L'incident voyageur

Il faut remettre dans ce contexte cette aventure. Cela fait depuis la première que j'avais repéré un élève en BTS. Son surnom était Tintin, il faisait presque 1m90 ce qui dénotait de mon 1m75. La différence ne s'arrêtait pas là, il était blond, presque roux, assez fin, peu poilu et un visage assez long, dont les yeux bleus ressortés en contraste avec sa peau. J'étais tout le contraire, légèrement musclé, barbe de trois jours, je portais des lunettes et j'étais brun voir noir. Il avait très bien remarqué que je le regardais avec, un peu trop, d'insistance. il s'est vite révélé être un abruti d'hétéro et qui s'amusait à m'insulter avec ses potes. Fait que je trouvais toujours étrange, lorsqu'il était avec sa petite copine, il me regardait toujours fixement. La suite est de la pure fiction.

Nous sommes vendredi soir quelques semaines avant le bac, à discuter avec mes amis devant le lycée, je viens de rater mon train pour rentrer. C'est le pire soir pour ce genre de bêtise. Je suis bien partir pour attendre le train de 19 h 30 qui sera rempli comme à son habitude. J'envoie un message à mes parents pour les prévenir. Quarante-cinq minutes plus tard, le train entre en gare, et le quai est noir de monde. Ne supportant pas ce dernier, je décide d'aller directement en première, de toute façon, le contrôleur ne dira rien. Cela me permettra d'avoir une cabine. J'en trouve une directement à la première voiture. Je me pose, le trajet ne ferra que 20min, dans 30min je serais chez moi. Le train commence à avancer, mais personne ne me rejoint dans la cabine. Il s'élance après le sifflet, puis s'arrêter, puis avancer et se stoppe net. Les enceintes grésillent et la voix du contrôleur en sort.

-Mesdames, Messieurs, à la suite d'un incident voyageur, le train sera immobilisé pendant un minimum de deux heures. Merci de ne pas descendre sur les voies sans y être invités.

J'en étais sûr, cela n'avait pas loupé. Le vendredi est toujours propice au retard. Je prends mon téléphone, et envoie un message à ma mère, lui indiquant que je ne suis pas arrivé au minimum avant deux heures. Je profite pour sortir mes écouteurs et mettre la musique sur mon téléphone et je regarde l'horizon par la fenêtre.

-Salut, dit une voix qui me surprend. Je regarde à qui appartient cette voix. C'est lui, le mec sur qui je fantasme depuis deux ans. Il se tient devant moi avec un large sourire. -Putain, tu m'as fait peur, tu me veux quoi ? -Je voulais te parler, discuter. Il me donne sa réponse tout en s'asseyant. -Ça change des insultes habituelles, et pourquoi tu prends le train, je t'ai jamais vu prendre ce train et tu as une voiture de souvenir. Je le regarde fixement, je n'ai pas l'habitude de me laisser faire face à ce genre de gorille. -Je m'excuse pour les insultes, c'est quand je suis en groupe, j’essaie de garder la face. Ma voiture est au garage, c'est plutôt moi qui devrais poser la question, je t'avais jamais vu prendre ce train. -Parce qu'être gay est négatif, c'est plus tôt toi et les abrutis d'hétéro comme toi qui créaient l'homophobie. -Disons qu'en groupe, on peut être vite débile. Tu te trompes sur un point. Je ne suis pas hétéro, mais bi.

En disant ça, son regard change immédiatement, et n'hésite pas à se balader sur mon entre-jambes. Je préfère ne pas répondre. Il se lève et ferme tous les rideaux. S'approchent de moi en mettant ses mains de chaque côté de mes jambes. Son visage est proche de moi. Je sens son souffle sur mon visage. L'odeur du déo Axe remonte à mes narines. Il me fixe droit dans les yeux.

-On a deux heures à perdre, je compte bien m'occuper de toi. Murmure-t-il avant de m'embrasser.

Je me laisse complètement faire, je fantasme sur lui depuis la première fois que je l'ai vu. Combien de fois j'ai rêvé de le mettre sur ma queue ? Je lui rends immédiatement son baiser, lui aspire sa langue, lui prend la nuque avant de lui mordiller la lèvre inférieure. Ma queue se réveille sans attendre, le sang pulse et forme une barre sous mon jean. Il essaie de s'échapper, mais je le maintiens fermement. Je veux lui faire comprendre qu'avec moi, il ne sera pas dominant. Je relâche mon étreinte quelques minutes après ce traitement. Il commence à embrasser mon cou, et pose ses mains à travers le t-shirt, il sait où il va : mes tétons. La cible atteinte de sa main droite, il pince avec une légère pression ce dernier avec son index et son pouce. Je gémis. De sa main gauche, il descend sur mon paquet pour compresser ma queue. Je gémis à nouveau. Il glisse son visage près de mon oreille est me glisse un laisse-moi faire, je vais m'amuser un peu. Il me pose un baiser sur les lèvres, puis enlève mon t-shirt. Sa langue part de mon cou, s'attarde vers le téton gauche, il le prend délicatement avec ses dents. Il durcit le bout de sa langue pour jouer avec le bout de chair. Il sait y faire le salaud.

Il continue sa descente, et se met à genoux entre mes jambes. Je me retrouve en moins de 30 secondes avec le jeans et le boxer découvrant mon chibre fièrement dressé. 18 cm légèrement courbés sur la gauche avec les veines bien apparentes, je suis tellement excité qu'une goutte sort de mon méat, ce qui est chose rare. Je sens le tissu du siège sur mes couilles. Par chance , j'avais débroussaillé quelques jours avant ce qui donne une impression de grosseur. Il l'admire, la caresse délicatement avec sa main tout en sous-pesant mes testicules.

-Monsieur cache bien son jeu, dit-il en ne lâchant pas son regard de mon service trois-pièces.

La seule réponse qui peut accompagner ses mains chaudes et des délicates fut un gémissement. Il entreprend de continuer. Il commence par lécher mes bourses, et prendre un testicule à la fois dans sa bouche. Ses mains se baladent sur mon torse, caressant mes poils, jouant avec mes tétons. Il me fixe du regarde sans lâcher sa tâche, je sens son souffle sur ma queue, elle réagit par des petits frémissements. Cela dure bien cinq minutes, accompagné de gémissement. Trop courte à mon avis. Il remonte avec sa langue le long de ma hampe. Il insiste sur mon frein, souffle pour me faire réagir. Sans crier gare, il la gobe, ma queue disparait dans sa bouche, il me fait directement une gorge profonde. Je sens la chaleur de cette dernière, il n'est pas à son premier coup d'essai. Il commence ses va-et-vient, ma queue disparait, réapparais, mais il s'arrête avec mon gland entre ses lèvres. Ses mains continuent à me caresser, il ferme ses yeux et je regarde le spectacle qu'il m'offre. Je regarde son entre-jambes, une tâche est apparue au niveau le plus haut de sa bosse qui déforme son jeans slim. Lorsque j'essaie de poser mes mains sur sa chevelure, j'ai à peine le temps de sentir la douceur qu'il me les retire.

Il commence à accélérer, je sens que je vais venir avec ce traitement depuis 15 min. Je le préviens, mais il accélère encore plus profondément dans sa gorge. Je ne vois même plus un centimètre de peau ressortir de sa bouche. L'exposition est si proche qu'à peine une minute plus tard, je lui remplis le fond de sa gorge. Au même moment, les enceintes se remettent à grésiller:

-Mesdames, Messieurs, notre train va repartir dans 5 min. Nous vous demandons de regagner vos places. Pendant cette annonce, mon amant avale le reste de liquide. Me pose un baiser salé sur mes lèvres. Il me sourit.

-La fête est finie, bonne soirée. Il me sort cette phrase tout en m'ébouriffant les cheveux. Je le regarde repartir vers la sortie. Je ne saurais donc jamais son prénom.