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HISTOIRE

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Retrouvailles du lycée

Cette histoire m’est arrivée alors que je venais de valider ma troisième année de licence à la fac. J’ai alors 21 ans. Blond, les yeux bruns, je porte des lunettes rondes et je suis imberbe.

En rentrant chez moi, je reçois une invitation pour me joindre à un groupe de discussion nouvellement créé sur un réseau social. J’accepte. Il s’agit d’un message d’Alexia, une fille à qui je n’ai pas parlé depuis la terminale. Elle souhaite faire une fête avec toutes les personnes qui étaient dans sa classe pendant la dernière année de lycée.

J’ai justement envie de me changer les idées après une rupture avec un homme dont les performances au lit me manquent. Et puis c’est l’occasion de renouer contact avec des camarades de classe que, pour la plupart, je n’ai pas revu depuis trois ans. Je confirme ma venue.

Lorsque j’étais en terminale, j’étais attiré par Renan, un garçon aux cheveux bruns, au teint bronzé, avec des yeux noirs, une bouge rouge vif et un sourire qui dévoilait des dents très blanches. Je fantasmais beaucoup sur lui. Je m’imaginais avec lui dans un lit, en train de faire tout un tas d’acrobaties avec du sperme coulant à flot. Mais à l’époque, personne ne savait que j’étais gay. En plus, il était en couple avec Aude, une grande fille très belle.

Malgré tout, je ne pouvais m’empêcher d’avoir un fort désir pour lui. Sans le vouloir, mes yeux se posaient toujours sur sa braguette ou sur ses fesses moulées dans son jean à plusieurs moments de la journée. L’embrasser et lui ôter ses vêtements était le rêve ultime. Sa voix chaude et grave berçait plusieurs de mes nuits. Son sourire craquant me faisait rougir. Et puis, comme il jouait au foot, j’admirais sa silhouette : des épaules assez larges, une taille mince, des muscles noueux et discrets.

Je suis donc très curieux de le revoir. Non pas parce que j’ai comme objectif de coucher avec lui, mais simplement pour voir si mon fantasme est encore d’actualité ou non : me fera-t-il le même effet que trois ans plus tôt ?

Bien sûr, je suis aussi impatient de retrouver les autres – surtout des meufs, en fait. Je n’étais pas très proche des mecs de ma classe, qui tenaient souvent des propos homophobes et ne partageaient pas mes centres d’intérêt. Il y avait Paul, le taiseux, Pierre, en couple avec toutes les filles du lycée ou encore Bastien, le redoublant qui se touchait en cours. Et quelques autres. Non, vraiment, plus j’y pense, et plus je me dis que le seul garçon de cette période que j’ai envie de revoir, c’est Renan, bien qu’il ne m’adressât presque jamais la parole au lycée.

*

Le soir de la fête.

Je me suis habillé de façon un peu classe, mais sans sortir non plus le costume – je préfère rester simple et être dans une tenue confortable. De toute façon, ça fait longtemps que je n’ai plus rien à prouver à personne. Le regard des autres, je suis passé outre.

Vanessa et Justine m’accompagnent. Ce sont les seules personnes avec qui je suis vraiment resté ami depuis la terminale.

Dès notre arrivée, je recherche Renan des yeux.

En vain.

Il n’est sans doute pas encore là.

En revanche, Pierre est déjà en train de danser sur la piste, un verre à la main. A vrai dire, je ne le reconnais pas tout de suite. Même s’il sortait avec une nouvelle fille chaque semaine au bahut, il n’avait pas un physique très attirant. Je n’ai jamais compris comment il pouvait avoir autant de conquêtes. Il se plaignait tout le temps, prenait un air triste, comme si la vie était trop dure avec lui, et ne semblait jamais heureux. Il tirait constamment la tronche. Cette posture semblait faire craquer pas mal de meufs. Mais trois ans plus tard, ce n’est plus le même homme : grand sourire, il s’est laissé pousser une belle barbe qui met en valeur sa mâchoire carrée. Ses sourcils épais réhaussent le bleu de ses yeux qui me transpercent lorsqu’il tourne le tête vers nous. On le salue de loin et il fait de même.

Je demande à mes accompagnantes :

« Il a pris du muscle Pierre, non ? C’est fou. »

Justine répond en rigolant :

« Bah oui, normal, il est à l’armée maintenant ! »

Ceci explique cela. En tout cas, dommage qu’il soit hétéro : j’aurais bien aimé me le faire.

La soirée avance, les conversations aussi, je rencontre des personnes dont j’avais oublié l’existence et je suis très étonné de voir les évolutions dans les parcours de chacun. Physiquement aussi, les personnes ont changé. Pour être honnête, tout le monde me paraît plus beau et plus sympa.

Renan n’est toujours pas arrivé – en retard, d’après ce que j’ai compris après avoir mené l’enquête auprès d’Alexia. Tant pis : je me plonge à fond dans la fête, danse, bois, ris, discute. A un moment je m’aperçois que Renan est enfin là mais c’est trop tard, je m’amuse trop pour m’occuper de lui. Je constate juste qu’il a toujours l’air aussi beau.

Quelques heures – minutes ? – passent et je dois soulager une envie pressante.

Une fois que j’ai pissé, je croise Renan dans les toilettes, en train de se laver les mains. Malgré la lumière crue des néons, ses traits sont aussi bien dessinés que voilà trois ans. Il a aussi un peu grandi, sans pour autant me rattraper – je fais 1m95 pour 68 kilos. Il a toujours une belle carrure, avec des pectoraux que je devine sous son T-Shirt. Cette vision a pour effet que ça palpite sous mon calbute.

Alors que je m’apprête à sortir, il m’aborde. Au lycée, j’avais plutôt l’habitude d’être invisible, on m’ignorait, à part quelques amies proches. Et Renan ne me parlait jamais. Je bloque un peu, surpris, mais lui répond enfin, et une discussion s’engage.

Je projette sûrement mais je trouve qu’il me regarde de façon un peu curieuse. Je m’imagine des choses, c’est tout. Mais bon, je ne sais pas, je ressens un truc bizarre… Ce n’est pas que son regard : il me sourit aussi beaucoup, a l’air intéressé par ce que je dis, et puis il semble aussi…ouvert…je ne sais pas trop comment décrire ça autrement.

Un flirt ?

Non, c’est moi qui vois ce que j’ai envie de voir. D’ailleurs, ma conversation avec lui s’achève. Je n’ai pas pu m’empêcher de reluquer son entrejambe plusieurs fois pendant qu’il parlait. J’espère qu’il n’a rien remarqué. C’est de la torture pour mon paquet d’être dans la même pièce que lui.

Avant que je parte rejoindre Justine et Vanessa sur la piste de danse, il me dit :

« C’est une grosse soirée, on est beaucoup, mais si ça te dit j’organise un truc chez moi dimanche après-midi. On sera en plus petit comité, il y aura quelques mecs comme Pierre et Paul. Ça te dit de venir ? »

Je n’hésite pas. Certes, je ne suis pas très proche d’eux, mais passer quelques heures entouré de beaux mecs, dont mon fantasme de lycée, ça ne se refuse pas.

« Ok, je réponds. On s’échange nos numéros ? Tu pourras m’envoyer ton adresse comme ça.

- Oui, pas de problème, bonne idée !

- Et au fait, je ne t’ai pas demandé, tu sors toujours avec Aude ?

- Noooon, ça fait longtemps qu’on n’est plus ensemble. »

Il termine sa phrase par un clin d’œil.

Je n’en reviens pas.

Je sors des toilettes avec le numéro d’un mec que je pensais inatteignable et un début d’érection.

Je n’ai plus l’occasion de parler à Renan pendant le reste de la soirée, mais je ne peux m’empêcher de penser souvent à lui. Finalement, il est resté le fantasme qu’il était déjà au lycée. Je suis complètement sous le charme.

Vers 4h, je quitte la fête, très satisfait et un peu soul.

*

Trois jours plus tard, c’est dimanche.

La veille, je me suis masturbé en pendant à Renan. Je m’imaginais lui caresser le sexe à travers son jean puis déboutonner sa braguette pour le prendre en bouche. Un régal. Il y en avait partout.

Je me douche et me fait beau. Pas question de me présenter à Renan et aux autres sans me sentir bien dans mon corps. On ne sait jamais, il y aura peut-être un beau gosse gay quelque part.

Arrivé à l’adresse qu’il m’a envoyé par sms, je suis étonné de voir qu’il s’agit d’une grande maison. De ce que je sais, il fait une formation de gendarme : pas de quoi s’acheter une telle baraque. Mes soupçons se confirment lorsqu’une femme d’âge mûr vient m’ouvrir le portail. Elle se présente comme étant Nathalie, la mère de Renan. Première désillusion : moi qui pensais me retrouver chez le fils, me voilà chez les parents. C’est tout de suite moins intime. Elle me dit que Renan est dans sa chambre. Je m’y rends donc, moyennement à l’aise. Après tout, je ne le connais pas beaucoup. Je m’attendais à ce qu’on se retrouve entre mecs dans son studio à boire des bières. Apparemment, j’avais tout faux.

Je frappe à la porte de sa chambre et j’entends sa voix, grave et chaude, me dire d’entrer. Je m’exécute. Et là, deuxième désillusion : malgré mon retard d’un bon quart d’heure, Renan est tout seul !

C’est quoi cette merde ?!

Je ne vais pas pouvoir cacher mon malaise ni mon érection très longtemps si je me retrouve face à face avec lui dans cette pièce pendant plusieurs heures !

Je suppose qu’il ressent ma gêne puisqu’il m’explique :

« Désolé, finalement les autres ne viennent pas, ils ont tous annulé. Peut-être que Pierre passera plus tard, mais rien de sûr. J’avais quand même envie de te voir, je me suis dit que ce serait dommage de te dire de ne pas venir. J’ai bien aimé te revoir à la fête ! ».

Je rougis et m’assoit sur un pouf, tandis que lui est en tailleur sur le lit. Je suis flatté. Surtout, je me dis que j’ai peut-être une chance. Parce que tout ça sonne comme une excuse pour avoir un tête à tête avec moi. Pierre, je suis certain qu’il ne viendra pas. Sans doute que Renan ne l’a même pas invité. Il me voulait pour lui tout seul.

D’ailleurs, ses regards se font insistants et je ressens une tension dans l’air. On se met à parler, et il me raconte qu’il est en vacances chez son père et sa mère. Je peux mieux l’admirer que pendant la fête. Il a un visage assez rond, légèrement bronzé, d’où ressortent des lèvres bien rouges. Ses yeux sont deux billes noires, en accord avec le brun de ses cheveux. Une barbe de trois jours lui procure un air viril. Vraiment un beau mec, il me fait mouiller, je meurs d’envie de me l’enfiler.

Petit à petit, des sujets plus intimes sont abordés. Il m’apprend qu’il est célibataire, la dernière meuf avec qui il sortait l’a quitté. Quand je lui explique que moi aussi je suis célib et que c’est moi qui aie pris la décision de rompre avec mon mec de l’époque, il est particulièrement intéressé :

« Ça se passait bien entre vous ?

- Oui, c’est juste que je n’étais plus amoureux. Mais j’aurais bien aimé le garder comme plan cul. »

La dernière phrase est sortie malgré moi. Je commence à me sentir à l’aise, c’est sans doute pour ça. Et puis ça me permet de tester ses réactions. Loin d’être embarrassé, il me répond :

« Ah bon ? Pourquoi ? ».

Je ressens un frisson d’excitation. J’essaie de me concentrer pour ne pas durcir car je sais qu’il me chauffe. Son corps parle pour lui, même si je n’ose pas regarder s’il bande. Son regard scrute toute mon anatomie. Le souffle accéléré, je parviens à dire :

« Il était très bon au lit. Je prenais mon pied.

- Moi, je ne l’ai jamais fait avec un mec.

- T’aimerais essayer un jour ?

- Oui, pourquoi pas. J’aime bien que des meufs me sucent et j’adore les pénétrer. Mais une bite dans ma bouche ou une bite dans mon cul, ça pourrait être sympa aussi. »

Wah, le mec y va cash. Je lâche un « Ah oui ? », faute de mieux.

« Oui, il me réplique. Sucer un mec, goûter sa mouille, ça doit être quelque chose…

- T’es entouré de mecs ! Ils savent que t’as envie de te taper leurs queues ?

- Mais non, c’est des potes, je veux pas coucher avec eux ! Ce serait trop chelou, je les connais depuis que je suis gosse. Et puis de toute façon, Pierre, Paul, et les autres, ils sont tous hétéros.

- C’est surtout ça le problème alors, je dis sur un ton mi-moqueur mi-aguicheur.

- Hahaha, ouais, peut-être. Bon, je vais te faire une confidence : tu sais, quand je t’ai revu à la fête, je t’ai trouvé vraiment beau gosse. A tel point que le lendemain…non, rien.

- Si, vas-y. T’inquiète pas, je suis pas gêné, au contraire…

- D’accord. Mais ça reste entre nous, hein ?

- Promis.

- A tel point que le lendemain, je me suis branlé en pensant à toi. »

Cette fois, je ne peux contenir mon érection. Je me sens super dur. Je n’ose pas regarder. Mais je sens mon chibre tirer sur mon caleçon, très à l’étroit. Je ne sais plus quoi dire, j’ai juste envie de le sortir pour qu’il me suce. Heureusement, il brise le silence :

« D’ailleurs, là, rien que d’être avec toi, ça me laisse pas indifférent. »

Je baisse enfin les yeux et distingue sa bite moulée à travers son jean. Elle a l’air, elle aussi, de vouloir s’échapper des vêtements qui l’emprisonnent.

« Dommage que mes parents soient à la maison, on ne peut pas faire de bruit…

- Si je te baise, tu ne penseras plus au bruit que tu feras, je peux te le promettre. »

Ma timidité s’est envolée. Je suis convaincu que Renan va me mettre un vent, qu’il veut juste tester ses limites. Mais, contre toute attente, il met un fond de musique et me fait signe de le rejoindre sur le lit.

Je n’hésite pas une seconde.

Une fois que j’y suis posé, il se rapproche pour m’embrasser. Trois ans après la term, j’ai enfin mes lèvres contre celles de mon fantasme, le mec qui me faisait bander chaque jour et que je suppliais en rêve de venir me pomper la nuit dans mon lit. Je suis tellement excité et j’ai tellement envie de lui que j’ai l’impression que mes couilles vont exploser.

Il ouvre sa bouche pour que je puisse y fourrer ma langue. Il halète. Je lui caresse la bite toute dure à travers son pantalon. Ni trop grosse, ni trop petite, comme j’aime. J’enlève mon haut et pose son visage contre un de mes tétons, qu’il s’empresse de mordiller.

Comme je sens qu’il a envie de me faire plaisir, je commence à déboutonner ma braguette et j’en sors un sexe de dix-sept centimètres. A sa vue, les yeux de Renan s’illuminent encore un peu plus. Je ne pensais que ce mec était une telle salope. Il se met à quatre patte sur le lit et commence à la lécher de bas en haut puis s’amuse avec mon gland.

Alors qu’il est prêt à engloutir mon chibre, je le lui retire, lui relève la tête et lui demande s’il le veut vraiment.

« Oui, oh oui oui s’il-te-plaît oui, laisse-moi l’avoir », il me répond, ses lèvres rouge vif barbouillées de ma mouille.

Putain mais quel chien ! Je lui donne donc son os.

Tandis que ma bite est enfoncée dans sa bouche, je tends le bras pour lui caresser le cul. J’ai envie de le pilonner et que toute sa famille le sache en l’entendant crier de plaisir. Pour l’instant, il est occupé à avaler ma mouille qui inonde sa gorge. Pour une première fois, et malgré quelques maladresses, il se débrouille vraiment pas mal. Je finis par écarter sa tête et je me lève du lit.

Je me déshabille pour être plus à l’aise. Il fait pareil. Je durcis encore un peu plus à la vue de son corps, ce que je ne croyais pas possible. Il est mince, quoique moins que moi, mais possède des muscles dessinés que je n’ai pas : pectoraux, abdominaux, un vrai bonheur, avec un léger duvet qui les parcourt. Je le caresse, tâte toute sa chair.

Puis je m’agenouille et commence à embrasser son pubis, recouvert de poils noirs et drus, mais entretenus.

Enfin, je m’attaque à sa bite, quinze ou seize centimètres, large, non circoncise, dressée toute droite et au gland déjà humide. Lorsque je passe ma langue dessus, Renan pousse un long gémissement et se cambre légèrement sous l’effet du plaisir. Je la prends dans ma bouche et le pompe, d’abord doucement puis avec vigueur. Je dois m’arrêter pour qu’il ne jouisse pas trop vite. J’adore le goût de sa mouille. Prenant confiance, il pose ses mains sur ma tête pour me guider et me faire avaler le plus profond possible son chibre gorgé de sang.

Comme je veux qu’il comprenne que je suis le maître, je m’écarte, me relève et lui indique que c’est à son tour de se mettre à genoux. Je fais des va-et-vient entre ses délicieuses lèvres. Parfois, je retire mon sexe et lui caresse le visage avec, enduisant sa barbe de precum. Il sort alors sa langue et halète fort, gémit, supplie. Il la veut. Dès que je l’autorise à sucer de nouveau, il me pompe goulûment.

La queue dressée, je l’amène de nouveau sur le lit et lui dit de se mettre à quatre patte car j’ai envie de son cul.

« D’accord, il me répond, mais faut pas que mes parents captent ce qu’on fait ».

Au contraire, j’ai bien l’intention qu’ils sachent que leur fils se fait déglinguer par ma bite.

Je commence par lui dire d’écarter un peu plus les jambes puis je caresse son trou offert avec un doigt trempé de salive et j’entends des « Oh putain oui mmmmh » de sa part. Dire que je vais baiser cette salope, j’en peux plus, je veux l’enculer comme il faut, mon engin me fait mal tellement il est raide.

Je presse mon visage contre son cul et l’écarte avec mes mains tout en sortant ma langue, qui commence à parcourir son trou. C’est chaud, ça se dilate, et je sens que je mouille. Je lape sa rondelle et j’entends qu’il geint. Il veut se branler mais je lui interdis, je ne veux pas qu’il jouisse sans le vouloir.

Puis j’insère un doigt enduit de lubrifiant.

Tout le corps de Renan se creuse, ce chien prend une décharge de plaisir.

Il me supplie de continuer, d’une voix grave qui me donne une trique pas possible. Alors je lui enfonce un deuxième doigt, bien au chaud dans son cul moite, et je le sens serré autour, comme s’il voulait que j’aille encore plus profond. Après quelques allers retours, je tartine son anus de lubrifiant et en verse sur la capote que j’ai enfilée, puis je caresse ses fesses avec ma bite.

Le mec n’en peut plus. Il veut que je rentre en lui.

Je lui donne mes doigts à sucer pour l’occuper et je commence à m’enfoncer pour le prendre en levrette. Son trou est bien serré, ce qui n’est pas étonnant pour une première fois. Je suis déjà étonné qu’il soit si à l’aise. Je sens ma bite pressée par les muscles de son cul, c’est si bon que je dois me concentrer pour ne pas éjaculer.

Je commence à entrer et sortir, entrer et sortir, et lui me tend toujours plus son cul ferme, galbé et naturellement peu poilu, un vrai cul de salope – décidément, ce mec est plein de surprises. Il en redemande, me supplie de l’enculer bien fort. Je m’exécute et commence à faire des oscillations bien sèches dans son trou ; ma queue, bien large, le lime comme il faut, à tel point que je le vois mordre les draps pour ne pas crier de plaisir. Ce chien n’a même pas mal, il prend juste son pied.

Et alors que j’accélère les va-et-vient, mon bassin claquant son cul en rythme, voilà soudain que la porte de la chambre s’ouvre.

De surprise, je sursaute brusquement, tandis que Renan a la même réaction, tant et si bien que ma bite toute raide ne quitte pas complètement son trou.

Devant nous se tient Pierre.

Renan n’avait pas menti, finalement : il l’avait bel et bien invité.

Et Pierre est venu.

Comme pour moi, Nathalie a dû lui ouvrir le portail et lui indiquer où nous étions.

La musique nous a empêché de l’entendre approcher.

Ce couillon n’a même pas frappé.

« Merde, woh, désolé, je m’en vais, je vous laisse, » dit Pierre précipitamment.

Mais, pendant quelques instants, il ne peut détacher son regard du spectacle que nous offrons. Il n’a pas l’air d’être dégoûté. Alors qu’il s’apprête à refermer la porte, je lance, au culot :

« Attends ! Rejoins-nous si tu veux ! »

Renan tourne sa tête vers moi, me regarde avec des gros yeux puis acquiesce finalement avec un hochement de tête. Je n’en reviens pas d’avoir dit ça. Mais bon, puisqu’il a déjà tout vu… Autant tenter le truc, non ?

Et le pire, c’est que ça marche.

Pierre s’arrête.

Et finit par refermer la porte…après être entré dans la pièce.

Ce mec est une bombe. Son visage est moins joli que celui de Renan, mais il dégage une aura virile à faire bander les eunuques. Ses sourcils fournis réhaussent le bleu ciel foudroyant de ses yeux. Sa bouche est fine. Il porte, comme Renan, une courte barbe, qui met en relief le carré de sa mâchoire. Un peu plus grand que Renan (mais un peu moins que moi), il est plus solidement bâti que nous deux réunis. Une vraie carrure de sportif. Normal, pour un militaire.

Comme Renan, il est brun, cheveux très courts. Ses mains sont larges, puissantes, de même que ses biceps avec les veinules apparentes.

Il est venu en jogging, ce qui fait que la massue qui lui sert de bite est très vite apparente, surtout qu’elle se lève devant nos yeux gourmands. Je ne suis pas fan des gros sexes, mais il faut reconnaître que le sien est particulièrement appétissant.

Je me remets à besogner le cul de Renan tandis que Pierre se met dans un coin de la pièce. Adossé à un mur, il semble vouloir nous mater avant de participer. Je ne sais pas si c’est par timidité ou voyeurisme. Après tout, il ne s’attendait pas à ça quand il est arrivé ici.

Ses yeux bleu océan nous fixent, et c’est comme se prendre une décharge électrique. Je suis dans tous mes états.

En fait, l’excitation est telle que je jouis sans le vouloir, dans un incroyable orgasme qui me grille le cerveau tellement il est intense, remplissant le réservoir de ma capote d’une vague de sperme chaud.

Merde ! Non !

Ce genre de trucs, ça ne m’était pas arrivé depuis mes toutes premières expériences. Je me retire, honteux, enlève la capote et la jette à la poubelle. Ça fera un souvenir à l’occupant de la chambre.

Déjà, je commence à mollir, le gland encore brillant de foutre. Je ne suis jamais parvenu à baiser à nouveau tout de suite après un orgasme : je débande et m’écroule de sommeil, impossible de me faire revenir dans la partie. Mais là, le miracle se produit, pour deux raisons.

La première, c’est Renan : toujours à quatre pattes, il se retourne vers moi, avance au bord du lit, et vient frotter son visage contre ma bite en se tartinant le visage de ma semence, avant de carrément nettoyer comme il faut mon chibre avec sa bouche. Ce mec pue la soumise, j’adore.

La deuxième, c’est Pierre : il a descendu juste assez son jogging pour laisser sortir son énorme sexe (vingt centimètres au jugée). Assez fine, sa tige n’en reste pas moins impressionnante, avec une légère courbe vers l’intérieur, une caractéristique que j’ai toujours aimée. Du coup, ma queue redurcit. Ces deux mecs me font un effet pas possible.

Je demande à Renan s’il veut bien s’allonger sur le dos. Il le fait pendant que j’enfile une nouvelle capote. Puis je me glisse dans sa rondelle humide et je sens mon gland délicieusement au chaud, compressé par les muscles de son trou. Je caresse ses pectoraux et ses tétons tout en le baisant, puis je lui donne des doigts à suçoter.

Pierre commence à se toucher. Puis il enlève le haut, dévoilant les muscles de son torse et de son ventre. Incroyable. Il a l’air si dur de partout… Et ce V qui pointe vers son énorme outil… Mmmh…

Des poils discrets soulignent la forme de ses pectoraux. Terriblement viril, il dégage en plus une légère odeur de sueur.

Il retire son jogging. Ses jambes sont elles aussi impressionnantes, massives, avec les cuisses bien développées. Dire que ce mec était avec moi en terminale… Il se paluche en nous matant, et son outil palpitant parait encore plus gros une fois qu’il l’a en main.

Renan et moi échangeons un regard et on n’y tient plus : on se sépare et on le rejoint, à genoux, pour profiter de son engin monstrueux. On s’embrasse, l’un en face de l’autre, le gland luisant de Pierre entre nos lèvres qui se rejoignent. Puis Renan s’occupe des couilles tandis que je mets la bite dans ma bouche tout en la masturbant.

Pierre nous regarde et serre les lèvres. Il gémit doucement. Apparemment, on lui fait du bien.

Il mouille beaucoup, je me retrouve donc vite la gorge pleine de liquide precum, qui dégouline parfois le long des vingt centimètres de pure vigueur.

Puis on échange de place : je lèche les couilles de Pierre, grosses et poilues, sûrement pleines de jus, tandis que Renan s’occupe du gland. Mon sexe n’a jamais été aussi rigide. Mon bas-ventre est en feu. Le goût de la mouille emplit mon palais.

Comme je veux aussi profiter de leurs bouches, je me relève, retourne m’allonger dans le lit, le buste calé contre un oreiller, et leur fait signe de venir s’occuper de ma bite. Les voir comme des chiens, à quatre pattes, se partager l’honneur de m’avoir au fond de leur gorge est un bonheur. En plus, ils tendent leur cul pour que je les caresse, même si mes bras sont tout juste assez longs. Je suis surpris, Pierre a l’air aussi d’aimer être une petite pute un peu soumise. Il se branle en me pompant, sa bite toujours plus grosse et mouillée.

Au bout d’un moment, Renan nous fait comprendre qu’il a encore envie qu’on le prenne en levrette.

Alors que je m’attends à laisser la place à Pierre tandis que moi je m’occupe de la bouche de Renan pour que tous ses trous soient remplis, je suis une nouvelle fois très étonné : Pierre se met lui aussi à quatre pattes, les fesses tendues ! Les deux veulent que je m’occupe de démonter leurs culs !

Celui de Pierre est gros, musclé, bombé, un peu poilu, tout ce que j’aime. Cette catin se rase même autour du trou pour mieux le dégager ! Je ne suis clairement pas sa première queue…

Je pénètre Renan et dans le même temps j’enduis un doigt de salive pour caresser la rondelle de Pierre et le préparer à accueillir mon sexe dans ses entrailles. Le mec est déjà hyper dilaté ! J’enfonce un doigt comme de rien. Puis deux, puis trois… Je ne sais pas ce qu’il fait avec ses potes militaires, mais apparemment cette salope a l’habitude de se faire pilonner. Deux chiens rien que pour moi, quel kiff !

Ils s’embrassent, et j’entends Renan dire à Pierre entre deux coups de mes reins : « Putain mec, c’est trop bon ! » et Pierre répondre « Tellement !! ».

Bientôt, ils n’ont plus l’occasion de parler parce que Renan lâche des cris de plaisir tandis que je l’encule de plus en profond et de plus en plus vite. Même la musique ne peut recouvrir les bruits qu’il émet, le mec se lâche complètement. « Encooooore ! », il hurle tandis que je claque ses fesses et que je le burine.

Puis je décide de m’attaquer au trou de Pierre et je pénètre en lui avec mon engin comme dans du beurre. Contrairement à Renan, il n’est pas du tout serré, ce qui procure des sensations différentes mais tout aussi plaisantes. Un mec de l’armée qui se met à gémir sous mes va-et-vient, le rêve !

Son cul est si bon, tout mon sexe est prêt à exploser.

Renan lui donne sa bite à sucer tandis que je travaille son trou. Pierre se retrouve avec du chibre partout en lui. Dès que je me retire, il guide ma bite avec ses mains pour que je l’encule encore. Il est affamé !

Après quelques minutes, il change de position. Je m’allonge et il me monte en amazone. Tandis qu’il me baise, son cul claquant contre mon pubis, je joue avec ses tétons et je caresse ses abdos très apparents. Ses mouvement emprisonnent ma queue dans son cul et c’est un torrent de plaisir qui brûle mon bas-ventre.

Je plonge mes yeux dans les siens. Il se penche pour m’embrasser et sa langue est pleine de la mouille de Renan. Ce dernier tend une nouvelle fois sa bite vers la bouche de Pierre pour qu’il s’en occupe.

On continue à se faire du bien de cette façon pendant un moment. Pierre, qui se branle, a son outil juste au-dessus de mon ventre, et parfois je prends le relai et c’est moi qui le paluche. J’adore sentir son chibre, énorme et veinée, palpiter entre mes doigts.

Tout en se faisant obstruer tous ses trous, Pierre retire soudain ses lèvres de la queue de Renan et gémit :

« Je vais jouir ! ».

Évidemment, ça m’excite encore plus et je l’empale comme jamais.

Je reçois bientôt une giclée de foutre sur mon ventre, mon torse, certains jets atteignant même ma joue, mon nez et mes lèvres. J’en ai absolument partout. Un déluge. Pierre retire ma bite de son cul et, avec Renan, ils lèchent la semence laiteuse qui s’étale partout sur moi. J’enlève ma capote et me branle. Bientôt, j’éjacule à mon tour. Comme j’ai déjà eu un orgasme, il y a moins de sperme, mais ça suffit à asperger un peu la joue de Renan, occupé à donner des coups de langue pour nettoyer le foutre de Pierre qui se trouve sur mon ventre.

Ne reste plus que Renan. Il faut aussi qu’il vide ses couilles. Avec Pierre, on se met à genoux par terre pour qu’il puisse jouir sur nos visages avides. Renan se masturbe et lâche un jet bien chaud de son foutre sur nos bouches ouvertes. Il ne peut retenir un long râle de plaisir et son corps tremble un peu. Jamais je ne me suis pris autant de sperme en si peu de temps. Celui de Renan est un délice. J’en avale un peu et garde le reste dans ma bouche. Renan s’agenouille à son tour, et on finit cette folle baise en s’embrassant pour se refiler de la semence en se galochant à trois.

Une après-midi mémorable.

*

Plus tard, Renan et Pierre m’expliqueront que rien n’était prémédité. Renan avait certes envie de coucher avec moi, mais pas tout de suite : il avait vraiment invité du monde et les personnes avaient véritablement annulé. Il s’était dit que Pierre ne viendrait pas non plus donc il m’avait chauffé pour baiser. Quant à Pierre, il ne s’attendait pas à nous trouver en pleine action. Renan n’avait jamais dit qu’il était bi et qu’il voulait se faire niquer par un mec. Et Pierre n’avait jamais dit qu’il était gay et que toutes les meufs qu’il s’était tapé au lycée n’étaient qu’une façade.

« En tout cas, t’as l’air d’avoir de l’expérience, ton cul a connu pas mal de queues d’après ce que j’ai senti, je dis à Pierre un peu plus tard.

- Y a pas que des homos à l’armée, c’est un mythe, mais y en a quelques-uns, et je me fais bien plaisir avec eux quand je peux, il me répond.

- Et ton instructeur ou je ne sais quoi, t’as pas peur qu’il vous capte ?, demande Renan.

- Mon lieutenant ? Si tu savais… Mais bon, c’est une autre histoire… »

Je suis resté en contact avec Pierre et Renan, qui se sont finalement mis en couple. Ouais : en fait, c’est une putain d’histoire d’amour ! Parfois, ils m’invitent pour faire un plan à trois. Je m’éclate avec leurs trous, impossible de se lasser de deux culs si fermes et de deux bouches si affamées de jus.

Vraiment, il est loin le temps du lycée où je pensais que tous les mecs de ma classe étaient hétéros. Très, très loin.

Fin.

(Si vous voulez que j’écrive d’autres histoires, par exemple celle que Pierre m’a raconté sur ses aventures très chaudes à l’armée, n’hésitez pas à m’envoyer vos commentaires. Merci pour votre lecture !)

Antho69

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