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HISTOIRE

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Une agression qui tourne bien

Quelques explications en fin de chapitre

Chapitre-1 | Retournement de situation

Reds flags pour un rdv

Vous savez comme moi qu’il faut faire attention lorsque l’on fait des plans : le risque de racket ou d’agression est toujours là. Et bien, c’est ce qui a failli m’arriver. C’était, je l’avoue, un plan tarifé. Tous les red flags étaient là : il ne m’avait pas envoyé de photo de son visage, les autres photos envoyées par snap n’étaient pas prises en direct, il a absolument tenu à venir tard le soir et à ce que je le cherche avec l’argent sur moi. Mais il se disait un rebeu de 20 ans bien monté, j’étais chaud et j’ai foncé dans le panneau…

Je suis quant à moi un homme de 35 ans, 180 pour 80kg, pas super musclé (mais ça va), et assez bien monté (un bon 18cm épais). Pas trop moche : je fais encore des plans normaux, mais de temps en temps, je me permets un plan payant pour voir des gars que je n’aurai pas l’occasion de rencontrer par ailleurs.

Bref, ce soir-là, je l’attends en bas de chez moi. Il arrive. Il ne m’avait pas menti sur sa description : rebeu, jeune, la vingtaine, un peu plus grand que moi, assez mince. Pas super beau de visage mais pas moche, banal disons. Et les cheveux coupés comme c’est encore un peu la mode : rasé sur les côtés, bouclés sur le dessus. Il s’était décrit comme hétéro un peu bi, j’étais censé juste le sucer. Je suis versa mais ça m’allait très bien. Bref, je me réjouissais de passer un bon moment.

L’agresseur désarmé

Il était tard et il n’y avait personne. Je le trouvais assez nerveux mais il m’avait dit que c’était son premier plan de ce genre donc je ne me suis pas inquiété. Mais devant l’ascenseur, il a sorti un couteau de cuisine (enfin, un couteau pour manger, rien de très impressionnant…) pour exiger que je lui donne l’argent tout de suite. Je précise que je ne suis absolument pas quelqu’un de courageux. Mais je n’avais aucune envie de le lui donner son billet et, ce qui m’a décidé à résister, c’est qu’il avait l’air plus paniqué que moi !

J’ai d’abord tenté de le raisonner :

Fais pas le con ! Tu vas faire quoi ? Me blesser ? Tu veux te retrouver en prison pour cinquante balles ?
Ta gueule ! File-moi l’argent ou je te plante.

Il disait ça mais il faisait des petits mouvements du bras qui n’étaient vraiment pas très impressionnants. J’ai donc d’abord tenté de le repousser pour monter dans l’ascenseur mais impossible de maintenir la porte fermée. Puis j’ai réussi à lui attraper le poignet qui tenait le couteau et là, tout est allé très vite. Il a voulu me frapper mais je lui ai tordu le bras, ce qui l’a obligé à se mettre à genoux. Je lui ai donné plusieurs coups de poing au visage qui l’ont sonné. Il a lâché le couteau que j’ai ramassé. Puis, sans réfléchir, je l’ai fait entrer dans l’ascenseur et j’ai appuyé sur mon étage.

Lâche-moi ! Lâche-moi ou je te bute, je jure que je te bute.
Ta gueule !, je lui ai répondu.
Je lui ai donné un coup de pied dans le ventre (sans lâcher son bras) qui l’a bien calmé. Je l’ai injurié et menacé à mon tour pour ne pas lui laisser le temps de réfléchir.

Arrivé à mon étage, je l’ai tiré brusquement et je l’ai traîné jusque dans ma chambre – toujours le plus rapidement possible, et en lui tordant le bras, pour ne pas lui laisser le temps de réagir ou de se relever. C’est alors que j’ai repensé à mes menottes ! Vous connaissez : ces menottes sextoy, avec la petite fourrure rose. Je ne les utilisais quasiment jamais mais par chance, c’était un modèle avec clé et elles étaient dans une boîte à chaussure à portée de main, au milieu du gel et des godes… Il s’est débattu de plus belle, mais je lui ai frappé la tête contre le parquet et je lui ai rappelé qui avait le couteau dans une main… Il s’est calmé et j’ai pu lui menotter les mains dans le dos.

Je me suis alors assis sur le lit. Il était allongé sur le ventre à mes pieds, tournant la tête pour essayer de me voir. Il avait un air vraiment méchant.

Libère-moi, putain ! Je vais te défoncer, je vais te tuer, tu vas rien comprendre, disait-il.
Il essayait de le cacher mais il était terrorisé.

Bon, qu’est-ce qu’on fait maintenant ?, j’ai demandé calmement. J’appelle la police ?
Non, pas la police ! S’il te plaît, laisse-moi partir, je suis désolé, je m’excuse, mais pas la police.
Il était sur le point de pleurer, le con !

C’est seulement à ce moment-là que je me suis rendu compte à quel point la situation ressemblait à ces scénarios qu’on peut lire ici, sur des vigiles et des délinquants qui disent « je ferai tout mais n’appelez pas la police ! ». Ça m’a d’abord fait marrer, puis je me suis dit : « Après tout, pourquoi pas ? » J’étais chaud, c’est bien pour ça que je l’avais fait venir. Le plan prévu était que je le suce, mais on pouvait varier les plaisirs et les faire durer. Je ne suis pas spécialement adepte des plans hard ou des viols (même simulés et consentants), mais avoir ce beau jeune corps à ma disposition était quand même bien tentant… Et il m’avait menacé avec un couteau ! S’il ne voulait pas que j’appelle la police, il fallait bien que je le punisse à ma façon…

Mise à nu

Quelques minutes plus tard, il s’est retrouvé allongé sur le lit. Avec beaucoup de précautions et de menaces, j’avais réussi à le mettre torse nu. Les mains toujours menottées dans le dos, et j’avais aussi attaché une cordelette de ses menottes au chauffage : il pouvait bouger, se mettre sur le ventre ou le dos, mais pas sortir du lit. Il a même eu droit à un oreiller !

S’il vous plaît, laissez-moi partir, dit-il en pleurant et en me vouvoyant. Je suis désolé, c’était la première fois je vous jure, je voulais pas vous faire de mal, je voulais juste un peu d’argent.

Je me suis assis à côté de lui sur le lit, j’avais mis du vin dans une gourde, histoire de le désaltérer un peu et de le détendre. J’ai passé un gant de toilette sur son visage pour le rafraîchir, et j’ai allumé une cigarette que je lui ai tenue devant la bouche. Il en a tiré une taff.

On n’est pas bien là ? (J’ai voulu ajouter « détendus du gland » mais il n’aurait pas compris l’allusion). Tu vois, je ne suis pas méchant. Tu peux te détendre. On clope, on boit, on discute un peu…
Vous allez me faire quoi ?, a-t-il demandé en essayant de cacher sa peur.
Ça on verra, une chose après l’autre.

Il devait être minuit. Je prenais mon temps. La situation était si excitante que j’ai commencé à bander rien qu’à le regarder et à sentir son corps presque contre le mien. Il était mince, sans aucun poil sur le torse à part sous les bras, avec quand même les abdos qui se dessinaient, sans être très développés.

Ce que je ne comprends pas, j’ai demandé, c’est pourquoi tu as sorti ton couteau ? T’aurais pu te faire sucer et te faire cinquante euros.
Je suis hétéro ! Je me fais pas sucer par des mecs.
Bah c’est dommage, parce que là, tu te retrouves un peu dans la merde, pour le coup.

J’ai continué à discuter – je faisais un peu la discussion pour deux mais comme il répondait de temps en temps, j’ai fini par comprendre le fin mot de l’histoire. D’une part, il devait de l’argent à quelqu’un de sa cité, c’était effectivement sa première agression (je l’ai cru vu son air paniqué quand il a sorti son couteau) ; et d’autre part il était puceau ! Il ne s’était même pas encore fait sucer, ni par un mec et encore moins par une meuf. Je n’avais pas de raison de ne pas le croire : ce n’est pas quelque chose dont on se vante. Ça me paraissait étrange car il n’était pas moche, bien foutu… J’imagine qu’il était très timide et que sa tentative d’agression était une manière un peu pitoyable de se prouver à lui-même qu’il « avait des couilles ».

Sa tentative était ratée, mais en ce qui concernait les couilles, j’allais être vite fixé.

Bon allez, c’est pas tout mais… !, j’ai dit en descendant du lit et en me mettant debout au pied du lit, face à lui.

J’ai tiré sur son pantalon de survêt pour le lui enlever. Il a crié et il s’est débattu : je lui avais attaché les mains mais pas les pieds… Je dois avouer que cette petite lutte m’a bien excité. J’ai réussi à lui enlever son pantalon mais quand j’ai voulu lui enlever son slip blanc, ce fut plus compliqué. Une vraie anguille ! Il était donc quasiment à poil à ce moment-là, sauf pour le slip et ses chaussettes, et il se tortillait et tentait de me donner des coups de pied en m’injuriant et en me menaçant.

J’ai réussi à me mettre entre ses deux jambes et à remonter jusqu’à lui – un peu comme si je l’enculais (j’étais encore entièrement habillé à ce moment-là, et mon sexe se sentait à l’étroit !). J’ai commencé à lui donner des baffes, d’abord toutes petites, puis plus fortes. C’était assez excitant (pour moi en tout cas). Il a fini par arrêter de débattre. Il évitait mon regard alors je lui ai pris la joue pour qu’il me regarde droit dans les yeux.

Tu n’as pas compris la situation. Si je le voulais, je pourrais passer la nuit à te frapper. Si je veux enlever ton slip, je peux venir avec des ciseaux et te le découper, et tant pis pour toi si tu te débats. Et ensuite, si je voulais t’enculer à sec, je le pourrais aussi. Il me suffit de t’attacher les jambes.

Ses yeux se sont écarquillés quand j’ai parlé d’enculage à sec : le pauvre n’avait toujours pas compris ce qui l’attendait !

Pitié, s’il vous plaît. Tout mais pas ça. Chui pas gay…
Je vais te dire un truc : je n’ai aucune intention de te faire mal, juste de m’amuser un peu avec toi. Mais pour ça, il faut que tu te laisses faire et que tu m’obéisses, tu comprends ? Si tu résistes ou si tu veux me frapper avec tes pieds, alors je t’attache complètement et tu devines la suite. Tu comprends ?
O… Oui…
Il avait complètement cessé de se débattre et il avait donc les jambes très écartées avec moi à genoux entre elles, penché sur son visage.

Je vais même te proposer autre chose : si tu fais ce que je dis et si je suis content de toi, tu repartiras avec les cinquante euros que t’es venu chercher. T’en dis quoi ?
D’accord, il a dit après une hésitation.
Très bien. Prouve-le moi.
Je me suis penché sur lui jusqu’à approcher mon visage très près du sien.

Maintenant, embrasse-moi.
Quoi ?
Tu as très bien entendu…
Il a hésité, puis il a tendu son cou pour me donner un très léger bisou sur mes lèvres. Je lui ai donné une petite baffe.

Raté, essaie encore.
Il a enfin compris que toute résistance était futile et il a à nouveau tendu le cou et a laissé ses lèvres plus longuement sur les miennes. J’ai glissé une langue, je l’ai repoussé jusqu’à ce qu’il repose à nouveau sa tête sur l’oreiller et je lui ai roulé une pelle. Il ne s’y prenait pas très bien... Je me suis redressé.

Bon, on va dire que l’intention était là.

J’ai enfin pris le temps de le regarder un peu. J’ai caressé son torse, son ventre. Il ne bougeait pas. Il a sursauté quand j’ai posé une main sur son slip.

Ne t’inquiète pas, je lui ai dit, tout va bien se passer.
Je sentais son sexe chaud et ses couilles sous ma main. J’étais à la fois impatient de le voir à poil, et désireux de faire durer le moment. Puis je me suis reculé et je lui ai tiré le slip. Cette fois il n’a pas bougé. J’ai aussi enlevé ses chaussettes et ça y est, il était complètement nu devant moi. Il aurait voulu se cacher, se retourner, mais je lui ai dit de rester sur le dos. De ne pas avoir honte, qu’il n’avait absolument pas à avoir honte.

Et effectivement, le spectacle était beau. Il ne bandait pas. Sa queue était entièrement recroquevillée, une jolie touffe de poils au-dessus, et, dessous, de belles couilles visiblement assez grosses. Ses jambes étaient poilues mais pas trop, assez fines. Je ne savais pas encore ce que j’allais lui faire. Je n’avais pas l’intention de lui faire mal (pas d’enculade à sec), j’avais peut-être même l’idée de lui faire découvrir des plaisirs qu’il ignorait – même si c’était pas gagné, face à un hétéro menotté et terrorisé. Mais dans tous les cas, on allait bien s’amuser.

Remarque :

Ce texte est évidemment de la fiction. Ce qui est vrai, c’est la tentative de racket. J’ai par miracle pu repousser mon agresseur et rentrer chez moi sans blessure ni rien. J’ai aussitôt appelé la police puis j’ai porté plainte. Mon agresseur a pu être retrouvé grâce à son compte snapchat et il s’est retrouvé au tribunal où il a écopé de travaux d’intérêt général. Comme l’a rappelé un documentaire Mediapart, les agressions sont réelles et fréquentes (tentative de racket dans mon cas, agressions homophobes dans beaucoup d’autres cas, notamment via coco).

Donc soyons tous plus que jamais prudents dans nos rencontres…

Marc

micmac67@live.fr

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