilaient un anus sans un poil qui attendait que ma queue. je ne puis y resister... Une capote, un peu de gel et je l'enfilais. Il poussa de petits cris au fur et à mesure de mes mouvements de bassin.

Joey

quadrax@hotmail.com

Suite de l'histoire

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