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Introduction au bdsm

1 | Le Flic du 93 - Le Zeste

J’en ai fait des conneries, vous pouvez me croire sur parole.. Suivre des mecs louches, enivré, pour des plans culs plus ou moins réussis; plus souvent réussis par ailleurs.

Mais, là, pour une fois, je laisse mon numéro à un individu dont la profession semble tout à fait respectable, Aux yeux de loi française, du moins c’est ce qu’il me semblait.

Je flash back.. faudrait rien n’omettre:

Une nuit, après avoir servi des cocktails sans en déguster aucun, je me dirige vers le Marais en direction de mon club favori. Un club sex, où l’on peut aussi bien danser, que baiser ou, plus rare, discuter au bar.

Je ne sais ce qui se passe dans ma caboche, mais je décide de faire un crochet dans un autre sex club, placé sur ma route.

Je sonne, j’y entre, paie mon entrée, puis descend l’escalier que bien des gens nommeraient le gouffre de l’enfer.. Des crétins ou des frustrés.. qu‘en sais-je ?

Je commande un Jack et, boisson à la main, me dirige vers le minuscule espace qu’on appelle désormais « fumoir ».

Un gars bedonnant, vêtu d’un cycliste découpé à l’entre-jambe, mais particulièrement charmant (un sourire auréolé de petites dents) mais portant, pour se rendre ridicule, consciemment (ou pas) une grotesque casquette bouffante, en cuir, bien évidemment.

Je compris plus tard la nécessité de ce stylisme quelque peu poussé:

Il ne lui reste qu’une pauvre touffe, qui, elle-même doit se demander chaque matin, « pourquoi suis-je encore là ? ». Plus tard, mais trop tard, j’ai compris.

On se retrouve au bar, devant un seau à champagne, chose inédite dans cet établissement puisque déjà il râle:

« Il n’y avait même pas la moindre bouteille de champagne, on a du insister mon mari et moi pour que le serveur aille en acheter dans l’épicerie la plus proche »

Puis il se met à me faire les tétons, fort bien. Très bien même, et les qualifie de tétons d’adolescents ». Je suis flatté mais il est ivre.. donc divise le dit compliment par deux.

Son regard se noircit, et j’aime çà. Puis d’un croche-pied de sa part, je me retrouve face à sa bite à demi gonflée.. J’ai à peine le temps de remarquer que son prépuce est trop long, qu’un décolletage en règle n’est pas possible.. qu’il me gave. En me disant que je suis doué pour les gorges profondes.. Perso, je ne suis pas à mon maximum et me dis que le gars ne doit pas avoir l’habitude de ce que Linda Lovelace était capable de faire.

Il m’emmène dans une cabine, pour continuer ce que nous avions commencé sauf que là, des indications (Il se dit Master BDSM) et des promesses (vaines, je l’apprendrais à mes dépends bien assez vite. Il veut m’emmener chez lui, direct. Mais bourré comme il l’est, j’ai pas envie de m’abandonner à ses envies. Il essaie différents trucs, comme de me faire « couiner » mais bien sûr, il bande mou.. Donc on oublie, d’autant plus que les lumières se rallument.

Il est temps de rentrer pour lui, et de continuer ma nuit de débauche pour moi.

Heureusement son mari est là pour le ramener, et probablement le border. Brave garçon.

On s’échange nos numéros.. sans grande conviction de ma part, en général, après ce genre de plan, personne ne rappelle personne.

Mais le week end suivant, un texto m’attend. Me demandant de ne fumer ma première cigarette que quand il l’aurait décidé. J’ai aimé, je joue le jeu.. Je suis en province, en famille et ne rentre que le dimanche soir.

On s’amuse donc par texto, le dernier étant une photo de trois de mes slips, à lui de choisir.

Il fait son choix, il m’assure qu’on se reverra vite mais pas aussi vite que je ne le pensais.

Dès le sol parisien foulé, il m’indique qu’il est dans son RER, au départ de Gonesse, sur la route.

Et c’est au « Rendez Vous des Belges » qu’il débarque, pour, à peine assis, m’ordonner d’aller virer le slip choisi pas ses soins.

Je m’exécute. On boit une bière et nous mettons chercher un endroit où baiser.

A la base, nous étions censés aller chez lui mais son mari n’est pas d’accord.

Je comprendrai plus tard que son mari est son Master, que c’est lui qui l’héberge, et chose d’une logique implacable, s’il a le droit (ou pas) de ramener ses soumis.

Nous nous retrouvons donc dans un sauna à proximité.. Douche, barbotage dans la piscine, puis des choses un peu plus sérieuses commencent.

Dans une des cabines, il réussit à m’attacher avec sa serviette et me bande les yeux avec la mienne.

Il m’allonge sur le ventre et de toute sa masse, se colle à moi. Sa bite entre mes fesses, il grogne qu’il kiffe jouer à « La tête chercheuse ».. « Tête qui n’a rien trouvé au demeurant.

Puis.. place ma bouche sur une partie de son corps et compte jusque’à dix, timing durant lequel je dois retrouver sa bite.. Il n’a même pas eu le temps d’aller jusqu’à cinq.

Je le pompe, mal selon moi, mais ses jets de foutre m’indiquent le contraire. J’avale le tout.

Lui, m’interdit de jouir.

Une douche, un séchage mutuel, et une satisfaction de ma part que j’aurais dû laisser là..

Mais ma curiosité n’en fit qu’à sa tête..

Il me demande de le raccompagner jusqu’à l’entrée de son RER et me fait part de sa passion pour les uniformes.

À peine rentré, il m’inonde de messages.. Toujours cette histoire de clope que je n’aurai le droit d’allumer, uniquement s’il l’a décidé.

J’aime bien sa voix, douce et ferme à la fois et il me propose enfin un plan pour le dimanche suivant.

Des SMS pleuvent sur mon téléphone toute la semaine, me donnant des leçons de « BDSM », m’enseignant ainsi la différence entre le BDSM Anglo-Saxon et le BDSM Latin. puis des appels, il me raconte sa vie de flic. C’est vrai que ce n’est pas gai, témoin de drames, d’accidents.. Ses histoires me font changer l’angle duquel j’avais toujours imaginé notre police nationale.

Tout cela est entre-coupé de photos de son matériel… Une cage, les Fers (utilisés que deux fois cette année me précise-t-il)

J’ai l’impression qu’il m’aime bien, pour m’appeler autant, c’est qu’il se passe un truc.

Puis il me demande de m’inscrire sur un site spécialisé, pour m’inscrire en tant que membre, mais surtout de lui mettre un commentaire..

Je ne sais quoi écrire mais, comme l’histoire avait plutôt bien commencée, j’écris que je l’ai rencontré au hasard d’un sex club, qu’il me fascine (dans le sens latin du terme) et qu’avec lui, j’irai loin, très loin même…

Mon « profil », c’est lui qui dicte la présentation. En gros, je suis son petit bâtard en formation, que je swifte, mais que, pour l’instant, je suis sa propriété.

Mais soudain, alors que j’avais désobéi (une clope allumée sans son consentement, et dont j’avais avoué le forfait), la punition tombe:

On ne se verra pas ce dimanche. Moi qui avais fantasmé sur ce qui allait se passer, sur ses pics envoyées (non pas de lui, mais de son matériel que je rêvais d’essayer)

Incompréhension de ma part, je le supplie d’abandonner cette punition. Pour toute réponse, il me dit qu’il se punit lui même, dans la foulée.. de la « douceur de ma bouche il allait devoir se passer ». Je suis flatté, mais quand même plus frustré qu’autre chose..

Puis le soleil du dit dimanche matin se lève et un texto apparaît:

« Tu te bouges, tu te douches, tu fais un lavement et tu débarques au plus vite, on va déjeuner dans le jardin, après tu vas déguster ».

« Punition levée ? »

« Oui, et comme j’avais remarqué que ta pilosité génitale n’était pas des plus belle, je vais m’en occuper »

Un bon bâtard se doit d’être à la disposition de son boss mais je mets quand même un slip, histoire qu’il s’amuse à me le découper. Comme d’hab, c’est lui qui le choisi par photo. Un blanc, un Dsquared.

J’arrive à la station du RER où il m’attend. « La classe » je me dis, et son sourire aux petites dents me fait toujours autant d’effet.

Arrivé chez lui, enfin chez eux (son mari étant présent), on s’installe dans le salon de jardin pour un déjeuner dominical.. je crois rêver. C’est limite « Gigot-flageolet », avec le chien qui court partout dans le jardin. Curieux pour le plan SM que j’attendais.

Café, tarte aux abricots, puis les « choses sérieuses » commencent:

Il me met la laisse et un masque de Puppy. Je me retrouve en slip. Limite cartonné tellement j’avais mouillé dans le RER à l’idée de ce qui m’attendais.

Je me sens ridicule, surtout avec le chien qui m’aboie dessus, il me fait faire le tour du jardin et me demande de lever la patte pour pisser. Et bien sûr, d’aboyer. Trop c’est trop,

Je tente d’arracher le masque et là il comprends que ce n’est pas mon truc.. Pas très finaux le poulet, je lui avais déjà dit que c’était pas mon truc. S’il avait eu ne serai-ce qu’un peu de jugeote, seul à seul avec lui, j’aurai kiffé, mais là.. devant les yeux du mari, qui me plaint d’être à quatre pattes sans genouillères (Je lui fais remarquer que je ne suis pas là pour le confort), et le clébard qui me renifle le cul.. c’est Niet !

Mon pseudo « Master » finit par bloquer la laisse à l’un des pied de la table de jardin. Et me laisse là un moment avec un verre de vin posé sur le dos. Je ne bronche plus.

Il discute un peu avec son mari, qui disparait pour une sieste et revient s’assoit à la table, me libère et m’ordonne de débarrasser.

Je le fais avec plaisir, puis reviens pour me faire (enfin) engueuler.

« Mais qu’est-ce que tu fous encore debout? Tu devrais être à ta place, à quatre pattes sous la table »

Je me soumets et commence par lui lécher ses tennis blanches, je me prends un léger coup de pied dans la tronche

«  C’est pas de ça dont j’ai envie » et il me chope par les cheveux pour coller ma bouche contre le penta-court qu’il porte, sans rien en dessous.

Je fais de mon mieux contre le coton et il a l’air satisfait.

Il sort enfin sa queue en guise de second dessert.

Je biberonne de mon mieux pendant qu’il se ressert du vin.

Son verre achevé, il me tire par la laisse et m’entraîne dans la maison, et un étage plus haut, monté à quatre pattes, on se retrouve dans une pièce affreuse, avec quelques meubles datant des années soixante dix, version « chez grand-mère » et il se met à gonfler un lit de camping.. Moi qui m’attendais à un « donjon » dont il m’avait tant vanté les mérites dans cette foutue cabine de sex-club, je déchante carrément.

Mais pas pour longtemps. Il sort un petit fouet et une raquette de ping-pong noire, me bande les yeux et m’allonge sur le ventre en m’ordonnant de bien cambrer mon cul.

Une éternité à rester comme cela avant que je ne devine qu’il découpe mon slip en petits lambeaux.

Je frissonne. Et commence à entrer dans le délire. Sans un mot, il me colle le sous-vêtement dans la bouche. J’aurais aisément pu le recracher mais le goût de ma mouille est plus qu’agréable ainsi, il n’a pas besoin de me bâillonner avec quoi que ce soit, je garde le slip en bouche.

Puis il commence le rasage. Écarte bien mon cul et prends son temps, Il fait ça bien, consciencieusement, puis c’est aux tour de mes couilles de tâter de son rasoir.

Je reste là offert, même pas à ses ordres puisqu’il ne dit mot.

Enfin sa main vient claquer contre mon cul. Pas tellement de fois (pas assez je pense, mais je repense au fouet).

Je bande rien qu’à l’idée mais rien ne vient, à part un petit plug qu’il introduit dans mon cul fraichement épilé. Je sens les vibrations du petit sex toy.. pas vraiment de quoi « couiner »..

M’aurai-t-on berné ? Donc je redemande la continuité de la fessée, sans succès puisque, à ce qu’il parait « mes fesses sont trop rouges, il faut s’arrêter là. »

Mais telle une ardoise, mon cul se fait signer de son pseudo, daté, signé, puis photographié.

Après tant d’attente, je me fais enfin gaver la bouche, encouragé par des paroles cent fois entendues par d’autres qui n’ont pas le ridicule de s’auto-proclamer « Maitre ».

Lui, je l’appelle « Boss » tout comme tous les autres qui m’ont lopé.

Et c’est déjà cher payé.

Revenus dans le jardin, le peu d’herbe qu’il inhalât, le fit se confier… Si la punition fût levée, c’était juste pour la simple (et bonne) raison qu’un de ses « slaves » (comme il aime à les qualifier) s’était désisté.

J’eus d’ailleurs droit au récit pas vraiment clean, des délires de ses soumis, dont, sous l’effet du canabis, il se moquait allègrement. C’était limite flippant, un soit disant « maitre » doit le respect à ses soumis, c’est ce que j’imaginais (puis, de par d’autres rencontres beaucoup plus saines cette fois, je fus convaincu).

Rigolade grasse envers un chti, considéré tel un analphabète, un légionnaire hétérosexuel bétasson à souhait selon ses propres termes,, un adepte de whiskas, ou encore le héros de Proust, (Du coté de chez…) dont l’absinthe n’est autre de l’urine chargée.

Rires gras en cascade, gêne pour moi qui n’avais aucune envie d’écouter ces foutages de tronche de personnes qui lui avaient sans aucun doute, beaucoup trop donné d’eux-même.

La seconde fois où j’eût le bonheur de jouer les remplaçants, ce fût pour une visite d’un château bien connu, pas bien loin de « Pont de Sèvres ».

Pour le coup, je pris la place du mari, qui, n’appréciant pas son cadeau de mariage, seul il se retrouva.

À « l’hôtel des Rois », hôtel charmant au demeurant, je pris la place de la couche de l’invité absent mais bagué « à la vie, à la mort » comme il me l’avait décrit.

Malgré le matos amené « à la va comme j’te pousse » par ses soins (Il m’avoua que dans la précipitation du matin, il prit ce qu’il lui était plus ou moins tombé sous la main, des trucs rangés dans des valises prévues à cet effet: cagoule, cordages, laisse… du matos que nous n’eûmes l’occasion d’utiliser, monsieur étant fatigué de sa semaine, il ne fît usage d’aucun des ustensiles amenés, si ce n’est qu’une laisse en cuir épais.

Peu m’importait, la visite du château et des attractions tels que le ballet des avions de la patrouille de France me suffisait.

Le seul moment un peu sexe fut lorsqu’il me demanda de « lécher mon Maître » (mais de quel Maître parlait-il ?) allongé nu, sur le lit de l’hôtel.

Nous nous quittâmes après un trajet en RER nous ramenant vers Paris. Seuls dans la rame, je profitais de ce moment d’intimité pour me déchausser et lui malaxer l’entre-jambe avec mon pied.

On se quitte à Châtelet…

Puis vinrent des textos et des appels de plus en plus réguliers.. sans qu’aucun plan ne se profile, mais, une « rando » fût proposée, un soir à deux heures trente du mat, toujours sur la route de mon sex club favori.. mon tel sonne.

C’était lui, une fois de plus mais cette fois, ce n’était pas pour me demander de me déculotter (c’était déjà fait), ni pour me raconter sa journée de « gardien de la paix » (un boulot bien compliqué, j’en peut désormais en témoigner) mais pour me proposer une « randonnée ».

« ??? » Tu, enfin, Vous voyez, je suis à deux pas d’entrer dans le club et sérieux, j’ai très envie de pomper.. et de me faire pomper.. »

« T’es mon bâtard ou bien ? »

J’aurai aimé lui dire que oui, que j’aurai bien dirigé le taxi dans la direction inverse.. Un pressentiment sûrement.

J’entre donc dans ce qu’un gars avait surnommé « le Paradis de la teub ». Il n’avait pas tord.

Ce soir là je fis la connaissance de deux gars version racaille dans une des alcôves, se caressant le paquet alors que je venais de me poser avec ma double vodka, ultra glacée.

Vu leur regards, je n’eu d’autre choix que de les suivre à l’étage inférieur..

Mais toutes les cabines étaient occupées, on avait pas envie d’attendre. L’un des deux, le plus baraqué me pris la main de force et m’emmena, dans une autre alcôve, au même étage et prit les chose en main.

Je n’eut d’autre choix que de m’agenouiller, devant ses pattes bien écartées.

Je pris les choses en mains, tentant de lui dégrafer le jean mais pour toute récompense, je récoltais une baffe.

« Tu touches pas ».. pendant que son acolyte s’installait dans une position symétrique dans le même sofa.

Son regard était plus sympathique, et lui prit ma main pour lui malaxer le paquet.

« Je suis un gentil, moi, dit il ».. en ouvrant sa braguette. Tout ça pour me coller la gueule contre son boxer gris. Il en sortit son zob épais et circoncis pour me le faire admirer quelques instants.

Karim, c’est mon nom, t’inquiètes tu vas couiner, mais de bonheur, pas comme les merdes qui trainent et qui sont déguisées en cuirasse, comme le keuf que tu kiffes.. ça va te passer, t’inquiètes, on est là . Avait-il-lu dans mon tout récent passé ?

Le regard de son poto noircissait tout en matant la scène.

« Je vais mater si une cabine s’est libérée ».. j’espère pour toi que non, rigola t il. En disparaissant dans l’obscurité.

Pas pour longtemps, et comme y’avait pas de temps à perdre, il me chopa par les aisselles, son pote bien évidement suivit..

Et nous voilà enfermés dans 3 mètres carrés à peine éclairés, mais je retrouvais ma position de lope, face à leur paquets.

Une bouteille de poppers me fut présentée, puis.. léger black-out, une bite à biberonner, celle du plus macho manifestement puisque lorsque ses couilles je voulu malaxer, d’un vif mouvement, on me les a arrachées, une tourniole en bonus.

Puis après quelques insultes, ce fut le tour de Karim, le plus soft mais le mieux monté.

Il s’est passé un truc avec lui, comme si sa gentillesse transpirait de son regard, je ne pouvais faire autrement que de le satisfaire.

Ses yeux que je ne pouvais quitter, et les siens qui me susurraient.. allez.. (toi et moi, on a tout a y gagner)

Je commençait par lui lécher les couilles, rebondies, parfaites, et après quelques biffles de circonstance, sa queue glissa de ma joue jusqu’à mes lèvres. Je lui biberonnais le gland pour avaler, petit à petit, sa bite absolument parfaite.

Pas besoin qu’il ne m’oblige à quoi que ce soit, je gardai sa large teub bien à fond dans ma gorge.

L’autre mettait, tout en se branlant, il se plaça derrière moi pour me bouffer le fion.

Lentement, il roulait des pelles à mon cul. De mieux en mieux… mais, la surprise fût elle aussi énorme pour moi que pour l’autre, il invita son pote, dont je dégustais toujours le dard, à me défoncer.. Il voulait mater, juste mater.

Et il ne fut pas déçu, la teub de Rachid me pénétra lentement, presqu’amoureusement, jusqu’à ce que ses couilles ne s’écrasent contre les miennes…Il s’immobilisât, pour qu’au final, ses reins ne puissent plus rien contrôler.

« Ralentis, frérot », et à ces mots, Rachid obéit.

‘Reste en lui, au maximum.. je vais te faire du bien, à mon tour »..

Sans aucune autre sommation, il se mit derrière Rachid, l’enlaçât, qui accueillit le zob de son pote, lentement, très lentement, jusque’à ce que nos couilles s’écrasent les une sur les autres.

Rachid cria qu’il allait jouir et se retira de moi. Me fit pivoter vers lui et cracha bruyamment sa semence sur ma queue. L’autre s’extirpa de Rachid, se branla quelques secondes et juta au même endroit que Rachid. Ma queue dégoulina de leur foutre mas pas pour longtemps car les deux cailles s’agenouillèrent pour tout lécher.

Je ne mis pas longtemps à les imiter mais d’un regard complice, il attendirent que mon foutre dégouline de partout, jusqu’aux couilles, qu’ils prirent un malin plaisir à nettoyer.

Roulage de pelles d’usage.. Baveuses, juteuses et salées comme il faut.

Je n’en pouvais plus et après avoir repris mes esprits, c’est mon vestiaire que je récupérais.

Salutation au physio, mais à peine trois pas faits dans la rue, une porte de voiture s’ouvre..

« On avait pas une rando à faire ? »

AlexandreBT

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