Voilà près de 3 semaines que nous ne nous étions revus, mais, en mémoire, j’ai toujours fort dans ma tête le samedi où Marc, 19 ans, 189, 79 kg, cheveux blonds ondulés mi-long, yeux bleu glace, fan de natation et moi, 18 ans, 183 67 kg brun corbeau, yeux bleus foncés, non sportif, avions craqué l’un pour l’autre pendant 1 heure …
Pendant les fêtes de Noël et du Premier de l’an, dans cette Alsace enneigée, nous avions convenu qu’au prochain rendez-vous de soutien scolaire mathématique, Marc étant une brêle en math.., c’est lui qui viendrait me voir, cette fois-ci.
J’habitais chez mes parents, dans un beau grand appartement à Strasbourg. Mes parents étant partis faire « les courses » du week-end, j’allais accueillir seul mon beau Marc si timide.
Ding dong : « Bonjour c’est Marc ! » chuchote-t-il dans l’interphone.
- « je t’ouvre ! 5étage ! »
Il arrive : doudoune verte, jean bleu serré, baskets bleues.
- « Bonjour Beau Marc ! Viens, mes parents sont sortis, on va directement dans ma chambre !
Lui, rouge pivoine : - « heu oui… tu m’as tellement manqué… »
- « C’est gentil, toi aussi, installe-toi, retire cette doudoune et mets-toi à l’aise !
- « merci » et il retire sa doudoune, ses baskets. Je vois qu’il a des chaussettes à petits cœurs rouges et un teeshirt blanc et rouge qui laisse transparaître sa musculature de nageur, musclé, des bras encore plus musclés que la dernière fois…
- « elles sont marrantes tes chaussettes » - « oui je pensais à toi en les mettant »
- « hihi, mais t’as fait quelque chose ? Je te trouve plus baraqué qu’avant. »
Marc, tout sourire : - « Oui de la musculation pendant ces trois semaines, la piscine étant fermée ! »
- « whoaa, quel homme ! Bon, on attaque ses révisions ! »
Après une heure assez laborieuse, Marc n’étant pas concentré, je propose une pause ! Je me lève, je m’assoie sur mon lit et je lui dis : « viens à côté de moi ! »
Marc se lève, s’assoit, me regarde avec ce bleu si clair dans les yeux : « J’ai pensé à toi tout le temps ! »
- « et bien moi aussi, c’était trop bien la dernière fois. »
- « Tu sais, j’ai rien fait depuis trois semaines. »
- « ben si, de la musculation ! »
Lui, rouge « non je parlais côté sexe ! Rien du tout. »
- « whouaa, et bien moi, je ne dirais pas ça ! »
Il se rapproche, m’embrasse et me dit tout bas : « j’ai envie de toi… lève-toi ! »
Je ne dis rien, je me lève. Marc se précipite sur mon jean, le déboutonne, le baisse un peu, baisse aussi mon boxer rayé bleu et gris. Mes 18 cm en jaillissent : oui il m’excite beaucoup. Je suis debout, raide devant son visage d’ange, il attrape ma tige, l’enfonce dans sa bouche, ses cheveux fins me chatouillent le ventre, il fait des va-et-vient.
– « Marc que fais-tu ? »
Il s’arrête : « je veux ton sperme ! »
Il redouble d’efficacité, me pompe, me suce, sa langue est partout légèrement râpeuse, je n’en peux plus.
– « Marc, je vais jouir ! »
- « hum, hum » Il accélère, quel coquin !
Hahaha, ça y est ! Je sens le cheminement de ma semence dans ma tige. Aargh ! j’éjacule dans sa bouche, il s’étouffe ? Non ! Il avale, me suce encore et encore.
- « wouhaaa »
- « hum ! T’es trop bon ! »
Je m’assoie, il m’embrasse, ses bras, ses mains me poussent sur le lit, il me déshabille. Me voilà torse nu : pas très musclé et un peu poilu, ses baisers partout me redonnent vigueur.
- « J’ai envie de toi, envie de toi … »
- « je suis à toi »
Il retire mon jean, mon boxer, son teeshirt, son jean et son boxer noir : il est très musclé, son torse frappe le mien, je retombe sur le dos, Marc plaqué à moi. Je sens ses jambes, son ventre et son énorme queue plaqués contre mon corps. Je me sens fragile face à cette force brute et douce !
- « J’ai envie de te prendre, mais pas comme la dernière fois. J’aimerais te prendre à 4 pattes. »
- « hmm, comme dans les films x ? »
Lui, rouge vif : « oui, tu serais à moi »
- « oui, un peu salope ! Hmmm »
- « oui ! »
Je me mets à 4 pattes, jambes en arrière, un peu écartées et Marc se positionne tout de suite derrière moi. Je sens sa tige, humide, dégoulinante frapper à l’entrée de mes fesses.
- « vas-y »
- « je pousse »
Je sens sa tige dure, veineuse, épaisse, entrer en moi, il m’écarte, son sexe est en moi, il ne bouge plus. Soudain, ses mains m’agrippent mes hanches, il pousse encore un peu.
tout bas – « hum c’est bon ! Je vais te limer doucement. »
Et il commence un va-et-vient des plus vigoureux, sa bite me pilonne, je sens qu’elle remonte, qu’il la pousse.
- « Tu veux tout mettre ? »
- « oui, tout te mettre, t’es à moi ! Tu la sens ? »
- « oui je la sens bien ! Dure, dure et super épaisse. »
- « hum, t’es trop bon ! »
- « moi, je me sens salaud, prends moi fort, donne-moi ta tige ! »
- « hum ! oui t’es salope et je suis ton mâle ! »
- « hum ! Oui, un super mâle ! »
Ses va et viens sont rapides, frénétiques, il grossit, se penche sur mon dos pour encore mieux me prendre, je suis son objet sexuel et j’adore ça :
- « vas-y »
- « Oui, hum… tu es à moi ! »
- « hum, tu es un fécondeur ! »
- « oui, je vais te féconder, bébé ! »
- « j’ai envie de ton sperme. »
- « oui, tu vas en avoir plein ! Trois semaines que j’ai tout gardé pour tout te donner »
- « hum oui ! Vas-y, prends-moi encore plus profond. »
- « je vais te remplir … ha hum ha »
Sa tige se raidit, les muscles de ses jambes sont durs comme du béton, ses mains me pincent forts. Argggg argh ! Je sens son sperme cheminer dans sa queue et jaillir en moi en une énorme éjaculation. Je ressens son sperme chaud m’envahir.
- « Argh ! » transpirant, donnant encore des coups avec sa tige pour mieux se vider.
- « wouhaaa ! Quel étalon, quel fécondeur ! »
Marc ne bouge pas, sa grosse queue reste ferme en moi puis il se retire doucement, m’embrasse.
- « t’es trop bon, trop excitant, trop salope, je t’adore. »
- « t’es super excitant, j’adore quand t’es très mâle, un peu bourrin. »
- « moi aussi ! »
- « Je t’adore aussi . »
On reste enlacés un petit moment, étourdis et drogués de ce moment de sexe intense. Nu, son corps d’athlète lisse m’impressionne, sa queue bat légèrement au rythme de son cœur. J’ai envie de recommencer mais, hélas, nous entendons en bas, la porte s’ouvrir, mes parents rentrent des courses
- « hello les enfants ! On est rentrés. »
Nous nous habillons, je garde au fond de moi le sperme de mon étalon, ça me plaît, comme un pacte d’appartenance !
Mes parents : « bonjour, Marc, tu restes pour le déjeuner »
Nous mangeons tous ensemble, Marc et moi perturbés et contents puis mes parents proposent à Marc de rester et de dormir ce soir ! Marc doit appeler ses parents pour les prévenir, mais là, c’est une autre histoire ! ( toujours véridique !)
Histoire corrigée par Amical72
Snoo
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