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7 et 8 Mai

Grosse queue
"Plan à 3"
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HISTOIRE

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Premier épisode

Mon infirmier

Chapitre 2

Voici la suite de la première rencontre avec « mon infirmier ». Comme je l’ai conté dans la première histoire, il était reparti le samedi avec pour seules paroles « A demain. Prépare bien ton petit trou » ! Ce dimanche matin, j’obtempère : sous la douche, je me fais un lavement pour bien nettoyer mon antre secrète. Ne sachant pas à quelle heure il passe, je suis prêt dès 8 h, allongé sur mon lit, juste vêtu de mon petit short de pyjama, sans rien dessous, comme hier. Les heures passent, midi arrive et toujours pas de nouvelles. Le cabinet d’infirmiers est tenu pourtant de passer pour ma piqûre… j’hésite à les appeler et décide d’attendre encore. Enfin, vers 13h, quelqu’un sonne en bas de l’immeuble : voilà enfin mon infirmier ! Quand je lui ouvre la porte, il me reluque de haut en bas puis me dit simplement : « Je t’ai gardé pour la fin, comme ça on a tout notre temps. Allonge-toi, je te fais ta piqûre. » J’obtempère pendant qu’il prépare ce qu’il faut. Il désinfecte puis me pique et désinfecte de nouveau d’une main pendant que l’autre se pose sur mon sexe à travers le short et appuie fortement, provoquant instantanément une érection. Il se relève, range ses affaires en me disant : « Fous toi à poil. »

N’ayant que le short sur moi, c’est vite fait et mon sexe se dresse fièrement face à lui. Il s’allonge alors à mes côtés sur lit, toujours habillé (t-shirt bleu et le même jogging gris qu’hier) et me montre ses baskets. Je descends du lit pour les lui enlever. « Allonge toi par terre sur le dos. » Il s’assoit, pose un pied sur mon visage et l’autre sur ma queue. Il a toujours ses chaussettes, plutôt propres mais toutes humides de transpiration. Appuyant fortement sur ma queue, bloquée contre mon ventre avec le pied droit, il promène le gauche sur mon torse, mes aisselles, mon visage avant de l’entrer en partie dans ma bouche. « Enlève mes chaussettes. » Je libère ses deux pieds. Avec le droit, il essaie de replacer ma queue entre les jambes mais je suis tellement bandé que c’est bien sûr impossible et il me fait mal ; heureusement, il arrête quand je crie et se contente de la rebloquer contre mon ventre, descendant et remontant son pied de temps à autre tout en appuyant fortement, ce qui m’arrache des gémissements de plaisir. Son autre pied est retourné sur mon visage. Je sors la langue et le parcoure consciencieusement. C’est à son tour de gémir. Je suce ses orteils les uns après les autres. Les yeux fermés, la main sur son jogging déformé, il prend son pied… c’est le cas de le dire ! Puis tout d’un coup, il se baisse, m’attrape par les cheveux et me force à me relever.

Je me retrouve à genoux, assis sur les talons. « Enlève mon jogging et occupe-toi de mes jambes ! » J’obéis pendant qu’il ôte lui-même son t-shirt. Le voilà en boxer, un boxer Tommy Hilfiger blanc, complètement déformé par son gros engin qui a laissé une tache de mouille au niveau de sa cuisse. Totalement hypnotisé par cette vue, je me relève un peu pour poser ma main sur la bosse et reçois alors une baffe à m’en décrocher le cerveau… « Je t’ai dit de t’occuper de mes jambes. » Humilié, la joue douloureuse mais toujours aussi excité, je redescends au niveau des mollets et commence à les parcourir avec ma langue. J’essaie de ne laisser échapper aucune parcelle. J’apprécie encore plus les cuisses de cyclistes imberbes (alors que les jambes étaient poilues) et m’applique pour faire briller de ma salive sa belle peau sombre. Quand mon nez arrive au niveau de la bosse, ma queue tressaille d’allégresse en pensant que je vais enfin pouvoir m’occuper du boxer mais il en a décidé autrement : il m’attrape de nouveau par les cheveux pour me faire remonter au niveau de son cou. Étant un peu plus petit que lui, mon sexe se retrouve bloqué contre son paquet toujours recouvert du boxer. Alors que je lui lèche le cou, ses mains viennent pétrir mes fesses, les fesser, les écarter, parcourir ma raie. Ce faisant, il me fait bouger et ma queue frotte contre sa bosse. C’en est trop pour moi ! Je me suis connu plus résistant, mais là je ne tiens plus, pousse des râles de plaisir et éjacule, déversant ma semence sur son torse et sur son boxer…

« Déjà petite salope ? Nettoie. » Je descends donc un peu pour ramasser mon jus avec ma langue sur son torse, son abdomen puis son boxer. Il m’attrape la tête pour me guider et fait parcourir ma bouche sur son sexe, de plus en plus vite. Le boxer blanc devient transparent grâce à ma salive, et la vue de sa grosse queue et de son gland moulés par le tissu font revenir en moi des ondes de plaisir même si mon sexe reste encore tout flasque. Mon infirmier se retourne alors, se couche sur le ventre et me dit de continuer à lécher son boxer. Je m’exécute en commençant entre ses jambes qu’il a bien écartées puis en parcourant ses fesses. J’essaie d’appuyer le plus possible pour atteindre la raie à travers le tissu, sans beaucoup de succès hélas. Il se redresse alors et enlève son boxer, en piteux état entre mouille et salive ! Il montre mon ventre, où repose encore une petite partie de mon sperme : « Viens à la salle de bain te nettoyer. »

Je le suis donc ; il me demande m’allonger dans la baignoire et c’est quand je le vois se positionner au-dessus de moi que je comprends. J’ai déjà reçu ce genre de douche mais j’avais alors été habillé ou en pyjama. Sa pisse chaude vient éclabousser mon ventre, mon sexe puis remonte sur ma figure. « Ouvre la bouche. » J’obéis et en bois une partie : c’est une première et ce n’est pas désagréable. La chaleur du liquide sur mon corps, l’humiliation de devoir boire sa pisse me fait rebander ; il s’en rend compte, me traite de chienne et écrase ma queue et mes boules avec ses pieds. Il me fait mal et pourtant je redeviens dur de nouveau ! Selon ce qui devient une habitude chez lui, c’est en me tirant par les cheveux qu’il me fait m’asseoir : je me retrouve avec son sexe sous le nez et ne me fais pas prier pour le prendre en bouche. Il avait un peu perdu de sa superbe en urinant mais retrouve vite sa dureté et son épaisseur impressionnante. J’essaie de m’appliquer de mon mieux : quelque part dans ma tête, une petite voix me dit que si j’arrive à le faire juter maintenant, il oubliera mon petit trou ! Mais il est beaucoup plus résistant que moi… Je le suce un long moment, jusqu’à ce qu’il se retire, attrape la pomme de la douche et m’asperge d’eau froide. La surprise me fait suffoquer et débander ! « Tu pues la pisse poufiasse ! » Dès qu’il a fini, il sort de la baignoire, m’attrape par les cheveux et m’amène jusqu’au lit, trempé des pieds à la tête.

Il me fait coucher sur le ventre. Comprenant ce qui va se passer, je lui dis que j’ai du lubrifiant dans la table de nuit et que je n’ai pas tant d’expérience que ça, surtout pas avec un gabarit comme le sien… Il ne répond rien ce qui me fait un peu flipper et se contente de dire : « Tu es propre ? » Je lui réponds que oui, que j’ai fait un lavage. Avec ses mains, il malaxe mes fesses en tous sens et se met à me fesser. De plus en plus fort : j’ai mal et je lui dis. Il continue pourtant, bloquant mon dos avec une jambe pour m’empêcher de trop bouger. La douleur est vraiment forte et je ne peux m’empêcher de pleurer. M’entendant, il me redresse la tête en tirant les cheveux : « Tu n’es vraiment qu’une mauviette ! »

Il me fait alors mettre à quatre pattes et se met à lécher mes fesses rouges. Les écartant, sa langue vient parcourir ma raie et se met à s’occuper de mon trou. Oh que c’est bon ! J’en oublie les brûlures et ma queue, retournée à l’état minuscule pendant la fessée, retrouve toute sa grandeur. Il me pénètre avec sa langue, lubrifie de plusieurs crachats puis fais entrer ses doigts, lentement, presque avec tendresse je dirais. Un doigt vient ouvrir mon sphincter, puis deux puis trois. Je gémis, surtout que de son autre main, il s’est mis à me branler. Quand il met un quatrième doigt, j’ai mal et il le sent mais il continue en douceur, faisant de plus en plus de va-et-vient. Il se lève pour prendre le lubrifiant dans la table de nuit (ouf !), le fait couler dans ma raie et entrer dans mon trou avec ses doigts, recommençant ses mouvements en ajoutant au fur et à mesure un doigt. Jamais on ne m’avait préparé avec autant de délicatesse ! Puis je sens sa queue parcourir ma raie pendant qu’il fait couler de nouveau du gel froid. Quand il présente son gland devant mon entrée, je ne peux m’empêcher de me crisper mais il me prend alors dans ses bras, bloquant son gros engin contre mes fesses et me murmure à l’oreille : « T’inquiète ; ça va bien se passer. » Il positionne son gland de nouveau et force petit à petit l’entrée… My God, si juste le gland, c’est difficile à entrer, qu’est-ce que ça va être le reste ! Il continue à entrer et j’essaie de pousser au maximum pour l’aider et de me détendre. Mais quand il essaie de passer le sphincter, j’ai l’impression qu’il va me déchirer. Comme je crie et essaie de le repousser, il me bloque dans ses bras. Une de ses mains descend attraper ma queue et l’autre enserre mon torse et mes bras. Il continue à entrer et je ne ressens plus aucun plaisir, juste de la douleur et l’impression d’avoir une courgette en moi… Je suis incapable de dire combien de temps ça a duré mais tout d’un coup, je l’entends me dire : « Ça y est, elle est complètement en toi. » Il a la gentillesse de me laisser reprendre mes esprits en arrêtant ses mouvements tout en me branlant et en faisant revenir dans mon sexe le sang qui l’avait déserté. En même temps, il me mord les épaules et le cou. Ce traitement n’enlève pas toute la douleur mais fait revenir le plaisir ; il reprend alors petit à petit ses mouvements, lentement d’abord puis de plus en plus vite. Douleur et plaisir se mélangent ; sa main suit le même mouvement sur ma queue. Combien de temps me pilonne-t-il ainsi ? Je ne sais mais à un certain moment je sens le plaisir monter tandis que sa main me branle et j’envoie ce qu’il me reste de jus sur le lit. Ses doigts pleins de mon sperme viennent chercher ma bouche pour que je les nettoie. Il continue un moment à taper contre ma prostate puis se retire d’un coup en gémissant et en envoyant de sacrées rasades sur mon dos et sur mes fesses (je me rends compte alors qu’il n’avait pas mis de capote !). S’allongeant à côté de moi, il a le même geste qu’hier, me montrant sa queue toujours gonflée : je comprends et je la lui nettoie avec application même si je me sens vidé et fatigué.

Quand j’ai fini, il m’attrape, me serre contre lui et me roule une pelle qui me donnerait presque envie de repartir pour un round ! Puis il se redresse, prend son téléphone et me dis qu’il m’offre une pizza. Il passe commande et alors que j’attrapais mon short pour le remettre, il me le prend des mains et me dit avec un grand sourire : « Tu ouvres au livreur à poil ! » « Je peux pas faire ça ! » « Quoi, tu l’as jamais fait ? » « Parfois en boxer ou en pyjama, mais à poil, non ! » Ce qui le fait rire mais ne le fait pas changer d’avis. J’ouvre donc au livreur, un jeune originaire des Balkans je pense, sans rien sur moi : la surprise se reflète sur son visage mais il ne dit rien et s’en va dès que j’ai la pizza dans les mains, sans même attendre un pourboire ! Nous mangeons donc, moi assis contre son torse, toujours sur le lit. Il me demande si on peut se revoir : je lui réponds en me penchant mon embrasser sa queue à demi-molle et en lui disant « avec plaisir ». Mon infirmier repart avec l’un de mes boxers, le sien étant toujours mouillé, et je le raccompagne à sa demande jusque dans la rue, vêtu simplement de mon short de pyjama ! Je remonte en étant sur un petit nuage, me rendant compte que je ne sais même pas son prénom. Il a pris mon téléphone mais n’a pas voulu me donner le sien : c’est lui donc qui décidera de la suite de notre histoire.

Quentin

remicay@yahoo.fr

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