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7 et 8 Mai

Grosse queue
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Milo

(Après relecture de Amical072)

Milo marchait depuis une bonne demi-heure déjà. Il avançait d’un pas rapide, décidé, malgré la bouffée d’appréhension qu’il ressentait. Il avait hésité une grande partie de la journée puis s’était finalement décidé à se rendre au point de rendez-vous convenu. La nuit était tombée et il n’y avait que très peu de monde dans les rues. Les gens ne se déplacent que rarement le dimanche soir dans les villes de province, hormis pour aller chercher à manger ou pour prendre un peu l’air lors des belles soirées d’été. C’était l’automne, et même les quelques courageux joggeurs nocturnes semblaient envahis par le vent glacé, leur corps grelottant même en courant. Milo ne ressentait pas le froid. Il s’était habillé en conséquence d’un bon pull en laine, d’un gros manteau d’hiver, d’une grosse écharpe qui lui recouvrait le visage jusqu’au nez et d’un bonnet descendu jusqu’aux oreilles. Sa démarche rapide lui permettait également de se réchauffer. Lorsque malgré tout il se sentait trembler, il sentait bien que ce n’était dû qu’au stress et à la peur. Cette peur qui finissait toujours par être dominée par l’excitation.

Il avait décidé de se déplacer à pied, malgré le temps incertain. Au-delà du froid, la pluie menaçait de tomber à chaque instant. La marche le rassurait, il savait qu’il pouvait faire demi-tour ou changer de trajectoire à n’importe quel moment. Même si, au plus profond de lui, il savait qu’il ne changerait désormais plus d’avis, cette pensée était réconfortante. Il n’était jamais allé dans ce quartier de la ville, un peu à l’écart de l’hyper-centre. Les yeux braqués sur son téléphone qu’il utilisait comme GPS, il visualisait sa progression en direct. Alors qu’il en était aux dernières minutes avant d’atteindre la destination, il sentit son sexe se raidir, et le frottement que provoquait son gland contre son caleçon commençait à l’exciter. Des images commencèrent à défiler dans son esprit, et il dut presque se retenir pour ne pas effectuer les derniers mètres la main dans le pantalon bien serrée contre sa bite.

Milo a toujours assumé sa sexualité. Il avait senti assez tôt dans son adolescence que le sexe prendrait une part considérable dans sa vie. Il avait beau entendre les autres mecs de sa classe parler de cul, on avait beau lui répéter que les mecs ne pensaient qu’à ça, il savait que c’était différent pour lui. Il avait commencé à se masturber, et n’avait cessé de le faire plusieurs fois par jour depuis. L’excitation revenait perpétuellement, même après avoir joui plusieurs fois par jour. Encore aujourd’hui, à 28 ans et avec une sexualité extrêmement active, la masturbation était omniprésente, partout, tout le temps. En classe de seconde, ses parents avaient été convoqués parce que ses professeurs le surprenaient en train de se branler durant les heures de cours. Loin de le gêner, il avait été plutôt fier de cet événement, tandis que ses parents eurent honte et n’en reparlèrent jamais plus.

Il avait eu son premier rapport avec une fille de son âge. Ils ne savaient pas trop ce qu’ils faisaient, mais contrairement à beaucoup qui ont un souvenir calamiteux de leur première fois, il gardait en mémoire un souvenir amusant et passablement agréable. Il n’avait jamais arrêté depuis. C’est à la même période qu’il a commencé à se tailler une silhouette athlétique et musclée. Lorsque le désir sexuel était trop présent, il se défoulait au sport, enchaînant kilomètres à courir et séances de pompes ou d’abdos. Ce physique le rendait désirable aux yeux des filles et il savait l’utiliser pour satisfaire ses besoins. Jeune adulte, son imaginaire se développait autour de la même idée : baiser, baiser, baiser.

Lorsqu’il a rencontré Juliette, les choses ont rapidement été simples entre eux. La fidélité n’était pas une exigence, la baise devait être au centre de leur relation et chacun était libre d’accomplir les fantasmes qu’ils désiraient. C’est à cette période que Milo réalisa quelque chose qu’il n’avait jamais su exprimer avant. Son excitation quant à l’idée de voir sa copine se faire prendre par d’autres mecs devant lui, simple spectateur la main sur la queue, portait un nom. Le candaulisme… C’est elle qui lui avait expliqué ça, heureuse d’être amoureuse de ce mec que rien n’excitait davantage que de la voir jouir dans les bras d’autres mecs.

Milo réalisa qu’il était devant la porte. Ses pensées vagabondes l’avaient emporté au point qu’il n’avait pas vu défiler les tout derniers pas. Il s’arrêta devant la porte de l’immeuble, observa les noms sur les sonnettes. Il vérifia ses messages sur son téléphone, retrouva le nom, puis appuya sur le bouton associé. Il bandait plus fort que jamais. Il était en confiance totale. Cela faisait plusieurs semaines qu’il parlait avec ce groupe d’individus, rencontrés sur un site spécialisé. La porte s’ouvrit. Une femme d’une trentaine d’années, très séduisante, se tenait sur le seuil. Elle sourit, visiblement ravie du physique de son hôte. Les photos étaient donc bien réelles…

« Montre-moi ta queue »

Milo sembla déstabilisé. Un instant, il ne comprit pas si elle était sérieuse ou non.

« On est timide ? Tu ne rentres pas si tu n’exhibes pas ta bite sur le trottoir. »

Milo n’hésita plus. Il déboutonna son pantalon, le descendit de quelques centimètres, baissa légèrement son caleçon puis sortit son sexe, plus dur que jamais. Sa bite imposante et gonflée sembla plaire à son interlocutrice. Il agita comme ça, pendant quelques secondes, sa bite devant l’immeuble.

La jeune trentenaire sembla conquise. Quelque chose en elle la retint de ne pas précipiter sa bouche pour envelopper ce sexe qui ne demandait qu’à être pompé.

« Aller rentre. On va s’occuper de toi. »


Après avoir monté quelques étages, sans avoir remonté son pantalon, il pénétra dans un appartement lumineux, relativement grand et chaleureux. L’espace était accueillant, décoré avec goût, loin du vulgaire que Milo redoutait. Tout semblait mettre à l’aise, on s’y sentait immédiatement rassuré. Des coupes de champagne étaient posées sur la table de la salle à manger et des assiettes de divers petits fours étaient posées à divers endroits du salon. Il ne vit qu’au bout de quelques secondes que plusieurs personnes étaient déjà présentes, disséminées dans plusieurs pièces, plus ou moins visibles. Une femme, habillée tout en cuir, était assise sur une extrémité de l’un des canapés. Seul son sexe était visible, à travers une fermeture éclair grande ouverte de son pantalon. Un homme, la quarantaine séduisante, était occupé à lui lécher la chatte délicatement, du bout de la langue, avec assurance et délicatesse. La femme semblait y prendre beaucoup de plaisir. Cette vision excita Milo, qui voulut à son tour goûter au sexe offert de cette inconnue. Encore nouveau dans cet espace, il se retint cependant.

À travers la porte ouverte de ce qui semblait être une chambre, il vit une jeune femme, la vingtaine tout au plus, se faire prendre en levrette par un jeune homme vigoureux et extrêmement sexy. Il lui mettait quelques bonnes fessées au passage, ce qui semblait totalement convenir à sa partenaire. Ce n’est qu’en se déplaçant un peu qu’il vit qu’elle était également en train de sucer un autre mec de l’autre côté. Lorsque le deuxième homme cessait de pousser la tête de la femme sur sa queue, c’est celle-ci qui lui demandait de remettre sa main dans ses cheveux et de lui baiser la bouche.

Tout dans cet appartement semblait transpirer le sexe, le désir et la liberté. Lui qui avait pourtant vécu un certain nombre d’aventures se sentait malgré tout quelque peu timide, perdu. Celle qui lui avait ouvert la porte sembla s’en rendre compte et beaucoup apprécier cela.

« Gêné ? »

Elle sembla prendre un malin plaisir à lui poser la question.

« Tu semblais l’être beaucoup moins par écran interposé… Allez, suis-moi. Plus le droit de reculer ni de partir tant que je ne t’en aurai pas donné la permission »

Cette dernière phrase eut l’effet d’une bombe sur Milo. Il voulait aller jusqu’au bout, il avait besoin de sexe, et l’excitation qu’il ressentait ne pouvait plus attendre d’être contentée.

Ils entrèrent dans une pièce tout au fond de l’appartement. C’était sombre, lumière tamisée, juste ce qu’il fallait pour pouvoir s’apercevoir. Une chaise en bois était positionnée en plein milieu.

« À poil maintenant. Et assis sur la chaise ».

Son ton ne laissait place à aucune réponse possible. Il se déshabilla jusqu’à se retrouver parfaitement nu, puis posa ses vêtements sur le sol. Il s’assit sur la chaise, la queue toujours aussi raide.

« Écarte les cuisses. Laisse bien pendre tes couilles ».

Il s’exécuta.

« Tu bandes trop vite… Tu ne te laisses même pas désirer, petit puceau… »

Il ne savait quoi répondre. Il voulait seulement que cette femme au corps si désirable se déshabille à son tour et s’assoit sur son membre afin de pouvoir y commencer ses allers-retours.

« Positionne bien tes jambes le long des pieds de la chaise, et mets les mains derrière le dos ».

Une fois mis dans la position qu’elle désirait, elle se dirigea vers une caisse qui semblait contenir divers accessoires. Elle sortit tout d’abord un masque pour lui cacher les yeux, puis des bracelets qu’elle plaça au niveau de ses chevilles et de ses poignets. Elle relia les deux avec une chaîne.

Il était donc là, entièrement nu, les yeux bandés, attaché sur une chaise, en position parfaitement vulnérable. Elle l’a regardé quelques instants, le trouvant diablement sexy, ses muscles parfaitement dessinés et ce membre si gonflé qu’on pouvait y apercevoir le rythme rapide des battements de son cœur. Elle aurait pu rester là plusieurs heures, mais il était temps de lui apprendre à se libérer de tout contrôle.

Il finit par sentir le bout d’une langue au niveau du haut de ses cuisses. Cette langue qui effleurait tranquillement pour contourner les testicules et aller vers l’autre cuisse. Des frissons l’envahissaient. La langue s’attarda finalement tranquillement sur ses couilles, léchant avidement puis timidement, dans un ballet d’émotions et d’excitations qui lui fit apparaître un filet de mouille au-dessus du gland. Il n’avait jamais connu pareil léchage de testicules. C’était si bon qu’il sentît le sperme monter. Il essaya de faire comprendre à sa partenaire d’aller plus doucement, de laisser des pauses. Elle lécha au contraire davantage, de façon de plus en plus intense, ce qui le fit jouir plusieurs jets de sperme épais au niveau de son torse.

Il ne comprit pas comment ça avait pu arriver si tôt… Lui plutôt endurant et dominateur, parfois calculateur… Il se sentit gêné, mais il comprit rapidement que c’est exactement ce que désirait sa conquête.

« On va pouvoir commencer à s’amuser maintenant ».

Elle fit un signe de tête vers la porte ouverte, et un homme d’une vingtaine d’années entra dans la pièce. Toujours les yeux bandés, Milo ne le vit pas entrer. Le jeune homme n’était pas très grand, mais très charmant. Il s’approcha du corps de Milo puis commença tout doucement à lécher le sperme déversé sur le torse. Il y allait progressivement, prenant bien le temps de ne laisser aucune goutte à côté. Lorsqu’il eut terminé, la femme enleva le bandeau des yeux de Milo.

Celui-ci, au-delà de la quantité de frissons qu’il ressentait, resta tout d’abord interdit face à cette présence masculine supplémentaire. Il avait souvent eu l’occasion de faire des plans à trois, parfois même à quatre ou cinq, avec la présence d’autres hommes. Jusque-là, il n’avait pourtant pas eu d’acte directement sexuel avec un autre gars.

« Tu m’as dit dans notre dernier échange que tu me faisais confiance. Alors, ne me déçois pas… Continue à obéir et dépasse-toi.

Il va falloir remercier Victor de t’avoir si bien nettoyé maintenant ».

Milo ne savait plus. Lors de son échange virtuel, ils avaient convenu d’un code, d’un mot qu’il pouvait utiliser pour arrêter tout. L’idée lui traversa l’esprit pendant quelques instants, d’autant que l’excitation était beaucoup moins grande depuis qu’il avait éjaculé, mais il réalisa rapidement qu’il n’avait aucune envie de tout arrêter. C’était trop tôt.

Il vit Victor se rapprocher de lui et enlever son boxer moulant, faisant apparaître un sexe large, étrangement gros en proportion à sa taille. Ce petit gars, pas bien grand, cachait en fait un sexe monstrueusement prometteur. Milo s’efforça de ne pas réfléchir. Tout doucement, Victor approcha sa bite de la bouche de Milo, et s’y enfonça tranquillement. C’est la première fois que Milo sentait un sexe d’homme dans sa bouche. Contrairement à ce qu’il avait imaginé, au vu de la situation dans laquelle il se trouvait, il finit par trouver ça excitant. Victor accéléra ses va et vient, et Milo réalisa avec surprise qu’il bandait à nouveau. Victor parla pour la première fois.

« Et ben… Pour une bouche d’hétéro, t’as bien compris comment donner du plaisir, toi ».

La main de Victor s’accrocha aux cheveux de Milo. À cet instant, la jeune femme qui était restée spectatrice se rapprocha d’eux. Elle se mit à la hauteur du sexe de Milo, puis après avoir mis du lubrifiant sur ses doigts, rapprocha son index du cul de celui-ci. Elle était désormais totalement excitée, et sentait que sa culotte devenait très humide. Ce cul de mec viril, avec sa bite durcie et sa bouche remplie d’une autre bite, la faisait mouiller comme jamais. Elle introduisit tout doucement son doigt dans l’anus. Si dans un premier temps, elle sentit les contractions de Milo, elle réalisa rapidement qu’il se laissait faire et en introduisit un deuxième bien plus rapidement que ce qu’elle avait imaginé.

Milo n’avait jamais ressenti ça. Lorsque les doigts qui s’étaient introduits en lui touchaient sa prostate, son excitation redoublait et contre toute volonté, il se défoulait en suçant plus rapidement la queue de Victor. Plus rien n’avait de sens, plus rien n’existait, si ce n’était cette envie irrésistible que l’on s’occupe également de sa bite. Comme si elle avait lu dans ses pensées, il sentit sa partenaire se relever. Elle fit pénétrer la bite de Milo dans sa chatte lubrifiée naturellement en s’asseyant dessus, et la sensation de cette grosse queue en elle la fit gémir immédiatement. Alors qu’elle commençait à secouer son bassin, elle continua par la même occasion à doigter son partenaire.

Tous trois étaient dans une telle osmose de plaisir, qu’ils ne virent pas qu’un petit attroupement de personnes s’étaient agglutinées devant la porte entrouverte. Certains étaient nus, d’autre légèrement habillés, d’autres encore uniquement le sexe à l’air, mais hommes comme femmes se masturbaient sans retenue face à ce qu’ils voyaient. Victor n’en pouvant plus finit par jouir dans la bouche de Milo. Loin d’être dégoutté, ce dernier prit un tel plaisir en sentant la semence couler dans sa bouche qu’il jouit à son tour, pour la deuxième fois, dans le sexe de sa partenaire. En sentant la bite de Milo cracher son jus en elle, celle-ci arrêta de se contenir et exprima pleinement son orgasme. Tout le monde mit du temps à récupérer et à reprendre sa respiration. Les spectateurs avaient joui à leur tour. Loin d’être gênant, ce moment ressemblait à un flottement de liberté.

Juliette était épuisée. Elle venait de terminer sa garde de nuit, la troisième cette semaine. Il était 7 heures, le temps d’aller se changer aux vestiaires, de dire au revoir à ses collègues et d’échanger les informations importantes avec l’équipe qui allait prendre la relève. Elle travaillait dans un centre adapté pour adolescents en situation de handicap depuis deux ans et s’épanouissait pleinement dans son métier. Les horaires n’étaient pas particulièrement simples à gérer, mais elle avait réussi à trouver un équilibre avec Milo. Depuis le temps qu’ils étaient ensemble, ils avaient réussi à se comprendre, à s’écouter et à ne s’accorder aucune contrainte.

Sur le chemin de retour, elle regretta de s’être déplacée à vélo, ressentant le froid polaire contre son visage. Elle se demanda si Milo serait endormi ou pas. Elle était au courant qu’il devait passer la soirée avec un nouveau groupe rencontré sur le net, avec lequel il allait sans doute baiser. Cela ne lui posait pas de problèmes. Elle avait accepté Milo avec sa libido, elle aimait coucher avec d’autres mecs devant lui, et elle s’autorisait également à baiser avec des mecs qu’elle trouvait canon et qui étaient de passage. Tout le monde s’y retrouvait. Certains amis proches, au courant de l’ouverture dans leur couple, leur faisaient souvent part de leur incompréhension, de leurs doutes ou se mettaient soudainement à les mettre en garde. Cela n’avait strictement aucune importance pour eux.

Lorsqu’elle ouvrit la porte de l’appartement, elle comprit qu’il était déjà rentré. Elle sentit l’odeur du café chaud. Il avait sans doute dû le faire couler avant de se coucher pour qu’elle puisse en avoir en rentrant. Elle trouvait toujours ce genre de petites attentions charmantes. Elle imagina donc qu’il n’était pas là depuis longtemps. Lorsqu’elle ouvrit la porte de leur chambre, elle le trouva déjà endormi sur le dos. Il n’avait plus que son T-shirt, le reste des vêtements traînait par terre devant le lit. Elle l’observa quelques instants, s’amusant de voir le sexe de son compagnon à l’air, si petit dans cette situation, inoffensif, ce sexe qui au début de leur relation l’avait, parfois, fait grimacer de douleur lorsqu’il écartait l’orifice qu’il voulait pénétrer. En s’arrêtant sur le rythme de sa respiration, elle vit qu’il y avait des tâches sur ses cuisses et sur le bas de son T-shirt. Elle comprit en s’approchant qu’il s’agissait de sperme, et qu’il s’était sans doute branlé une dernière fois avant de s’endormir.

Elle s’en amusa. Lui qui avait, le connaissant, sans doute baisé une bonne partie de la nuit, a eu besoin une nouvelle fois de se vider avant de s’assoupir. Il n’a même pas eu le courage de s’essuyer avant de s’endormir. Elle quitta la vision de son homme pour aller boire un café, puis se ravisa. Elle retourna dans la chambre puis pencha sa tête au-dessus de celle de Milo. Elle descendit jusqu’à son oreille puis lui murmura tendrement :

« Je t’aime ».

Sachatrep

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