Il m'est arrivé de publier un texte comme celui, laissant une adresse mail sur laquelle il est possible de me joindre.
Cette histoire, décrivant quelques-uns de mes fantasmes, a connu un certain succès, au regard des messages que j'ai reçu après sa publication... Certains étaient simplement remerciant et sympathiques, d'autres étaient un peu plus entreprenant, ce qui n'est pas pour me déplaire.
Parmi ceux qu'il m'arrive de relire, on retrouve Stéphane (les noms sont faux), qui m'a promis de me recevoir dans sa maison proche de Paris lors de mon futur passage dans le coin... Je pourrais disposer de ses 18 cm en toute liberté. J'ai passé quelques soirée à me branler sur les vidéos de lui en train de se toucher qu'il m'a envoyé ! J'en salive en écrivant ces lignes : je m'imagine le sucer à toute heure de la journée, au réveil à l'heure du café, ou le soir après un bon verre d'alcool fort. Je lui ai envoyé quelques photos de mon cul aussi, chose que j'adore faire quand mon destinataire me raconte les branlettes qu'il se tape dessus.
Bref, ce n'est pas d'une relation épistolaire que je veux raconter ici. Un certain Fabien s'est avéré aussi entreprenant que Stéphane : photos, vidéos et promesses de baises perverses...
Il m'a rapidement rendu dingue en me racontant tout ce qu'il avait dans la tête, tout ce dont il voulait me faire.
Je me rappelle, j'étais en train de me caresser dans ma baignoire quand il m'a envoyé une photo de sa bite, en disant qu'il était dispo l'après midi même (je ne l'ai pas dit, mais il habitait à quelques dizaines de minutes de ma ville).
J'arrête donc ma masturbation bien engagée pour me préparer et filer à ce rencard !
Je vais directement chez lui, pas de chichi on sait très bien ce qu'il va se passer. Il me reçoit, il est hyper beau et bien habillé, son sourire me met tout de suite en confiance et hôte la fine appréhension que je pouvais avoir.
Sans attendre, je retire ma veste, et pendant qu'il va l'accrocher au porte manteau je retire mon pull, mon t shirt, et tout le reste. Je suis nu comme un ver, et mes vêtements sont éparpillés autour de moi. Ça le surprend et son regard est tout de suite attiré vers mon entrejambe puis mon cul qu'il ne quitte pas du regard.
Néanmoins, nous continuons la conversation comme si de rien n'était, on parle de la pluie et du beau temps, de l'actualité. Les sujets s'enchaînent très naturellement. Jusqu'au moment où nous nous installons à table, l'un en face de l'autre. À l'instant où nos verres se touchent pour trinquer, il s'arrête. Plante son regard dans le miens et me dit :
- j'ai rêvé de ton cul depuis des jours, je vais te baiser toute l'après midi et jusqu'à demain matin.
Sans laisser rien paraître je réponds du tac au tac :
- tu peux faire ce que tu veux de moi, alors vas-y te prive pas !
Je vois bien que c'était la phrase qu'il attendait, il amorce les hostilités et m'ordonne d'une voix douce mais tellement ferme, ma queue se réveille juste en me rappelant cette tonalité :
- passe sous la table et viens me sucer alors.
Je m'exécute et viens sur les genoux, sous la table, prendre son membre en bouche, j'en rêvais, le voici. Une belle queue bien raide, quelques veines apparentes et le gland presque violet. Son excitation est vibrante, je commence par déverser un amat de salive entre son gland et son ventre pour faciliter mon travail. La suite ne sera pas dénué de bave non plus, je m'applique à lui lustrer sa queue en insistant sur son gland que je viens suçoter régulièrement.
Sa respiration s'accélère quand il prend ma tête à deux mains, disposées de part et d'autre de mes joues. Il se lève pour mieux imprimer lui même le rythme : il me baise la bouche. Doucement d'abord. J'en profite pour le regarder dans ses yeux froncés... Il est dans un état second.
Cette énergie, je veux qu'il l'a déploie à me baiser violemment, comme il me l'avait décrit dans ses mails. Je lui dis alors :
- je veux que tu me baise, baise moi !
Il vient me positionner sur la canapé, les genoux sur l'assise et les avants bras sur le haut du dossier, face à un miroir (quel pied ça). Je peux me voir cambrer outrageusement mon cul, pour l'inviter à y prendre place.
Il me surprend et vient y mettre sa tête, en me léchant le cul. Quelle sensation géniale. Je tends ma main gauche pour le plaquer encore plus sa bouche sur mon anus, ce qui le fait accélérer ses mouvements de langues. Je bande et mouille sur son canapé, tout en ondulant mon cul sur son visage.
Après quelques minutes comme ça, il se recule et me regarde en se branlant lentement. Je le regarde dans le miroir. Pour l'inviter, j'écarte mes deux globes et lui répète encore "baise moi, baise moi fort".
Sans un mot il me prend par le cul et vient frotter sa bite sur mon anus, je gémi d'excitation et d'impatience, je n'en peux plus.
Sans crier gare, il me me pénètre de tout son long et d'un coup sec. Je hurle mon plaisir, aucune douleur ne se fait ressentir tellement je ne demandais que ça.
Le rythme s'installe : le voici en train de m'attraper par les cheveux et de me mettre quelques fessées. Je deviens dingue et l'encourage encore plus.
Lors d'un moment de calme, je lui tend mon téléphone, posé non loin d'ici, et lui demande de me filmer en train de me baiser. Je me dis que ça pourrait bien exciter mes futurs gars par mail.
La vidéo est courte par contre ! L'idée a dû beaucoup l'exciter, car il a fallu quelques coups de rein pour qu'il vienne jouir sur mon dos. Cependant, on m'y voit me retourner pour venir nettoyer sa queue : il y restait un peu de son sperme que je viens recueillir d'un coup de langue.
Cette première baise, la meilleure de toutes celles qui suivront jusqu'au lendemain, on s'en est remis au bout de quelques minutes...
J'espère avoir bien raconté cette histoire !
Je suis preneur des retours, s'ils sont courtois.
Romain_c
internetgagnant@yahoo.com
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