NEWS :
7 Mai

Grosse queue
"Plan à 3"
"handgag"

81 pages en accès
avant-première.
C’est quoi cet accès ?

Valable tout 2024.
Simple,
CB ou Paypal,
Discret

Shop Gay

Cyrillo20 ans
site gay gratuit

PUBLIER

HISTOIRE

Sextoy
Sexshop

Signaler ici si l'histoire ne respecte pas les mineurs, ado, enfants (-18ans) ou toute autre infraction. Merci !

Premier épisode

Un week-end chargé

Chapitre 13 :

- « J’ai une envie particulière !!! Je voudrai que vous m’enculiez en même temps !!! Une bonne double !!! »

- « Cela ne sera pas possible, tu as vu le monstre à Bastien !!! »

- « Mais si !!! Tu as bien réussi à me fister et à m’enfoncer ton poing jusqu’au poignet !!! »

Une demi-heure s’est écoulée à écouter les aventures « professionnelles » de Bastien.

A nous tripoter en l’écoutant, nos sexes se dressent comme trois cierges de communiants.

- « Il est l’heure du goûter !!! Je veux vos deux saucisses !!! »

Eric se met à genoux et ouvre grand la bouche.

Bastien et moi présentons nos chibres devant sa bouche et le baisons à tour de rôle.

Bastien ayant une bite plus longue que la mienne, il atteint plus vite la gorge d’Eric.

Quand un mandrin est dans sa bouche, il branle le second. Et vice-versa.

Puis il gobe les deux glands en même temps, les guidant lui-même dans la bouche, une bite dans chaque main.

Relâchant les deux sexes, Eric nous dit tout en bavant des filets de salive.

- « Vous m’avez baisé la bouche, il est l’heure de me baiser le cul !!! »

Je m’allonge sur le dos au milieu du lit et Eric se met à califourchon sur mon bas-ventre, une jambe de chaque côté de mon corps et s’empale sur ma queue.

Face à moi le cul tendu vers Bastien. Bastien se place derrière Eric et le grimpe comme un chien voulant grimper une chienne.

Cette fois-ci, plus de capote. Cela se fera à cru.

Eric se penche en avant et Bastien introduit son membre le guidant de la main.

Une superbe sensation, je sens le mandrin de Bastien glisser sur ma queue comme un serpent.

Puis quand il est à fond Bastien et moi commençons à le ramoner.

Nos coups de bites se coordonnent. Chaque coup de rein de Bastien excite ma queue.

- « Allez-y les mecs !!! Je suis votre jument !!! Deux étalons pour moi seul et en même temps quel pied !!! »

- « Tu l’as voulu, tu vas prendre cher !!! »

- « Oui tu veux de la bite, tiens en voilà deux pour le prix d’une !!! »

- « Ohhh ouiii mon cul est le centre de la cible, visez bien, visez dans le mille !!! »

- « Tu es une belle salope !!! Cz n’est plus un cul mais un garage à bites !!! »

- « Une véritable nymphomane ce mec !!! »

Je branle la queue d’Eric qui est devant moi.

- « N’arrêtez pas je viens !!! Je vais juter !!! »

Et Eric joint l’acte à la parole et me gicle dessus.

Bastien et moi continuons à le sodomiser.

Eric crie du plaisir qu’il reçoit.

J’ai la bite en feu et je gicle dans le cul d’Eric.

Bastien à la queue qui trempe dans mon foutre tout comme ma tige.

- « Ohh putain !!!Quand tu envoies ce n’est pas de la rigolade !!! »

Je ne me suis pas retiré et c’est le moment pour Bastien de s’épandre à son tour.

Il a de la ressource dans les testicules. Les giclées ne s’arrêtent pas.

Bastien se retire, sa queue est gluante de nos deux spermes.

Il bande toujours. Quant à moi je débande et je ressors également couvert de crème laiteuse.

- « Donnez-moi vos tiges !!! Je vais vous nettoyer !!! » dit Eric.

Nous les lui donnons à sucer et lécher.

Nos deux membres ressortent propres de sa bouche et lui a plutôt la langue blanchie et chargée.

- « Cela s’appelle se faire remplir !!! » décrète Bastien.

- « Vous m’avez fait un gosse avec de telles giclées !!! Je vais avoir des jumeaux qui vous ressembleront !!! » dit Eric en éclatant de rire.

- « Au moins tu ne peux pas te plaindre !!! Nous t’avons inséminé !!! »

Bastien s’allonge sur le lit. Eric repose ses jambes, le foutre coule de son trou.

Bastien et moi nous baissons pour rattraper ce qui coule.

Eric pousse un peu pour nous en donner un maximum.

Bastien et moi en avons plein les bouches. Nous n’avalons pas et allons tout répandre dans celle d’Eric.

Il avale tout en quelques gorgées.

Un peu de repos nous fait du bien. Eric s’en va dans la salle de bain et nous entendons le bruit de l’eau qui retombe.

Puis Eric revient et reconnait s’être fait un lavement avec le tuyau de la douche. Il en restait encore dans son intestin.

Irons-nous manger ce soir à trois au restaurant ?

Non Bastien nous propose d’aller un peu plus tard prendre un verre dans un bar où il a ses habitudes.

Il a du temps devant lui, il ne reprend son service que demain matin à sept heures.

Nous nous habillons après nous être faits un brin de toilettes, les queues pendantes et molles.

Chapitre 14 :

21 heures 30, nous quittons la chambre en compagnie de Bastien qui nous emmène prendre un verre dans le bar, non loin de l’hôtel, où il a ses habitudes.

Nous arrivons devant le bar, il s’agit d’un bar gay « Le Baragouins ».

Nous entrons et à peine assis à une table que le barman vient faire la bise à Bastien.

C’est certain, il connait bien le lieu.

Bastien nous demande ce que nous voulons consommer et il commande trois bières qu’il va chercher au bar.

Le barman s’adresse un instant à Bastien, nous n’entendons pas ce qu’ils se disent.

Mais au moment de régler la tournée, le barman nous fait un clin d’œil et un petit sourire.

Sur les tabourets, certains hommes se parlent et se caressent.

Dans un coin, deux mecs s’embrassent et se pelotent les fesses.

Bastien revient à notre table et nous buvons assez rapidement nos boissons.

A croire qu’à avoir baisé comme cela, les spermes dans les bouches nous ont donné soif.

Les bières à peine terminées que je commande une autre tournée.

Le barman vient nous servir cette fois-ci et dit :

- « Vous avez l’air de bien vous entendre avec Bastien !!!C’est un type hyper sympa et très serviable !!! » et il me lance un bisou de ses lèvres.

Nous prenons un peu plus de temps pour descendre les bières.

Celles-ci n’ont plus le goût mélangé de la bibine et du foutre.

Nous discutons avec Bastien sur des sujets divers.

Puis c’est Eric qui commande une troisième tournée de bières.

Bastien nous prie de l’excuser, il a besoin pressant à assouvir.

Il descend l’escalier, les toilettes se trouvent au sous-sol.

Un quart d’heure se passe et Bastien ne revient pas.

Tracassé je décide d’aller voir s’il n’est pas malade ou s’il n’a pas fait un malaise.

Dans l’escalier, deux gars se tripotent les paquets, pantalons déboutonnés.

J’arrive au sous-sol, il y a deux portes en vis-à-vis

La porte de gauche a une plaque explicite qui montre un homme sodomisant un autre.

Sur la porte de droite, il est inscrit « salon privé ».

Je pousse donc la porte de gauche et entre.

Bastien est bien là et même en pleine forme.

Il est accroupi dans une cabine des toilettes, porte ouverte, en train de tailler une pipe à un gars.

Ouf !!! Il va bien.

Je m’avance vers les urinoirs pour me soulager également.

Un type arrive et se place à côté de moi.

Il sort son matos mais ne pisse pas.

Il mate mon sexe qui écoule un flot d’urine.

Il tend le bras, se décale vers moi et pose sa main sur mon membre.

Je termine d’uriner, il secoue ma bite et me dit :

- « Viens dans la cabine !!! »

Il se retourne et se dirige vers une cabine libre avec toujours sa bite à l’air.

J’ai rangé mon sexe et refermé mon pantalon.

Je le suis dans la cabine, il ferme la porte et tourne le verrou.

- « A genou et suce !!! »

Je m’accroupis et je prends en main son sexe d’une bonne taille et d’une bonne grosseur.

Sa bite se met à se redresser et durcir.

J’approche ma bouche et commence à le pomper.

J’y mets une certaine application et surtout de l’envie.

- « Je ne me suis pas trompé !!! Pour être ici tu aimes la bite !!! Tu es une bonne suceuse !!! »

Le type a l’air endurant pour mon plus grand bonheur.

Son sexe a un bon goût. Le mec s’entretient le matériel.

Je le suce depuis une dizaine de minutes, il me dit :

- « je vais cracher !!! Tu vas tout prendre dans la gueule !!! »

Il se lâche et me tapisse le visage de son foutre. J’en ai même dans les cheveux.

Je lui nettoie sa trique, il range son matos, se rajuste et sort.

- « Merci !!! A la prochaine !!! »

Eric est arrivé aux toilettes, inquiet de nos absences.

Bastien a inversé les rôles et c’est lui qui se fait sucer.

Je suis devant le lavabo à faire disparaître les traces de sperme.

- « Ah tu caches le résultat d’une pipe !!! »

Un black entre à ce moment-là, sort sa trompe, serre Eric contre son corps et l’oblige à s’agenouiller sans grande résistance.

Eric prend le morceau de boudin mou en bouche et le tête.

Celui-ci durcit et gagne encore quelques centimètres, il n’est pas loin d’un 27/7.

Le black se déchaîne sur la bouche d’Eric. Il le baise intensément.

Eric assure même s’il ne prend tout en bouche.

Les gorges profondes le font hoqueter. Il bave sur le morceau de viande.

Le mec se contracte et lance neuf jets puissants dans la gorge d’Eric.

Il avale tout, ce serait dommage de ne pas se nourrir du breuvage épais (c’est Eric qui me dira le nombre de giclées !).

Bastien vient de sortir de la cabine, je finis de m’essuyer le visage.L

Nous quittons les toilettes et remontons dans la salle de bar. Le barman nous regarde avec un sourire et lève le pouce en signe de félicitations.

Nous allons saluer le barman avant de sortir du bar.

Celui-ci approche la tête pour nous faire la bise mais dérape volontairement pour attraper nos bouches.

Surprise !!! Une série de pelles de sa part.

- « Bonne soirée et quand vous voulez !!! »

Nous revenons à l’hôtel. Il est près de minuit.

Bastien dit devoir nous quitter car il prend son service à sept heures du matin.

Nous lui demandons son 06 pour nous revoir lors de prochaines venues.

Nous échangeons les nôtres qu’il enregistre immédiatement.

Un ultime baiser et Bastien nous quitte.

Chapitre 15 :

Nous rentrons en chambre, nous déshabillons et nous couchons.

Je raconte à Eric comment s’est passée ma rencontre avec le type dans les toilettes.

Eric me dit qu’il a apprécié de sucer le black.

Nous nous embrassons et éteignons la lumière pour nous endormir.

Le lundi matin, le réveil est difficile.

Nous n’avons pas envie de quitter le lit. La fatigue se fait sentir.

Eric est réveillé avant moi et me pratique une branle car je bande toujours le matin.

- « Tu es insatiable !!! Tu n’en as pas eu assez ce week-end ??? »

- « Une bite qui bande près de moi ne peut me laisser insensible !!! »

Nous nous mettons tête-bêche et entamons un 69.

Nous éjaculons rapidement sur le drap.

La femme de chambre comprendra ce qui s’est passé dans la chambre ce week-end.

Le drap est imprégné de sperme et une odeur forte s’en dégage.

S’en suit une douche, nous nous habillons pour libérer la chambre avant d’aller prendre le petit-déjeuner.

Dans la salle, nous croisons Bastien qui ravitaille le buffet du petit-déjeuner.

Nous allons nous servir et il s’adresse à nous comme si rien ne s’était passé la veille.

- « La nuit a été bonne ??? Vous avez bien dormi ??? Satisfaits de votre séjour ??? »

Nous acquiesçons et nous installons à table.

Nous dévorons notre plateau. Les ventres sont vides.

- « Vous n’avez pas fait appel au room service matin ??? Ma prestation vous a déçu ??? »

- « Certainement pas !!! Bien au contraire !!! » lui dis-je en lui adressant un clin d’œil.

Nous nous levons pour partir.

- « Au revoir Messieurs !!! au plaisir de vous revoir dans notre établissement !!! Bon retour !!! »

Je récupère ma voiture dans le sous-sol. Eric en fait autant.

Eric sent son portable vibrer.

Il regarde le message. Il s’agit de Julien son réceptionniste.

Eric me fait signe d’attendre. Je patiente avant de démarrer.

Chapitre 16 :

- « Bonjour Eric. Je sais que tu repars de l’hôtel ce matin, mais je suis en repos aujourd’hui. Si cela vous tente, toi et ton ami, je peux recevoir en fin de matinée chez moi. Si vous acceptez une surprise vous attendra. Réponds-moi. Bisous partout … »

Il me demande :

- « Que fais-tu de ta journée ??? »

- Rien de spécial à part rentrer chez moi !!! Pourquoi ??? »

Eric me fait part du contenu du message reçu.

- « Cela te dit que l’on accepte son invitation avant de repartir chacun chez soi !!! »

- « D’accord !!! Cela me permettra de faire connaissance avec ton amant de samedi après-midi !!! »

Eric lui envoie notre réponse.

- « D’accord !!! A quelle heure ??? A quelle adresse ??? »

La réponse de Julien fuse aussitôt.

- D’ici une demi-heure au 69 rue Takam Fourré !!! A tout de suite !!! »

Je propose à Eric d’aller prendre un café au bar de l’hôtel. Nous sommes à cinq minutes de chez Julien avec la géolocalisation GPS.

Nous buvons le café, je règle l’addition et nous prenons nos voitures respectives.

Nous arrivons à l’adresse indiquée. Une maison individuelle où plusieurs véhicules sont stationnés.

Nous nous garons et allons sonner à la porte.

Julien vient nous ouvrir.

Eric ne s’est pas trompé quand il m’a dit qu’il était beau gosse. Je comprends pourquoi il a craqué illico quand Julien lui a proposé de le suivre.

Julien est en tenue décontractée. Un bermuda en toile, un tee-shirt et des tongs.

Je jette un coup d’œil rapide sur l’entrejambe de notre hôte qui semble bien rempli.

Nous entrons et Julien nous emmène au salon. Trois beaux mecs sont assis sur un canapé.

Julien nous présente ses potes et vice-versa.

Nous nous asseyons sur la seconde banquette et Julien s’assied entre Eric et moi.

Julien a préparé un cocktail exotique et en verse un verre à chacun. Nous dégustons la préparation.

Les verres se vides et se remplissent à nouveau, puis une troisième et quatrième fois.

Le mélange commence à taper dans les têtes et à échauffer les esprits.

Un des potes à Julien se met à embrasser son voisin à pleine bouche pendant que celui-ci pose sa main sur le paquet de son autre voisin.

Julien porte une main sur mon entrejambe et l’autre sur celle d’Eric.

Les bouches se cherchent entre voisins et se trouvent. Les mains se font de plus en plus précises.

Julien, avec dextérité et d’une seule main a ouvert la braguette de mon pantalon et celui d’Eric. Ses mains plongent directement dans les deux pantalons ouverts.

Les potes de Julien ont déjà les bites à l’air et se tripotent les uns les autres.

Julien propose à tout le monde de le suivre dans une autre pièce.

Chacun se lève et le suit. Des mains pelotent des bites et des fesses à travers les shorts, bermudas et pantalons.

Eric me tient par la main.

Nous arrivons dans la fameuse pièce. L’éclairage est tamisé rouge. Une musique d’ambiance tourne en boucle.

Sur le sol des matelas sont disposés les uns contre les autres formant un tatami.

Les potes de Julien semblent connaître l’endroit et se mettent à l’aise en se déshabillant.

Les sous-vêtements rejoignent tous les effets personnels par terre en tas. Un boxer pour moi et un string pour Eric. Il faudra retrouver chacun ses affaires.

Nous faisons comme chacun et comprenons que baiser va être le sujet du moment.

Tout le monde est nu et les bites dressées.

Des couples se forment et se couchent sur les matelas.

Des mains branlent des queues, d’autres en sucent.

Eric se retrouve à s’allonger avec un pote à Julien et moi avec Julien.

- « J’espère que ma petite surprise ou sauterie, comme vous le voulez, vous plaît !!! »

- « Pour une surprise, elle est belle et pour une sauterie c’est une excellente idée !!! »

Je prends la bite de mon partenaire de l’instant et l’embouche sans réticence.

Eric suce également son partenaire alors que celui-ci lui tripote les fesses.

Le troisième couple se taille une pipe en 69 et s’active sur les manches.

La chaleur gagne chacun. Je suppose que Julien a poussé le thermostat un peu plus que la moyenne.

Les positions changent et des bouches vont se loger entre des fesses.

De trois couples, nous sommes passés à deux trios.

Je suis en bonne compagnie avec deux potes à Julien et Eric est avec Julien et son dernier copain.

Notre trio est en triangle, chacun suce la queue l’autre en caressant ses fesses.

Celui d’Eric est formé différemment. Eric suce le mec debout et Julien, accroupi, suce Eric.

Dans la pîèce une odeur de mâles en rut commence à se faire sentir.

Auprès de chaque matelas, une coupelle avec des lubrifiants, des préservatifs et des poppers.

Je me mets à lécher le cul d’un de mes nouveaux amis qui lui suce le trou de l’autre.

Julien s’est déjà couvert la queue d’une capote et présente son gland au trou d’Eric qui se fait baiser la bouche.

Je prends également un préservatif et me l’enfile. Je ne sais pas qui je vais enculer en premier.

Je crois que je vais prendre celui qui me semble être un passif. Le troisième lui tête le sexe.

Eric est déjà accroché à la bite de Julien qui est bien en lui. Il pompe toujours l’autre gars qui ll est souple et prêt à s’ouvrir.

Je présente mon gland contre son anus et il entre comme dans du beurre.

Le deuxième pote de Julien veut m’enculer, je tourne la tête vers lui et il me baise la bouche.

Julien qui défonce le cul d’Eric est en train de se faire prendre.

Les voilà tous les trois accrochés comme un petit train.

Je quitte le cul de mon passif et laisse la place au pote de Julien qui s’agrippe au cul du passif.

Je me place derrière celui-ci et l’embroche également.

Deux trains se sont formés.

Mon passif n’est pas que passif.

Il tient celui qui l’encule par les hanches et celui-ci fait de même avec moi.

Il s’approche toujours avec ses deux wagons au cul doucement du premier train et s’accouple à lui.

Voici une chenille de six éléments. Eric est en premier de cordée et moi en dernier maillon.

On entend que des gémissements, des mots crus, des injures, des cris de plaisir.

Puis tout le monde se détache et s’allonge sur les matelas sauf Julien qui s’éclipse un instant.

Il revient avec un plateau avec six verres de thé glacé. Tout le monde se désaltère.

Y aurait-il quelque chose de spécial dans les breuvages ?

Je sens comme chacun une chaleur monter en moi et une envie de baiser qui s’accroît.

Cette fois-ci, tout le monde est quasiment collé aux autres.

On ne sait plus qui baise, qui encule, qui suce, qui embrasse, qui branle.

Tout le monde passe entre les bras des autres ou plutôt entre les jambes et sur les sexes des autres.

Un assemblage ou un mélange de corps humains en rut.

Cela s’enchaîne à un rythme accru.

Dans la pièce monte une odeur de transpiration.

Puis c’est un feu d’artifice de sperme.

Nous giclons chacun notre tour. Tout le foutre retombe et asperge les corps et les matelas.

En plus de l’odeur de transpiration s’ajoute l’odeur de sexe et de foutre

Un véritable terrain pour orgie, un champ de bataille sexuel.

Chapitre 17 :

Nous quittons tous la salle après avoir ramassé les tas de vêtements qui traînent par terre.

Nous rejoignons le salon tous nu et nous habillons.

Julien félicite chacun de nous pour avoir participé à sa surprise-sauterie et surtout pour l’endurance de tous.

Il est questionné sur les thés glacés. Il reconnait avoir dissout deux substances aphrodisiaques à effet instantané dans les verres de tous même dans le sien.

Puis vient le temps des séparations. Les potes de Julien repartent par couple dans trois voitures.

Certaines risquent de prendre des chemins détournés ou avoir des pannes imprévues.

Les effets des substances aphrodisiaques ne doivent pas être disparus des corps.

Concernant Eric, je le vois toujours chaud. Julien a l’air dans un état second et moi je ressens des vapeurs.

Nous nous désaltérons de verres d’eau mais les substances agissent encore en nous.

L’après-midi va prendre fin mais Julien nous demande à nouveau de le suivre.

Ce que nous faisons et il nous emmène dans sa chambre.

Celle-ci est couverte d’un immense miroir au plafond et beaucoup de glaces bien dirigées vers le lit super large.

Nous comprenons vite son intention.et nous dessapons à toute allure.

Nos sexes bandent à nouveau après cet après-midi mouvementé.

Nos queues sont en demi-molles. Alors chacun s’applique à bander en se tripotant les parties.

Nous nous couchons sur le lit avec Julien au milieu.

Il est décidé à remettre une pièce dans le juke-box ou plutôt un tour de sexe.

Il prend aussitôt nos bites pour les branler. Eric s’occupe de celle de Julien.

Moi j’ai rapproché mon visage de Julien qui ne peut se tourner pour lui rouler une bonne pelle.

Nos bouches se touchent, s’ouvrent et nos langues se frôlent puis se collent dans un baiser fougueux.

Nos queues ont retrouvé une nouvelle jeunesse. Les érections sont fortes. Les bites bien raides et bien dures.

- « Qui veut me mettre un cartouche !!! » demande Eric.

- « Les deux naturellement !!! » réplique Julien.

- « Si Julien veut bien, je lui laisse l’honneur de t’enfiler en premier !!! »

- « D’accord c’est avec plaisir !!! »

Plus de capotes, tout au naturel.

Eric a lâché le mandrin de Julien et écarte les jambes, couché sur le dos.

Julien a retiré sa main de mon chibre et vient se placer entre les jambes d’Eric.

Celles-ci atterrissent sur les «épaules de Julien.

Pas de lubrifiant non plus. Tout à sec.

Il me demande de prendre le flacon de poppers qui se trouve sur la table de chevet.

Je lui donne et il fait sniffer Eric par chaque narine. Eric renifle à fond.

Julien présente son dard contre le trou d’Eric.

Et sans attendre, il embroche Eric. Il y va doucement mais sans arrêter sa progression.

Eric hurle, la douleur est forte malgré le poppers.

Julien lui en fait renifler une seconde fois.

La queue de Julien est enfin entière dans le cul. Ses couilles frootent les fesses d’Eric.

Puis il se met en mouvement et lime la chatte d’Eric avec énergie.

Echauffé par le spectacle, je m’approche de Julien et lui écarte les globes fessiers.

J’insinue ma langue dans sa raie rasée.

Je la lèche, la suce, la caresse de ma langue.

Je stoppe ensuite à hauteur de son anus et lui chatouille la rondelle avec mon sexe buccal.

Il sent ma langue le fouiller. Je lui noie le trou de salive.

Il se met à pousser des gloussements.

- « Ahhh oui !!! Viole-moi avec ta langue !!! »

- « Défonce-lui le cul à cette chaudasse !!! »

- « Ouiiii bourre-moi le fion !!! Je suis votre salope !!! »

Julien laboure de plus belle le cul d’Eric et moi je fais mouiller Julien du cul.

- « Ohhh quelle matraque tu as Julien !!! J’ai le démoli !!! »

- « C’est plus une queue de taureau qu’un nerf de bœuf !!! »

- « Julien te taraude le trou en excellent hôte de ces lieux !!! »

- « Ohhh je vais jouir et juter sans me toucher !!! »

- « Allez !!! Soulage-toi sur ton corps !!! »

- « >>Ne bouge pas Julien !!! Je vais t’arroser les fesses !!! Je ne me contrôle plus !!! »

- « Ahhh ouiii !!! Quel jus bien chaud tu m’envoies !!! »

- « A mon tour aussi de gicler !!!Tien s en voilà sur ta bite et tes couilles de cochonne !!! »

Nous avons éjaculé quasiment les trois en même temps. C’est formidable d’être ainsi coordonné.

Eric s’étale le foutre reçu sur son corps et fait lécher ses doigts à Julien.

Je fais de même avec mon sperme sur la fesse de Julien. J’en ai plein les doigts.

Julien nettoie les doigts d’Eric et les miens.

Il se penche sur Eric et récupère le reste du sperme avant qu’il ne sèche.

Il a en bouche la saveur de nos trois foutres.

Je lape ce qu’il a encore sur sa fesse.

Puis nous nous redressons et nous embrassons à trois ensemble.

Le coquin de Julien n’a rien avalé et partage avec nous.

Nous dégustons le lait épais et l’ingurgitons.

Nous nous allongeons les uns contre les autres avec des mains baladeuses, synonymes de continuité.

Une petite pause s’impose et nous reprenons les hostilités, toujours sous les effets aphrodisiaques.

Chapitre 18 :

C’est à mon tour d’enculer Eric.

Préparé comme il l’a été avec Julien, je lui plante mon glaive revigoré en levrette.

Aucune résistance musculaire de la part de la chatte d‘Eric.

Ma bite entre comme dans du beurre mou.

Je vais et je viens dans l’anus, ça glisse sans difficulté.

Il me tient par les hanches et se plaque contre mes fesses ;

- « Ah oui Julien dépucèle-le !!! Ce salaud a goûté à un de mes godes, il est temps pour lui de connaître le plaisir d’un barreau dans son fion !!! »

- « C’est vrai, tu ne t’es jamais fait enculer ??? »

- « Non jamais !!! »

- « Allez, offre ma ta rondelle !!! »

- « Tiens, à ton tour de sniffer le poppers !!! »

- « Si tu as mal, tu le dis, je te promets d’arrêter !!! »

Excité par les propos de mes deux compères, je fourrage de plus en plus fort le cul d’Eric.

Il couine sous mes coups de bite.

- « Ahh quelle chance j’ai !!! Deux excellents baiseurs de première qui me taraudent la rondelle d’affilée !!! »

Julien me susurre pendant ce temps à l’oreille :

- « Laisse-toi faire ma poule !!! Tu vas voir comme c’est bon une bite dans le cul !!! C’est autant jouissif que d’en mettre une dans une chatte de mec !!! Je vais te sodomiser en douceur ma belle !!! Pour toi, je vais m’enduire de lubrifiant et ton petit trou aussi !!!Laisse faire ton beau Julien !!! »

Je ne sais plus si je dois dire non ou oui.

Je suis tourneboulé par les effets des substances aphrodisiaques.

Le membre de Julien est si gros qu’il va me déchirer l’anus mais sa bite est si belle qu’elle me fait envie.

Je sens son gland qui se promène contre ma raie et qui veut l’accès à mon trou.

A penser à tout cela en besognant le cul d’Eric me fait éjaculer plus tôt que prévu.

- « Ohhh quel profiteur !!! De savoir qu’il va se faire emmancher par Julien, il m’a rempli de son foutre !!! »

Je me retire du cul d’Eric, la bite gluante de mon sperme. Mon sperme coule du trou d’Eric sur le drap du lit.

Julien a enfin posé son gland contre mon anus.

Il appuie un peu, sent mon trou très resserré mais ne refusant pas l’assaut.

Il demande à Eric le flacon de lubrifiant, s’en badigeonne la bite et me tartine le cul.

Ses doigts contre mon trou me font de drôles de sensations méconnues.

Il se replace contre mes fesses et empoigne son dard pour me l’enfoncer légèrement.

Je sens une douleur du fait de ma crispation.

Il avance encore un peu, la douleur devient plus forte.

Je ne veux pas décevoir mes deux amants et je serre les dents.

Eric a trouvé une solution pour me distraire et détendre, il a chopé ma bite dans sa bouche et me la nettoie longtemps.

Je crois qu’elle est propre depuis un moment mais il continue à me la sucer.

Julien continue sa promenade très lente dans mon cul et soudain je crie un bon coup.

Son gland est passé mais quelle douleur, j’en ai des larmes qui coulent.

Il pousse encore et désormais c’est le reste qu’il fait entrer.

Puis je sens les poils de son pubis et ses couilles contre les miennes.

- « Tu vois ma belle !!! Je suis bien au fond de toi !!!Tu as un trou magnifique et bandant !!! »

Puis il se met à faire des va et vient lents.

La douleur se dissipe progressivement, laissant place à un début de sensation agréable.

Il continue accélérant la cadence. A chaque fois qu’il retire un peu sa queue, je sens mon cul vouloir l’en empêcher en allant à la rencontre de sa bite.

La pipe d’Eric et la sodomie de Julien me font bander comme un âne.

- « Mais c’est qu’il apprécie d’être pris par le cul !!! Regarde comme il bande !!! »

- « Il a une chatte très engageante !!! »

- « Ohhh oui !!! Julien c’est bon !!! C’est trop bon !!! »

Eric s’est remis à se branler, excité de me voir enculé, puis lâche ma bouche.

Il se déplace et vient jouer de sa langue sur les couilles de Julien.

Il sait très bien l’effet que cela va provoquer à Julien ?

Celui-ci se retire de mon cul et jute sur mon bas du dos et sur le drap.

- « Tu es dépucelé désormais !!! Tu as eu ton baptême par mon goupillon !!! Que ton cul est délicieux !!! Je suis heureux d’être le premier à avoir eu ton cul !!! »

En entendant cela, Eric se jute sur lui-même.

Le drap de Julien est tâché de nos spermes.

- « Je vais le garder en souvenir sans le laver !!! Il sentira le foutre et s’imprégnera de nos coulées !!! A chaque fois que je penserai à vos culs, je le sortirai de son armoire et je le reniflerai !!! »

Nous nous étalons sur le lit épuisés mais satisfaits.

J’ai encore mal au cul mais ça va passer.

Julien se lève et va chercher une bouteille de champagne et trois flûtes. Il débouche la bouteille et remplit les verres.

Puis nous trinquons.

- « A notre rencontre et à ton dépucelage !!! »

Nous finissons nos verres d’un seul trait.

Une demi-heure de repos en sirotant la bouteille.

Julien nous demande :

- « Vous connaissez Bastien ??? Le serveur en room service ??? »

- « Oui nous avons fait connaissance avec lui dimanche après-midi jusqu’au soir !!! Il était ravi de notre compagnie !!! »

- « C’est un de mes amants régulier au travail !!! C’est un superbe coup !!! Et surtout un très brave gars très compétent !!! »

- « Oui et sourtout très compréhensif !!! »

Nous nous rhabillons, embrassons Julien sur la bouche. Nous échangeons nos 06 et nous voilà sur le départ.

Chapitre 19 :

Eric reprend sa voiture et moi la mienne.

La route commence à s’assombrir avec le soir qui tombe.

Eric me suit pour mieux voir la route.

Après un moment de conduite, je m’engage dans un petit chemin de terre, à l’écart de la voir principale.

Eric me suit toujours inquiet de la situation.

Il se gare derrière ma voiture et descend.

- « Tu n’es pas malade ??? »

- « Non simplement un besoin pressant à assouvir !!! »

Et je descends de mon véhicule. J’ai coupé le contact et éteint les phares pour ne pas attirer l’attention de curieux (même si j’ai un peu un côté exhibitionniste dans ces circonstances-là) ou la gendarmerie.

Je m’avance un peu plus dans le noir.

- « Je t’accompagne !!! Je vais me soulager la vessie également !!! »

Eric vient s’installer à côté de moi.

J’ai déjà sorti mon engin et le manipule entre mes doigts.

Eric s’en aperçoit et sort son membre.

- « Tu es venu pour uriner ou pour jouer avec ta bite ??? »

- « Les deux peut-être !!! Mais en premier pour uriner !!! »

Lui aussi se met à tripoter sa bite.

- « On fait un concours ??? celui qui urine le plus loin !!! »

- « Entendu !!! pas de branle pour bander et envoyer plus loin !!! »

- « Pas de soucis !!! »

Nous commençons à uriner, les jets expulsés au plus loin possible.

Les flots de pisse diminuent et stoppent

Qui a uriné le plus loin, impossible de le dire.

Comme dans l’émission « L’école des fans » tout le monde a gagné.

- « Tu veux prendre ma queue en main, j’ai peur qu’elle prenne froid !!! »

- « Bien sûr !!! Je ne voudrais pas qu’elle s’enrhume et qu’elle ait la goutte au nez !!! »

- « Pour l’instant, secoue les dernières gouttes !!! »

Nous éclatons de rire.

Eric pose sa main sur mon sexe et commence à le serrer dans sa main.

Je prends également le sien.

Nos mains s’agitent et branlent nos queues.

Nos bites se redressent, se tendent et durcissent. Les voilà prêtes à l’emploi.

Nous retournons vers les voitures, toujours la queue tenue par l’autre.

Je regarde Eric droit dans les yeux. Une étincelle brille dedans. Seule la lune éclaire nos visages.

- « J’ai envie de toi !!! »

- « Moi aussi !!! »

J’ouvre la portière arrière de ma voiture et pousse Eric sur la banquette.

Je me couche sur lui et je l’embrasse goulûment.

Nos langues se mêlent, se soudent.

Je glisse une main et déboutonnes son pantalon.

Eric soulève un peu ses fesses pour que je lui baisse le pantalon jusqu’aux genoux.

Je branle sa tige bien gonflée et bien raide.

Elle se frotte contre mon ventre. Je sens de la mouille sur son gland.

Eric me retire la chemise et plante ses deux mains sur mes fesses en-dessous de mon pantalon.

- « Avais-tu certaines intentions en ne remettant pas ton boxer ??? »

- « Non mais je ne l’ai pas retrouvé lorsque je me suis rhabillé !!! Je soupçonne Julien de l’avoir conservé !!! «

- « C’est bien possible !!! Il fait peut-être collection !!! Je n’ai pas retrouvé mon string non plus !!! »

Eric glisse à nouveau ses mains entre son corps et le mien.

Il déboucle ma ceinture et détache mon pantalon. Il le baisse à son tour jusqu’à mes genoux.

Nos queues sont serrées l’une contre l’autre. Je me soulève assez pour pouvoir prendre nos deux queues en même temps dans la même main.

Je nous branle comme cela un instant. Sentir la bite de l’un frotter contre la bite de l’autre est excitant.

Je ressors de la voiture et fais sortir Eric. Il se positionne tête-bêche avec moi et nous nous suçons en 69.

Puis je me relève et tend la main à Eric pour le relever.

- « Viens contre le capot de la voiture !!! »

Il me précède, se place le ventre contre le capot.

Je lui baisse complètement le pan pantalon.

Je lui écarte les jambes avec mon pied.

Je fais tomber mon pantalon sur mes chevilles et me plaque contre son corps.

Eric se cambre un maximum. Son cul m’excite toujours autant.

Je lui pelote les fesses et écarte ses globes fessiers.

J’introduis un puis deux doigts dans son trou. Son anus et souple et s’ouvre bien.

Je lui titille la rondelle, lui fouillant son intérieur de mes deux doigts.

Je retire mes doigts et viens lubrifier son cul de ma salive. Je lèche, je crache.

Puis je lui plante mon gland en entier.

- « Ohhh ouiii !!! Ton nœud en entier en seule fois. C’est bon !!! Je te sens bien !!! Entre tout maintenant !!! »

Je pousse un peu et fais entrer ma hampe. Celle-ci glisse dans son conduit.

Eric sent désormais mes poils pubiens et mes couilles contre ses fesses.

- « Démonte-moi encore une fois !!! Perfore mon cul !!! Je suis d’humeur salope !!! »

J’accélère les va et vient et le secoue comme un prunier.

- « Han tiens ma petite pute !!! Prends celui-là et celui-là encore !!! »

- « J’aime quand on me parle comme cela quand on m’encule !!! » Je prends encore plus de plaisir !!! Mon bon cochon !!! »

- « Je suis ton cochon mais tu sens bien que ma queue n’est pas en tire-bouchon !!! »

- « Elle n‘est pas en tire-bouchon mais elle me tire bien profond !!! »

- « Si je suis ton porc, tu es ma salope !!! Tu aimes la bite comme personne !!! »

- « Si je ne me trompe pas je ne suis pas le seul à aimer baiser !!!

- « Tu as raison bébé on est fait pour s’entendre !!! »

Eric dandine des fesses, il vient à la rencontre de mon membre pour l’avoir toujours dans le boyau. Il couine.

- « Je viens !!! Je vais exploser !!! Tant pis pour ton capot !!! »

Je me retire du cul d’Eric.

- « Je vais cracher aussi !!! Je veux juter en même temps que toi !!! »

Nous nous branlons à un rythme effréné et nous éjaculons en même temps sur mon capot de voiture.

Les spermes s’étalent sur la peinture noire, font des traces bien évidentes et ne laissent aucun doute de leur provenance.

Je me baisse et suce Eric pour lui nettoyer la bite puis c’est à son tour de me nettoyer.

Nous nous embrassons, mélangeons nos deux spermes et avalons.

Nous nous rhabillons, nous disons au revoir avec un autre baiser plein de douceur.

Nous remontons dans nos voitures respectives et démarrons.

Nous quittons le chemin de terre pour la voir principale.

Eric me suit encore un moment puis me fait un appel de phares.

Il bifurque et me quitte, chacun vers son chez soi.

Chapitre 20 :

Je continue ma route tranquillement quand j’aperçois sur le bord de la route un jeun e homme qui fait de l’auto-stop.

Je ralentis et je m’arrête.

C’est un gars d’une taille de 1,80 mètre environ, 70 kilos environ, bien de sa personne entre 23 et 25 ans.

Je lui demande où il va et me destination. Pour continuer son périple, sa route passe par chez moi.

Je lui indique qu’il peut monter, je vais le transporter jusqu’à mon point de chute.

Il pose son sac à dos sur la banquette arrière.

Nous commençons à discuter.

- « Que fais-tu sur la route à une heure tardive ??? »

- « Je fais un road trip !!! Je suis étudiant et je vais chez mon oncle qui m’a trouvé une formation !!! »

- « Comment t’appelles-tu ??? »

- « Je me nomme Enzo mais tout le monde m’appelle le bel Enzo !!! »

- « Il est vrai que tu es mignon et en bonne forme physique !!! »

- « Oui je fais pal mal de sport !!! J’entretiens ma condition physique !!! »

J’ai tendance à le mater du coin de l’œil.

Mon regarde s’attarde souvent sur son entrejambe.

Tout à coup, il pose sa main sur son paquet et tend le tissu de son bermuda.

Je crois que je me suis fait griller et serait-il en train de me chauffer ???

J’évite de trop insister du regard, mais la vision de sa main sur son paquet, réveille ma queue.

Je devine une belle bosse dans son vêtement, c’est certain il bande.

Je fais mine de me gratter et pose ma main sur mon sexe.

Enzo se tourne vers moi et me regarde avec un petit sourire.

Puis il s’enhardit et me prend carrément le paquet.

Il se penche, et des deux mains il baisse la fermeture éclair de mon pantalon.

Enzo entre sa main et découvre que je ne porte pas de sous-vêtement.

Il décroche sa ceinture de sécurité et se penche encore plus.

Enzo me branle et pose ses lèvres sur mon engin.

Puis il l’embouche et me taille une pipe.

Je le laisse faire, ses lèvres sont douces et il a l’air d’avoir de l’expérience pour pomper.

- « Hummm trop bonne ta bouche !!! Je ne pensais pas à une telle rencontre !!!é »

- « Votre bite est bonne aussi !!! c’est un régal !!! »

Enzo me fait énormément de bien et je sens que s’il continue, je ne vais pas tarder.

Heureusement pour moi et « dommage » pour lui, nous arrivons à ma destination.

- « Voilà je suis arrivé !!! Merci pour la gâterie !!! Au fait, tu vas dormir où ce soir ??? Tu sais ici , il n’y a pas d’hôtel, ni de chambre d’hôte !!! Si tu veux, je t’offre le couchage !!! »

- « Ohh merci vraiment merci !!! C’est vrai que je ne savais pas où dormir !!! J’accepte votre invitation !!! Mais je ne sais comment je pourrai vous remercier !!! »

- « Tutoie-moi ce sera plus simple et plus pratique !!! »

- « Vous avez un canapé ??? Je dormirai dessus !!! »

- « Je t’ai dit, je t’offre le couchage et il reste une place dans mon lit !!!! Tu y seras mieux que sur le canapé !!! »

Nous descendons de ma voiture stationnée devant mon entrée de garage.

Le bel Enzo récupère son sac à dos.

Nous entrons dans la maison puis je regarde mon téléphone portable.

Deux messages.

Le premier message est de Julien.

- « J’espère que toi et Eric êtes bien rentrés et satisfaits d’avoir fait ma connaissance !!! J’ai conservé ton boxer !!! Je viens de me branler avec, il a la bonne odeur de foutre !!!Je ne laverai jamais et m’en servirai souvent en pensant à toi !!! Préviens Eric !!! Qu’il ne cherche pas son string, il est dans le tiroir de ma commode, il a rejoint ma collection !!! A bientôt mes chers amants !!! »

Puis c’est Bastien qui m’a envoyé un message.

- « Julien m’a dit que du bien de toi et Eric !!! Je le comprends tout à fait !!! Il m’a raconté votre journée chez lui !!! C’était le feu !!! Il vient de me consoler de n’avoir pu être avec vous pour cette surprise-sauterie !!! Il m’a fait l’amour de manière incroyable !!! De quoi grimper aux rideaux !!! Je reniflé ton boxer !!! Hummm !!! La prochaine fois que vous venez, nous ferons en sorte de nous retrouver à quatre ensemble !!! A bientôt mes chéris !!! »

E bel Enzo me demande si tout va bien.

Je lui rétorque le mieux du monde.

- « Viens déposer ton sac dans la chambre !!! »

Nous montons à l’étage et il découvre mon lit extra large.

- « Waouh !!! ais on peut dormir à combien dessus ??? »

- « Pour cette nuit, nous serons que deux !!! Tu peux te mettre à l’aise !!! »

- « Merci beaucoup pour votre gratitude !!! »

- « Tu as faim ??? Tu as soif ??? »

- « Je veux bien de l’eau merci !!! »

Je descends et vais chercher une bouteille d’eau dans le frigo.

Chapitre 21 :

Quand je remonte avec la bouteille d’eau, Enzo s’est effectivement mis à l’aise. Il est nu sur le lit.

- « Cela ne vous dérange pas, j’espère ??? Je ne dors que dans cette tenue !!! »

- « Cela ne me dérange pas du tout !!! De voir un si beau corps sculpté, c’est plaisant !!! »

Je me déshabille et prends un boxer dans ma commode.

- « Vous pouvez rester sans boxer !!! Je ne suis pas timide, ni farouche !!! Et puis j’ai déjà fait connaissance avec ta queue !!! »

Enzo se met à me tutoyer. Je ne lui en porte pas rigueur, il pourrait être mon fils. Je reste donc dans ma tenue d’Adam et viens me coucher à ses côtés.

Le lit est large mais machinalement je me serre contre Enzo.

Nous nous tournons l’un vers l’autre, les yeux dans les yeux et nos visages se rapprochent comme aimantés.

Nos bouches se frôlent, nos lèvres s’entrouvrent et se collent.

Ses lèvres sont toujours aussi douces que lorsqu’elles étaient sur ma queue.

Nos langues se taquinent puis s’enroulent. J’aime comment il m’embrasse.

Nous nous caressons les corps, surtout moi qui fais voyager ma main sur ce corps d’Adonis.

Lui pour sa part a repris ma bite en main et me branle.

Ma main descend sur le bas-ventre de mon bel Enzo.

Il est complètement épilé. Aucun poil même sur le pubis.

J’attrape son membre et le branle aussi.

Puis je me décale et vais poser à mon tour mes lèvres sur sa bite.

Il n’y a pas de raison de ne pas profiter d’un si beau pieu.

Son sexe est long, pas trop épais et d’une magnifique teinte rose. Il est circoncis et son gland semble plus gros que la moyenne.

Je l’embouche et le suce en douceur comme on sucerait un sucre d’orge.

Il bande sous mes succions et devient très vite au garde à vous.

Je déguste son bâton dur comme du chêne.

- « Vas-y, fais- toi plaisir !!! Pompe-moi bien !!! Tu as bien fait de t’arrêter sur le bord de la route !!! »

- « C’est vrai !!! j’ai eu raison !!! Mais quand j’ai vu ta gueule d’ange, ça m’a mis la biroute en mouvement !!! Je t’imaginais déjà dans mon plumard !!! »

- « Au moins cela a le don d’être clair et direct !!! »

- « Un jeune coq, il ne faut pas le louper !!! On n’en trouve pas tous les jours à se mettre sous la dent !!! Du moins dans la bouche !!! »

Je reprends mon biberonnage de plus belle.

L m’a saisi la bite et m’astique le mandrin.

Je sens bien son expérience, je lui mettrais bien un mention à mon étudiant.

Puis Enzo s’allonge sur le ventre entre mes jambes. Cela m’oblige à lâcher ma proie. Et c’est lui qui me pompe à nouveau.

- « Je crois que nous n’avions pas terminé la discussion dans la voiture !!! »

- « En effet, je crois qu’une dizaine de kilomètres en plus tu m’achevais !!! »

- « Il est temps de rattraper le temps perdu !!! Je vais te faire rendre les armes !!! »

Enzo me gobe à nouveau la queue et referme ses lèvres sur ma hampe, comme une plante carnivore le ferait d’une mouche.

Il sent que je vais juter et il ouvre la bouche en, grand.

- « Donne-moi tout ton lait crémeux dans la bouche !!! Je vais te goûter et te boire !!! »

- « Ahhh ouiii !!! Tiens mon apollon !!! Bois à la source du plaisir !!! »

Je gicle six jets. Le premier lui arrive sur le visage et les cinq autres dans la bouche. Il avale tout et me montre sa langue blanchie mais tout mon foutre a disparu.

- « Maintenant que tu es soulagé des couilles, tu vas pouvoir m’enfiler ton zob dans le cul !!! C’est un acompte sur ce que je te dois !!! »

Enzo se place à califourchon face à moi, les jambes écartées sur les côtés de mon corps. Il est agenouillé.

Avec sa position, j’ai sa queue bandée devant moi et mon sexe entre ses fesses.

Je me redresse un peu et je prends son sexe en bouche. Je le tête avec envie. Je le désire.

Pendant ce temps, Enzo se relève et de la main place ma queue contre son trou.

Le fait qu’il se soulève, me permet de prendre un peu plus de sa tige.

Puis il se rabaisse et s’accroupit sur mon mandrin. Son anus est souple et mon gland passe aisément.

Il continue à vouloir s’asseoir et y parvient. Ma queue est complètement dans le cul d’Enzo. Je sens bien son conduit.

Le voilà qui commence son rodéo sur ma bite. Il cadence comme avec un cheval, au pas, au trot, au galop.

Je pense qu’il a perdu le contrôle de son animal, il ne va plus qu’au galop.

Il rebondit sur mon manche comme un écuyer sur la selle de sa monture.

A ce régime-là, je ne vais pas tenir très longtemps.

Mais Enzo est très doué. Il sait comment faire durer le plaisir anal. Je lui donnerais une mention supplémentaire.

Ne pouvant plus le sucer, je veux le branler. Sa queue est secouée de droite et de gauche comme l’aiguille d’un métronome.

Je finis par attraper sa bite et je le branle. J’accélère les mouvements de va et vient sur son membre et lui accentue sa chevauchée par des coups de reins plus secs.

- « Ahh oui !!! Ne lâche pas ma queue !!! Je jouis !!! »

- « Ouiiii !!! Vide –toi !!! Je veux recevoir ton jus !!! »

Enzo éjacule dix jets copieux qui me tapissent le corps. Le beau gosse avait de la réserve dans les boules.

A mon tour, je lui éclabousse son conduit de seulement quatre giclées. Je n’ai plus rien dans les burnes.

- « Merci !!! Je ne pensais pas que tu aurais joui à nouveau !!!Et dans mon cul !!! Quel bonheur !!! »

- « Tu n’avais pas joui de la journée, je pense !!! Tu en a déversé une bonne quantité !!! »

- « C’était ma surprise !!! Mais quand je jouis, je crache comme un étalon !!! Je suis un sacré gicleur !!! »

- « Cela fait combien de temps que tu avais tout cela en réserve ??? »

- « Pas si longtemps que cela !!! J’avais déjà dû contenter un chauffeur routier en fin d’’après-midi !!! »

Enzo se déboite de moi, s’allonge et me roule une superbe pelle puis nous souhaitons la bonne nuit.

Chapitre 22 :

Le mardi matin, je suis levé avant mon bel Enzo et regarde mon téléphone portable.

Le premier :

- « Bien rentré ??? Moi oui !!! Demain repos total !!! Besoin de repos !!! Besoin de reprendre des forces !!! Bonne journée !!! Je t’aime !!! »

Le tout accompagné de smileys suggestifs.

Le second :

- « Tout va bien ??? Aucune réponse à mon premier message !!! Bien rentré ??? Je suis inquiet !!! »

Aussitôt je réponds à ses deux messages :

- « Oui bien rentré !!! Pour moi récupération ce matin !!! Quel excellent week-end !!! Je ne regrette pas d’être allé à la fête !!! »

Un échange de messages s’en suit :

- « Moi non plus je ne regrette pas !!! En début d’après-midi, j’ai rendez-vous chez l’ophtalmo, je passerai chez toi après si tu m’invites !!! »

- « Tu seras le bienvenu !!! Ne prévois rien pour la journée du lendemain !!! Moi aussi je t’aime !!! »

Je prépare le petit-déjeuner pour mon amant de cette nuit et moi-même.

Puis je monte voir si Enzo est réveillé.

Il dort encore toujours au-dessus des draps.

Ses jambes sont écartées et j’admire son beau corps et surtout son membre qui m’a fait tant de bien.

Je ne résiste pas à l’envie de le réveiller à ma manière.

Je m’allonge sur le lit, je suis en peignoir et nu dessous.

Je me penche, prends son sexe en main et le caresse.

Aussitôt sa queue se met à bander.

J’abaisse la tête, prends son gland en bouche et le suce. J’ose !!

J’en prends plus et fais coulisser sa bite dans ma bouche.

Enzo se réveille et me dit :

- « Quelle excellente initiative de me réveiller ainsi !!! Tout en douceur et sensualité !!! Merci mon chéri !!! »

- « Tu as tellement été doux cette nuit !!! »

- « Allons boire le café et prendre le petit-déjeuner !!! « me dit Enzo. « Mais avant je passe un instant par la salle de bain, j’ai le cul collé !!! »

Je descends et Enzo arrive une dizaine de minutes après en jock-strap. Il se met à table.

- « J’ai une faim de jeune loup !!! » et Enzo me fait un clin d’œil.

- « Moi aussi !!! L’activité ça creuse !!! »

Nous mangeons puis allons prendre une douche commune. A voir Enzo se frotter les fesses et son matos trois pièces, je me retrouve en train de bander.

- « C’est moi qui te rends dans un tel état ??? »

- « Naturellement mon chéri !!! »

Nous sortons de la douche presque pas essuyés. Il est encore plus beau avec les gouttes d’eau sur son corps.

Nous allons dans la chambre pour nous habiller. Enzo s’allonge sur le lit et me fixe dans les yeux.

- « Prends-moi encore une fois avant mon départ !!! »

- « Tu me veux à ce point ??? »

- « Oui j’ai trop aimé hier soir et ta gentillesse et ton hospitalité méritent bien un cadeau !!! N’ayant que mon cul à t’offrir !!! »

Enzo relève ses jambes et les tient avec ses avant-bras. J’ai une vue formidable sur son trou.

- « A te présenter comme cela, il est évident que la proposition est bonne !!! »

Je grimpe sur le lit et me colle aux fesses d’Enzo. Je frotte ma bite contre son anus, toujours aussi souple.

J’enfonce mon gland puis pose ses jambes sur mes épaules.

Je m’enfonce encore et toujours. Me voilà arrivé au fond, mes couilles buttent ses fesses.

- « Ah ouiii comme ça !!! Balance ta queue en moi !!! près tu me balanceras ta semence !!! Je la garderai en moi pour faire un bout de route !!! »

Nous ne baisons pas, nous faisons l’amour. Puis je jouis en lui.

Il me demande de regarder dans son sac à dos. Il y a une sacoche et de lui la donner.

Je lui tends, il la prend et sort un plug de celle-ci.

Il se plante le plug dans l’anus avec dextérité.

- « Cela me permettra de conserver ton sperme en moi !!! Tu as déjà testé ??? »

- « Oui j’ai testé pour la première fois ce week-end !!! Un amant qui en avait deux !!! »

- « Et ça t’a fait quoi ??? »

- « Cela fait bizarre au début surtout pour marcher !!! »

Nous nous regardons et partons à rire. Nous nous levons et nous habillons.

- « Il est l’heure pour moi de reprendre la route, je ne t’oublierai jamais !!! »

- « J’espère bien !!!Et surtout quand tu passes par ici, n’oublie pas de t’arrêter et de venir me dire bonjour !!! Tu auras toujours le même accueil !!! »

- « C’est promis !!! Je le ferai avec grand plaisir !!! »

Nous nous embrassons tendrement.

Puis Enzo part, je le regarde s’éloigner le cœur gros.

J’aurais aimé qu’il puisse rester plus longtemps.

Chapitre 23 :

Eric est arrivé en fin d’après-midi.

Nous avons reparlé du week-end.

Je lui ai raconté ma rencontre et mon aventure avec le bel Enzo.

Cela a réveillé nos ardeurs.

Eric portait un pantalon blanc, j’ai pu deviner aussitôt qu’il avait mis cette fois un string.

Nous sommes directement dans ma chambre et nous sommes déshabillés.

Nous nous sommes couchés sur le lit encore défait de e matin.

Eric sentait l’oreiller qui portait encore le parfum d’Enzo.

- « c’était sa place, je sens encore son bon parfum !!! Il est envoûtant !!! »

- « C’est vrai que son parfum est enivrant et excitant !!! »

Je me suis mis à caresser Eric. Il était doux.

Puis j’ai pris son sexe dans la main et lui ai prodigué quelques va et vient.

Cela a fait durcir son membre qui s’est vite redressé.

Je l’ai pris en bouche et l’ai sucé.

Il avait l’odeur et le goût de son gel douche.

Eric me massait le membre qui eut la même réaction que lui sien.

Puis Eric s’est allongé sur moi mais à l’envers.

Il me tétait pendant que je ui faisait une feuille de rose.

Il a lâché ma queue et m’a dit :

- « Je te veux maintenant !!! Fais-moi l’amour !!!Je suis déjà en manque de toi !!! »

Je l’ai couché sur le dos et lui ai relevé les jambes.

Je me suis introduit doucement en lui jusqu’à la garde, tout en le regardant dans les yeux.

- « Je t’aime, je suis trop bien en toi !!! »

- « J’adore quand tu me prends avec délicatesses !!! Je sens tes va et vient coulisser dans mon anus !!! Je veux que cela dure mon amour !!! »

Je l’ai pénétré une demi-heure dans toutes positions imaginables.

Son cul allait au rythme de mes mouvements.

Nous étions en parfaite synchronisation.

J’ai fini par éjaculer sur son ventre plat.

Il s’est tenu le sexe et sa main a fait le travail.

Il a joui sur lui-même.

Je me suis allongé sur lui pour sentir les spermes chauds sur nos corps qui se collaient.

Il avait cette étincelle dans les yeux. Celle qui ne brille que lorsqu’on est heureux.

- Tu peux rester le temps que tu veux !!! Tu es mon amour !!! Et depuis longtemps !!! »

Ce n’était que délicatesse et amour.

Nous sommes allés prendre une douche ensemble et sommes descendus nus.

Nous avons grignoté cet apéritif dinatoire préparé par mes soins après le départ d’Enzo.

Le feu de bois allumé nous permettait de rester dans cette tenue.

Chapitre 24 :

Puis j’ai proposé à Eric de nous faire des massages.

Ce qu’il a accepté.

J’ai ressorti les deux flacons que j’avais avec moi à l’hôtel.

Celui à l’huile de massage au monoï et celui aux vertus aphrodisiaques.

Je lui ai massé tout le corps allongé sur le tapis à même le sol.

Sur une peau de bête épaisse qui ne laissait pas transpercer le froid du carrelage.

Eric gémissait de plaisir. Son corps ondulait sous mes caresses.

Je suis passé sur toutes les parties de son corps y compris ses parties intimes.

Je ne m’attardais pas, je voulais le taquiner et le provoquer.

Il s’est mis à bander très fort. Une véritable trique bien raide et bien dure.

- « Et dire que ce n’est que l’huile de massage au monoï !!! »

- « Tes manipulations ne peuvent me mettre que dans cet état-là !!! Mais je vois que tu n’es pas en reste !!! »

En effet, le fait de voir sa bite tendue me faisait bander également.

- « Me présenter ton organe dans cet état ne peut me laisser indifférent !!! Et surtout laisser ma queue inerte !!! »

Eric m’a alors dit :

- « A ton tour de t’allonger sur la peau de bête !!! je vais te faire un doux massage !!! »

Je me suis exécuté allongé sur le ventre. Je sentais ma queue tressaillir sur les poils de la peau de bête.

Ce qui me chatouillait la bite.

Eric a fait couler l’huile sur mon dos et ses mains se sont mises en actions.

Il avait des doigts de fée qui caressaient ma peau.

A croire que ses mains étaient en mission pour me procurer le plus possible de plaisir.

Il a massé mes fesses aussi en traînant plus que la normale.

Je sentais la tranche de sa main s’aventurer dans ma raie pour la masser.

Puis ce fut un doigt qui vint me titiller l’anus. Il jouait à l’entrée me faisant pousser de tous petits cris de plaisir.

Il a insisté et m’a mis son majeur qui est entré sans difficulté tant je prenais mon pied.

Il s’est amusé comme cela en mettant ensuite son index avec.

Puis il a retiré ses doigts et m’a fait retourner sur le dos.

Eric riait de voir mon sexe dressé et rigide.

Il a alors versé de l’huile sur mon torse et a caressé mes épaules puis est descendu sur mes pectoraux.

Il voyait mes tétons pointer et les a triturés avec ses doigts.

Il les faisait vriller, les étirait, les faisait rouler avec grand soin.

Plus Eric s’activait sur mes tétons, plus ceux-ci se dressaient.

Il est descendu ensuite sur mon ventre remettant un peu d’huile dans mon nombril.

Il faisait tout pour faire accroître mon désir.

J’ai senti ensuite ses doigts dans mes poils du pubis. Il était vraiment près de mon mât raide.

Il a retiré ses mains pour glisser sur mes cuisses et enduire mes jambes.

- « Tu attendras encore un peu avant que je m’occupe de ton dard !!! »

Je sentais mes muscles se détendre tous sauf un naturellement.

Puis Eric est remonté et a graissé ses mains, juste avant de prendre ma queue et mes couilles.

Il a étalé le produit et a commencé à me branler.

Sa main coulissait sans difficulté sur ma tige.

Il enduisait mon gland qu’il avait totalement décalotté.

L’effet produit sur mes couilles trahissait mon envie de jouir.

Puis Eric s’est arrêté, m’a regardé et a dit :

- « Je pense qu’il est temps que je m’occupe de ta queue !!! »

Il s’est allongé à côté de moi et a posé sa bouche sur ma bite.

Ses lèvres se sont entrouvertes et sa bouche a gobé mon mandrin.

Il s’est mis à coulisser sur la hampe et à téter mon gland.

Il avalé toute ma bite pour se faire une gorge profonde.

Je sentais ma queue frotter contre sa gorge.

Je n’ai pu me retenir et j’ai envoyé tout mon foutre dans sa gorge.

- « Ahh mon salaud !! Tu as réussi ton coup !!! Tu m’as pompé jusqu’à la jouissance !!! »

- « Il fallait bien le faire dégorger ce malheureux !!! »

Je lui ai saisi son membre, l’ai branlé jusqu’à juter. J’ai tout pris dans ma bouche, j’ai tout avalé.

Nous nous sommes embrassés partageant les deux goûts de foutre.

Il en restait un petit peu sur les langues chargées de traces blanches.

Nous sommes restés sur le sol enlacés et heureux.

Je voulais avoir ma revanche et je l’ai eue.

Chapitre 25 :

Profitant qu’Eric devait aller aux toilettes pour assouvir un besoin urgent, de se vider la vessie, j’ai pris le second flacon.

C’est celui à l’huile chauffante et excitante surtout sur les parties intimes et érogènes.

Je le cache sous la peau de bête.

Eric revient des toilettes, soulagé, car s’il avait attendu un peu plus c’est sur le sol voir mon corps qu’il aurait uriné.

Il se replace à côté de moi mais tête-bêche.

Je devine qu’il a envie d’un 69.

Il gobe ma queue devenue molle pour lui faire retrouver une taille et une grosseur honorables.

Celle-ci obéit rapidement à ses succions et commence à se redresser fièrement.

Il insiste par des gorges profondes et la voilà tendue au maximum.

Pour ma part, je lui lèche les couilles et sa hampe. Je taquine ensuite son gland qui a le goût d’urine.

Je le suce et je suis certain que l’érection qu’il attrape n’est pas due à une envie pressante.

Nous nous remettons dans le même sens et nous nous roulons une bonne pelle.

Nos langues ont respectivement le goût de foutre pour la sienne et le goût de sa sécrétion pour la mienne.

Je place ensuite Eric sur le ventre afin de lui caresser les fesses.

Je sors alors le second flacon de sa cachette. Il ne peut voir ce que je fais.

Je débouche le flacon e verse un peu du produit sur sa raie et surtout sur son anus en écartant ses fesses.

Le produit a une puissance d’action rapide.

- « Ohhhh c’est chaud !!! J’ai la chatte qui me brûle !!! »

- « Tant mieux !!! c’est bien ce que je voulais !!! »

Je me passe un peu d’huile extraordinaire sur la queue et je sens tout de suite la même sensation de chaleur qu’Eric.

L’envie de baiser nous prend tous les deux. Nous devenons deux bêtes en chaleur.

J’agrippe les fesses d’Eric et lui écarte les deux globes.

Je plante ma bouche sur son trou et commence à lui bouffer le cul.

Je le lape tel un chat qui boit du lait.

Ma langue ne s’arrête pas de jouer sur sa rosette et prend possession de son petit trou.

Elle se fait dure comme une mini bite et s’introduit à l’intérieur.

J’active ma langue par des petits coups qui pénètrent son cul.

Je salive énormément, ma bave coule sur sa raie et va s’étaler sur ses couilles.

Eric se trémousse, excité comme une chienne.

Il geint de plaisir et me lâche :

- « Encule-moi !!! Encule-moi !!!! Mets-moi ta bite bien au fond !!! Je la veux !!! Je la veux !!! »

- « Oui ma petite salope, je vais te défoncer !!! Tu vas la prendre en une fois !!! Tu vas la sentir passer !!! »

- « Détruis-moi le cul !!! Ton gourdin va nous coller comme deux chiens !!! »

- « Je vais t’enfiler comme un étalon sur sa jument !!! »

- « Oui plante mon ta bite de cheval !!! Et insémine-moi !!! »

J’écarte les jambes au maximum d’Eric, toujours couché sur le ventre.

Je m’allonge sur son dos et présente mon gland contre son anus.

Je le pénètre d’un seul coup. Je le tiens par les hanches pour le cambrer.

Je le lime à grands coups de rein. Je retire mon sexe de son cul puis le replante en entier.

Ayant déjà joui auparavant, je sais que cela va durer longtemps.

Sans déculer d’Eric, je le fais mettre à quatre pattes.

J’encercle son ventre plat de mes bras pour le sodomiser par de plus amples coups de rein.

Il souffle de plus en plus, pousse des cris. Il gigote sur mon membre comme s’il était désarticulé.

Je me colle à son dos et lui mords l’épaule. Je suis en rut. Je suis déchaîné.

Eric est moi, je le pilonne, je le démonte.

Plus il crie de plaisir, plus il couine, plus cela m’excite.

Son cul est en feu. Il ne reste pas passif. A chacun de mes coups de rein il répond par des contre coups de rein.

Il en veut, il vient au-devant de ma bite.

Puis je le couche sur le côté, lui soulevant une jambe et remet mon chibre en lui.

Nous sommes en sueur par ce temps de baise extrême.

Je le tiens par les omoplates et y vais par grandes saccades.

Son sexe est devenu en demi-molle et balance dans tous les sens.

Il le prend et s’astique comme il le peut tant il est bousculé.

Je le retourne complètement pour le mettre sur le dos.

Je l’ai soulevé pour cela et il est empalé sur mon mandrin.

Maintenu dans mes bras, je le fais monter et descendre sur mon pieu.

Puis je dépose enfin sur la peau de bête, dos au sol.

Eric pose ses jambes sur mes épaules, de chaque côté de ma tête.

J’ai une belle vue sur son trou tout ouvert.

J’ai les yeux qui me piquent, Ils doivent être gorgés de sang comme si j’avais pleuré.

Ceux d’Eric sont dans le même état. Il a la bouche grande ouverte, il a du mal a reprendre son souffle.

- « Continue !!! Ne t’arrête pas !!! Je suis ta chose !!! Je prends autant de plaisir que toi !!! »

- « Je ne sens pas encore la sauce monter !!! je vais t’en remettre pour un moment !!! »

- « Oui bourre moi encore et encore !!! »

J’enlève les jambes d’Eric de mes épaules et les fais mettre de chaque côté de mon bassin.

Cela oblige Eric à venir coller son bassin contre le mien pour avaler mon membre dans son cul.

Cela dure depuis une depuis une bonne demi-heure que je lui claque ma bite dans son fion.

- « Je vais jouir !!! Je vais jouir !!! »

- « Ouiiii reste en moi !!! Féconde-moi !!! Remplis mes entrailles !!! »

- « Je vais t’engrosser ma bonne cochonne !!! Tu vas en avoir une bonne dose !!! »

Eric sent que je me contracte et soudain je lui expulse plusieurs jets puissants au fond de lui-même.

- Ahhh ouiiii !!!! Que c’est bon !! Ton jus bien chaud dans mon cul !!! »

Je sors ma bite de son trou béant sans débander tant l’état d’excitation est fort.

Je repose les jambes d’Eric sur la peau de bête et vois mon foutre couler sur ses couilles.

J’en prends avec ma main, j’en ai plein les doigts et je donne ceux-ci à lécher à Eric.

Je remets la main car mon sperme s’écoule encore hors de lui.

Je lui redonne à lécher. Il a encore dans la bouche la première ration ; Il n’a pas avalé.

Il me nettoie à nouveau la main et je m’allonge sur lui pour lui donner ma bouche.

Nos lèvres se touchent, nos langues se lient et délayent mon foutre.

Il en a dans la bouche moi également. Nous avalons ce miel crémeux.

Je prends la bite d’Eric et le branle activement.

Ma main va de plus en plus en vire sur sa hampe et son gland.

J’accélère toujours le rythme. Il donne de petits coups de rein pour faire monter sa crème plus rapidement.

- « Ohhhh oui !!!! Je viens !!! Fai- moi gicler !!! je Veux que ce sois ta main qui m’inonde !!! »

- « Vas-y ma belle !!! Lâche tout ton foutre !!! «

Eric se met à éjaculer. Les giclées puissantes atteignent son torse puis son ventre.

La dernière coulée se répand sur son pubis.

- « Ohhhh que c’est bon !!!! Je suis vidé !!! Tout est parti de mes couilles !!! »

- « Tu es vidé autant par les forces que par la jute !!! »

- « Oui tu m’as tué !!! Je n’en peux plus !!! »

Je lui étale son foutre sur son corps comme un baume apaisant.

- « Allons nous coucher !!! Le sol commence à se faire dur !!! »

- « Il n’y as que cela qui est dur !!! Ta queue ne semble pas vouloir débander !!! »

- « La tienne non plus !!! Je crois que la nuit va être agitée !!! »

Nous montons nous coucher. Nous nous allongeons au-dessus de la couette, les deux bites toujours tendues.

Nous buvons chacun un verre d’eau pour nous désaltérer.

Eric ne sait pas que j’ai dilué dans chaque verre un comprimé de viagra.

Nous buvons les verres en entier.

Nous nous embrassons pour plonger dans un profond sommeil.

Mais l’effet du viagra est venu compromettre le sommeil et nous avons baisé sauvagement plusieurs fois dans la nuit.

Nous nous sommes réveillés le matin, j’avais obtenu ma revanche.

Chapitre 26 :

Nous nous sommes levés, couverts de traces blanches compromettantes.

Les ventres et les torses chargés de spermes séchés.

Le reste de la semaine s’annonçait torride avec Eric.

En allant prendre une bonne douche en commun.

Naturellement nos mains ont lavé le corps de l’autre en s’attardant sur les parties intimes.

Nous nous sommes branlés et les giclées de foutre sont allées se coller sur le carrelage du sol et la paroi vitrée de la douche.

Puis nous sommes allés prendre un petit-déjeuner bien copieux pour redonner force à nos corps.

Nous avons encore reparlé du week-end chargé à l’hôtel.

Ce fut top au niveau sexe.

Je n’avais jamais pris autant de plaisir à baiser et surtout aussi intensément.

Nous avons envoyé un texto à l’ami qui nous avait conviés à sa fête de départ en retraite, le remerciant pour son excellent accueil.

Ce fut l’occasion de retrouver Eric, perdu de vue depuis si longtemps et qui me faisait toujours fantasmer au point de me branler très, très souvent.

Eric est devenu mon amant régulier et nos ébats sont toujours aussi copieux et pimentés.

FIN.

Bouleetbite

Autres histoires de l'auteur :

TEXTE IMPLIQUANT DES MINEURS,
UN ENFANT OU ADO (-18ANS)
IL FAUT ME LE SIGNALER :
CYRILLO@CYRILLO.BIZ

Signaler aussi tout texte incitant à la haine, au racisme, à la violence et à la cruauté. Sous peine de fermer ce site !

Cyrillo.biz ne revendique aucun droit sur les textes publiés.
Les textes publiés ont tous été envoyés directement à cyrillo.biz
Les auteurs sont libres de retirer leurs textes sur simple demande à cyrillo@cyrillo.biz

💦 1er Mai | 73 pages

Les nouvelles | 15 Pages

Une bonne affaire DelosFairy
Pas si hétéro Sam
Soirée complice Romain_c
Mec aux Dreadlocks Gaygaboma
Défoncer mon voisin Gaygaboma
Vol de sous-vêtement Meetmemz
Amant nocturne Fabiodimelano
Capuche Hoodie76
Souvenirs Souvenirs
Maître-boulanger Meetmemz
D'un plan à pute Clé
Fickstutenmarkt Lopesedeplace
Un réveil Esteban
Mathys Esteban
Premier amour étudiant Ovide

Les séries : 58 pages

Malek - Saison 10 | 14 | +4 Fabrice
1 | 2 | 34 | 56 | 78 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14
L’amant de ma femme | 6 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 34 | 5 | 6
Mon pote Julien | 8 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8
Les darons | 3 | +3 Teddy
1 | 2 | 3
Un Cul jouissif | 23 | +1 Cul jouissif
1 | 2 | 3 | 4 | 5
6 | 7 | 8 | 9 | 10
11 | 12 | 13 | 14 | 15
16 | 17 | 18 | 19 | 20
21 | 22 l 23
Les frangins | 2 | +1 Verdunois
1 | 2
Concours canin | 2 | +1 Bearben
1 | 2

ET CE N'EST PAS TOUT !
Il y a 81 pages en + ici

RETOUR AUX HISTOIRES

21 ans d'histoire :
2023 | 2022 | 2021 | 2020 | 2019 | 2018 | 2017 | 2016 | 2015 | 2014 | 2013 | 2012 | 2011 | 2010 | 2009 | 2008 | 2007 | 2006 | 2005 | 2004 | 2003 | 2002 | 2001

IMPORTANT
Rêve ou réalité, ces histoires ne sont pas un art de vivre
N’oublie pas les dangers d'une relation sexuelle sans protection,
que tu sois sous Prep ou pas.
PROTEGE-TOI ET METS DES CAPOTES !

Sextoy
Sexshop

Chercher sur le site

ATTENTION

HISTOIRE AVEC DES MINEURS, ADO, ENFANT(-18ANS)
IL FAUT ME LE SIGNALER :
CYRILLO@CYRILLO.BIZ

Signaler aussi tout texte incitant à la haine, au racisme, à la violence, à l'absence de consentement ... à la cruauté. Sous peine de devoir fermer ce site !

Plan du site


Merci !

J'aime ce site et je souhaite faire un don,
du montant que je veux, juste pour aider


Simple, en CB ou Paypal, Discret.


Avril 2024 : 3 388 758 pages lues.

Ce site utilise des cookies uniquement pour faciliter la navigation. Aucune données personnelles ne sont collectées ni conservées pour du partage, ou a des fins marketing. ©2000 Cyrillo.biz. Hébergeur : Planethoster Canada

À jour : mercredi 12 juillet 2023 à 08:41 .

Retourner en haut