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HISTOIRE

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Premier épisodeÉpisode précédent

Simplement | 3

Patrick et moi avons passés la plupart de nos après-midi avec nos amis, quelques fois nous avons retardé notre retour et par deux fois nous leur avons préféré “notre” plage ; un peu pour qu’il se repose de son travail et surtout pour être seuls, pour se connaitre, se faire du bien. Je ne sais pas encore comment gérer ce qui m’arrive alors que lui ne semble avoir aucun doute, il me provoque, me pousse, calme mon impatience, se régale de moi et moi de lui.

Avant-hier soir, je me préparais pour descendre au village quand j’ai surpris la conversation de mes parents assis dans le jardin :

« ...tu as remarqué le changement de Marc ? »

« Oui, il est plus serein, à la fin tu as bien fait à insister qu’il vienne, il fallait qu’il affronte la chose, qu’il fasse son deuil. »

« Mhmh, revenir ici, se rappeler des bon moments passés lui a fait du bien mais je crois qu’on le doit aussi à Patrick, il a une bonne influence sur lui, il me plait ce garçon. »

Et à moi !Tu peux pas savoir...

Dans quatre jours je pars au camping, Patrick ne le sait pas encore... J’ai décidé de le lui dire ce soir. Avec nos amis nous avons organisé une soirée d’au revoir avec feu de camp et barbecue au bord de l’eau, j’ai laissé sous-entendre à mes parents que nous passerions tous la nuit à la belle étoile là-bas alors qu’il n’y aura que Patrick et moi sur “notre” plage.

Les choses ne vont jamais comme prévu, c’est comme ça qu’alors que je contrôle le contenu de mon sac-à-dos Papa me demande :

« T’as pris le matelas gonflable qui était ici ? »

« Oui bien sûr. »

« Comme ça tu l’essaye avant de partir au camping et s’il est troué on a trois jours pour en acheter un autre. »

Patrick me regarde surpris puis, après avoir salué mes parent, met son casque et me lance : « Je t’attends dehors. »

La boulette est faite !

Je rejoins Patrick, nous partons direct. Il ne nous faut que peu de temps pour rejoindre le lieu de notre soirée. La plupart de nos amis sont déjà arrivés, le feu est déjà allumé, quelqu’un a amené son MP3 avec de la musique, l’ambiance est bonne, baignade en attendant que les braises se fassent. Une fois le barbecue mangé et le bain de minuit fait l’atmosphère s’est calmée et nous sommes tous assis autour du feu à parler. Patrick ne participe pas beaucoup, Elise l’a remarqué, elle s’approche et se colle à lui en disant :

« Faut pas être triste, dans quinze jours je suis de nouveau là. »

Il lui passe un bras autour des épaules, la serre contre lui et ils commencent à parler entre eux.

Moi, j’écoute Arthur qui me raconte qu’il part en stage pour son BTS puis me demande à son tour ce que je ferais les prochaines semaines

« Je pars en camping avec des copains de classe. »

Patrick me lance un regard noir tout en continuant de parler avec Elise, je l’entends lui dire qu’elle lui manquera et elle lui répondre :

« Toi aussi grave ! »

Je jette un œil dans leur direction et les retrouve à se rouler un patin interminable.

Je suis soufflé.

Mais qu’est-ce qu’il fout ? Je comprends que dalle ou plutôt si, mais... Je m’étais fait tout un film de cette nuit et maintenant... ?

Je continue à répondre aux questions d’Athur et parler machinalement avec les autres sans plus me retourner vers Elise et Patrick. Ça me prend trop les tripes.

Il est plus de deux heures du mat’ quand nous nous séparons, chacun retournant chez lui comme il est venu : les autres en voiture, Patrick et moi en moto et vu comme s’est passée la soirée ça ne m’étonnerais pas qu’il me lâche devant l’accès à la “Chartreuse”, mais non il prend la route vers “notre” plage.

Arrivés, nous descendons de la moto et parcourons le bosquet à la lumière des torches, sans un mot. Le campement est déjà prêt, pendant que Patrick allume le feu, je gonfle mon matelas, le pose à côté du sien et déroule mon sac de couchage dessus puis je m’approche du feu.

Le silence est lourd.

« Tu avais l’intention de me le dire ? »

« Oui, ce soir... »

« C’est un peu à la bourre, non ? »

« Oui, non... Cette année je ne voulais pas venir ici. Mes parents ont tellement insisté que je leur ai dit que je viendrais à condition qu’après je puisse aller en camping avec mes amis. »

Pat, accroupi près du feu, continue à s’en occuper en silence.

« ...C’est moi qui ai tout organisé, qui ai convaincu les parents de nous laisser y aller... Je pouvais pas savoir... Et puis tout ça nous est tombé dessus... »

« “Tout ça” quoi ? »

« Bin... Nous... Ce qui nous arr... On est ensemble, non ? »

« Tu crois ? »

« Elise ? »

« Jaloux ? »

« T’es mon... » le “mec” reste coincé au fond de ma gorge quand je me rend compte de l’énormité de la chose.

Je me colle dans son dos et murmure :«Un peu. Je ne veux plus y aller... j’ai essayé de trouver une solution mais y’en a pas, mes parents ne comprendrais pas... Et puis deux de mes copains ont raccourci leur voyage à l’étranger pour être là ! »

Il soupire : « Tu aurais dû me le dire, on aurait passé plus de temps tous les deux... »

« Je n’savais pas quoi faire... »

« Et vous serez combien à camper ? »

« Cinq dans deux tentes. »

« Rien que des mecs ? »

« Oui... »

« Cinq mecs, deux tentes ; pratique, intime au besoin. Tu vas pouvoir prendre ton pied... »

« Pareil pour toi. Si ça se trouve tu rencontreras quelqu’un... Je veux pas attendre un an pour qu’on se revoie. »

« On pourrais se revoir assez vite... »

« Oui certain, il suffit que je m’organise pour descendre quelque w.-e. ... »

« Je me suis inscrit à Rennes pour mon master. »

« ... Noel ce sera difficile mais ... » Il me faut quelques instants pour réaliser.

« A Rennes? Ce sera ma fac, mais comment... ? »

Il a de nouveau son sourire en coin : « Tes grands-parents parlaient beaucoup de toi, ils étaient très fiers. »

« Tu l’as fait exprès ? »

«Je te l’ai déjà dit ça fait deux ans que j’attends et je voulais avoir tous les avantages et puis point de vue taf y’a pas mal de débouchés ! »

Je le renverse dans le sable lui roule un patin d’enfer, les vêtements volent, bientôt nous sommes en soixante-neuf les bites endurcies, sa langue passe sur mon anus, le lèche, le mouille, le circonscrit et mon étoile commence à pulser d’envie. Par imitation, je lui rend la pareille, je sonde puis le perce d’un doigt, une pause tandis que ma langue danse tout autour et l’humidifie, j’ajoute le majeur et je rencontre une petite noix que je cherche à délimiter instinctivement dans mon vas-et vient.

Il mugit : «...Arrête sinon je vais juter... et il y’en aura plus pour personne ! »

Je recommence à copier ses gestes ; je ressent exactement ce que je lui fait, je suis près de jouir, il se détache de moi, me pousse sur le périnée et me pince légèrement le gland, j’en ai le souffle coupé d’envie et de douleur:

« Pas encore ! »

Je l’entend fouiller dans le coin de la tente, il fait apparaitre un tube et une capote, j’ai un frisson d’anticipation, il déballe le préso et en m’embrassant me le déroule tout le long de la hampe.

« ... Mais je... »

« Chut, tu vas apprendre. »

« ...sais pas... »

Je suis ses indications, je le force, une fois le gland passé il me happe, c’est toute une suite de poussées et de haltes dans un écrin doux et chaud, ce qui me surprend c’est la profondeur, jusqu’au moment où je me pose. Je lui embrasse la nuque, le cou, lui caresse les épaules, les pecs, descends vers sa queue qui a un peu débandé, je la prends en main, Patrick commence à se retirer puis s’enfiler, lentement, je suis le mouvement, qui s’amplifie, accélère, devient incontrôlable.

« Non... Attends... ».

Je m’immobilise « ... Je t’ai fait... »

« Non ! Je veux te regarder dans les yeux pour notre première fois ! »

Je me suis ôté lentement et il s’est mis sur le dos les jambes écartées, les genoux repliés, offert.

Je le pénètre de nouveau, il m’attire à lui et me roule une pelle incendiaire, les mains de chaque côté de sa tête, les yeux dans les yeux, ses mains sur mes hanches, j’augmente le rythme, la sève monte, j’explose. Patrick me suis de près. Je m’écrase sur lui et prends sa bouche, il aspire mon souffle, son foutre nous ventouse encore plus.

Après un long silence stupéfait, nous nous nettoyons l’un l’autre de nos jouissances et nous enfilons entre nos deux sac de couchage complètement ouverts, notre premier lit d’amants.

Le rêve est super-érotique, des mains glissent sur mon corps, les caresses sont toujours plus appuyées, on me retourne, et une bouche m’explore, me suce, me lèche, me mord. Une respiration, non deux : la mienne qui halète, l’autre profonde et saccadée. Ce sont mon cœur qui s’emballe et la voix qui gronde dans mon oreille à m’éveiller.

« Marc... »

« Pat ? »

Sa langue m’envahi la bouche, sa queue bande contre ma hanche.

« Je te veux... »

« ... hein ? »

« Je veux te prendre. »

« Oui » Enfin.

Sa bouche et ses doigt lubrifiés préparent le chemin pour le dard qui s’enfonce. La douleur y est, les pauses, la progression et tous ces mots fou et les encouragement qu’il me murmure, jusqu’au bout. Il se retient, me relève, je suis à genoux assis sur ses jambes, sa main serre mon cou, l’autre est sur mon torse, il s’impose. La tête sur son épaule, je m’empale un peu plus sur lui pendant qu’avec sa bouche il renouvelle la marque qu’il m’avait faite durant notre premier après-midi.

Il ondoie, légèrement au début, puis toujours plus profondément et ça ne me suffit pas.

« Pat... plus fort ! »

Il se retire, je me retrouve plaqué sur le dos, les jambes sur ses épaules, doigts entrelacés. Il me roule une pelle, me regarde, s’insinue en moi.

« Plus fort? Mais tu vas tout prendre, Marc ! »

Il s’enfonce, m’écrase, pilonne et nous cloue à nos orgasmes. Il m’a démoli, et même si le soleil est déjà levé, je me rendors dans ses bras.

Un bisou et Patrick qui dit : « Debout petit branleur, il est près de midi, le café et le déjeuner sont prêts, dépêche sinon je n’aurais pas le temps de m’occuper de toi comme tu aimes... », il me déplace la main et me léchouille le gland.

C’est vrai que j’ai la trique.

« Cinq minutes... »

J’ai dû me rendormir car je sens qu’on me traine par la cheville, puis il me prend dans ses bras, comme une meuf mais c’est pas mal, jusqu’à ce que j’entende un clapotis, alors qu’il prend de l’élan pour me lancer à l’eau, je le chope et l’entraine dans ma chute. Agacé je sors et lui dit : « Tu dois arrêter de me foutre à l’eau, maintenant y’a plus de quoi t’occuper ! »

« Je vais te prouver le contraire », il m’attrape et gobe de suite mon pieu, presqu’une heure plus tard, nous émergeons tous deux satisfaits de la démonstration.

« Un mois et demi, ce sera long. »

« Mhhh, toi tu vas en camping avec tes potes, moi j’ai mon taf. Et puis on a nos tel. »

« Wathsapp... »

« Nos portables »

« FB »

« Skype » et on se met à rire.

Sept ans déjà. Je réagi, contrôle une dernière fois le nœud de ma cravate et ma boutonnière dans la vitre de la voiture. Je suis en retard, je monte rapidement les marche et rentre dans la salle que je survole du regard, les amis , les familles tout le monde est là. Devant moi Patrick et son cousin, en face d’eux Elise en robe blanche qui me dit : « T’es sûr, il est encore temps pour changer d’avis. J’ai mis cette robe exprès ! », comme toujours elle provoque, ma témoin, celle à qui j’ai tout pardonner quand dans le silence suivit à notre coming out et l’annonce que nous nous installions ensemble Patrick et moi, s’était écriée :

« C’est pas juste ! Qu’est-ce qui nous restera à nous les filles si tous les beaux mecs sont gay ? Vous vous rendez compte du tort que ça nous fait ?... ».

Je m’approche de Patrick, l’embrasse pour m’excuser et entends le maire qui dit :

« ça c’est pour la fin de la cérémonie messieurs ! »

Et alors que je me retourne vers le lui et que les rires diminuent, je jette un coup d’œil par-dessus mon épaule et vois Papa qui serre très fort la main de Maman émue aux larmes et je me dis que Mamy et Papy avaient raison, tout simplement.

Quasi

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