Cyrillo

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Un homme

Il est là dans la pénombre.
Il est minuit, il attend un hypothétique rendez vous.
Il est allongé sur la table, dehors, l'aire de repos est déserte.
A la lumière lointaine d'un lampadaire je distingue ses larges cuisses poilues, son short en satin adidas noir, il est torse nu, un mince filet de poils remonte de son short vers ses pectoraux.
Ses bras sont repliés sous sa tête, il respire lentement scrutant les étoiles, une abondante toison dépasse de ses aisselles, il respire la puissance et la force.
Ses biceps m'impressionnent, ils sont veinés comme j'aime, la bonne de son short est franche et bien proéminente.

De temps en temps il touche son sexe au travers du short et respire profondément, il sent l'homme, il est sûrement hétéro, et je cours un risque de l'aborder comme ça. Avec un culot inconnu je m'assoie sur le banc et je lui fais face.
Il ne me regarde même pas, et se triture le sexe qui semble prendre des proportions qui me font peur. Je reste là fasciné par l'homme. alors il prends la direction des opérations, il s'assoie sur la table devant moi, ses deux jambes reposent sur le banc comme m'emprisonnant entre un puissant étau.
- que veux tu au juste, tu me dragues ? me dit dit il d'une voix forte et puissante, j'aime pas les pédés tu sais ?
- euh non, c'est la seule table de l'aire de repos tu vois bien ! et puis je ne suis pas homo. (rouge de honte)

pendant ce temps il s'étire en arrière, faisant jouer de superbes abdos, et serrant ses cuisses comme pour mieux me serrer.
Sans gène il se leva directement sur le banc, me faisant toucher avec son visage son gros paquet, descendit son short, son sexe me frappa au visage, et se rassit devant moi.
Il se penchant en arrière s'appuyant sur ses bras et me dit avec autorité - caresse moi petit pédé, ma femme est absente ce soir et je vais chez mes parents tout à l'heure. J'ai besoin de juter.

Sans me faire prier je commence par ses deux cuisses très velues, d'un poils noir très dru, mon sexe grandit instantanément dans mon short à me faire mal.
Il sent le sportif accompli, ses cuisses sont larges, puissantes, bien veinées, je remonte sur le coté vers ses aisselles, je sens son odeur forte de sueur et d'homme, puis avec la langue je suce ses poils des abdos. En me penchant vers lui je sens sa chaleur et cela me fais tourner la tête ; il sent vraiment bon le mâle. Cette odeur m'affole et je descend avec ma langue de ses pectoraux vers son sexe.
Je le rencontre à hauteur de son nombril très fourni en poils. Il me semble assez massif, avec un gland non encore décalotté. J'ouvre la bouche au maximum et essaye de le décalotter comme ça. Il me dit ben dis moi ptit pédé tu sais y faire, même ma femme ne sait pas le faire. Je sens en même temps mon anus qui s'ouvre largement, je me retire de la table et décide de me mettre tout nu.

Mon sexe est enfin libéré de l'emprise du slip, et il se dresse face au splendide mec qui attend la suite des événements.
Je dois préciser que je ne suis pas un apollon, plutôt bedonnant, et pas trop gâté par la nature, mais ça n'a pas l'air de rebuter mon gars en face qui me dit fermement : viens me lécher connard ! grosse pédale.
Pour le faire taire je lui roule le meilleur pain du monde, nos deux bites se rencontrent enfin, ça m'arrache un gémissement de plaisir et d'inquiétude car la masse qui s'en dégage est vraiment impressionnante.

Lui n'a pas bougé toujours en arrière sur ses bras, sur la table, les cuisses bien écartées et une queue monumentale palpitante, des couilles très serrées,
Bien décidé à en profiter, je l'allonge sur la table, et entreprend de le sucer gorge profonde. en vain son membre m'étouffe et je manque de vomir.
Sans perdre espoir, je farfouille dans mon short, sors une capote lubrifiées taille large, lui enfile puis lui suce les couilles avec insistance.
Il ne dit rien pour la capote, je prends ça pour un encouragement, et je le chevauche maintenant en lui suçant sa langue. Je sens sa grosse bite qui palpite contre mes abdos et qui ridiculise la mienne. son contact me donne des frissons, puis soudainement avec ses deux jambes il m'emprisonne contre lui, ses talons écartent mes fesses, et la légère brise rafraîchit mon trou du cul bien ouvert et disponible.

Je me redresse et m'assoie sur sa pine, toujours plaquée contre lui, il me doigte un peu et me dit je vais me faire un petit pédé.
Il crache sur sa bite, me lève un peu puis me demande assoie toi dessus maintenant.
L'ordre est ferme et impérieux.
Le bout de son gland encapuchonné touche mon anus, et inconsciemment je me laisse doucement tomber sur ce mas de chair palpitant.

J'en ai le souffle coupé, il me semble que je m'empale sur une bite d'amarrage. la progression est lente mais de temps en temps il soulève son bassin pour accélérer le travail. J'ai complètement débandé et je vois des étoiles. N'en tenant plus sûrement il m'attrape aux hanches et d'un coup d'un seul il engloutit tout son chibre dans mes entrailles. Ses couilles tapent contre mon cul et il pousse un soupir de soulagement.

J'ai l'impression que je suis déchiré. et que du sang perle sur ses cuisses. Et puis imperceptiblement il commence son pilonnage, d'abord très doucement puis il me demande de me soulever pour mieux m'empaler sur son membre. J'obéis comme un fou, inconscient des ravages de cette bite immenses.

Je sens d'autres mains derrière moi qui me touchent, qui m'évalue, qui touche ma queue la sienne qui me laboure le cul, un gars se met au dessus de lui et m'enfourne sa bite dans ma bouche, un autre essaye d'enfourner un doigt avec la grosse bite, je suis écartelé, offert à n'importe qui.
Son pilonnage commence à me donner du plaisir et comme une lame de fonds j'éjacule sur son torse sans m'être touché.
Cette jouissance accentue encore plus sa pénétration, et je sens la capote qui se rempli de son jus précieux.

Honteux il retire violemment sa queue immense, ce qui me fait hurler, et puis rassemblant ses affaires il court devant lui me laissant hébété, rassasié, devant trois mecs qui me regardent avec envie et admiration.
Je peux à peine me rhabiller, je sens que je saigne mais la douleur est moins forte que le bonheur

Je sens son odeur sur moi, et me sens femelle comblée.

Rêve ou réalité, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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