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Un gros Havane

Alors que tous les médias parlent en ce moment du voyage "historique" d'un président français à Cuba, l'évocation de cette île évoque pour moi, immédiatement, l'extraordinaire voyage que je fis, il y a 5 ou 6 ans, dans ce qu'il faut bien appeler le "bijou de la Mer des Caraïbes". Extraordinaire à plusieurs titres ce voyage : à cause de la découverte d'un splendide pays, comme arrêté dans le temps; extraordinaire aussi pour l'hospitalité et l'amabilité de ses habitants; extraordinaire enfin pour la beauté de ses jeunes hommes, qu'ils soient noirs ou mulâtres, au physique sensuel, félin, parfait... et à la fougue et au sourire ravageurs. Sans doute les Cubains représentent-ils désormais pour moi l'idéal masculin, la beauté au naturel, la perfection en amour ! Ce jugement si positif je l'ai forgé précisément au cours de ce voyage, après, entre autres, une expérience sexuelle, qui constitua un véritable point culminant dans la jouissance, et qui pour la première fois me fit comprendre ce qu'est le "climax" dans un rapport charnel avec un garçon. Bien sûr, les métis, les latinos tout particulièrement, m'ont depuis mon adolescence attiré et, dès mes premières expériences, m'ont donné un bonheur peu commun. Tous les latinos sont, très jeunes, très expérimentés et se laissent aller au plaisir, sans retenue, quel ou quelle que soit leur partenaire... Mais les Cubains, me semble-t-il, surpassent tous les autres jeunes hommes de ce continent, dès qu'ils sont au lit !! Même les Brésiliens, ou les Colombiens, pourtant suprêmement doués en la matière, ne sont pas toujours capables de tels exploits au lit...

Bref, sur le conseil d'un ami, qui au départ devait m'accompagner, je suis parti visiter cette île paradisiaque tout seul, bien décidé à en découvrir toutes les beautés. J'avais réservé mes hôtels depuis la France; ce qui n'était pas une excellente idée, car dans aucune des villes visitées je n'ai pu faire monter dans ma chambre mes conquêtes locales... Par chance, les jeunes Cubains ont toujours des solutions "de fortune", pour que l'on puisse apprécier leurs charmes et leurs prouesses. C'est à La Havane, au tout début de mon séjour, que j'ai vécu l'expérience la plus inoubliable de mon voyage. Dès la sortie de l'aéroport, j'ai été plongé dans une moiteur assez étouffante et je me suis demandé comment tous ces cyclistes arrivaient à pédaler dans une chaleur pareille. Les vieilles bagnoles, que j'avais vues sur des photos ou à la télé, étaient bien les véhicules les plus nombreux, avec les camions, chargés de passagers debout, hommes et femmes mélangées. La température très élevée avait au moins un avantage, les hommes et les garçons plus jeunes étaient souvent torse nu, et je pouvais ainsi apprécier les peaux brunes ou dorées de ces dizaines de jeunes mâles, aux corps sveltes et aux muscles bien dessinés. Quel spectacle d'emblée ! Au fur et à mesure que l'on se rapprochait du centre-ville, les vieux palais défraîchis, presque en ruines pour certains, rappelaient le faste de la capitale d'autrefois. Beaucoup de monde dans la rue; la ville me parut extrêmement vivante. L'hôtel était correct, sans plus. Je n'ai pas traîné dans ma chambre : je n'avais qu'une hâte, sortir, visiter, aller au plus près de cette foule si colorée. L'hôtel, je l'ai constaté avec satisfaction, était bien, comme annoncé sur internet, à quelques dizaines de mètres du "Malecon", ce bord de mer si fréquenté par les autochtones, après le boulot.

Il est un peu plus de six heures, il ne va pas tarder à faire nuit. C'est donc le bon moment pour un premier contact avec cette ville, l'heure d'aller voir les habitants vivre ! Je fais un petit tour, en suivant le mur qui longe la mer, dans un sens, puis dans l'autre, revenant sur mes pas sans quitter le bord de mer. Je me rends compte que la ville est assez étendue, et, si j'en juge par les gens que je rencontre sur le Malecon, sa population majoritairement masculine. Les femmes aperçues sont au bras de leur fiancé (?) ou de leur mari. En revanche des tas d'adolescents mâles se baladent par deux, trois, ou plus, certains me souriant quand je les croise. Sans doute sont-ils en quête d'un touriste friand de chair fraîche... Tous de beaux spécimens masculins en devenir, sans aucun doute, mais encore trop tendres pour moi. Dans quelques années, quand ils auront acquis l'expérience de leurs aînés, je ne dis pas... ils seront alors sûrement plus à mon goût. Je décide de m'asseoir sur le muret et de regarder passer les gens. Le temps est toujours très chaud, malgré la tombée du jour, et tous ces hommes au torse nu qui passent devant moi, sont c'est sûr responsables de cette température corporelle exceptionnellement élevée qui est la mienne... Tiens, un garçon à la peau très foncée s'est assis sur le mur, à quelques mètres de moi. Je ne peux m'empêcher de tourner sans cesse la tête dans sa direction. Il doit avoir entre 25 et 30 ans... Le genre de gars qui risque de me déclencher très vite un infarctus du myocarde. A force de le mater, nos regards finissent par se croiser... Il me sourit. J'esquisse moi aussi un sourire, un peu crispé... Ce n'est pas que je sois timide, encore moins que je ne le trouve pas séduisant... Non, c'est simplement de la gêne, je doute de moi... Comment un mec aussi canon, aussi viril, aussi jeune aussi, peut-il avoir envie d'entrer en contact avec un touriste dans mon genre ? Je n'ose plus tourner la tête vers lui : ce doit être un gigolo... il va me demander du fric... et m'expédier après s'être fait sucer dans un coin sombre pendant quelques minutes à peine. Voilà tout ce qui m'attend avec ce genre de gars. Je cherche un tout autre type de rapport... quelqu'un avec qui parler d'abord, du pays, de la ville, des beautés naturelles de l'île... établir peu à peu un climat de confiance entre nous, et si, enfin, il accepte de me laisser découvrir ses attraits les plus intimes, lui donner du plaisir... beaucoup de plaisir... ce qui revient à dire ME donner du plaisir !

Comprenant que j'aurai du mal à faire le premier pas, il s'approche de moi, me salue poliment... Je réponds aussitôt, pas question de faire le prétentieux, trop ravi d'être si vite en face d'un vrai beau jeune homme. Il me demande d'où je viens, déclare adorer la France, etc, etc. L'échange typique, très convenu, mais inévitable pour engager la conversation. J'apprends comme çà son prénom : Orlando. C'est un mulâtre, métis de noir et de latino, un bel homme de 1,75 m à 1,80 m, la peau foncée, avec des cheveux courts, frisés, des dents très blanches, des lèvres pulpeuses. C'est un beau jeune à la fois très viril et au regard tendre, presque triste... Plus je le regarde, plus je le trouve sexy. Pourtant rien dans sa tenue vestimentaire n'a été choisi pour attirer l'attention : pas de jeans moulant ses cuisses, son cul et son paquet, comme beaucoup de jeunes qui n'arrêtent pas de défiler sur le Malecon... Il porte un pantalon de toile beige, assez ample, et un polo bleu pétrole, qui, non plus, ne souligne pas ses pectoraux. Pourtant, vu les muscles de ses bras, il doit avoir un torse puissant, et bien d'autres atouts physiques. Je ne peux qu'imaginer ce que ses fringues cachent à mes yeux, mais je suis d'ores et déjà certain que si j'ai le bonheur de les lui enlever je ne serai pas déçu ! Il me propose de faire quelques pas ensemble. Mon espagnol, très scolaire est laborieux, mais il semble comprendre ce que je lui dis, à moins qu'il soit particulièrement poli ! Il m'emmène de l'autre côté, nous nous asseyons sur un banc, d'où l'on peut contempler les dernières rougeurs du coucher de soleil. Il me raconte qu'il a été marié, à cause de l'arrivée inattendue d'un bébé... Il vit seul depuis la séparation d'avec sa femme et de sa petite fille. Je bois ses paroles; il me raconte des tas d'histoires de son pays, me semble être très optimiste, heureux de sa vie. Je lui demande comment il fait depuis qu'il vit seul, sans femme. Il sourit, comprenant le sous-entendu, puis me dit qu'il se débrouille... que les occasions de s'amuser ne sont pas rares à Cuba et qu'il n'aime en rater aucune... Je me demande si c'est une allusion à ce que nous pourrions faire ensemble... Je lui propose de m'accompagner le prochain week-end, pour me faire découvrir les beautés de son île. Je lui précise que, bien entendu, je lui donnerai un bon pourboire pour rétribuer ses services de guide. Il me sourit, me donne rendez-vous à 17 h, le lendemain vendredi, quand il sortira de son boulot. Inutile de dire qu'une fois rentré à l'hôtel, j'ai dîné en vitesse et me suis couché en rêvassant à ce superbe corps bronzé, caché sous ses vêtements, et tout le bonheur qu'il me donnerait si j'arrivais à me faire prendre par lui... Je suis tellement excité, que je dois me branler face à la glace de la salle de bain pour arriver à trouver enfin le sommeil.

Le vendredi après-midi il est arrivé à 5 heures pile et m'a proposé de faire le tour de la ville en "camello", cet espèce de bus composé de deux longues voitures réunies par un soufflet. On prend un "camello" devant le cinéma Paire. A l'intérieur, il fait une chaleur insupportable, car les vitres ne s'ouvrent pas et pas un souffle d'air n'y circule ... Il y a beaucoup de monde, dans ce moyen de transport populaire, et on se tient tous les deux debout, accrochés à la barre du plafond. Je mate tous les beaux mecs qui entrent et descendent. Vu la foule, je ne vois quasiment rien du paysage; mais le spectacle des Cubains vaut le déplacement. Pour ne pas nous perdre, Orlando s'est placé derrière moi : je sens son corps frôler le mien à chaque arrêt un peu brusque du "camello". Un coup de frein plus fort nous colle carrément l'un contre l'autre : je sens nettement son paquet entre mes fesses. Au lieu de se détacher, Orlando pousse bien son sexe contre mon cul. Il bande, ma parole ! Je ne vais pas m'en plaindre... la foule nous protége des regards. Orlando doit y prendre du plaisir, car il continue de frotter son paquet contre mes fesses; il sait y faire, le coquin, me faisant bien sentir la raideur de son sexe, à la faveur des mouvements des passagers ballotés par les irrégularités du macadam et les virages mal négociés par le chauffeur. Je bande, mais heureusement je porte des vêtements serrés qui ne laissent rien paraître. Orlando me glisse à l'oreille que nous descendons à la prochaine.

Une fois sur le trottoir, profitant que personne ne se trouve trop près de nous, il me dit en clignant de l'oeil : "je vois que tu aimes la "candela" (littéralement la "chandelle", en fait la verge...). Je me tourne vers lui, et, un sourire en coin, lui réponds : "et toi, j'ai vu que tu aimes mon cul...!" On éclate de rire tous les deux. "Mila chico, por un regalo, puedo hacelte todo lo que quielas..." (= Ecoute gars, pour un petit cadeau je peux te faire ce que tu veux). Comme tous les gens des Caraïbes, il ne prononce pas les "r", qui deviennent des "l" dans sa bouche. Cette phrase me remplit de bonheur ; je crois que mon rêve va se réaliser. Je l'interroge ; "De quelle sorte de cadeau tu parles ?" "Ecoute, tu me donnes trente dollars, et je m'achète mon cadeau..." Il mérite bien ce cadeau, mon bel Orlando, et j'ai déjà la trique à l'idée qu'il se déclare prêt à me faire jouir comme je veux. On continue à pied, dans des rues très pauvres, où des gamins jouent au ballon. Orlando s'arrête à une espèce de petite épicerie et achète des bières. Et sans parler de sexe, nous nous dirigeons vers chez lui. Son immeuble est plutôt en mauvais état, et pour monter nous empruntons un escalier dont les marches ont été réparées plusieurs fois avec des carrelages dépareillés et finalement par du ciment brut. Sa porte est fermée par deux cadenas. Chez lui, il fait assez sombre; on entre par une petite pièce servant de cuisine : un réchaud à gaz, une table encombrée, un petit meuble, un vieux frigo, un évier en pierre. Ce n'est pas le luxe, mais pas bordélique du tout pour un appart de mec seul. La cuisine donne sur une chambre de très petites dimensions. Le lit est très bas, un portant avec des vêtements, une commode, une petite table, une lampe de chevet posée sur le sol. Tout me paraît propre, même si le lit est sommairement fait. La fenêtre donne sur une cour intérieure où jouent des enfants. Orlando me tend une bière et me dit de m'asseoir sur le lit. Il prend une chaise dans la cuisine et se place face à moi.

C'est lui qui aborde d'emblée le thème du sexe. Ça fait des mois qu'il n'a pas baisé. Depuis qu'il s'est séparé de sa femme, il couche, mais rarement avec des prostituées, car les femmes avec lesquelles il travaille, pour se les faire, il faut les inviter, et ça coûte un max... Il est fasciné par les culs... même sa femme, il préférait l'enculer... le meilleur moyen pour ne pas la mettre enceinte... mais, à part çà, même sans chercher une méthode contraceptive... prendre une femme par le cul, c'est divin... c'est meilleur que de lui baiser la chatte. "Je suis devenu un spécialiste du cul !...", avoue-t-il en éclatant de rire. Je lui demande : "et les pédés ?..." Il m'explique qu'à Cuba, c'est vachement surveillé... qu'une fois il a amené "un maricon", un Cubain, chez lui... il l'a baisé toute une nuit, mais comme les jours d'après il revenait le relancer chez lui, il a dû le menacer de lui casser la gueule pour s'en débarrasser. Les voisins commençaient hypocritement à lui demander qui était ce "parent qui venait le voir si souvent"... "Et maintenant, ça te dirait de défoncer un cul ?" J'ai osé tenter ma chance. Avec un large sourire, il appuie sur son paquet pour m'en montrer le volume et m'annonce : "Tu l'as vu celle-la ? Tu l'as vue : elle est déjà dure comme de la pierre... et tu vas bientôt la sentir entre tes fesses... Attends-moi une seconde, je vais pisser..." Pendant qu'il entre dans la salle de bain, j'enlève ma chemise : je meurs de chaud ! A son retour je vois qu'il a quitté son froc; sa queue, énorme bien qu'encore molle, est posée sur l'élastique de son slip, prête à l'emploi. Il s'approche de moi, colle sa bite contre mon nez. Elle sent le mâle. J'enfourne aussitôt sa verge, la malaxe dans ma bouche : il ne bande pas encore au maximum, mais sa queue me remplit déjà la bouche. De près, je vois qu'il se rase les poils du pubis et les couilles. Sa bite a un peu le goût de l'urine : il n'a pas dû la secouer très fort pour faire tomber les dernières gouttes. Ma fellation me donne tellement de sensations fortes que j'ai l'impression que c'est la première fois que je taille une pipe à un mec. Je salive au maximum pour faciliter le mouvement de sa queue. Orlando pousse très fort pour la faire entrer au maximum : j'adore me faire forcer de cette manière, même si j'ai des haut-le-coeur quand il avance trop loin... Je sens qu'il aime faire çà, car il m'encourage, et lâche de temps en temps des gémissements de plaisir. Il fait pression avec sa main derrière ma tête pour que j'avale la totalité de son énorme morceau de chair. Mais je la recrache aussitôt, de peur de m'étouffer... Il est sacrément monté le gars : une belle verge d'une vingtaine de centimetres, épaisse, avec un beau prépuce que je fais glisser vers le bas, avec mes lèvres, pour mieux le décalotter. Son gland apparaît alors dans toute sa splendeur, lisse, violacé, gonflé de sang, fendu par un long méat. Quel magnifique instrument ! Orlando est de plus en plus excité par ma pipe et veut l'enfoncer toute entière dans ma gorge. Je suis obligé de le supplier : "Tranquilo Papi... despacio !"

Voyant que je ne veux pas me faire baiser la bouche avec violence, Orlando me saisit par les bras et me jette sur le lit : "Mila chico, yo sé lo que les gusta a los puticos como tu..." ( = Ecoute, gars, je sais ce qu'ils aiment les petits pédés dans ton genre...). Et d'un geste brusque descend mon froc, essaye d'en faire autant avec mon slip, mais il est tellement excité et pressé qu'il le déchire... Je ne vais pas protester, et même si mon slip est foutu, j'aime trop cet espèce de viol... C'est bien entendu mon cul qui l'intéresse : il me triture les fesses, ses mains sont rêches et je suis aux anges de voir que ce mâle ne se contrôle plus, qu'il est si chauffé par l'idée qu'il va me défoncer la rondelle... Il débite des tas d'obscénités, que je ne comprends pas, mis à part le mot "putico" qu'il répète sans cesse. Il écarte mes fesses, fait entrer un doigt dans mon trou, le tourne dans tous les sens... J'ai mal et je le lui dis. Orlando crache alors sur ses doigts et sur ma rondelle. Il m'ouvre au maximum, je suis presque aussi pressé que lui de passer à une vraie pénétration, mais je veux qu'il me prenne avec une capote. Je lui explique que dans mon froc, qu'il vient de jeter, il y a une boîte de préservatifs. A ma grande satisfaction, il accepte d'en enfiler un : sa bite est si grosse et si longue qu'il ne couvre que la moitié de sa queue... C'est mieux que rien. Il me retourne une nouvelle fois, crache à nouveau sur ma rondelle et se place en position pour me prendre en levrette.

"Te voy a dal lo que meleces putico..." (= Je vais te donner ce que tu mérites, petit pédé...). Il m'enfonce un doigt dans le cul, puis le remplace par le gland très dur de sa queue. Il frotte sa pointe plusieurs fois dans ma raie, s'arrête sur la rondelle, commence à l'enfoncer, puis la ressort. J'aime ce qu'il me fait, je me demande à tout instant quand il va enfin pousser plus fort et enfoncer vraiment son dard entre mes fesses. Cette attente m'excite au plus haut point et bien qu'il ne m'ait pas encore empalé, je crie déjà de douleur... Je sens sa bite, bien dure, à l'entrée de mon sphincter. Je voudrais qu'il me prenne sans plus attendre, qu'il me possède, que son sexe me transperce et me démonte le cul. Je pleurniche comme si je le suppliais de me baiser comme une pute, de me montrer qu'il est un vrai mâle, le spécialiste des sodomisations profondes, de me remplir le cul de son jus... Orlando, comme s'il renonçait à me prendre, me retourne brusquement : je suis sur le dos, face à lui; il place mes chevilles sur ses épaules et décide enfin de me niquer dans une des positions que je préfère, car je peux voir mon partenaire, en train de me défoncer le fion. C'est beau de voir un vrai mec en train de prendre tout son plaisir à casser un cul en deux, de prendre tout son temps pour atteindre l'éjac libératoire. Le mulâtre m'a enculé d'un coup, faisant entrer sa verge le plus profondément possible, sans ménagement. Et puis il a poussé son bas-ventre en avant pour que je sente bien son sexe en moi. J'ai mal, mais c'est ce que je voulais, être baisé par un Cubain, bien membré, désireux de jouir après des semaines d'abstinence. Et je vais être gâté ! Orlando commence alors un va et vient endiablé : sa queue râpe les parois de mon boyau sans ménagement. Je me plains de plus en plus fort du supplice que mon superbe bourreau me fait endurer. Le beau Cubain place alors une main sur ma bouche pour me faire taire : ses voisins n'ont pas besoin de savoir qu'il est en train de baiser... J'essaye de retirer mon cul pour me soulager quelques instants, mais Orlando ne veut pas casser son rythme; je comprends que la meilleure solution est de me laisser faire, de me laisser prendre sans résistance, de la manière qu'il préfère et lui donne le plus de plaisir. De temps en temps, il sort sa queue de mon cul, le trou reste ouvert une demi seconde à peine et déjà il replante son dard; mon spyncter n'a même pas eu le temps de se refermer. Il adore faire çà, même si moi, en revanche, je dois subir chaque fois une brûlure insupportable. Il faut reconnaître cependant que quand il l'a bien enfoncée jusqu'au bout, c'est pour moi un bonheur immense et je serre même les fesses pour mieux sentir son chibre, long et dur, planté dans mes entrailles ! De même, quand il retire sa bite une seconde, ma rondelle palpite, comme si elle vibrait d'envie d'être à nouveau défoncée. Se faire sodomiser est sûrement l'un des plaisirs les plus extraordinaires qu'un passif puisse éprouver ! Et, en plus, mon mulâtre fait çà tellement bien ! Jamais, avec aucun autre partenaire je n'ai éprouvé de pareillles sensations.

Orlando n'a toujours pas joui et semble toujours aussi excité par mon cul : "Tienes un culito delicioso, bien apletadito... se ajusta a mi velga como un guante..." ( = t'as un cul délicieux, bien serré... il s'ajuste à ma bite comme un gant). Sa queue brune a continué pendant de longues minutes à me pilonner ainsi le cul, au plus profond... Pour donner plus de plaisir à mon beau Cubain (et pour mieux sentir son chibre dans mon cul, je l'avoue...), je serre bien mes fesses. Orlando apprécie mes efforts : "Voilà, comme çà, c'est bon.... T'es une bonne petite pute... bouge ton cul pour que je te défonce bien". Je suis de plus en plus chaud, et ne sens presque plus la douleur que produit en moi sa queue dans ses allers et venues. Au contraire, cette sodomie violente va déclencher chez moi un orgasme anal, jamais éprouvé auparavant. Mon corps se cambre, sa queue enfoncée juqu'aux couilles, se retrouve écrasée par mes fesses. Je la sens encore plus : elle est bien raide et dure. Chose extraordinaire, sans m'être branlé, ni même touché la queue, je lâche une impressionnante série de jets de foutre, qui s'étalent sur son ventre.

"Ah tu as joui, petite salope... c'est ma queue qui t'a fait jouir... tu aimes te faire prendre, ma petite salope... tu aimes les mâles cubains... elle te plaît ma bite, tu aimes les grosses bites qui te défoncent le cul..." Orlando semble comme vexé d'avoir été doublé par sa "femelle". Pour le rassurer et l'exciter encore plus, je l'encourage : "Orlando, mi amor... metela... metela... soy tu puta... dame tu leche !..." ( = mon amour... enfonce-la... enfonce-la... je suis ta pute... donne-moi ton foutre !...) Orlando retire alors sa queue de mon cul, enlève la capote et commence à se branler... Il se masturbe très vite, fait coulisser sa main sur sa tige, tient dans la paume de l'autre main sa paire de grosses couilles. Quel superbe spectacle que ce jeune mâle, au bord de l'orgasme, la bite droite, gonflée à bloc ! J'approche ma bouche de son gland. Orlando continue de s'astiquer. Je n'ai jamais vu un mec aussi excité que lui. Soudain, il gémit et lâche sa purée : de longues et puissantes giclées qui pénètrent dans ma bouche. Mais j'ai beau l'ouvrir en grand, plusieurs jets vont s'étaler sur ma joue et mon nez : le sperme du mulâtre est épais et ne coule pas facilement. Avec un doigt je recueille ce que je peux : c'est du jus de qualité; je suce mon doigt pour ne rien gaspiller. De me voir déguster sa semence, Orlando se marre : il est flatté de constater que j'aime autant son sperme... On va rester couchés l'un contre l'autre, en silence, pendant quelques minutes. "Alors tu me le donnes mon cadeau ?" Il a pris son pied, mais il n'a pas perdu la tête... "Tu m'as dit que tu allais faire le tour de l'île... Quand tu seras de retour... et si tu veux encore goûter à ma "candela", n'hésite pas à m'appeler... tu connais mon numéro..."

Cet extraordinaire mâle mulâtre va pousser la gentillesse jusqu'à me raccompagner jusqu'à la rue de mon hôtel...

Rafael

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