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7 et 8 Mai

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HISTOIRE

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En famille

1| Les débuts

Cette histoire vraie, je l’ai vécue il y a 10 ans maintenant.

J’avais tout juste 18 ans. Je vivais chez mon père, en plein centre-ville de Lyon.

J’avais fait le choix de vivre chez lui pour être à côté de ma fac.

Mes parents avaient divorcé quand j’étais gosse. Alors que ma mère enchaînait les conquêtes, mon père lui se montrait sage.

Mon père avait 45 ans à cette époque. Bel homme. Grand, corps joliment sculpté par la natation qu’il pratiquait 3h par semaine. Brun. Mon père se promenait toujours en boxer. Je devinais une belle queue. Je fantasmais sur lui. Mais je restais discret. Ma famille sait que je suis gay, et ça ne pose aucun souci.

Mon père n’avait pas refait sa vie, contrairement à ma mère. Je ne lui connaissais aucune histoire. Je ne sais même pas s’il avait une vie sexuelle.

Pour me décrire, à cette époque je faisais plus jeune que mon âge. Une belle chevelure blonde. Un minet qui attirait beaucoup les hommes matures. Et ce n’était pas pour me déplaire. J’étais célibataire à cette époque, préférant enchaîner les plans culs que de me poser.

Un soir que je rentre des cours, je vis mon père affairé à remettre de l’ordre dans l’appartement. Je lui demandais ce qu’il se tramait.

- Ton oncle, Benji arrive ce soir. Sa copine l’a foutu dehors, il n’a nulle part où loger.

Benji était le frère de ma mère. Il avait 42 ans. Mon père et lui étaient amis depuis l’enfance. Il a connu ma mère grâce à mon oncle. Bel homme aussi. Il était maçon, avait un corps joliment dessiné. Châtain clair, cheveux courts. Et un sourire à damner un saint. Il m’excitait beaucoup mais il restait mon oncle, hétéro de surcroît.

- Papa ? Il va dormir où Benji ? Nous n’avons pas de chambre d’amis. Et le canapé n’est pas convertible.

- Je pensais lui laisser ta chambre. Et toi, tu dormiras sur le canapé. Ce n’est pas confortable, mais c’est l’affaire d’une semaine. Le temps qu’il trouve une solution.

- Mouais... Pour mon intimité et mon confort, c’est zéro ...

- Tu es jeune, tu n’auras pas mal au dos. Et niveau intimité, tu attendras que l’on soit tous couché pour t’astiquer le manche !

- Papa !!!!!!

Mon père ne me parlait jamais de sexe. J’étais choqué ! Je pense qu’il était tellement content de passer du temps avec son ami de toujours, qu’il se lâchait un peu.

A 19h, Benji arriva. Il portait un survêtement slim, qui dessinait délicieusement son paquet et une veste semi ouverte, sous laquelle il ne portait rien. On devinait ses muscles.

Avoir près de moi ces deux mâles apollon, n’allait me simplifier la vie, niveau hormonale ...

On s’embrasse tous et mon père sort l’apéro.

- Ça va Tonton ? Pas trop difficile ta rupture ?

- Ça va mon chéri. Ça faisait plusieurs mois que ça n’allait pas entre nous. On s’engueulait tout le temps. Nous n’avons pas baisé depuis des lustres. Je ne sais même plus à quoi ressemble une chatte !

- Benji, ne parle comme ça devant Lucas !

- Alex, ton fils a 18 ans. Il sait ce que c’est. Enfin non, une chatte, il ne connaît pas. Mais je suis sûr qu’il a déjà trempé son biscuit ou a ouvert les portes arrière.

J’étais rouge de honte. On ne parlait pas sexualité avec mon père. Je ne répondis pas et voyant mon embarras, mon père changea de discussion.

- Benji, tu prendras la chambre de Lucas, il dormira sur le canapé.

- Lucas, tu ne vas pas dormir là-dessus. On partagera ton lit. Si tu es d’accord bien sûr. J’aurais bien proposé de dormir avec toi, Alex, mais tu ronfles trop !

Mon père sourit à cette dernière remarque. J’étais enchanté à l’idée de dormir avec mon oncle, mais je savais qu’il allait falloir que je contrôle mon excitation... J’acceptais l’idée.

Nous commandâmes des pizzas et la soirée se déroula tranquillement. Mon père sortit du vin. Nous sommes allés nous coucher vers 23h, tous un peu éméchés.

Une fois dans la chambre, j’enfilais un short et un t-shirt pour dormir. Mon oncle, sans gêne aucune se mit en boxer. J’avais ce corps magnifique devant moi, je bandais comme un âne. Mon regard devait être insistant car mon oncle me dit

- Il t’attire ton tonton préféré ? J’ai l’air de te faire de l’effet !

- Heu... Non non, c’est que... Heu, je me demandais comment obtenir des muscles comme les tiens.

- Ouais ouais... En faisant du sport mon chéri ! Il n’y a pas de secret.

Nous nous couchâmes. Je sentais mon oncle gesticuler.

- Tu fais quoi Tonton ?

- Je quitte mon boxer. Je ne supporte pas de dormir avec. Essaye de ne pas trop me tripoter cette nuit !

- Tonton !!!!

L’objet de mes fantasmes était nu, à côté de moi. Bien sûr, je me faisais violence pour ne pas le toucher ou mater. J’avais peur de sa réaction. Je bandais comme pas possible.

Je sentis sa main venir me toucher le paquet.

- Mais tu bandes, petit salaud ! Ou devrais-je dire petite salope !

- Tonton ! Ce n’est pas ce que tu crois. C’est que... Heu... Ne te fais pas de fausses idées.

- Ne t’inquiète pas. Je te taquine. J’imagine que je serai dans le même état, à ta place. Avoir un dieu comme moi, nu dans son lit.

- Tu n’exagère pas un peu là ?

- Non non. J’ai bien vu tes regards insistants sur moi. Tu as une vie sexuelle ou tu es encore puceau ?

- Je ne sais pas si nous devons parler de ça ensemble. Tu es mon oncle...

- Justement. Avant tu n’avais aucun secret pour moi.

- Oui, j’ai une vie sexuelle. Je suis célibataire, c’est un choix. Mais je pratique régulièrement. Et toi ? Tu as trompé Justine ? Comme elle ne s’offrait plus à toi...

- Non, j’y ai beaucoup pensé mais j’avais peur qu’elle apprenne. Et me fasse des histoires. Cette fille est folle. Alors, tu es actif ? Passif ? J’ai bien mon idée... Tu as un regard de salope par moment. Je t’imagine soumise et gourmande

- Tonton !!!!!

Cette discussion allait trop loin. Et prenait un tournant qui me mettait mal à l’aise. Aborder ma vie sexuelle avec mon oncle, ok. Mais de là à entrer dans les détails. Non !

- Ça ne te regarde pas. Et je suis mal à l’aise d’en parler avec toi.

- Donc j’ai raison. Une chienne !

Il me mit une claque au cul en riant.

- Regarde ! Tu couines !

Il m’en remet une deuxième. Je pousse un petit cri.

- Arrête !

- Tu aimes qu’un mec te corrige. J’ai un pote gay qui aime soumettre des chiennes, comme toi. Je lui donnerais ton numéro.

- Non Tonton ! S’il te plaît... Je n’ai pas besoin de toi pour trouver des mecs

- Donc, indirectement tu admets que tu es une salope passive au lit ?

- Si tu veux oui. Si ça peut te faire plaisir...

- Oui, j’aime l’idée que mon neveu est une pute.

- Tonton !!!! Respect bordel !

- Tu sais, avant que je ne me mette avec Justine, je sortais beaucoup en club échangisme. J’aimais soumettre des femmes, les dominer. J’aimais baiser des chiennes. Putain, rien qu’en y repensant, je bande.

- Tonton, on va arrêter de parler et l’on va dormir. C’est plus possible là.

- Parce que ? Je t’excite ? Tu as envie de devenir la pute à Tonton ?

- Non ! D’une, tu es mon oncle. De deux, tu es hétéro. Et de trois... Et puis merde ! Je n’ai pas à me justifier.

Mon oncle se redresse d’un coup, et me met une claque énorme sur les fesses.

- Écoute-moi bien, espèce de petite pute, tu ne me parles pas comme ça ! C’est moi le mâle ici !

Je fondais en sanglot. Perdu.

- Excuse-moi mon chéri. Je pensais que ça allait t’exciter. Je suis désolé.

- Non, c’est ok Tonton. Tu es pardonné. C’est juste que tu m’as surpris.

- Viens dans mes bras.

Il m’a attiré contre lui. Je posais ma tête sur son torse. Je sentais sa queue, bandée contre ma cuisse.

- Tonton ?

- Oui, mon amour ?

- Elle est énorme ta queue !

Il émit un rire énorme.

- Tu en doutais ? Plus jeune, ton père me surnommait le charpentier à cause de ma poutre. Je l’aime bien, elle fait de moi un mec viril. Mais elle a souvent effrayé des femmes.

- Elles n’y comprennent rien... Heu, pardon. Oublies ce que je viens de dire.

- Non, ne t’inquiète pas. Tu peux être tranquille avec moi. Je suis ouvert et tolérant.

Il tira la couette et je vis le Saint Graal.

- Regarde là

- Waouh !

Je bavais devant cet engin. J’avais envie de la mette en bouche, dans ma chatte. Elle devait bien faire un 25 par 8. Une poutre oui ! Mon père avait raison. Et d’ailleurs comment le savait-il ? Il remit la couette en place, et me reprit dans ses bras.

- Tonton ? Comment mon père connaît ta queue ?

- Je ne sais pas si je peux t’en parler. C’est assez particulier. Tu es son fils. Bref, pour faire court, il nous arrivait ton père et moi, de nous taper des femmes ensemble, ou d’aller en partouze ensemble.

Putain, l’idée de les imaginer nus tous les deux et baiser, me fit bander à nouveau. Ce que mon oncle remarqua direct.

- Ça t’excite de nous imaginer baiser, ton père et moi ? Tu aimerais être à la place d’une des femmes que l’on défonçait ?

- Heu Tonton. La réponse est délicate... Vous êtes de beaux mecs tous les deux. Entre ce que j’ai aperçu dans le boxer de mon père et ce que je viens de voir sous la couette. Et en prenant en compte le fait que je suis attiré uniquement par des hommes de votre âge. Oui, ça m’excite. Mais ça ne va pas plus loin que ça. Et de toute façon, vous êtes hétéros tous les deux, et de surcroît lui, mon père, et toi, mon oncle... Ça coupe court à tout.

- Tu n’as jamais vu la queue de ton père ?

- Non jamais. Il est toujours en boxer, mais jamais nu.

- Tu voudrais la voir ?

- Heu... C’est étrange ta question-là. Mais dans l’idée oui.

- Et la sucer ?

- Tonton !!!!!!!!!!

- Sois sincère. Ça restera entre nous. Tu le sais.

Non, je ne le savais pas. J’étais perturbé et un peu énervé aussi devant son insistance. Je décidais de couper court à cette discussion en le provoquant.

- Alors si tu veux savoir, oui, je suis la reine des putes. Et oui, mon plus grand fantasme est de me faire démonter la chatte par mon père et toi ! D’être votre pute attitrée. Vous servir et recevoir votre jus en bouche, et dans mon trou. Et tu veux savoir ? Oui, je rêve d’être votre esclave sexuel !

Il me regarda, médusé.

- Voilà, tu l’as dit. Bravo mon chéri.

Je rêve là ! Il se réjouit en plus. Je n’avais pas fait attention, mais au moment où je débitais mon fantasme, mon père était debout, dans l’embrasure de la porte

- Benji, Lucas. J’ai entendu des cris, je venais voir ce qu’il se passait. Heu... Je vais aller me recoucher. Bonne nuit. Benji, demain, il faut que l’on parle toi et moi.

J’étais interdit. Mal à l’aise. Angoissé. Bref, si j’avais pu fuir, je l’aurais fait. Mon oncle me prit dans ses bras. Essayait de me calmer et me rassurer.

- Excuse-moi, mon chéri. C’est ma faute. Je t’ai repoussé dans tes retranchements. Je suis désolé. Je suis le seul responsable de cette situation. Je m’expliquerais à ton père, demain. Tu as le doit d’avoir les fantasmes que tu veux.

- Il va me détruire oui !

Je parlais avec une voix à la fois énervée et en larmes.

- Calme-toi. Ça va aller. Ton père est un homme calme, compréhensif et tolérant. Ne t’inquiète pas.

- Mais tu ne comprends pas ? Il a tout entendu ! Il sait ! Je ne pourrais plus jamais le regarder dans les yeux. C’est la honte de ma vie, cette histoire !

- Calme-toi. Et essaye de dormir. Je m’occupe de régler ça. Fais-moi confiance

- Tu as vu où elle m’a mené ta confiance ?

- Ça va aller, je te dis. Et si ça peut te rassurer, une fois, bourré, ton père a dit que tu avais un petit cul excitant. Et que si tu n’étais pas son fils... Tu sais, il n’a aucune vie sexuelle depuis le divorce avec ta mère.

- What ?????? Arrête tes histoires et dors. J’ai besoin de me calmer avant de devoir affronter mon père demain.

Je n’ai pas réussi à fermer l’œil de la nuit. Comment allais-je affronter mon père ? Je savais que suite à ça, notre relation n’allait plus être la même. Notre proximité, envolée...

[Le lendemain]

Mon oncle ouvrit les yeux. Se leva nu. Putain, cette bite ... Il s’habilla et sorti de ma chambre, direction la cuisine où mon père l’attendait de pied ferme. Je me levais aussi. Me préparait pour aller en cours. Je fus bien obligé de passer par la cuisine.

- Bonjour Papa. Tentais-je timidement.

- Bonjour Lucas. Tiens 10€, tu prends ton petit déjeuner dehors et tu files en cours. Nous parlerons ce soir. Là je dois parler avec ton oncle.

Je ne pipais mot, pris le billet et partis de suite.

La journée a été longue. Je repoussais le moment de rentrer à la maison. Et affronter mon père. Ce père sur qui je fantasmais comme pas possible. Je trainais au bar avec des amis, repoussant au possible le moment de rentrer. Mais c’était sans compter sur mon père qui m’envoya un sms « Rentre, c’est important, je dois te parler ».

Je rentrais, anxieux comme jamais.

En passant la porte, j’entendais mon père et mon oncle parler fort. Ils riaient aussi. L’ambiance avait l’air détendue, mon angoisse baissa d’un volume. Je me dirigeais vers le salon et je fus stupéfait par ce que je voyais.

Mon père et mon oncle, en boxer tous les deux. Une bouteille de rhum à moitié vide traînait sur la table.

- Qu’est-ce que vous faites en boxer ? Et vous avez bu ?

- Fils, ce n’est pas à toi de poser des questions. Tu n’es pas position de le faire.

- Papa, tu sais, pour ce que tu as entendu hier...

- Ta gueule ! J’ai eu une discussion franche avec Benji. Tout est ok.

Mon père ne m’avait jamais parlé comme ça. J’étais scié.

- Viens t’asseoir sur le canapé en face de nous. Et sers-toi un verre.

Mon père me dit cette phrase sur un ton autoritaire, que je ne lui connaissais pas. Se pouvait-il que ?... Non, je chassais cette idée de ma tête.

- Si nous sommes en boxer, c’est que nous avons chaud. Et oui, nous avons bu. Nous voulions retrouver notre jeunesse, l’époque où nous étions célibataires. Et nous avons bien discutés lui et moi.

Pendant qu’il me parlait, mon oncle me jetait des regards insistants, pervers. Je perdais pied.

- Alors comme ça, mon fils chéri est la reine des putes ?

Je regardais mon père interdit. Muet.

- Réponds quand je te pose une question, petite salope !

- Heu... Oui.

- Oui quoi ?!

- Oui, je suis la reine des putes, papa.

J’étais terrorisé. Mon oncle me souriait, satisfait de la situation.

- Je ne sais pas de qui tu tiens ça. Ta mère était une vraie frigide. J’arrivais à la baiser uniquement le samedi soir. Et fallait pas traîner ... Ton oncle te l’a dit. Lui et moi avions une vie sexuelle très active à l’époque. Nous participions à des partouzes, aimions les plans à 3 où nous soumettions des chiennes.

Benji ajouta :

- Et quelle vie ! Putain. Je bande en y repensant. Toi aussi Alex ! Tu sais, ton père et moi, on en a déboité des chattes.

- Et des culs aussi ! Se permit d’ajouter mon père.

Voir mes deux étalons bander devant moi, me mit une gaule d’enfer. Comme j’aurai aimé être une de ces femmes...

- Tu bandes aussi ma salope de fils en entendant ça ? Je vois tes yeux scotchés sur nos bites.

- Heu... Oui, Papa.

- Ça ne m’étonne pas. Une vraie traînée. Ton oncle te l’a dit. Un soir bourré, il y’a quelques mois... Lèves toi et approches.

Je me levais et approchais de mon père.

- Je disais, il y’a quelques mois, j’ai dit à ton oncle que tu avais un cul bien excitant.

Tout en me disant ça, il me caressait les fesses. Les palpait. Je ne comprenais plus rien.

- Au vu de ce que je touche, je ne me suis pas trompé. Écoute, ça va être très simple. Ton oncle et moi avons les couilles pleines.

- Je confirme ! Se permit de rajouter mon oncle.

- Baiser une salope ensemble nous manque. Et toi, visiblement, tu ne demandes que ça.

En disant ça, il mit sa main sur ma queue raide et prête à exploser.

- Je ne me trompe pas. Tu bandes comme un âne. Donc, à partir de ce soir, tu vas être à nous. Notre salope. Cela te convient ?

- Oui, mais... Tu es mon père et Benji est mon oncle...

- On s’en fout. On veut baiser une salope, et tu es là. Alors soit, tu joues ton rôle, soit, tu repars chez ta mère.

Évidement que j’allais jouer mon rôle de soumise et m’offrir à ces deux mâles Alpha. Mon rêve se réalisait. Donner du plaisir et m’offrir à mes hommes.

- Alors ? Ta réponse petite pute ?

- Oui, bien sûr. Depuis le temps que j’en rêve.

- Alors enlève nous ce regard niais et montre-nous la salope que tu es.

- Lucas, ton père et moi en avons beaucoup parlé aujourd’hui. Je suis allé t’acheter des sous-vêtements féminins cette après-midi. Une paire de talons aussi. Le tout est sur ton lit. Va te changer.

- Avant ça, nous allons t’expliquer les règles. Tu es à nous. Tu obéis à chacun de nos ordres. Le non n’existe pas. Tu veux être la reine des putes ? Tu vas l’être ! Crois-moi. Allez file te changer.

Je fonçais dans ma chambre. Je vis un string rouge et une paire de portes jarretelles. Également une paire d’escarpins noirs. Ils voulaient une salope ? Ils allaient l’avoir. J’enfilais le tout et me pressais d’aller retrouver mes maîtres. En passant devant le miroir, je pris quelques secondes pour m’observer. Là oui, je devenais la reine des salopes. Je bandais.

Mon entrée au salon fit son effet. Mon oncle poussa un soupir de plaisir et mon père me fixait. Je voyais l’excitation dans ses yeux.

- Tu vas ramasser mon fils. Tu es bien plus bandante comme ça que toutes les salopes qu’on a pu lever, ton oncle et moi.

- Putain oui ! Je confirme.

- Mets-toi à 4 pattes sur le fauteuil. On veut voir ta chatte.

Je lui lançais un regard bien vicieux que mon oncle et mon père remarquèrent de suite.

- Putain, ton fils a un vrai regard de chienne.

- Je vois ça, oui. On va lui donner ce qu’il veut.

Tout en disant ça, ils se caressait la queue. Tous les deux avaient le boxer bien tendu. Leur gland dépassait de leur boxer.

Je me mis à 4 pattes sur le fauteuil comme voulut.

Mon père me demanda de bien écarter mes fesses pour voir ma chatte.

Mon oncle s’écria :

- Putain ! Elle est déjà bien ouverte. Une vraie lope.

- Oui, Benji. Un garage à bite.

Je cru bon de souligner, d’une voix suave :

- Votre garage à bites...

Mon père, suivit de mon oncle se levèrent. Chacun prit place de chaque côté de moi. Ils se regardèrent et mon oncle dit à mon père :

- Comme à l’ancienne ?

- Oh que oui ! Tu vas dérouiller fils !

Ils se lancèrent dans une série de fessées. Je criais de plaisir.

- Tu aimes ça mon neveu chéri ? Je veux te l’entendre dire !

- Oui, Tonton ! J’aime ça. Sentir vos mains claquer mon cul.

J’avais le cul en feu, rouge. Mais j’en redemandais.

- Encore. Punissez la salope que je suis.

Les coups redoublèrent. Je tournais la tête pour regarder mon père. Il prenait son pied. Je le voyais à son regard. Il haletait. M’insultait.

De même du côté de mon oncle. Mes deux mâles s’éclataient avec moi. J’étais heureux. Je gémissais de plaisir.

- Assez plaisanté ma salope. Papa à soif. Va nous servir 2 verres de rhum.

Ils rejoignirent le canapé, et je m’exécutais.

Je leur servi leurs verres.

- Mets-toi à 4 pattes et honorent nous. Lèche-moi les pieds et ensuite ceux de ton père.

A 4 pattes, en chienne, j’entrepris un décrassage des pieds de mon oncle. Je léchais, léchais. Pendant que mon père m’utilisait comme repose pied. J’étais à ma vraie place de soumise. Je jubilais. Je me mis à sucer les orteils de mon oncle, quand je sentais une énorme claque sur mon cul.

- Ton oncle t’a dit de le lécher. Pas le sucer ! Batard!

- Je suis désolé Papa.

- Lèche-le et ferme ta gueule. Une chienne ça ne parle pas, ça couine. Et remues ton cul pour montrer ta joie.

Putain ! Quel pied je prenais (et je léchais :-) ). Jamais de ma vie, je n’aurais imaginé que mon père et mon oncle puissent être aussi vicieux, dominants et tellement excitants !

Je remuais du cul comme une chienne.

- Maintenant passe à ton père.

Je me mis devant les pieds de mon père et les léchais en le fixant dans les yeux. Je voulais qu’il sache à quel point son fils était une pute et à quel point je le vénérais.

Mon père exultait de plaisir.

- Putain, des années que je n’ai pas baisé alors que j’ai la parfaite salope à la maison. Nos rapports vont changer, mon fils.

- A ce stade, ce n’est plus ton fils mais un véritable vide couille !

Mon oncle dit à mon père qu’il était temps de me marquer. Mon père acquiesça. Je ne savais pas ce qui m’attendait.

- Mets-toi à genoux, sale pute et ouvre bien grand la bouche.

J’exécutai. Je me mis à genoux. Les talons me piquaient le cul.

Mon père et mon oncle quittèrent (enfin !) leur boxer. Je pus admirer ses deux bites magnifiques. Certes, celle de mon oncle était démesurée, mais mon père n’avait pas à être jaloux. Et 2 couilles, énormes, pendaient. J’étais en extase devant eux.

- Tu aimes ce que tu vois, ma putain ?

- Oui !!!

Et bim, une claque sur mon visage.

- Tu réponds « oui, Tonton ». Je suis ton maître, tu marques le respect.

- Oui, Tonton

Je me remets dans la position demandée. Ouvre grand la bouche. Mes deux mâles tirent sur leur prépuce et me révèlent 2 glands appétissants. Un premier jet de pisse, venant de mon père m’inonde le visage, la bouche et le corps. Mon oncle suit de suite. J’avale, je recrache leur pisse. Je jubile. Je n’avais jamais fait ça. Je sentais ce liquide chaud ruisseler sur mon corps. Cette douche était délicieuse. Je les voyais jubiler.

- Tu aimes ça, fils ?

J’essayais d’articuler quelque chose, mais j’avais la bouche pleine. Mes mains occupées à bien étaler leurs pisses sur mon corps. Comme si je me lavais, m’imprégnais de leur liquide. J’avala la fin de leur deux jets puissants et pus répondre

- Oui, Papa. C’est délicieux

- Putain, Alex, ton fils est une vraie lope. On va s’éclater avec lui !

- Oui Benji. La prochaine fois, je lui pisse dans le cul !

J’ai hâte d’être à la prochaine fois ! Mon père et mon oncle se rassirent sur le canapé. Et là mon père me procura un plaisir sans nom avec cette simple phrase :

- Viens me sucer, sale pute !

J’allais enfin goûter au fruit défendu, à l’objet de mes fantasmes.

Je me suis jeté sur sa queue. Énorme, longue. J’ai entamé de suite une gorge profonde pour lui montrer ma soumission et mon appétit sexuel. Du liquide pré-séminal recouvrait son gland. C’était délicieux. J’avalais ce nectar avec délice.

Je me déchaînais sur sa queue. Je l’avalais, la léchais, me frottais le visage avec, tout en le fixant des yeux. Mon père était en extase

- Putain ! Quelle gourmande. On ne m’a jamais aussi bien sucé. Mon fils, si j’avais osé avant ...

Il râlait de plaisir. Mon oncle vient se placer derrière moi, me fît relever le cul et me caressait la rondelle.

- Ta chatte est magnifique, ma salope

Il introduisit un doigt. J’étais tellement excité et habitué à me faire prendre que ma chatte s’ouvrît sans souci.

- Petite pute ! Ta chatte est déjà bien ouverte.

- Bouffe-la, Tonton

Il m’assenât une bonne fessée

- Ta gueule, traînée, c’est moi qui décide. Continue à pomper ton père.

Il mit un deuxième doigt, puis une troisième. Tout en suçant mon père, je gémissais de plaisir. Je jouissais du cul.

Sans me prévenir, il écarta mes fesses, et passa sa langue sur ma chatte, bien offerte. Il entreprit de me bouffer le cul, avidement. Quel pied !

- Mes boules maintenant.

- Oui, mon Papa.

Je m’attaquais donc à bouffer les boules de mon père. Après 10 minutes à lui bouffer les boules, mon père m’ordonna de sucer mon oncle.

Ce dernier prit place sur le canapé. Je me jetai sur sa queue, affamé. Sa bite est si énorme que j’ai eu du mal à la rentrer. Mais ma faim était telle que ... Je la léchais et le reprenais en bouche. Je lui malaxais en même temps ses couilles bien lourdes.

Pendant ce temps, mon père pris place derrière moi, et à son tour, visita mon trou avec ses doigts.

- Quelle chatte ! Et bien ouverte ! On va se régaler, Benji.

- Elle suce super bien en plus. Vas-y ma salope, bouffe bien mon gland.

Sentir les doigts de mon père en moi, me procurait un plaisir fou. Je poussais des gémissements ce qui excitait mon père.

- Oui, mon fils. Tu aimes ça hein ?

- Oui, papa. J’adore. Encore

Au bout de 5 minutes, je sentis sa main entière en moi. Putain quel pied !

- Viens voir comment elle est ouverte, Benji !

Mon oncle retira son boa de ma bouche et prit place aussi derrière moi. Il était ébahi par la vision de ma chatte plus qu’ouverte.

- On va se régaler Alex...

Mon père décida d’être le premier à me pénétrer.

J’allais enfin vivre mon rêve. Me faire baiser par mon père. Ce mâle viril sur qui je fantasmais depuis toujours.

Je le vis mettre du gel sur sa queue et mon oncle me tendit un flacon de poppers.

- Tu vas en avoir besoin, ma salope de nièce.

Je snifais ce liquide que j’adore. Mon père positionna son gland sur mon trou affamé et bien ouvert. Il rentra, d’un seul coup sec, sa queue en moi. Je sentais ses boules sur mon cul. Grisé par le rhum et le poppers, je poussais un râle de plaisir.

- Putain, mais elle n’a pas mal cette salope.

Mon oncle n’en revenait pas.

Mon père sorti sa queue entièrement et répéta l’opération, plusieurs fois. Puis il entreprit un long ramonage intensif. Il me baisait violemment. J’adorais ça.

Sa queue en moi, j’étais aux anges. Je criais de plaisir, je jouissais du cul. C’est délicieux. Mon père avant une main sur ma hanche, et avec l’autre, il me tirait les cheveux. Je remuais du cul, pour lui montrer que j’en voulais plus.

- Baise moi, papa. Vas-y. Encore plus fort. Ouiiiiiiiii

Mon oncle est venu se placer devant moi. Il m’a présenté son cul, pour que je le lèche. Je m’y employais tant bien que mal, à cause des assauts intensifs de mon père.

- Lèche le cul de ton oncle ma salope de fils. Benji, donne-lui du poppers. On va lui donner l’orgasme de sa vie.

Mon oncle s’exécuta. Je snifais à fond. Et parti dans une extase totale.

Plus je hurlais, plus mon père me démontait. Il m’insultait, me crachait dessus.

Au bout de 20 minutes, il sortit de ma chatte en feu et encore affamée. Je m’écroulais au sol.

Mon père me releva. Il me roula une pelle baveuse, gourmande. Quel pied !

- Merci fils, j’ai adoré ton cul. Maintenant, Benji, à ton tour.

Mon oncle me fit allonger sur le dos, sur le canapé. Il place mes jambes sur ses épaules. Me pénétra direct.

Je poussais des gémissements de plaisir. Il me secouait tout en me baisant comme un fou.

Sa queue énorme le remplissait à fond. C’était trop bon.

Mon oncle voyait mon plaisir dans mon regard.

- Mais il est affamé ! Il adore ça. Plus je le pilonne, plus il kiffe.

Mon père se branlait en nous matant. Je voyais son regard excité. Il prenait son pied à voir son fils se faire baiser. Je le fixais dans les yeux. Je voulais qu’il sache à quel point je suis salope.

Mon oncle me retourna et me prit en levrette. Il accélérait ses mouvements.

Il me baisa, comme ça, pendant 15 minutes.

Mon cul n’en pouvait plus. J’étais en plein orgasme. J’ai éjaculé sans me toucher.

Mon oncle se retira. Mon père me demanda de me mettre à genoux et bien ouvrir la bouche.

Ils se sont mis à se branler au-dessus de mon visage. Au bout de 5 minutes, je reçu, ce liquide tant désiré, sur mon visage, ma bouche.

Ma parole, je ne pensais pas que des couilles pouvaient contenir autant de sperme. Mon visage était recouvert. Ma bouche pleine. J’avalais, me léchais les lèvres.

- Tu aimes ça ma salope ?

- Oui, tonton.

Mon père se mis devant moi et ramassais du sperme avec sa bite et me l’a mis en bouche. Je léchais avec plaisir. Mon oncle l’imita. J’avalais leur nectaire goulûment. Ils m’ont entièrement nettoyé de la sorte.

A la fin, mon oncle me releva, me roula une bonne pelle.

J’avais encore du sperme en bouche. Je partageais avec lui, ce liquide épais et chaud.

- Alex, ce n’est pas si mauvais le sperme ! Putain, ton fils, quel coup !

- Je n’ai jamais goûté. On verra la prochaine fois. Oui, quel pied. Lucas, va te laver et rejoins-nous.

Je partis à la salle de bain, pris une bonne douche. En allant dans ma chambre, chercher un boxer, j’entendis mon père dire à mon oncle :

- Putain, je suis vidé comme jamais. Je n’ai jamais autant pris de plaisir à baiser. Mon fils va devenir mon vide couille attitré.

- Tu m’étonnes. Moi c’est pareil. Je vais bien en profiter cette semaine. Et par la suite, je risque de passer souvent vous voir !

- Benji, tu peux t’installer ici en coloc. Lucas dormira avec l’un de nous. Il veut être notre esclave sexuel, il va être servi.

- Bonne idée oui. Merci pour ton aide.

- Tu es comme un frère pour moi, Benji.

Je retournais au salon. Ravi à l’idée de ce que j’allais vivre par la suite.

- Ah, te revoilà fils. Viens t’asseoir à côté de moi.

Mon père me prit dans ses bras. Il était doux, tendre. Sa main me caressait le torse. J’étais amoureux ! Mon oncle me caressait les cuisses.

- J’ai proposé à Benji de venir vivre avec nous. Il prendra ta chambre. Toi, tu dormiras avec nous, selon nos envies. En attendant, vas nous préparer à manger. Baiser, ça creuse l’appétit.

J’exécutais l’ordre, en bonne soumise que je suis. Je cuisinai des pâtes.

Nous mangeâmes dans une bonne ambiance. Mon père me jetait des regards tendres, tandis que mon oncle me regardait avec envie. Un vrai chien de talus !

- A partir de maintenant, tu nous appartiens. Tu ne couches avec personne d’autre que nous. Quand tu rentres, tu te fous à poil. Tu dois être prêt à nous recevoir quand nous en avons envie. Ce soir, tu dors avec moi.

- Oui, papa. Je suis à vous.

- Demain matin, au réveil, tu iras sucer ton oncle. Je sais qu’il aime les pipes matinales.

- Tu es trop bon, Alex !

- Maintenant, Lucas, va te reposer. Je te rejoins d’ici 1h. Sois prêt au cas où ...

Je partis dans la chambre de mon père. Je me mis à poil sous la couette. J’étais aux anges. J’étais si détendu, si heureux, que je m’endormi direct.

A suivre ...

J’espère que cette histoire vous a plu. N’hésitez pas à m’envoyer vos commentaires. La suite est en cours d’écriture…

LopeLyon

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