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Premier épisodeÉpisode précédent

Trop

Chapitre-3

Après quelques hésitations, Camille et moi avions décidé de vivre ensemble. Nous avions mis un peu d’argent de côté en travaillant durant les weekends dans différents commerces, sans sacrifier notre scolarité. Nos parents respectifs avaient bien compris notre attirance réciproque qui les choquait et qui en redoutaient les conséquences sur nos études. Mais ils ne voyaient pas comment intervenir. Ils ne furent pas autrement surpris lorsque nous les informèrent de nos intentions. Mais que pouvaient-ils faire pour nous en empêcher : nous étions majeurs et quasiment indépendants financièrement.

Peu avant Noël, nous nous installâmes dans une chambre de 15m². Douche et cabinet « sur le palier ». Notre lit prenait une bonne partie de notre chambre où nous avions également un petit coin cuisine, notre bibliothèque et notre discothèque.

Des voisins plutôt discrets, filles et garçons, la plupart étudiants. Camille et moi étions heureux de vivre ensemble. Je ne me préoccupais plus de me retrouver avec Sophie en cours, comme j’en avais rêvé une année avant car j’étais avec Camille. Mais elle y était !

Comme vous pouvez l’imaginer, nos petits jeux de l’été perduraient entre nous. Mais nous n’étions pas contre le fait de nous associer avec d’autres pour nous y livrer malgré notre relation amoureuse. Nous faisions attention à ne pas faire trop de bruit quand nous baisions, ce qui était le cas quotidiennement. Mais dans ce vieil immeuble, les murs étaient peu épais… Nous prenions également notre douche ensemble la plupart du temps ce qui indiquait à nos voisins ce qu’il en était de nos attirances sexuelles. Cela ne choquait manifestement aucun de nos voisins si ce n’est un garçon de notre âge, Dominique, qui nous regardait, l’air désapprobateur.

Quinze jours après avoir emménagé, nous invitâmes nos voisins pour inaugurer notre installation. Tous acceptèrent avec plaisir sauf Dominique qui se fit prier. Mais finalement, il se joignit à nous. Tous avaient apporté victuailles et boissons. Nous étions serrés comme des sardines mais heureux de faire connaissance.

Camille avait élaboré un plan pour Dominique : il voulait le faire changer d’avis sur la relation que Camille et moi entretenions. Nous voulions l’inviter à partager une soirée, seul avec nous pour l’amadouer et qu’il ne nous considère plus comme manifestement des « déviants ». Ce qui fut fait quelques jours plus tard.

J’avais préparé quelques légers « magic cookies » pour l’occasion. Dominique se tenait droit comme un « I », un peu sur ses gardes, il me sembla. Mais mes gâteaux commençaient à faire leur l’effet et il commença à se détendre parlant de lui, de ses études de droit, de ses hobbies. Nous l’écoutions sans l’interrompre jusqu’au moment où il se rendit compte que nous nous étions rapprochés, Camille et moi et que j’avais posé ma main sur ses cuisses. Il eut alors une expression affichant sa surprise. Mais il avait perdu son regard désapprobateur des jours précédents. Il paraissait fasciné par ce qu’il voyait. Bien sûr, Camille et moi commencions à bander sérieusement et très visiblement. De son côté, rien de palpable. Nous nous demandions en silence ce que nous allions faire de lui : le laisser ainsi, tout en continuant notre discussion un peu décousue ou tenter une approche plus directe sinon subtile.

Comme vous pouvez l’imaginer, après nous être lancé un regard complice nous choisîmes la seconde hypothèse. Nous devions donc choisir cette opportunité pour le faire changer d’avis si ce n’est partager nos jeux. Mais comment y arriver sans l’effrayer ? Camille prétexta un peu de fatigue pour se déshabiller lentement et se coucher dans notre lit. Il avait bien entendu pris tout son temps pour se montrer nu, suffisamment pour que son érection ne passe inaperçue. Dominique nous dit à ce moment-là que lui aussi était fatigué et qu’il allait retourner dans sa chambre. Je le retenais en lui disant qu’un très bon polar passait dans quelques minutes et qu’il serait dommage de ne pas le regarder avec nous. Il accepta malgré tout avec réticence teintée d’envie.

J’allumai notre petite tv noir et blanc et lui suggérai de s’asseoir à côté de Camille, sur le lit, pour mieux voir l’écran. Je me déshabillai « avec naturel » et me couchai à côté de Camille. Dominique était en train de se lever avec, l’intention de partir. Nous ne laissâmes pas faire, en douceur bien entendu. Je commençai à essayer de retirer son sweet-shirt : il fit preuve d’une faible résistance. Camille s’occupa alors de son pantalon, lui disant, alors que c’était totalement hypocrite, qu’il serait plus confortable s’il se glissait sous les draps.

Nous lui laissâmes son slip. Son regard était tendu mais sa bite ne l’était pas. Le film commença et nous commençâmes à nous masturber assez ostensiblement. Camille fut le premier à poser sa main sur le slip de Dominique. Mais rien de plus ne se passait. Nous étions désemparés mais pas prêts à abandonner : il avait un beau corps, sensuel, musclé et une peau douce qui nous faisait très envie, au-delà du challenge que nous nous étions fixés. Je me mis à caresser son torse et son ventre mais ce n’eut pas non plus d’effet visible. Camille se saisit alors slip déjà humide de Dominique, le retira avec fermeté sans qu’il résistât particulièrement, le renifla avec avidité et le balança d’un geste théâtral à travers notre chambre.

Je me joignis à Camille et nous commençâmes à masturber son sexe qui était entouré de poils blonds très fins. Nous lisions sur son visage son anxiété devant sa difficulté à bander. Nous n’étions pas découragés pour autant. Je pris son membre dans la bouche et commençai à le sucer tout en palpant ses couilles. Ce qui fit bander Camille mais pas Dominique. Nous le caressâmes en lui parlant avec des mots rassurants, comme quoi cela nous était aussi arrivé la première fois. Camille mit son sexe à la hauteur de son visage pendant que je le masturbais. Mais rien de plus n’arriva. Finalement c’est moi qui avalais le sexe de Camille et lui le mien. Dominique nous regarda faire avec concupiscence, s’avançant même à nous toucher les tétons de ses mains.

Dominique allait s’habiller quand nous lui suggérâmes de rester avec nous car il se sentirait moins seul. Nous nous endormîmes sagement tous les trois dans des draps encore humides de nos fluides odorants.

Quelle ne fut pas la surprise de ma voisine, Philomène, en nous voyant tous les trois sortir de bon matin de notre chambre. Elle ne savait manifestement qu’en penser.

Pendant la journée qui suivit Camille et moi nous demandions comment nous pourrions nous y prendre pour que Dominique dépasse ses barrières mentales, étant persuadés que ce n’était pas le côté homo de notre relation qui maintenant le retenait. Nous laissâmes passer deux jours avant de l’inviter de nouveau à dîner. Il acquiesça avec un petit sourire. Après le dîner, je lui donnai un de mes cookies. Il me sembla que celui-ci lui fit plus d’effet que la première fois, ce qui n’était pas surprenant. Il semblait plus relax, ce qui augurait d’une soirée plus réussie que la précédente.

Cette fois-ci nous nous exhibâmes nus sans rien lui cacher. Il se laissa faire quand nous commençâmes à le déshabiller lentement. Chaque habit qui tombait (il n’en avait pas beaucoup !) donnait lieu à des caresses sur son corps et à la montée de nos érections. Une fois totalement nus nous le couchâmes entre nous deux.

Nous avions terriblement envie de le voir bander et de le sucer et plus. Camille et moi le pressions entre nos corps, nos queues collées contre lui, commençant à laisser des traces de jus sur lui et lui sur nous. Nous commençâmes à l’embrasser sur tout le corps puis nous nous occupâmes de sa bite et de ses couilles en les suçant longuement. Il commença à bander légèrement, sa bite émettant un peu de fluide que nous récupérâmes immédiatement dans nos bouches. C’était un bon début ! Sa virginité ne devrait pas nous résister trop longtemps encore ! Quittant sa bite, j’approchai lentement la mienne de son visage. Comme pour se protéger il saisit mon vit avec sa main puis, doucement, il commença à le branler maladroitement. Je me retenais malgré tout d’éjaculer ne voulant pas pour commencer par un arrosage de sperme et voulant partager mon plaisir. Camille suçait toujours le sexe de Dominique sans qu’il durcisse vraiment.

Soudain, je fus pris de l’envie de me laisser aller sur lui. Alors qu’il me branlait j’éjaculai soudain un large jet de sperme sur son ventre et ses couilles attendrissantes de virginité. L’effet sur sa bite fut quasi immédiat : elle se dressa à toute vitesse. Dominique et moi nous jetâmes sur elle, ce qui provoqua son dégonflage immédiat. Cette double réaction, son érection et sa disparition rapide sans qu’il ait éjaculé nous surprit vraiment. Mais tout espoir n’était donc pas perdu et cela nous encouragea à prendre soin de lui. Si envoyer notre crème sur lui le faisait bander alors nous allions nous en donner à cœur joie !

Je masturbai Camille, lui caressait les couilles et l’anus avec ardeur. Camille ne tarda pas à jouir cette fois-ci sur son visage et le haut du corps. Je lui rendis la pareille, balançant mon foutre sur son bas ventre. La bite de Dominique se tendit de nouveau à la réception de cette semence. Nous léchâmes notre sperme épandu sur lui. Il se saisit de nos bites avec avidité et éjacula un long filet de crème blanche qui nous éclaboussa tous les trois. Dominique avait gagné la partie et nous aussi !

Après quelques minutes de repos pendant lesquelles nous caressions son corps nous sentîmes son excitation revenir et son sexe se durcir de nouveau. J’avais envie d’être le premier à me faire enculer par lui, de lui faire découvrir ce nouveau plaisir. Je me saisis de sa bite et, après m’être enduit le cul de gel, j’allai me poser sur sa bite qui était marquée de plaques de sperme sec. Elle se dégonfla instantanément ! Amère déception, s’il en est. Il était probablement un peu tôt pour lui faire découvrir cette nouvelle posture.

Mais j’avais très envie d’être profondément enculé, d’être fouillé, de jouir intensément. Camille se mit sur le dos et j’enfournai sa bite avec avidité dans mon cul. Nous nous soulevions en rythme, sa bite luisante de liquide, mon cul glissant, mouillé. Dominique nous regarda et son membre se raidit de nouveau. Il devenait progressivement de plus en plus long et gros. Nous étions saisis de ce changement de taille et de longueur. Son sperme abondant gicla de nouveau sur nous et nous nous en barbouillâmes. Ce qui ne fit qu’augmenter notre désir et notre reconnaissance envers Dominique. Il nous regardait tous les deux entre train de prendre notre pied avec grand intérêt.

Puis Dominique prit l’initiative de mettre son cul et sa bite au-dessus de la bouche de Camille et commença à se frotter le visage avec le bout de ma bite dégoulinante, léchant mes couilles en m’enserrant les fesses de ses mains. Il prit finalement mon vit entre ses lèvres puis dans la bouche et commença à me pomper avec frénésie, complétement relâché. Je sentis que j’allais éjaculer violemment dans cette bouche vierge. Mes compagnons le sentirent également et nous éjaculâmes tous ensemble. Mon cul était gorgé de foutre, ma queue en flamme. Nous partageâmes nos semences avec délectation.

Il était tard et nous avions tous cours le lendemain matin. Nous nous endormîmes tous les trois, sans prendre de douche pour garder nos bonnes odeurs. Nous en primes une à sept heures du matin. A la sortie, Philomène nous croisa et de la main nous fit un signe du type « petits polissons » et rigola. Elle me plaisait bien, elle paraissait toujours de bonne humeur, rigolarde. Je la sentais aussi sensuelle. Je souhaitai qu’elle se joigne à nos jeux un de ces jours.

Camille et moi ne souhaitions pas former un couple à trois. Nous prîmes nos distances avec Dominique, sans aucune intention de l’exclure, afin de rester entre nous deux le plus souvent. Comment il s’occupa pendant ce temps, nous l’ignorâmes. Se masturbait-il en se remémorant nos soirées ? Oui, nous en étions certains. Avait-il recherché une autre aventure ? Nous ne le pensions pas car il était quand même à ses tout débuts.

Le weekend arriva et Dominique nous invita pour la soirée. Sa chambre était plus grande que la nôtre et il disposait d’une salle de bain. Il avait de véritables talents culinaires et nous nous régalâmes de ses plats. J’avais apporté mes cookies pour le dessert ainsi que du vin. Camille avait également dans sa poche un gode. Il était temps de nous mettre à jouer. Nous avions décidé de mettre toute notre énergie pour qu’il goûte à une enculade avant le dernier jour de l’année.

Camille commença par caresser nos sexes à travers nos pantalons. Nous le laissâmes faire en lui en redemandant. Après avoir retiré nos teeshirts il glissa ses mains sous nos slips et entreprit de nous malaxer couilles et bites, lentement. Nous bandions déjà et du fluide commençait à mouiller nos sexes. Camille, timidement, nous demanda d’éjaculer dans nos slips. Au bout de quelques minutes, il accéléra le rythme et il sentit le sperme s’écouler sur ses mains. Il se déshabilla alors, retira nos slips et se les frotta sur son visage qui se maquilla de notre semence. Il se pencha ensuite sur nos bites pour lécher la semence restante.

A genoux, Camille me présenta sa bite à sucer et, montrant son cul, il fit signe à Dominique de s’en occuper. Ce dernier semblait toujours réticent : il commença par lui caresser les fesses en approchant lentement son sexe turgescent de son trou. Finalement, il se leva pour aller chercher un tube de crème. Il en étala sur son index et le rapprocha lentement du trou de Dominique et caressa sa rondelle. Dominique avait une très grosse érection et j’appréciai ce spectacle. Finalement il pénétra le trou de Camille de son doigt et commença à le triturer.

Il semblait toujours hésitant quand, tout d’un coup, il dit à haute-voix : « je veux t’enculer ». Il posa sa bite sur le trou de Camille et… éjacula sur sa rondelle ! Il se mit sur le dos, sous le trou de Camille et lécha tout qu’il avait envoyé ce qui l’amena finalement à faire pénétrer sa langue dans le trou de Camille. Il banda de nouveau quasi instantanément et présenta son membre devant le cul qui était grand ouvert. Il s’y enfonça en criant. Camille grimaça un court instant car le bâton qu’il avait dans le cul était très gros et très actif ! Je quittai le sexe de Camille pour atteindre les couilles et le sexe de Dominique, faisant tout mon possible pour y passer ma langue. Camille saisit mon sexe dans sa bouche. Dominique vint rapidement et se retira et, sans attendre, commença à frotter son visage avec son sperme qui sortait en masse de nouveau du cul de Dominique.

Nous avions tous très chaud et je proposai une douche collective. Sous la douche, Camille s’agenouilla devant moi pour que je pisse sur lui. Je répandis un large jet dans sa bouche et sur son corps, éclaboussant au passage celui de Dominique, volontairement. Il se recula, stupéfait. Nous ne voulûmes pas lui laisser le temps de réagir : Camille le força à se coucher sur la pisse qui s’était accumulée sur le sol de la douche, se releva et ne lui laissa pas le temps de se déplacer, posant légèrement son pied sur lui. Il lança un long jet d’urine sur le corps et le visage de Dominique qui se débattait ou faisait semblant. Et, soudainement, le vit dressé, il en redemanda après avoir essayé de boire toute la pisse qui était à sa portée. Nous mêlâmes nos corps trempés de tous nos excès. Camille et moi n’avions toujours pas enculé Dominique mais nous étions à bout et nous rentrâmes nous coucher dans notre chambre.

Nous nous quittâmes tous les trois pour les vacances de Noël que nous passions dans nos familles. J’appelais quotidiennement Camille et nous nous masturbions tout discutant. J’appelai souvent Dominique. Peu avant de partir, nous avions prévu d’organiser une fête tous les trois avec notre voisine, Philomène et une de ses amies, pour le trente et un.

Le jour dit, nous étions tous rentrés, sages comme des images depuis une semaine, hors masturbation, bien sûr. La fête avait lieu dans la chambre de Dominique qui était la plus grande des nôtres. Il était vingt heures quand nous fûmes réunis, assis par terre, autour d’une floppée de plats appétissants et de quelques bouteilles de bon vin. L’amie de Philomène, Marianne, était une jolie noire à l’allure sportive. Elles étaient toutes deux étudiantes en biologie.

Nous souhaitions passer une soirée amicale, sans débordement. Philomène commença à poser des questions sur notre relation « trinitaire ». Camille expliqua que nous vivions depuis quelques mois ensemble et que Dominique venait de temps en temps se faire plaisir avec nous deux, ce qui les fit rire… Les deux filles étaient hétéros mais sans relation pour le moment. Curieuses, elles nous amenèrent sur le terrain de notre sexualité et nous demandèrent si nous avions déjà eu des relations avec des filles et ce que les garçons aimaient en particulier quand ils étaient entre eux. Camille et moi racontâmes, en les édulcorants, quelques-unes de nos aventures. Dominique resta silencieux et se mit à rougir. Pour le reste, nous n’insistâmes pas.

Nous avions tous bien bu et avions chaud. Camille s’allongea et posa sa tête sur mon ventre. S’adressant à lui, Marianne demanda si j’avais un ventre confortable. « Tu n’as qu’à l’essayer ! » répondit Camille en souriant. Ce qu’elle fit et ce qui commença à lui produire de l’effet. Je commençai à lui caresser les cheveux puis le visage. Elle sembla apprécier et posa négligemment sa main sur mon ventre. Ce qui ne fit que me faire bander un peu plus. Se prenant au jeu, Philomène se rapprocha d’eux et posa sa tête sur le ventre de Marianne. Camille et moi fîmes de même.

Camille sentant qu’il y avait du désir qui planait enleva son teeshirt, rapidement, suivi de nous autres. Les poitrines des deux filles étaient voluptueuses et nous commençâmes à les caresser sensuellement puis à sucer leurs tétons. Le reste suivi, les slips s’envolant dans la chambre. Nous prenions notre temps, goutant au contact des uns et des autres. Puis Marianne commença à me caresser la bite et les couilles. De mon côté, je commençai à lui titiller son clitoris. Philomène s’empara alors de ceux de Dominique et de Camille et se mit à les envelopper alternativement entre ses seins. La situation prenait un tour que nous n’avions pas anticipé sinon rêvé.

Dominique, pour qui c’était une première, était au bord de l’éjaculation. Ce qu’il fit quelques secondes plus tard, balançant sa semence sur les seins de Philomène. Elle le répartit sur son ventre qui n’échappa pas à la langue de Dominique. Je me mis à lécher la large chatte de Marianne dont le clitoris se dressait maintenant pendant que Camille se saisissait de ma bite et de mes couilles avant de les gober. Je me mis à genoux et posai ma bite sur la vulve toute baveuse de Marianne. Je l’enfonçai tout d’un coup et senti avec un intense plaisir son con trempé de désir, de mouille. Du coup Camille m’enfila son sexe dans ma bouche puis dans celle de Marianne. Nous jouîmes tous ensemble en essayant de retenir nos cris de plaisir.

Philomène et Dominique se collèrent à nous. Ce dernier s’était positionné derrière mon dos et commença à m’enculer. Les deux filles nous regardèrent puis se regardèrent et commencèrent un soixante-neuf pendant que Camille s’essayait à enculer Marianne. Mais son cul restait fermé jusqu’au moment où il commença de le mouiller et le pénétrer de sa langue. Tout en râlant de plaisir, elle demanda à Camille d’y aller doucement. Quant à moi, je me masturbai tout en étant enculé profondément par Dominique. Il me sembla que nous allions baiser sans fin ce 31 décembre. Nous explosâmes tous ensemble, nos fluides se mélangeants sur nos peaux.

Mais il était temps que Dominique se fasse enculer, ce qu’il avait évité jusqu’à présent. Camille, qui était le premier à bander de nouveau, pris Dominique par les hanches et le força à se mettre à genoux. Prenant du gel, il en enduisit sa rondelle et glissa son doigt dans son trou encore contracté. Il en approcha son pénis et commença à l’enfoncer lentement. Dominique geignait un peu puis son cul s’ouvrit de plus en plus largement. Camille s’y engouffra, pompa avec ardeur et envoya son foutre en même temps que Dominique éjaculait sur les seins de Marianne qui s’était glissée sous son ventre. Dominique avait passé la deuxième étape et je l’embrassai tendrement, heureux pour lui.

Les deux filles avaient deviné à ses réactions que Dominique n’avait jamais couché avec une fille. Elles commencèrent à s’occuper de lui peu avant minuit. Marianne poussa Dominique à s’allonger sur le dos et s’assit sur ses cuisses en commençant à le branler. Philomène positionna son con qui laissait couler son fluide mêlé de sperme au-dessus de la bouche de Dominique qui l’avalait manifestement avec délectation. Puis Marianne, le con déjà trempé, s’assit sur la bite de Dominique et commença son mouvement de va et vient. Dominique éclata rapidement, criant son plaisir. Quant à Marianne, elle l’éclaboussa en même temps d’un long jet de cyprine qui le rendit fou ! Foutre et cyprine se mêlaient sur son corps lascif.

Notre dernier acte se déroula dans la salle de bain : les trois garçons s’agenouillèrent et supplièrent les filles, qui n’en revenaient pas, gênées, de les arroser de leur pisse. Devant notre insistance, elles se mirent au-dessus de nous. Elles commencèrent à nous arroser d’un tout petit jet qui devient rapidement une rivière, sur nos corps et dans nos bouches avides de jouissance.

Voyant le plaisir que nous y prenions elles hésitèrent puis s’agenouillèrent à leur tour sous nos corps dégoulinants et attendirent que nous les arrosions, tout en se branlant. « A une condition » dit Camille : « rapprochez vos seins afin de recueillir entre eux notre pisse ». Nous les arrosâmes alors qu’elles s’embrassaient puis nous bûmes le nectar qu’elles avaient récolté entre leurs seins.

Minuit sonna alors que nous étions tous nus et tendrement enlacés sur le tapis de la chambre de Dominique, repus de sensualité.

Tasfam

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