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7 et 8 Mai

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HISTOIRE

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Monstre VS Humain

Note de l'auteur : Comme d'habitude, cette histoire se déroule dans le même multivers que mes autres œuvres, je vais donc essayer de le rendre compréhensible.

Ça allait bientôt faire une demi-heure que j'attendais Serge. J'avais déjà vidé mon verre. Le patron n'aimait pas voir mon verre rempli, alors il m'arrivait d'utiliser la vieille astuce qui consiste à mettre du sel dans la bière pour qu'elle mousse et qu'on évite de me resservir, c'est juste un peu énervant d'enlever la pincée après.

Quand je tournais mes yeux vers l'entrée du bar, je remarquais enfin la large silhouette que j'attendais. Comme à son habitude, Serge ne portait que son Marcel moulant et son short, on pouvait ainsi voir sa puissante carrure qui ne laissait aucun doute quant à son travail. En parlant d'habitude, Serge arrive avec le sourire quand il passe les portes du "Dragon", là, j'ai l'impression qu'il a vieilli en quelques heures, tout à l'heure, quand il était avec mes élèves, il était dynamique, content, énergique, là, je me demande s'il n'a pas croisé Ixtab en chemin... Parce que, parmi les monstres, c'est la seule qui est réputée pour pousser les gens au suicide.

Il s'assit à côté de moi et je me rendis compte qu'il était encore plus abattu qu'il ne le paraissait. Une aura de désespoir et de fatigue mentale s'était abattue dans le bar alors que le vampire prenait la commande de la source de cette énergie nauséabonde avant de disparaitre derrière l'envol de plusieurs chauves-souris noires.

Justin: Tu veux en parler? **Je pose ma main sur sa large épaule**

Serge : Ma fille me soule.

Justin : Petit copain?

Serge : Pire...

Justin : Les cours?

Serge : Pire, elle a rejoint le club étudiant, là... Tu sais, le B.R.P.D... G.E.M.F?

Justin : G.E.M.H? "Groupe pour l'équité montres-humains"?

Serge : Merci... Elle passe toute la semaine avec sa sororité pour organiser une manif à la con, et elle arrête pas de me souler avec ses discours de militante.

Justin : Je te rappelle que j'enseigne un tout petit peu l'économie, j'ai l'habitude du G.E.M.H, mais je comprends pas vraiment comment ça a pu autant t'épuiser. Elle a fait venir un suceur d'énergie à la maison ?

Les chauves-souris en profitent pour apporter sa bière à mon ami.

Serge : Non, c'est juste les trucs basiques des jeunes. Tu sais ce que c'est, elle se laisse influencer par de fausses bonnes intentions et du coup, elle répète tout ce que son prof d'Histoire des Créatures Occultes lâche. Genre que les monstres n'ont pas accès aux mêmes chances que les humains pour les études, qu'on les force quand même à trouver un travail alors que ce n'est pas dans leur culture et toutes ces conneries. Je veux dire, je veux bien comprendre l'égalité, la justice et tout ça, sois gentil pas méchant, c'est pas gentil d'être méchant, mais, je sais que c'est qu'une phase et c'est une phase pour laquelle elle se donne à fond. J'ai peur que ça finisse mal.

Justin : Merci de renforcer mon refus de procréer ! Et du coup, il s'est passé quoi? Pré-ci-sé-ment?

Serge : J'ai été pris entre deux feux, ma fille prétend que le restaurant du quartier loup-garou cache une maison close!

Justin : C'est bien, mais tout le monde est courant.

Serge : Du coup, elle s'est battue contre les vigiles et j'ai dû les persuader de ne pas porter plainte... Quoi?

Justin : Tout le monde le sait. Eh, excusez-moi, vous connaissez le restaurant "Sort-céleri"?

Je me tournai vers les barmen:.

Le vampire : Ben, c'est là où les humains vont pour se taper des monstro-putes, non?

Le lutin : Ma sœur a failli tuer son petit ami quand il a voulu l'emmener là-bas et que les autres clients ont mal interprété sa tenue sexy...

Serge : Sérieux ? C'est vraiment un bordel? Cynthia y était allée pour persuader les prostitués qu'ils sont exploités et rabaissés. Du coup, ils existent vraiment ? Quand je pense que les vigiles voulaient porter plainte pour diffamation.

Justin : Serge... Je t'en prie, c'était une menace en l'air. Ils veulent pas de vagues.

Serge : Ben écoute, si tu avais été là, toi aussi, tu serais dans mon état.

Justin : Ben, tu sais quoi? Si tu es aussi épuisé, autant qu'on aille là-bas, les prix sont très abordables.

Serge : Euh... Pourquoi ?

Il est sérieux ? Serge n'a jamais manqué une occasion de s'amuser. Certes, on n'est jamais allé voir les putes, mais là, la dernière fois que je l'ai vu autant éreinté, c'était quand la mère de Cathy l'a quitté. Depuis que Cynthia est inscrite à la fac, il vient toujours me voir au "Dragon" pour faire baisser la pression, mais apparemment, ça sert plus à rien, alors autant lui dénicher un nouvel exutoire émotionnel.

Serge est idiot, mais il aime sincèrement Cynthia. Il est toujours inquiet pour elle, mais moi, je suis là pour veiller sur lui. Il manque plus que Cynthia veille sur moi et nous aurons une boucle parfaite.

Si j'ai le droit de me plaindre de la connerie de Serge, alors il a le droit de se plaindre de ma curiosité, j'ai toujours entendu parler du "Sort-céleri", mais je n'y ai jamais mis les pieds. Je rappelle que si je n'avais pas ce trait de personnalité, que jamais Serge n'aurait découvert qu'il voulait avoir un chat... Et que jamais Cynthia n'aurait eu son cadeau d'anniversaire.

Le vampire : C'est la combientième fois que Serge parle d'un endroit et que Justin veut y aller et que du coup, ils partent en laissant un billet sur la table pour ne pas revenir de la semaine ?

Le lutin : D'après mon ardoise, la trente-sixième...

Le vampire : Pourquoi ça nous intéresse, au fond?

Nous sommes montés dans la voiture de mon ami et nous sommes dirigés vers le quartier lycan. Le restaurant était surveillé par ce qui ressemblait à deux énormes chiens noirs.

Serge : Y a un mot de passe?

Justin : Ben non.

L'un des deux lycans **reprend sa forme humaine** : Oh encore vous?

Justin : Oui, mais là, on vient voir les putes!

Le lycan : Ah, O.K. Au temps pour moi!

Le loup-garou eut juste à projeter une boule d'énergie verdâtre qui commença à flotter au dessus du sol.

Le lycan : Veuillez la suivre, s'il vous plaît.

À l'intérieur, le restaurant avait l'air tout ce qu'il y a de plus normal. Il était bien décoré, les clients mangeaient, un martien étendait ses tentacules pour apporter les commandes, les harpies projetaient leurs bourrasques de vent pour rafraîchir l'intérieur, une hydre prenait les commandes.

Nous suivîmes le feu follet jusqu'à l'entrée des toilettes, elle nous dit continuer à côté, vers un placard, dans le point mort du champ de vision des clients, la boule de feu verte crépita en expulsant quelques arcs électriques et ouvrit le mur situé juste à côté du placard, nous eûmes juste à descendre les escaliers jusqu'à entendre la musique. La cave apparaissait comme une boîte de nuit bien rétro.

La pièce n'était éclairée que par le biais de lampes irisées qui nous plongeaient dans le rose et le violet.

Avant même que nous eussions pu admirer la décoration, nous fûmes interrompus par quelqu'un.

Serge **regarde l'esprit qui se tient devant nous** : Ce fantôme, je l'ai vu pendant la journée.

L'Edimmu : Je suis un edimmu, pas un fantôme, soit un démon, mais je suppose que pour les mortels, tous les esprits éthérés se ressemblent ! Quand je pense que votre fille prétendait que notre établissement encourageait la discrimination entre humains et monstres.

L'âme sans corps nous prévint donc du règlement en vigueur dans ce bacchanal sous-sol.

1) Tout d'abord, il est interdit d'avoir des rapports sexuels sous une forme complètement animale, ensuite les zombies et les vampires qui ne peuvent pas prendre forme humaine ne sont pas autorisés à travailler ici, déjà parce que les premiers n'ont pas d'esprit et ensuite parce que coucher avec un mort-vivant (il est considéré comme raciste que de confondre "mort-vivant" (corporel) avec "pour esprit" (sans corps)) est légalement considéré comme étant de la nécrophilie.

2) Ensuite, il est interdit de faire preuve de violence à l'encontre des clients ou des employés sauf en cas de légitime défense, de renvoi d'un client indésirable ou de viol du dernier article.

3) Les pratiques sexuelles que l'auteur ne veut pas voir comme la scatophilie, l'ondinisme et toute autre forme de paraphilie impliquant une quelconque forme de fluide biologique en dehors du sperme ne peut être pratiquée que dans un cadre privé, soit un salon spécial.

4) Les employés ne peuvent utiliser leurs pouvoirs spéciaux (que ce soit par le biais de sortilèges ou non) comme la possession, l'hypnose, l'absorption d'énergie vitale, le vampirisme et toute autre forme d'aptitude qui aurait un impact sur la santé mentale, physique ou magique d'un client ou d'un autre employé qu'à la condition que la personne qui en est victime est consentante.

5) Il n'est possible d'observer les activités entre clients et prostitués que si chacun des partenaires est consentant pour être regardé !

6) C'est le dernier article et le plus important : Il ne fait jamais approcher le démon qui a l'apparence d'un jeune aux cheveux blancs et aux yeux bleu nuit. L'établissement ne sera pas tenu pour responsable en cas de conséquences fâcheuses dûes au viol de cette règle !

Nous nous moquions un peu de ce discours et réprîmes notre contemplation. Il n'y avait pas de sexe explicite ici, dans cette pièce, nous ne pouvions voir que quelques danseurs et danseuses qui sur lesquels s'attardaient de nombreux regards lubriques. Au centre de la pièce, la boule d'énergie qui tourbillonnait était si vive et si incandescente qu'il ne m’était pas possible de savoir s'il s'agissait d'un superpouvoir ou d'un monstre.

Nous prîmes place sur un canapé rond où l'un des employés vint nous apporter un objet rouge luisant, c'était un gamin. On aurait pas pensé qu'il avait au moins 18 ans. Ce monstre avait une apparence humaine, il était torse nu, ce qui nous permettait d'admirer son physique mince et élancé malgré sa taille qui m'apparaissait comme n'étant que d'un mètre cinquante.

Je sais que les monstres dotés d'un corps vivent plus longtemps que les mortels, mais, là, était-ce réellement un gigolo? Ce morveux n'avait rien d'un homme.

Ce chétif possédait une tignasse qui ressemblait à plusieurs boucles blanches et piquantes, deux yeux chacun serti d'un iris dont le bleu marine se noyait dans quelques nuances de bleu nuit et de noir. Ces cheveux de neige étaient à l'image de sa peau, dont la blancheur ne faisait que mettre en valeur son faible gabarit et la discrète naissance de muscles, ses tétons ressemblaient à deux cristaux roses posés sur le torse d'une poupée dont le sculpteur essaie de dessiner la musculature.

Kamohoali'i : Bonjour, je m'appelle Kamohoali'i, je suis...

Serge : C'est quoi, ce nom ?

Kamohoali'i **sa petite voix est si douce, mais ne cache pas le fait qu'il veuille rétorquer que c'est clairement du racisme** : Je suis une divinité Hawaïenne... Du moins, son avatar !

Serge : Sérieux ?

Justin : Il aurait pu me dire qu'il a essayé d'éradiquer l'humanité, ça me choquerait pas! Les monstres vivent littéralement dans un autre monde.

Kamohoali'i : J'AI essayé d'éradiquer l'humanité, j'ai même participé à tuer l'Antéchrist.

Serge : Ah... Et donc, tu es là pour?

J'observais le morveux, un monstre ne sachant pas mentir, je ne sais pas comment interpréter ses propos, comme il ne portait qu'un jean noir et un nœud papillon, je me dis que mon ami n'était pas intéressé par ce qui n'a pas l'air adulte... Et moi non plus...

Kamohoali'i **nous donne la plaque rouge** : Cette tablette holographique contient la liste des services de notre établissement. Voulez-vous que je vous apporte une boisson ou un amuse-gueule le temps que vous la consultiez?

Serge haussa les épaules et demanda la même chose qu'il avait prise au "Dragon". Le gamin nous laissa et nous consultâmes son menu ensorcelé.

Justin : Ah oui, ça, c'est pas du racisme ! Regarde, comment ils trient les "employés". Troll... Sirène... Gnome... Succube... Goule... Gobelin... Ogre... Éfrit... Gorgone... Hécatonchire... Sylphe... C'est quoi, un "Dullahan"? Et un "Rakshasa"?

Serge : Dis, tu penses que je suis un bon père ?

Justin : Oh, Serge, t'es encore là ?

Serge... Serge... Quand Cynthia est née, elle est devenue sa priorité. Depuis vingt ans, c'est toujours la même chose. Je le comprends, il fréquente des tas de jeunes pendant son cours de sport, c'est logique qu'il puisse avoir peur de ce qui pourrait lui arriver, cependant...

Justin : Sergie, tu l'as dit toi-même, ce n'est qu'une phase. Ta fille fait du militantisme à la con et fréquente des gens bizarres, mais bon, là, elle est où ?

Serge : Je l'ai laissée aller chez Pringles.

Justin : Brutus Pringles? Le centaure? Tu parles d'un militant, il organise ses événements, juste pour pouvoir faire la fête. Le mois dernier, il préparait une grande action contre la misère et tout ce qu'on a retenu, c'est que deux filles sont tombées enceintes...

Note à moi-même : mieux choisir mes exemples !

Justin : En fait, le militantisme, c'est un prétexte. Ce qui t'inquiète vraiment, c'est que vous vous éloignez, c'est ça?

Serge : ...

Justin : J'ai remarqué qu'elle passait plus de temps avec sa mère, tu sais?

Serge restait silencieux. Le petit revint avec nos boissons et remarquant nos visages, évita de parler, ou plutôt, bafouilla avant de se taire, posant juste nos boissons. Il semblait assez perturbé.

Kamohoali'i : Messieurs, vous savez le règlement ne le dit pas, mais vous devez impérativement commander un service...

Serge **repousse le gamin de la main** : On n'a pas le temps.

À peine l'eut-il effleuré qu'un long silence glacé s'imposa, le démon n'avait même pas bronché, au lieu de ça, ses iris avaient pris une teinte rougeâtre, comme deux torches directement sorties de l'enfer.

Kamohoali'i : Euh...

Dans le roman "Carmilla", la vampiresse éponyme est réputée pour être si puissante d'un point de vue musculaire que sa prise possède le pouvoir de paralyser le membre du mortel qu'elle tient.

Serge allait connaître cette expérience. Il sursauta, mais ne pouvait pas bouger son bras.

Même si les mortels ne pouvaient pas faire de mal direct aux monstres, nous apprenions pourquoi il ne fallait pas s'en prendre à Kamo.

La personne qui était intervenue était elle aussi un monstre. C'était probablement un elfe.

On aurait dit un jeune homme d'une vingtaine d'années, tout comme son ami, il ne portait qu'un pantalon et un nœud papillon. Ce monstre à visage humain était très appréciable pour le regard. Son inhumanité était trahie par sa longue queue touffue, le fait que ses oreilles étaient situées au milieu de sa longue chevelure dorée, en plus d'être clairement des oreilles de chat et non d'humains, et par ses yeux. Déjà, je n'avais jamais vu un tel mélange de turquoise et de bleu vif, c'en était hypnotique, ensuite les humains n'ont pas de pupille fendue.

L'elfe félin n'était clairement pas aussi grand que mon ami, mais il mesurait bien 1m80 ou plus, je n'avais jamais vu un tel corps. Quel Apollon!

Superman existe?

Je ne vois pas d'autre description... L'apparence de ce jeune elfe était celle d'un jeune homme d'une vingtaine d'années, mais dont chacun des muscles était développé à la perfection. Toute sa vie, Serge a fait son possible pour travailler son corps et le développer, il a enchaîné les pompes, la fonte, les abdominaux, les tractions, les haltères et un régime alimentaire dont l'alcool est la seule liberté, pour sculpter sa carrure de Spartiate, et là, il tombe sur ce féetaud qui des larges épaules bien rondes et carrées, des abdominaux en tablettes de chocolat, des pectoraux si fermes, des biceps puissants et surtout la preuve que toute cette chair n'est pas là que pour l'esthétique.

Le jeune démon demanda à son ami de relâcher le bras de Serge. Ce dernier grinça des dents.

Je remerciai intérieurement ce prince de contes de fées d'avoir fait oublier à mon ami son souci du moment en invoquant de vieilles ténèbres.

Serge était frappé dans sa virilité. Insulté ! Sérieusement ! Lui qui a consacré sa vie au sport, en a fait son métier, finit par se faire dominer en quelques secondes par un gamin qui a à peine atteint l'âge adulte.

Cette armoire à glace qui me servait de pote se faisait battre par un petit con qui fait la moitié de son gabarit, voire le tiers.

Les yeux de l'elfe cessèrent de briller, leur lumière bleue ayant suffisamment foudroyer Serge.

Billy **ne demande même pas si on peut l'excuser, il se présente** : Bonsoir, je m'appelle Billy. Je tiens à préciser que Kamo et moi ne pouvons vous fournir nos services pendant un moment, parce que nous devons nous préparer pour une "représentation". Si vous voulez y assister, vous pouvez vous rendre dans la salle "Artémis".

L'elfe aux cheveux d'or prit la main du garçon et partit avec.

Dans la culture monstrueuse, les monstres n’ayant pas la même approche de l'amour et de la sexualité que les humains, les concepts d'éraste et d'éromène sont très présents et il n'est pas rare de rencontrer un monstre qui initie un individu du même genre et qui le protège. Cette relation fusionnelle peut être compatible avec la vie amoureuse d'un des deux, en fait, généralement, les couples de monstres les plus fidèles, Aphrodite en est la preuve, sont très libres d'un point de vue sexuel.

Une serveuse Furie vint nous voir:.

La Furie : Vous avez fait la connaissance de Billy.

Serge **vide sa bière, l'une des dreadlocks de la créature ailée se change en serpent pour pouvoir attraper son verre** : Ouais...

Je n'avais jamais vu Serge aussi enragé, jaloux, et je préférais ça au chagrin. Son honneur avait été bafoué. Depuis la maternelle, il a toujours été le plus fort et s'en est toujours vanté. C'est peut-être pour ça que Cathy, la mère de Cynthia, a voulu divorcer... C'est bien connu qu'en dehors des zombies, tous les monstres disposent d'une condition physique supérieure à celle des humains, sauf les loups-garous...

Justin : Mon ami est un mâle alpha, il est blessé !

Serge : Ta gueule !

La Furie : Ah, c'est tout naturel. Billy est le plus puissant de nos employés. Dîtes-vous qu'il n'a même pas utilisé ses pouvoirs féeriques.

Justin : Mademoiselle, je ne pense pas que ce soit une bonne chose à dire. Dîtes, c'est où, la salle "Artémis".

La Furie : Les salons privés divins se trouvent derrière le portail noir flippant qui semble ouvrir sur le néant et la mort.

Je me levais et me dirigeais vers le vortex noir et violet qui projetait des éclairs rouges, il était gardé par un Yeti et un farfadet. Serge se leva, il savait qu'il valait mieux me suivre dans ces cas-là.

Le Yéti : Vous désirez ?

Justin : Le salon "Artémis", s'il-vous-plaît.

Le Yéti : Ce sera derrière la porte où il y a une statue de la déesse éponyme.

La bête poilue qui ressemble à un ours blanc frappa le vortex qui fut traversé par une onde bleue. Mon ami et moi passâmes cette porte de l'enfer pour nous retrouver dans un couloir, chaque porte était décorée par la statue d'une divinité païenne. En dessous de celle de la belle jeune femme qui caressait une biche, nous pouvions lire "Artémis". Nous entrâmes donc dès que j'eusse payé l'esprit qui gardait le passage. À l'intérieur de ce salon privé, il y avait plusieurs personnes assises sur des fauteuils, on se serait cru dans un cinéma, en face de nous, une vitre sans teint nous permettait de voir la "représentation"...

Billy et Kamo étaient là, en train de se déshabiller.

Nous avions déjà vu de Billy, l'elfe félin, ses muscles d'acier et sa chair bronzée, mais maintenant qu'il se dénudait, nous pouvions voir ce que ce maudit pantalon cachait.

Déjà, la première chose qui me frappa fut le cockring, il portait en effet une sorte d'anneau caoutchouté doré à la base de sa verge. Et quelle verge!

Je sais que les monstres ne respectent pas les normes anatomiques humaines, mais notre adonis était bien monté, ses boules bien fournies et son bâton étaient très prometteurs, ce dernier était surmonté d'un fin duvet jaune qui remontait vers son nombril, perdu entre ses appétissants abdominaux, ils méritaient autant cet adjectif que ses cuisses si bien détaillées.

Le dernier détail qui me força à assumer la bosse qui se formait dans mon pantalon fut son postérieur, il était si musclé que je suis certain que ses deux fesses peuvent casser une noix!

Sa queue féline battait l'air pendant que l'autre, bien plus intéressante, se dressait.

En face de lui, son jeune éromène, son ami de neige, nous révélait enfin la preuve de sa maturité. Certes, il n'avait aucune trace de poil, pas plus qu'il ne devait posséder de graisse, mais entre ses étroites cuisses, s'érigeait un fier pieu qui n'aurait rien eu à envier à ceux des autres mâles de son âge si le membre de son elfe n'était pas déjà aussi impressionnant.

Une fois les vêtements envoyés on ne sait où, le jeune elfe se posa sur ses quatre pattes, à la manière du félin qu'il était, cet Apollon de bronze et d'or acceptait les caresses effectuées par la main délicate de son cadet, remuant ses oreilles triangulaires en sentant ces petits doigts s'enfoncer dans ses boucles blondes.

Le féetaud à la crinière de feu rendit ses cajoleries au démon blanc avant de tendre ses lèvres, l’éromène avança les siennes, posant ses petites mains sur les joues imberbes de son amant et déposa son baiser.

La passion et le rut qui semblaient les animer laissait penser que la langue de l'aîné s'était aventuré dans la bouche du plus jeune.

. Comment pouvait-il être aussi adorable? Mon esprit délectait mon regard de ces yeux bleu foncé, de ce visage juvénile, de ce torse si peu développé.

Billy **caresse les cheveux du plus jeune** : Kamo, je vois que ça commence à se développer. **Il caresse le torse du chétif dieu païen pour sentir la naissance de quelques discrètes tablettes abdominales et de pectoraux, nous les montrant clairement, il a beau être derrière un écran, il sait de quel côté du miroir sans tain sont les voyeurs**

Je me mordis la lèvre en observant ce jeune buste se faire tâter.

Le cadet se tourna pour se venger de son mentor, il posa ses mains sur les abdominaux d'acier de l'elfe aux cheveux d'or, sachant qu'il réagirait! Non seulement, un frisson de plaisir parcourut le corps du blond, les tressaillements étaient plus que significatifs, au moment de la caresse, mais en plus Kamo sentit quelques marques trahissant un afflux sanguin. La montagne de muscles avala sa salive alors que son cadet passait ses bras autour de ses larges épaules.

L'instant d'après, le plus âgé était toujours assis sur le sol, la tête entre les cuisses du blanc, ce dernier se tenait sur ses jambes tremblantes, il passait ses doigts dans la chevelure dorée en acceptant les attaques des baisers et des léchouilles de son aîné, qui, lui, savourait cette fraternelle friandise en posant ses puissantes mains sur le rond postérieur du plus jeune.

Le garçon qui basculait sa tête en arrière lâcha en piaillant :

Kamohoali'i : Ah, grand frère...!

Il n'aurait pas pu lui trouver un autre surnom?

La victime d'un potentiel fétiche incestueux était en train de caresser le pieu qui s'était érigé entre les cuisses musclées de son suceur. De chaudes haleines échappaient aux vaines tentatives de retenue de Kamo. Le plus jeune était donc en train de lâcher ses gémissements de plaisir en subissant l'expertise de la bouche du colosse blond, sa main tremblante, elle, s'occupait de satisfaire le jeune Hercules, ses douces mains ayant refermé leur prise autour de sa verge dressée, elle posa un pouce sur le gland exposé, faisant pression pour récolter une perle intime. Parcouru par une secousse électrique, le corps du chétif essayait de ne pas perdre l'équilibre, cette fellation était cependant trop exquise et surtout de quand même réussir sa masturbation.

Son visage rouge se tordait en affichant son extase. Tremblant, Kamo écarta Billy de son membre. Si son gabarit laissait des doutes sur sa croissance, comme j'aime le répéter, ce twink me fait vraiment fantasmer par sa complémentarité avec l'avatar de son désir bien connu des fans de yaoi, ses organes génitaux ne pouvaient que l'enorgueillir de leur beauté adulte, de leurs proportions, certes toujours peu impressionnantes en comparaison avec celles de Billy, mais tout de même incapables de le complexer par rapport aux autres mâles de son âge.

La redondance, c'est marrant.

Pendant que Kamo avalait une nouvelle fois sa salive, l'elfe blond soupira en sentant la bouche de son jeune mec préféré s'emparer complètement de son pilier gorgé de sang, le dieu païen ne pouvait cependant pas lui accorder l'extase intime jusqu'où il voudrait que ce délice buccal l'amène, ses bourses remontées avaient elles aussi besoin de décharger leur contenu, Billy l'avait en effet compris et empêchait son amant de s'appliquer sur la dégustation de sa fraternelle friandise. Ainsi, le corps puissant et viril du tas de muscles fut poussé au sol, l'empêchant de continuer à masser le scrotum imberbe de son démon ou d'enfoncer un autre doigt dans son intimité. Billy était sur son dos.

Kamohoali'i cédait à ses plus bas instincts, il caressait les cuisses tellement appétissantes de l'elfe, les écartant pour pouvoir révéler le postérieur le plus musclé sur lequel ses yeux se seront posés. Les petites mains séparaient ces deux globes d'acier pour pouvoir approcher quelques doigts de la rondelle étroite, frottant contre l'entrée son érection qui crachait déjà quelques gouttes pré-séminales.

Malgré l'apparence de ces muscles si chétifs, Kamohoali'i disposait d'autant de force que son aîné si athlétique, il put donc soulever le bassin pour placer son gland vers l'entrée de cette caverne si prometteuse.

. Pendant que sa main elfique pinçait les boules de chair situées au bout de la faible poitrine, le blond ne pouvait que reconnaître la masculinité de l'éphèbe qui commençait à enfoncer son gland en lui. Ce démon blanc commençait sa conquête en gémissant, son petit corps rougissait en se couvrant de sueur.

Sois l'œil suspect de votre narrateur et de bien d'autres pervers, l'adulte qui ne semblaient pas méritait ce qualificatif, j'ai bien fait de dire que c'était un twink, était en train de faire coulisser son phallus entre les parois étroites de ce postérieur qui l'emplissait de plaisir tout comme il souhaitait l'emplir de sa semence, la beauté de cet instant était renforcée par le contraste, lui-même renforcé par l'effort physique, entre la musculature de dieu Grec du passif et le corps fébrile dont les petits muscles timides semblaient vouloir désespérément apparaître de l'actif. Pris par le feu du moment, le plus jeune mettait plus de puissance et d'intensité dans ses va-et-vient, il se collait contre le corps couvert de transpiration de son éraste, tremblant au contact de son chibre brûlant, le féetaud se concentrait sur l'adorable pénétrant qui finit par se raidir et se cambrer, ce signe annonciateur fit accompagné par l'évidente éjaculation qui commença à couler hors de la crevasse intime de l'elfe blond qui passa sa main sur les cheveux de son timide amant, ce dernier reprit son souffle, son sang ne fit qu'un tour en découvrant que Billy n'avait pas joui malgré tous les coups de butoir qu'il s'était pris contre la prostate, se sentant insulté, le dieu païen posa sa petite main sur l'objet de désir.

Note de l'auteur **NOUS RAPPELONS QUE CETTE HISTOIRE N'EST QUE PURE FICTION ! DANS LA RÉALITÉ, LES ELFES, LES DÉMONS ET LES AUTRES ENTITÉS SURNATURELLES IMMUNISÉES CONTRE LES MALADIES SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES N'EXISTENT PAS. N'OUBLIEZ PAS DE VOUS PROTÉGER !**

L'éraste félin accepta de laisser son cadet enfermer son priape entre ses mains affamées, ce dernier posa une langue gourmande sur un gland humide dépourvu de prépuce, le jeune démon à la chevelure de neige dégustait l’amère saveur de cette ouate pré-séminale. Orriah observait la technique du petit, non seulement il commençait à prendre en bouche le pieu dur comme pierre, mais en plus, il passait une main sur les tablettes abdominales de son amant pour lui faire cracher quelques chaudes haleines. Billy envoya sa tête en arrière en assumant la puissance de l'extase paradisiaque que lui procurait cette pipe. Je commence à penser qu'il a travaillé son ventre juste parce qu'il a envie qu'on le touche, c'est clairement son point faible.

Kamo était doué, c'est du moins ce que laissait paraître l'expression de bonheur sur son magnifique visage d'elfe. Le dieu païen savait comment agiter sa langue, frottait le membre contre son palais, masser les testicules, il finit par enfoncer ce qui lui apparaissait comme une queue fraternelle dans sa gorge.

Pendant que Serge et moi nous astiquions, le rival de ce premier faisait enfin appel à ses pouvoirs féériques, me petit comprit immédiatement là où son professeur voulait aller.

Une polémique que les antimonstristes aiment bien ressortir, c'est que là où l'humanité des loups-garous, des kitsune ou des centaures ne peut pas être remise en cause, le pouvoir de métamorphose animale des monstres comme les Kobolds, les vampires et autres rend les relations sexuelles avec ces derniers zoophiles. Le pouvoir de l'hypocrisie.

Billy a beau posséder certains caractéristiques physiques animaux, on remarque surtout sa carrure presque humaine, cependant le rut qui l'anime toujours me fait penser qu'il n'est présentement qu'une vulgaire bête qui ne demande qu'à s'accoupler. Que penser d'autre en voyant sa musculature de spartiate devenir plus seyante, le rythme de sa respiration gagner en cadence, sa chair luire sous le roulement des gouttes de transpiration ?

Alors que son "petit frère" usait de ses pouvoirs démoniaques pour matérialiser l'énergie bleu foncé qui nettoyait sa belle bouche de pute, le mâle alpha usait des siens, féériques, pour projeter le rayon bleu vif et turquoise qui fit venir à lui l'objet carré des vêtements qui traînaient dans un coin et dont on avait oublié l'existence, l'emballage du préservatif ne fit pas long feu.

Le fauve en chaleur se jeta sur le garçon de neige et lui vola un langoureux baiser pendant que ce dernier, qui avait l'habitude, prenait la capote pour la dérouler, sans même poser le regard dessus, le long du phallus dépourvu de prépuce.

Une fois le baiser rompu, les deux mâles eurent besoin de reprendre leur souffle, Kamo s'essuya même la bouche, ça ne dura heureusement qu'un court instant. En moins d'une demi-seconde, la divinité Hawaïenne qui protège les naufragés s'était positionné sur le sol, sur son dos, réclamant d'être sailli, il écartait les cuisses en envoyant ses maigres jambes sur son torse emprisonnant dans ses mains ses genoux, sa fente avait clairement l'habitude d'être explorée.

Bestialement, son ami fit perler sur lui sa sueur, aussi bouillante que sa chair virile, le petit acceptait de recevoir le frein monstrueux qui s'insinuait entre ses parois intimes.

Alors qu'il enlaçait le démon qui n'avait désormais plus que deux mots de vocabulaire, à savoir ni "petit", ni "sœur", l'elfe blond le collait contre son torse athlétique et sculptural pour rougir la peau qui s'électrisait par cette friction cabalistique, le plus jeune enfonçait sa bouche dans l'épaisse épaule de son inséminateur pour pouvoir éviter de hurler alors qu'il encaissait l'invasion de l'implacable lance charnelle.

La luxure et la virilité imprégnait la pièce en même temps que chacun des muscles du corps elfique se mettaient en action pour imprimer une force féroce disproportionnée pour le début du recul, qui se transformera finalement en brutal enfoncement. Billy venait de commencer les va-et-vient, il enchaînait les entrées et les fausses sorties à l'intérieur de son éromène sacré, il lui faisait perdre toute dignité en le forçant à assumer ses désirs primaires chaque fois qu'il sentait deux gros réservoirs se claquer contre ses rondelettes fesses et un puissant mandrin pilonner sa boule intérieure.

L'actif blond se retira enfin, nous fûmes déçus. Il était si beau, comment résister à ses cheveux humides complètement désordonnés ou à son corps puissant, sa respiration saccadée donnant l'impression que chacun de ses beaux muscles avait été mis à l'œuvre.

Au lieu de s'arrêter là, Kamohoali'i se mit à quatre pattes, pour notre plus grand plaisir, il était en face de nous, derrière la vitre, Billy nous offrait une vue de luxe sur son torse si puissant, il prit en mains les hanches de son amant rougi et renvoya son priape se loger dans sa place légitime. Ainsi, Billy reprit la série de coups de butoir, il faisait claquer ses lourdes bourses contre celles de son éromène, le faisant couiner quand il sentait toute la sauvagerie de ces allées et venues violentes, mais bien trop délectables pour qu'il puisse ressentir la moindre douleur. L'expression qui désormait le visage juvénile révélait qu'il ne ressentait que de la joie et du plaisir. Le démon ne tint plus sur ses bras et laissa son elfe préféré être là seule raison pour laquelle son popotin était toujours en l'air, il y allait sans retenue.

Billy continuait sa sodomie, coulissant dans le boyau chaud de son ami. Il enchaîna les coups de reins jusqu'à ce que le cadet se cambre en hurlant et en pleurant sous la puissance de l'orgasme, sa prostate n'ayant pas tenu le coup, son anus devint si étroit pour Billy qu'il craqua et accepta enfin de vider ses graines dans la couverture de plastique.

Un peu plus tard, j'étais en train de demander à la Furie de tout à l'heure comment réserver une "activité" avec Billy. Elle m'expliqua qu'il était malheureusement trop occupé pour la soirée, elle sentit cependant une vibration dans son pantalon, la serveuse ailée prit son portable et accepta de lire le message.

La Furie : Euh... Alors, la perso qu'il faut voir pour votre demande arrive dans deux heures. Vous la reconnaîtrez immédiatement.

Ma curiosité me tuera...

Alors que Serge était rentré chez lui, probablement prêt à reprendre son cycle d'angoisses paternelles, j'avais passé la soirée à observer le "menu" pour réfléchir à ce que je pouvais faire pour profiter du "Sort-céleri", après tout, il n'y a pas que les problèmes de masculinité d'un certain professeur de sport dans la vie.

Une fois le temps d'attente écoulé, je vis ce qui ressemblait à une jeune femme, ses yeux violet fuchsia trahissant sa véritable nature, très belle, entrer dans ce que j'appelle la "boîte de nuit".

Cette monstresse possédait les cheveux noirs les plus longs que je n'avais jamais vus, sa peau était certes sombre, mais pas autant que celle de Serge. Elle portait une robe blanche si moulante, malgré la floraison de la jupe, qu'elle ne laissait pas de place à l'imagination.

Finalement, en l'observant de plus près, je me rendis compte que c'était elle qui m'avait donné rendez-vous. En regardant ses doigts, je remarquais une alliance... Elle possédait les mêmes couleurs et motifs que le cockring de Billy. Quoi?

Mes doutes furent confirmés quand ce dernier arriva, l'elfe semblait épuisé, il sortait, uniquement vêtu de son jean et de son nœud papillon, encore plus décoiffé que tout à l'heure, dans ses bras, il portait son jeune démon, paisiblement endormi, l'enlaçant comme un parent enlace son enfant. Le jeune elfe félin alla voir la sirène aux yeux d'améthyste et la laissa poser ses douces mains sur ses imberbes joues pour lui voler un baiser. Si j'avais su que Billy pouvait échanger des roulages de pelles encore plus intenses que ceux qu'il a avec Kamo... En même temps, je ne le connais pas vraiment. La jeune sirène posa ensuite ses lèvres sur la joue de l'adulte à l'apparence de bambin et me dit signe de la suivre derrière un rideau. Quand je l'eusse passer, je découvris qu'elle m'avait conduit à un couloir rouge, la jeune monstresse et ses deux amis entraient dans une pièce. Une fois mon être introduit dans ce salon privé, le blond ferma la porte à clé.

Cette pièce cylindrique possédait un aquarium incrusté dans le mur, elle était entourée par un long canapé rouge. La jeune monstresse s'assit et laissa Billy posa sa tête sur ses genoux, il gardait son dieu païen endormi, complètement accroché à ses muscles, comme un koala à sa branche.

Orriah : Bonsoir, je m'appelle Orriah et je suis la fiancée de Billy... Je suppose que ça vous étonne.

Justin : C'est à dire que je suis un peu au courant des mœurs des monstres... Eh, mais, j'oublie, je m'appelle...

Orriah : Vous vous appelez Justin Murena, 49 ans, vous êtes professeur de sciences économiques à l'université Anzar Gurzil, votre meilleur ami est le professeur de sport et coach de l'équipe de football, Serge Ans, il a le même âge que vous. J'assiste à toutes les représentations de mon Billy et de notre bébé d'amour, il me suffit de chanter pour tout savoir d'un mortel. Et c'est encore plus facile quand j'efface ma mélopée de la mémoire de ce dernier. J'irai droit au but. J'ai tout compris.

Ne passant par quatre chemins, la jeune Vénus bien chanceuse m'expliqua avoir compris que l’hyperprotectivité de son amoureux avait offensé mon ami et l'avait métaphoriquement castré. Elle me proposa donc de négocier avec elle pour une activité durant laquelle nous allions avoir le droit d'humilier Billy. Ce dernier se laissait caresser les cheveux.

Orriah : Bien sûr, il y aura un prix et des conditions. Commençons par ces dernières, voulez-vous.

Justin : Entendu !

Orriah : Aucune femelle n'a le droit de toucher à mon Billy. Ensuite, pas de scat! Pas d’uro! Hors de question qu'il saigne, pas de plantage de crochets ou de lames, pas de pinces! Pas de coups ai visage ! Pas d'emprisonnement pénien! Pas d'attache du sexe à des poids. Pas de vomis! Pas de crachats, sauf dans l'anus ! Et surtout : Pas se combinaison moulante en cuir pour mon chéri.

Justin : Euh, je pige pour les autres trucs, mais le dernier point... Pourquoi ?

Orriah : Rien, c'est juste que, comme il y aura une caméra cachée, comme à chaque fois, je veux profiter du corps de mon Billy, vous n'imaginez pas le temps que ça lui demande de le sculpter. Et dire que Kamo espère avoir le même un jour. Mon pauvre bébé d'amour !

Justin : Au passage, je me posais une question. Pourquoi Billy est aussi protecteur avec Kamo?

Orriah : Notre Kamo a eu une enfance plutôt... Difficile, dirons-nous... Il a besoin de nous.

Justin : Et du coup, vous lisez dans mes pensées.

Orriah : Voilà, ce que je vous propose, je maintiens la connexion télépathique jusqu'à après-demain soir, une fois que vous en aurez fini avec mon chéri. Ça me permettra d'apprendre à vous connaître, vous et l'autre armoire à glace qui vous sert d'ami.

Justin : Concernant le prix?

Orriah : Si Serge arrive à soumettre Billy, j'accepterai de vous offrir l'activité, en revanche, dans le cas contraire, vous devrez saboter la manif que prépare la petite connasse qui vous sert de filleule et qui a osé empêcher Billy de se faire prendre par des jumeaux !

Justin : Ah, je pense que ça explique tout... Enfin, je crois.

Ainsi, la nuit passa...

Archangeru77

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