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Premier épisode | Épisode précédent

Salim et Moi

6 | Voyage innatendu

Avant de continuer, je tenais à préciser suite aux nombreux mails, que le ‘’sauna’’ en question a fermé définitivement après le confinement, désolé pour les curieux !

Salim et moi n’avions pas beaucoup tardé dans le sauna et sommes vites rentrés pour ne pas rater les derniers trains. Tout le trajet retour sera silencieux, et l’heure et demie ensemble se limitera à se bouffer des yeux, se sourire, se presser l’un contre l’autre en profitant de l’absence de passagers. Une fois arrivés à la station que nous avions en commun avant de chacun prendre notre chemin, on se regarde, et on s’embrasse sans se poser la question du monde qu’il y aurait autour de nous (bien qu’à une heure aussi tardive, le risque n’était pas si grand que ça). « Tu m’écris pour me dire que t’es bien rentré » finit-il par me dire avant de prendre le train en me souriant. Je regarde le train partir avant de prendre le mien en souriant bêtement.

Le reste de la semaine nous avons fait que parler par messages, lui étant pris par le boulot et moi par les cours. Nous ne lâchions pas nos téléphones et nous nous répondions à la seconde près, une minute lorsque l’autre prenait vraiment du temps. Nous attendions la fin de semaine avec impatience, et les messages n’étaient pas que mignons, certains étaient même très chauds et je devais faire attention aux yeux qui traînent à l’arrière de l’amphi. Nous décidons de passer la journée de samedi ensemble. Nous devions aller au cinéma, au musée et plutôt que d’aller au restaurant, le temps étant très ensoleillé, faire un pique-nique aux bois. Je devais le retrouver chez lui. Je me réveille évidemment bien plus tôt que prévu, et mes parents, qui me voient de bonne humeur, ne me posent pas de question, mais sont particulièrement souriants. Après avoir tourner plusieurs fois autour de son immeuble en attendant l’heure, je finis par monter (d’autant que pas mal de vieux me regardaient avec beaucoup de suspicion). Je toque à sa porte et je constate qu’elle est déjà ouverte.

« Ferme la porte » entendis-je dans un chuchotement. A peine le loquet refermé, il se jette sur moi en serviette de bain et m’embrasse à pleine bouche. Je lui rends son baiser et je le sens m’agripper par la nuque. Au début je pense qu’il veut d’un baiser de cinéma alors je me baisse en l’embrassant pour le faire tournoyer, et je sens son poids de plus en plus, et je comprends qu’il se relâche totalement pour me faire tomber avec dans le lit. En atterrissant sur le lit, sa serviette finit par tomber et je constate avec plaisir qu’il est nu. Il m’embrasse à pleine bouche pendant que je le caresse de partout ce qui le fait gémir. Je ne tiens plus et quitte sa bouche pour lécher son cou, puis son torse et je descends pour lécher sa peau si douce, ce qui le fait gémir. Pendant ce temps il tente, fébrilement de me retirer mon haut. Je finis par totalement me déshabiller en ne gardant mon caleçon pendant qu’il me regarde souriant. Je lui souris et je m’approche de lui pour le prendre dans mes bras :

- Tu ne veux pas sortir finalement ?

- J’ai trop envie de toi ce matin hbibi.

- Toute la journée ?

- Pourquoi pas on verra. Mais le soir on sort j’ai une annonce à te faire haha.

Je le regarde interrogatif, mais il ne rajoute rien, me sourit et m’embrasse à pleine bouche en mettant sa main dans mon caleçon pour me branler. Je lui saisis la nuque l’embrasse et le retourne doucement sur le dos pour lui bouffer le cou en lui caressant la raie en même temps. Il jette sa tête en arrière et souffle de plus en plus fort, pendant que ses mains passent de mon dos à mes fesses. Il finit par baisser mon caleçon, que je jette dans les airs juste après pour qu’il ait accès à tout ce qu’il veut. En me mettant à genou sur le lit, il se retourne et se met à me sucer sur le ventre, en bougeant un peu du cul. Je me laisse sucer en lui caressant les cheveux pendant 10 bonnes minutes. Je sens sa langue, la chaleur de sa bouche et l’humidité de sa gorge quand il m’avale plus profondément. Je le sens me sucer avec amour et je lui murmure « tu es à moi omri ». il se relève, me regarde en souriant, et je bascule sur le côté pour lui saisir les hanches et on se comprend très vite. Il relève sa jambe gauche et je me mets à lui lécher les couilles et le scrotum pendant qu’il reprend sa fellation. Ma langue finit par atteindre son trou ce qui le fait gémir. Il sent bon le savon, sa peau est toute douce et je sens surtout sa langue frotter toujours plus fort contre mon gland ce qui me fait gémir. Je finis par le retourner complètement sur le dos. Je vois sa bite briller de mouille et je décide d’embrasser à pleines lèvres son gland ce qui le pousse à gémir en renvoyant sa tête en arrière. Je finis par saisir sa bite plus franchement et je m’allonge sur le ventre, sur lui, lui laissant un vue complète sur mon cul. Il se met à me caresser les fesses doucement et je le suce de plus en plus frénétiquement. Je me rends compte que sa bite est bonne et que je prends de plus en plus de plaisir à le sucer et à l’entendre pousser vers les aigus quand j’y mets franchement la langue et que je pousse son gland au plus profond de ma gorge. Je manque de m’étouffer avec sa bite quand je sens sa langue pénétrer doucement mon anus. Il sent que ça me plait et joue avec du bout de sa langue. La sensation est incroyable : je sens le bout humide de sa langue appuyer sur chaque pli de mon anus, appuyer doucement, humidifier et réchauffer toute la zone. Il s’amuse à faire pression à la fois sur le pourtour de mon trou, et à rentrer bien plus profond pour tournoyer sa langue à l’intérieur de moi. Je lâche sa bite et je me laisse à gémir pendant qu’il masse mon intimité avec sa langue. Il me donne une énorme fessée qui me fait gémir encore plus, ce qui le fait grogner. Je sens mon anus s’ouvrir doucement sous ses coups de langue et il rapproche mon cul de son visage pour y aller bien plus franchement. Me voilà à moitié accroupi sur son visage en train de savourer la sodomie que me fait sa langue. Il décide de carrément de plonger sa langue et je sens toute la longueur de cette dernière. Il me malaxe les fesses en même temps, et je sens ses dents mordiller mon trou ce qui me fait gémir encore plus. Je perds complètement la notion du temps pendant qu’il lèche et me pénètre avec la langue avec talent.

Il finit par entrer son doigt et je détends encore plus. Il laisse le sommet de son doigt planté en moi. Je le suce pendant qu’il bouge des hanches pour entrer sa bite plus profondément dans ma bouche. Je sens qu’il est proche de l’orgasme :

- J’ai envie de te faire une faciale, je ne l’ai jamais fait, t’en as envie ?

- Je n’ai jamais fait. Pourquoi pas.

- MMM génial. Vas-y lâche toi, c’est tellement bon.

Je suce sous ses encouragements et ses gémissements pendant que son doigt est toujours fiché en moi. Il me caresse les fesses de son autre main, et l’index de sa première main se sépare de celui fiché en moi pour presser le dessous de mes couilles, ce qui me procure un plaisir encore plus grand. Je sens son corps considérablement se chauffer et me donner chaud par la même occasion. Complètement en sueur après 15 min de ce traitement je me redresse pour reprendre mon souffle et sans m’en rendre compte je sens son doigt rentrer plus profond. Le plaisir est instantané et je me rue sur sa bite que je suce de plus en plus frénétiquement pendant que je me frotte à Salim pour me laisser glisser plus profondément et sentir encore son doigt. Il gémit et me fout des claques aux fesses qui me chauffent encore plus. Complètement en transe je me mets à quatre pattes tout en enfonçant sa bite au plus profond de ma gorge, je me cambre et je le laisse me doigter franchement, en m’empalant moi-même de mon côté pour renforcer cette pénétration du bout de son doigt et je sens qu’il est proche de l’orgasme. Je crache toute ma bouche presque sur ma main pour le couvrir de bave et le branler de plus en plus vite. Je l’entends gémir et me doigter de plus en plus fort. Je gémis comme je n’ai jamais gémis et je me mets à lui supplier de continuer pendant qu’il me hurle « ça monte ça monte PUTAIN » et sans comprendre je me retrouve le visage recouvert d’un premier jet brûlant, puis d’un second, d’un troisième et d’un dernier qui arrive jusqu’à mon front. Alors que me laisse tomber il se redresse, me regarde, m’embrasse, me doigte, et prend le sperme de mon visage pour me branler avec. Je ne le lâche pas du regard et je sens la sauce monter, avant de cracher tout ce que j’ai en hurlant presque ; bien qu’il prit le soin de m’embrasser pour tenter de couvrir mes hurlements les plus forts. Je me laisse tomber et je tente de stabiliser un peu mon esprit, étant complètement pris de vertige. J’avais le tournis comme je ne l’avais jamais eu. Il se rapproche de moi et me câline :

- Attention tu vas te salir, j’ai joui sur tout mon ventre.

- Et alors Adil ? c’est ton sperme, ça ne dégoûte pas. Tout ce qui vient de ton corps m’excite.

- Même ma sueur odorante ?

- Haha surtout ta sueur odorante. Tu ne te rendais même pas compte à quel point tu étais sexy tout luisant sur moi, le cul cambré. Miam. Je serai presque retombé amoureux de toi

- Oui tu m’as allumé.

- Grave une vraie salope. Silence dans la pièce, il se met à rougir

- Tu es con, lui dis-je en souriant. Il me sourit en retour et m’embrasse

- J’en avais trop besoin merci bébé

- De rien bébé, dis-je en imitant une la voix d’une bimbo, moi qui trouvais les couples qui s’appelaient « bébé » ridicules. Mais, dis-je en reprenant ma voix, je tiens à dire, que tu as un talent incroyable en lèche. Je crois que je n’ai jamais ressenti ça de toute ma vie.

- Haha vraiment ? après faut dire que t’as l’anus tout lisse, c’est très agréable. C’est l’avantage des mecs vierges.

- Okay monsieur l’anusologue haha. Mais vraiment tu es très doué, j’ai adoré. J’imagine même pas avec autre chose ce que ça serait.

- C’est sûr qu’un gland c’est pas un bout de doigt. Mais ça te dirait d’essayer ?

- Je sais pas. Je me mets à rougir. Mais pourquoi pas oui. Tu me plais j’aimerais bien que tu sois ma première fois.

- Haha tu es trop mignon. Mais ne t’inquiète pas j’ai prévu tout ça. Ça sera peut-être en lien avec l’annonce que je vais te faire ce soir.

- Tu veux pas me la dire ?

- Non, allez habille toi, j’ai envie de sortir.

Je le regarde s’habiller pendant que je tente du mieux que je peux de me nettoyer de tout ce sperme. Salim est décidément de très bonne humeur après s’être vidé. Il me fait visiter ses deux musées préférés, sans jamais me lâcher : quand il y a très peu de monde il me tient la main et m’embrasse, quand il y a du monde il garde quand même son bras sur mon épaule et me regarde en souriant. Lui qui ne voulait pas être en couple, il s’avère finalement le parfait petit copain. Alors qu’on flâne, on tombe sur un restaurant libanais et je propose à Salim de s’arrêter pour déjeuner. On rentre et on tombe sur un restaurateur très souriant (il était environ 15h alors la salle était complètement vide).

- Bonjour les amoureux. Une table pour deux ?

- Les amoureux ? répondis-je avant que Salim dis-je bonjour

- Ahah nous sommes cousins, rajoute Salim

- Ah d’accord désolé réponds le restaurateur. Tenez la carte.

- C’est halal ?

- Oui monsieur répondit-il en souriant. Vous êtes d’où ? rajoute-t-il en arabe ?

- Du Maghreb, mais nous sommes nés ici répondis-je en arabe.

- Magnifique. Installez-vous.

Alors que nous nous installons, je fixe l’horloge murale qui indique les heures de prières de la journée et je me rends compte que je n’ai rien prié. Le restaurateur suit mon regard et sourit :

- Vous voulez faire la prière ? j’ai le tapis et un coin tranquille

- Non non ça va aller haha, merci.

- Mais si allez-y. en plus je dois la faire moi-aussi alors faisons-là à deux. Attention ça ne se refuse pas haha

(oui il faut savoir que dès que le restaurateur arabe est en face d’un arabe, il perd tout professionnalisme et vous parle comme à un membre de la famille. Je vous laisse juger de ça).

- Non non vraiment. Je n’ai pas fait mes ablutions en plus.

- Moi non plus, faisons-les rapidement, ma salle de bain est juste au-dessus.

- Je… ne peux pas.

Je me mets à rougir. Le restaurateur semble comprendre et rigole.

- Ah. Petit coquin. Tu te rattraperas en rentrant j’espère haha.

- Oui merci.

(petite explication : après avoir éjaculé, il est nécessaire de faire des ablutions pour l’ensemble du corps, bien plus longues que les ablutions classiques. Quand un homme dit ne pas pouvoir faire ses ablutions, c’est généralement une manière de faire comprendre qu’il a éjaculé).

Salim rigole et le restaurateur se tourne vers lui, ce qui le fait taire et le fait rougir à son tour.

- Désolé moi aussi dit-il en souriant.

- Eh bah. La chance tous les deux, lui répond le restaurateur, qui nous fait un clin d’œil.

Je regarde Salim qui semble amusé. Il me dit en chuchotant « il n’est pas méchant, c’est plus drôle qu’autre chose ».

- Oui certes, répondis-je, mais qu’il se mêle de ses affaires. On est pas ses gosses du Liban.

Salim éclate de rire, ce qui détend l’atmosphère et nous commandons. Evidemment, une fois lancé, le restaurateur ne s’arrête pas et nous bombarde de questions :

- Vous venez d’où au Maghreb ?

- Vous êtes cousins du père ou de la mère ?

- Et vous êtes mariés ? Non pas encore j’imagine n’est-ce-pas ?

Je ne me rappelle plus du nombre de questions, mais elles étaient de cet ordre-là. Et Salim en lui répondant par le sourire ne faisait que l’encourager, jusqu’à forcément la question qui fâche :

- Et alors vous êtes célibataire ?

- Non nous sommes en couple, répond Salim du tac au tac sans s’en rendre compte.

Heureusement que la réponse reste ambiguë et qu’il ne nous ait pas trop trahi.

- Ah, je vois donc pourquoi vous êtes indisposés haha. Vous vivez avec vos copines ? répond le restaurateur qui à mon grand désespoir s’est même assis près de notre table.

- Euh non, répond Salim qui perd toute son aise.

- Vous avez de la chance. Moi je suis célibataire depuis quelques mois déjà. Mais j’espère trouver une bonne femme bientôt. Et comment s’appellent vos copines ? elles sont françaises ?

- Non arabes.

- Toi aussi ? me lance le restaurateur

- Je préfère pas trop en parler répondis-je.

- Ne t’inquiète pas je ne vais pas te la voler répondit ce dernier, sans comprendre le moindre instant qu’il m’agaçait de plus en plus.

- Vous pouvez les inviter la prochaine fois, rajoute-t-il. Je vous préparerai une ambiance romantique.

Pendant qu’il rigole, je regarde Salim, qui semble aussi démuni que moi. Ce monsieur a clairement envie de papoter et il ne va pas nous lâcher, et bien-sûr, polis comme nous sommes, nous allons devoir le supporter. Heureusement après quelques questions, le silence s’installe, et miracle, notre nouvel ami comprend enfin qu’il est de trop et retourne au comptoir sans dire un mot après nous avoir cherché un plateau de boules de viande. Nous pouvons enfin discuter :

- Alors, lui dis-je, c’est quoi cette grande nouvelle ?

- Tu veux pas attendre ce soir ?

- Si c’est pour discuter avec le restaurateur aussi, je préfère qu’on gagne du temps

- Hahaha. Mais quoi ? je suis poli. Et puis un mec qui nous dit « bonjour les amoureux » ne peut pas être bien méchant.

- Bah vas-y je l’appelle alors.

- Non haha. C’est bon okay, j’ai compris, tu as raison. Tu veux absolument savoir maintenant ?

- Oui oui et oui hahah.

- Okay. Un collègue devait partir avec sa meuf voir une avant-première à Londres, avec hôtel et tout. Sauf que, bah ils ont rompu haha, et il m’a vendu son billet moitié prix. C’est un tour opérateur qui organise ça le week-end de la semaine prochaine et je voudrais savoir si tu acceptes de venir avec moi. Dans tous les cas je pars, et je sais que j’ai un cousin qui sera dispo pour venir avec moi et ce sera sûrement très bien. Mais j’ai vraiment envie d’y aller avec toi. T’en penses quoi ?

- Je ne sais pas trop, répondis-je assez surpris. Je souris bêtement ?

- Mais l’idée te plaît ou pas ?

- Bah oui ça me touche, mais c’est sûrement un coût important, je ne sais pas si je peux accepter.

- Je veux juste savoir si tu en as envie. Ne penses pas à l’argent, ça ne m’a clairement pas coûté grand-chose.

- Alors oui avec plaisir.

Je lui prends la main et la lui presse en lui souriant.

- Ça veut dire oui ?

- C’est étrange non ?

- Quoi ?

- Bah quand je t’avais proposé de sortir avec moi tu étais très retissant et maintenant tu es le petit copain parfait

- Et oui, je suis un hlel de qualité, tu as beaucoup de chance. Du coup, c’est oui ou non ? me demande-t-il en rigolant

- Oui bébé.

On finit par rigoler tous les deux et on n’arrête pas de se tenir la main en souriant et en discutant pendant qu’on mâche nos dernières boules de viande. Après avoir bien mangé, Salim ne me laisse même pas payer et va directement voir le gérant. Je le vois au loin sourire et faire un clin d’œil à Salim avant de me fixer en me souriant timidement. Je ne comprends pas trop et je ne cherche pas à comprendre, de peur de relancer la machine à parole et se retrouver pris en otage pendant une demi-heure supplémentaire. En sortant je demande à Salim ce qu’il a bien pu dire au gérant et sa réponse me surprit :

- Il a dit de bien faire attention à toi, qu’elle que soit notre relation.

- Donc il a compris ?

- Je ne pense pas. Il n’était même pas là quand on se tenait la main et qu’on mangeait. Je crois qu’il nous prend vraiment pour des cousins.

On finit par aller se balader sur les rives de Seine, et je finis par rentrer pour aller aider ma mère avec les courses. Avant de partir il me regarde, me coince contre un coin sous un pont, et m’embrasse avec la langue en me caressant la joue « J’ai hâte de partir avec toi ».

Il me faudra une semaine entière pour convaincre mes parents de partir avec un ami qu’ils n’avaient jamais rencontré pour un weekend improvisé, mais j’ai fini par obtenir gain de cause. Avant le départ, on s’était vu une fois ou deux et la semaine du départ, quasiment pas, je devais finir certains devoirs à rendre la semaine suivante, pour être totalement libre ce week-end. Entre temps, on s’est écrit par message et on s’est appelés plusieurs fois par jour parfois, mais même de son côté, je ne sentais pas qu’il était très désireux de se fixer un rendez-vous.

Je le retrouve à la gare avec sa valise, et on se sourit tout timide. Pendant tout le trajet en train on discute un peu, et il finit par regarder une série pendant que je m’endors sur mon siège. Arrivé à la gare de Londres, je décide de laisser Salim prendre les devants et gérer l’organisation, mais très vite l’accent britannique à raison de nous deux et bien qu’on se faisait comprendre, comprendre les londoniens étaient compliqué, ne serait-ce que pour savoir où étaient les taxis. On tourne plusieurs fois et autant dire que les chauffeurs ne sont pas très aimables. Je finis par voir un homme avec un chapelet dans les mains, de type sud-asiatique, et je vais le voir en le saluant : Salam Ailekoum. Son visage s’illumine et il me demande où l’on va. Avec notre anglais ratatiné par l’accent français on peut enfin avoir le temps de lui expliquer qu’on a perdu la carte de l’hôtel, et qu’on voulait utiliser internet pour trouver l’hôtel. Après plusieurs hésitations sur google maps, (Londres a eu la bonne idée de donner le même nom à plusieurs hôtels à la façade quasi identique), Salim arrête son choix sur un hôtel, grâce à sa proximité avec le cinéma. Raté. Pendant que je décide de me lancer à mon tour sur le téléphone du conducteur Salim s’énerve et me sort une connerie monumentale : « on dérange le chauffeur là, continuons à pied ». Le chauffeur adorable comprend qu’on a du mal et me regarde en me prenant la main :no problem no problem brother. J’arrête mon choix sur le deuxième hôtel, le seul avec le premier qui est en face d’un cinéma. C’est encore raté. Je ne comprends pas, c’est le seul avec le même nom et en face d’un cinéma. J’en repère un troisième, le seul avec le même nom. Le conducteur nous reprend une troisième fois, et miracle c’est le bon. Aucun cinéma à l’horizon. En descendant je vois un panneau : « Cinema museum ». Je comprends mieux et éclate de rire en le montrant à Salim qui fait la gueule. Arrivés dans la chambre, Salim me prend dans ses bras et m’embrasse :

- Désolé pour cette galère, je suis vraiment bête. La carte était pourtant dans mon porte monnaie je ne sais pas comment elle est tombée.

- Tais-toi c’est super drôle de se perdre la première fois, ça met de l’ambiance. Et puis de toute façon on allait pas faire grand-chose ce soir. Je vais me doucher je suis en sueur.

- Vas-y beauté.

En réalité je n’ai pas sué du tout, mais je voulais me laver « en profondeur » si vous voyez ce que je veux dire. J’avais pris du lubrifiant et des capotes juste avant de partir et j’avais très envie de passer le cap. J’étais déjà propre, mais je voulais m’en assurer, histoire que cette soirée soit parfaite. J’entends la télé s’allumer et je me douche tranquillement. Une fois bien savonné, je me sèche et j’enfile la sortie de bain de l’hôtel. La chambre était très chic et le grand lit king size, que je n’avais même pas remarqué en entrant, semblait très confortable. Salim était dessus en jogging et torse nu. Il regardait une vidéo sur son téléphone et était tellement beau. Il lève les yeux en me voyant et sourit :

- Bien détendu ?

- Ouais grave ça fait du bien.

- J’ai envie de te câliner ce soir viens dans mes bras.

Il s’approche de moi et me prend par la taille pour m’attirer à lui, mais avant qu’il puisse le faire, je retire ma sortie de bain et je l’embrasse complètement nu et lui plaque ses mains sur mes fesses. Il comprend vite et commence à les malaxer. Je bande en quelques secondes et il se baisse pour me sucer. Je le laisse faire pendant qu’il baisse son jogging en même temps et finit entièrement nu lui aussi. Je le relève et l’allonge sur le lit. Il bande dur et je vois même qu’il mouille. Je me mets entre ses jambes et je commence à le sucer en lui malaxant ses grosses couilles. Il finit par me pencher sur le côté et nous voilà en 69. Je rapproche vite mon cul de sa bouche et il se met à me lécher. Je sens sa langue pénétrer mon anus déjà bien ouvert grâce à l’eau chaude et je finis par me redresser et me mettre clairement à quatre pattes pour le laisser mon bouffer le cul que je lui tends impudiquement.

Il commence tout doucement à me doigter et je me cambre encore plus. Son doigt rentre vite, puis un deuxième. Il me pousse doucement et je finis sur le dos les jambes en l’air avec ses doigts au plus profond de moi. Il me sourit et me murmure :

- J’ai une surprise haha

Je le vois se pencher vers sa valise et il sort une boîte. Je le vois sortir un petit gode et du lubrifiant. Il me dit une phrase, qui, pour le coup, est difficile à oublier :

- Ce soir tu vas jouir du cul chéri.

Promis j’avance vite sur la suite.

AdilB

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