Il y a quelques jours Bruno, le mec de la piscine, m’a envoyé un sms. J’ouvre le message, une pic d’accessoires. Plugs et godes de formes et tailles différentes. En légende : « Chaud pour venir jouer avec nous ? »
Je commençais à sentir des papillons dans le ventre. Tout excité, j’acceptais. Et me voilà rapidement chez Bruno. Ce fut son ami Pierre qui m’ouvrit. Quand il se poussa pour me laisser entrer mon regard remarqua que son paquet se baladait sous son jogging. Pierre ne portait pas de sous-vêtement. J’imaginais sa belle bite se balader à chacun de ses pas. Humm
On retrouva Bruno dans une pièce aménagée. Au centre, un matelas posé au sol recouvert d’un drap. Contre le mur, une table avec les accessoires que j’avais pu voir sur la photo. Plusieurs plugs alignés dans un ordre croissant. Du calibre le plus petit au calibre le plus gros. Je ne manquais pas de sourire en les observant.
- Tout ça pour moi ? je demandais.
- Ouais. On va tous les essayer si tu veux.
J’acquiesçais. Sur une autre petite table, les godes se dressaient fièrement. Certains noirs, d’autres chairs, de tailles diverses mais rien de gigantesques. L’équipement était prometteur sans être démesuré. Et puis il y avait bien sûr du gel et du poppers.
Bruno finissait d’installer le matériel. Il était nu et portait un harnais en cuir qui mettait en valeur ses pecs et ses bras.
- T’es prêt ?
- Oui.
- Ok. Déshabille-toi.
J’enlevais mes fringues que Pierre déposa dans un coin de la pièce. Il jeta ses fringues avec les miennes. Il avait déjà une demie molle.
Bruno me regardait droit dans les yeux.
- J’aimerais pimenter notre séance.
- Comment ?
- J’aimerais te bander les yeux.
Je réfléchis vite. J’avais jamais fait ça avant. Mais avec Pierre et Bruno, je me sentais en confiance. Ça faisait plusieurs fois qu’on se voyait. Alors, je dis oui.
Bruno et Pierre me sourirent. Bruno attrapa le bandeau que Pierre lui tendit. Et le noir s’abattit. Ils me caressèrent. Leurs gestes étaient lents. Bruno parla le premier.
- Tu nous fais confiance ?
- Oui bien sûr
- Tu te laisseras faire ?
- Oui.
- On va te faire jouir.
- Je suis là pour ça.
- Très bien.
- Alors mets-toi à genou. Pierre me guida sur le matelas et m’aida à me mettre en position.
Il reprit :
- Mets tes mains derrière le dos.
Je sentis un lien enserrer mes poignets.
- Écarte un peu les jambes. Très bien.
Les caresses reprirent. Je sentais leur présence autour de moi. Leurs mains passaient sur mon corps. Parfois elles l’effleuraient, d’autres fois elles appuyaient sur un muscle, un pec. Des doigts titillèrent mes tétons. Je me laissais aller à la sensualité.
Soudain un liquide coula dans mon dos. Deux mains vigoureuses l’étalèrent. Puis ce fut sur mon torse. Une douce odeur m’enveloppa. Huile de massage. Les quatre mains enduisirent mon corps. Les gestes sûrs appuyaient sur les zones érogènes. Le creux des reins, entre les cuisses, l’aine. Les doigts glissèrent près de mes bourses sans les toucher franchement.
Pierre et Bruno prenaient leur temps.
- Tu aimes ça ?
- Oui
- Ça fait du bien ?
- Oui
La séance de massage reprit et dura un moment. Un corps se mit debout juste à côté de moi. Je sentais une bite frotter contre mon épaule.
Une main attrapa ma nuque. Une masse s’approcha de mon visage. Quelque chose glissa contre mes lèvres. Dans un réflexe, j’ouvris la bouche. Une demie molle s’introduisit. Rapidement elle gonfla dans ma bouche. Elle prenait toute la place. Enfin elle bougea. Je suçais la queue un moment. Derrière moi, il y avait du mouvement.
Une voix me demanda.
- T’es prêt pour les essais ?
Je hochais la tête sans arrêter de sucer le membre tendu.
- Bien. Alors c’est parti.
Le premier plug entra dans mon trou sans difficulté. Un début en douceur. Un petit diamètre qui allait détendre ma rondelle tranquillement.
Quelque chose serpenta le long de mon dos et sur l’arrière de mes cuisses. De haut en bas puis ça remonta de l’autre côté. Je frissonnai. Je me dis que je n’avais pas prêté attention à tout ce qu’il y avait sur les tables.
Un sifflement suivi d’un claquement sur mes fesses. Je tressaillis. Mon cri de surprise fut étouffé par la bite qui me fourrait la bouche. Un autre sifflement et un autre claquement. Puis des petits coups qui oscillaient de la caresse à la claque franche et sèche. Différentes parties de mon torse et de mon dos me brûlaient. Mes cuisses et mes fesses irradiaient franchement.
D’un coup, on pinça mes tétons. Moi qui suis très sensible à cet endroit-là, je n’aime pas trop qu’on y touche. Je poussais un cri qui résonna lorsque la bite quitta ma bouche.
À nouveau une main sur ma nuque. On m’attire vers l’avant. Un souffle chaud contre mon visage. Une langue me roule une pelle torride. On s’affaire entre mes jambes. On enroule quelque chose autour de ma bite. Un bracelet. On en profite pour retirer le plug. Aussitôt un autre le remplace. Un peu plus gros. Mon trou avale l’objet.
Une masse devant moi. Un gland se frotte contre mes lèvres. Je le sens rond et tendu. Je sors ma langue. J’humidifie mes lèvres. Le gland glisse et s’enfonce dans ma bouche. Directement au fond. Je suffoque. Ça tape au fond de ma gorge. Le gland force le passage. La main me tient fermement la tête. Je ne peux qu’ouvrir grand et avaler le membre.
Je recommence à sucer longuement. Je ne sais pas qui de Pierre ou de Bruno est devant moi. J’ai perdu mes repères. J’ai toujours les mains attachées dans le dos. On y dépose quelque chose.
- C’est le suivant.
Je touche l’objet. Lisse. Une dizaine de centimètres de long. Un plug. La base est large. Mon imagination s’emballe.
- Allez, on change.
La main retire le plug et enfourne celui que je tenais à la main. Je le sens passer. Mon trou se détend sous le passage du plug.
- Allez, ça passe tranquille.
Sa main appuie sur ma tête pour que j’avale bien la bite devant moi.
Comme je me suis penché un peu en avant, il en profite pour bien m’enfoncer le plug.
Je jubile. Mes deux hôtes me remplissent bien. Je suis aux anges.
Maintenant les deux se tiennent devant moi. Je les suce à tour de rôle. Ils soufflent de plaisir. Ma mâchoire me fait mal.
Après un moment, ils me libèrent les mains. Ils me basculent en avant de telle sorte que mon cul relevé est offert.
On retire le plug. Un liquide froid coule dans ma raie. Un objet lourd coulisse dans ma raie. Lorsqu’il se présente près de ma grotte, mon œillet s’ouvre instantanément et l’accueille. Le gode me pénètre longuement. Il va et vient sur toute sa longueur. Quand il est bien au fond, je le sens tourner. C’est délicieux. Je gémis de bonheur.
- C’est bon, ça ?
- Oui.
- T’en veux encore.
- Oui encore.
Le gode sort dans un plop gourmand. Un nouvel objet s’approche de mon antre. Plus épais et plus ferme. Je pousse pour ouvrir mon trou. Le gland est court et la tige s’élargit très vite après. On l’appuie plusieurs fois contre mon trou pour qu’il s’ouvre. Enfin il entre. Je soupire. Le pilote commence à jouer du manche. La hampe me fourre. Mon trou se transforme en une béance avide.
Bientôt je sens le gode en entier dans mon cul. Ça s’active derrière moi. Je ne sais pas ce qui se passe. Le gode est retiré. Mais très vite une bite le remplace.
Elle glisse sans effort et me pilonne longuement. Je l’ai elle aussi toute entière dans le fion. Une main s’éclate contre mon cul. Bing. Bang. J’accuse les coups de butoir.
Le vide se fait, puis à nouveau on me percute. Ça me ramone dur. Je respire fort. Je bande comme un âne. La bite se retire.
À nouveau des mouvements autour de moi. Du gel coule dans ma raie.
Deux mains appuient dans mes reins. Je me cambre un peu plus. La pénétration est fulgurante. La bite se cale au fond de ma caverne. Les coups de bassin commencent. Doucement d’abord, puis de plus en plus fort.
Je mors dans le matelas. Je m’agrippe. Et puis ça cesse. Les mains me caressent à nouveau. On me relève. On m’embrasse. On se colle contre moi. Qui est devant ? Bruno ? Pierre ? Les bras m’enserrent.
Pendant un instant, il ne se passe plus rien. Des bruits autour de moi, mais je ne discerne rien de particulier. On approche quelque chose contre mes lèvres.
- Bois.
- On va faire une pause.
- On a une surprise pour toi.
J’apprécie l’eau fraiche qui coule dans ma gorge.
Mes hôtes m’aident à m’assoir sur le matelas. J’ai toujours le bandeau sur les yeux.
Bruno reprend la parole. Il me dit qu’on n’a pas encore fin. Il reste quelques trucs à essayer.
- Ça te dit ?
- Oui.
- Donne tes mains.
Il y dépose un objet. Une balle reliée à un fil puis une autre balle. Un chapelet de quatre boules.
Mes mains manipulent le chapelet. Je me demande l’effet que ça fait de sentir les boules.
- T’es prêt ?
- Vas-y, c’est bon.
Je m’allonge sur le dos, les jambes relevées. Des doigts enduisent mon trou de gel. Je suis bien détendu. J’ai hâte de sentir la première boule. Enfin, le plastique frotte contre mon trou. Mon œillet se prépare à gober la boule. Le diamètre est conséquent. Je ne m’en étais pas rendu compte. Et puis, la boule entre dans ma grotte. Elle glisse au fond. Même si j’ai déjà été préparé par les plugs et les godes, la sensation est différente. Mon trou s’est refermé sur la première boule que déjà la deuxième frappe à l’entrée.
Je me détends et la deuxième boule glisse à son tour dans mes entrailles. Je les sens progresser dans mon conduit. Bruno, si c’est bien lui, tire sur la ficelle pour les ramener vers la sortie. Puis il la relâche, les boules glissent en moi et c’est la troisième boule qui veut entrer.
- Je continue, me demande-t-il.
- T’arrêtes pas surtout…
- Je le savais. Allez, c’est pour toi, ça.
Et il enfonce la troisième boule. Le plaisir est intense. Bruno, car c’est bien lui, joue avec la ficelle. Il la fait tourner et la tire pour que les boules me dilatent. L’extase est totale lorsqu’il les retire lentement l’une après l’autre. Mon trou est à nouveau bien dilaté. Je passe mes doigts dans ma raie et caresse la béance.
Près de moi, ça bouge. On me relève les jambes, je suis pénétré. Sur mon visage, une queue se présente. Je la gobe. Dans mon cul, la bite coulisse sans difficulté. Mon conduit est un boulevard. Des mains me caressent. Le torse, les jambes, le visage. Des doigts jouent sur la hampe qui me fourre la bouche.
C’est alors que je sens une autre présence. Des mains caressent mes fesses alors qu’on me baise. Des doigts caressent mon œillet qui se fait éclater par un membre fourni.
La situation m’excite. 3 mecs pour moi ? quel plaisir. Les doigts continuent leurs caresses. J’ouvre ma rondelle déjà bien dilatée. Le doigt saisit l’occasion. Il glisse le long de la bite dans mon cul.
Je gémis de bonheur. C’était ça la surprise ? Un troisième mec. Je me fais doigter et baiser en même temps. Puis mon trou est libéré. Une autre bite prend place dans mon cul. Je me fais ramoner sauvagement. Et puis on rechange. Plusieurs fois comme ça.
Un de mes assaillants se couche sur moi, sa bite bien caler dans mon trou. Il me saisit et nous retourne. C’est moi qui chevauche le membre tendu.
Je suis attiré en avant et me couche sur le torse sous moi. Un gland se présente contre mon trou. Tellement je suis excité et dilaté, que la verge glisse du premier coup dans mon trou.
Je râle de plaisir. On me double baise. Les deux bites m’élargissent la rondelle pendant qu’une troisième se glisse dans ma bouche. Ils me possèdent et m’enivrent. J’exulte de plaisir. Ma queue se tend et je crache mon sperme sans me toucher. J’ai joui. On s’active dans mon trou.
La jouissance ne tarde pas à venir. Les queues se tendent et se contractent plusieurs fois. Lorsqu’ils se retirent, je me sens vide. Inondé de sueur, je suis exténué.
Enfin, on me retire le bandeau. Pierre et Bruno me sourient. Ils me présentent leur ami Jean.
- Ça t’a plu ?
- Génial. J’ai très envie de recommencer.
- On t’organise ça très vite.
On échange des baisers et des caresses. J’attends déjà la prochaine fois avec impatience. Je suis vraiment une belle salope.
Balthazar
balthazarxxx@yahoo.com
Autres histoires de l'auteur :
