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Devenir Drone

Si vous aviez demandé de décrire Ben, nul doute que tout le monde aurait dit la même chose : Ben était cool. Il était le genre typique du beau gosse blond, sportif et confiant ; sachant faire ressortir son style vestimentaire et sa coupe de cheveux travaillée pour que tout le monde admette qu’il était beau. Étudiant moyen de l’université, athlète assidu sur les terrains de badminton qu’il fréquentait plusieurs fois par semaine sans pour autant être un professionnel, il savait faire la fête le samedi soir sans que la débauche ne lui fasse perdre sa santé ou son énergie. Pour faire simple, Ben était l’un de ces garçons que toutes les filles et tous les homos regardent et admirent.

Lui était célibataire. Sans rechigner à chercher sa dulcinée, il aimait enchaîner les plans d’un soir ou ceux un peu plus réguliers, de manière à faire plaisir à la chair. S’il avait été une fille, les gens de peu l’auraient traitée de pute ; mais fort heureusement pour lui il était né avec entre les jambes de quoi féconder les femelles, alors loin d’être une pute, il était un « conquérant ». Et conquérir il faisait.

Le dernier soir de Ben fut un soir de fête. C’était au mois de Juin dans une de ces grandes salles qu’on trouvait sur le campus de son université. Il y avait du monde, des filles et de l’alcool ; Ben était dans son élément. Il était venu avec son meilleur ami Sören quelques heures avant le coucher du soleil ; maintenant, il faisait nuit noire et Sö était quelque part dans un groupe à fumer. Ben dansait avec quelques-uns de ses amis et une de ses conquêtes. Elle était mignonne et ils se jetaient des regards souriants de temps à autre. Il y avait fort à parier qu’ils finiraient dans le même lit. Lui était déjà bien ivre cependant. Un gobelet à la main déjà re-vidé, il commença à avoir envie de se resservir un verre. Se dirigeant vers le bar, il retrouva Sören, sans doute mû par le cercle vicieux de l’alcool et du tabac. Ils discutèrent, tentant tant bien que mal de couvrir de leur voix le son de la musique ambiante, puis Ben eut une soudaine envie pressante de vider sa vessie. Il en informa Sören puis se dirigea vers les toilettes. Malheureusement pour lui, ils étaient occupés et un autre attendait déjà son tour. Il fit demi tour et repassa par le bar pour informer Sören que finalement il irait pisser dehors contre le mur du gymnase tout proche. Sans doute avait-il cru que cette information relevait du capital.

En sortant de la salle, le contraste de l’air frais extérieur avec la chaleur humide de l’intérieur lui provoqua un léger frisson. Il n’était pas chaudement vêtu, un simple jean slim noir remonté en ourlets sur les chevilles au dessus de tennis blanches, un tee shirt à motifs aux manches courtes moulant son torse musclé, et un collier que le pendentif tendait au-delà du col.

Il s’avança dans la pénombre d’un pas chancelant, appliqué à avancer sur un sol que son oreille interne croyait incroyablement instable. La musique de la fête, couverte par les murs de la salle, s’amenuisait à mesure qu’il s’éloignait de celle-ci et s’approchait du gymnase dont les murs de brique dégageaient une aura sexy de pissotière. Ce fut avec plaisir qu’il pointa son pénis vers leur surface rêches et les arrosa de son liquide jaunâtre, lui procurant cette si bonne sensation de liberté. Il en avait presque fini lorsqu’il distingua un mouvement sur sa droite. En tournant sa tête, il vit ce qui semblait être un homme, mais il aurait été incapable de préciser quoi que ce soit sur son apparence. Il marchait à quelques mètres.

L’homme s’arrêta, se tourna vers Ben dont la bite avait fini de couler, et resta immobile. Ben ne comprit pas immédiatement ce qu’il voyait. L’homme était plutôt une silhouette masculine, complètement noire et brillante. On ne voyait pas de visage, pas de cheveux, rien de bien humain finalement. L’intégralité du corps de cet homme était recouvert d’un latex souple.

La silhouette noire s’approcha de Ben lentement. Lui, trop ivre pour réfléchir mais bien interloqué par ce qu’il voyait, ne bougea pas. Il resta là la bouche à demi ouverte à regarder la créature s’approcher de lui. Lorsqu’elle fut arrivée à portée de bras, elle leva sa main et la posa doucement sur la joue du jeune sportif qui resta coi. Le contact avec le latex brillant lui provoqua une étrange sensation, comme un léger plaisir mêlé d’un début de curiosité. L’alcool dans ses veine, il n’opposa aucun mouvement de recul quand le pouce lisse et brillant du drone noir tâta puis força l’entrée de sa bouche. Il commença à s’y enfoncer et rapidement se posa sur la langue, là où étaient les capteurs sensoriels. Un bref désir s’empara de Ben. La fête s’effaça de ses pensées, la musique au loin n’avait plus d’importance. Soudainement, il avait goûté au latex de la créature aveugle devant lui, et il semblait bon. Soudainement, il n’avait plus envie de faire quoi que ce soit d’autre que de rester là.

Si Ben s’était trouvé en pleine possession de ses moyens, peut-être que son esprit lui aurait crié à la méfiance, nul doute qu’il n’aurait pas laissé le drone faire autant, d’autant plus qu’il s’agissait indéniablement d’un homme ; mais c’était là le détail important : il n’était pas net. Cela allait causer sa perte. Ben, emballé par ce contact avec le caoutchouc lisse dans sa bouche, eut envie d’aller plus loin. Il voulait savoir ce qui se passait s’il laissait faire ce drone qui, finalement, ne lui avait rien fait autre que ce léger plaisir au contact. Ce dernier, analysant la passivité de sa victime, pencha sa tête en avant, approchant ce qu’on pouvait deviner être sa bouche derrière sa cagoule noire, puis la colla contre celle du jeune homme, l’embrassant avidement à travers le latex. Ben ferma les yeux alors qu’un intense plaisir l’envahit, durcissant son pénis à l’air libre. Il voulut faire pénétrer sa langue dans la bouche de son mystérieux ami mais elle se buta au latex noire qui recouvrait tout et effaçait la chair. Il sentit cependant la langue de l’autre, derrière la matière, en bosseler la surface. Le plaisir qu’avait ressenti Ben, loin de s’atténuer, se diffusa dans tout son corps et prit contrôle de son esprit. Désormais, il n’y aurait plus de retour en arrière. Il avait été embrassé, il était perdu. Ou peut-être qu’il allait être délivré, de sa condition humaine, de sa personne même. Quoi qu’il en soit, il allait bientôt devenir plus que lui même, il allait rejoindre la ruche.

Incapable de pouvoir mélanger sa langue avec celle du drone, Ben commença à lécher le latex recouvrant son visage. Il en avait soudainement terriblement envie. L’autre posa sa main noire sur sa bite tendue et commença à faire des mouvements de va et vient. Ben gémit, c’était bon. Il approcha sa propre main de sa queue et vint la superposer à celle de latex pour y imprimer le même mouvement. Le drone retira doucement sa main tandis que Ben, obnubilé, continuait tout seul, et fit un pas en arrière. Il observa sa victime hébétée qui se branlait de plus en plus rapidement, le regard fixé sur son corps superbe.

D’on ne sait où, il sortit une large bande en latex solide aux extrémités desquelles étaient des anneaux. C’était un collier. Il s’approcha de Ben et lui enroula ce morceau de caoutchouc autour du cou, fermant les anneaux derrière sa tête. Ben eut soudain une intense sensation de bien être lorsque le latex entra en contact avec sa peau. Il sentit comme une légère piqûre dans sa nuque et tout devint plus simple. Il oublia le monde extérieur, la fête, le froid, ses vêtements qu’il commença même à retirer. Il se sentit bien, joyeux, chaud, excité de plaisir. Ses propres pensées se firent plus simple tendis qu’il sentait naître en lui le désir ardent de devenir comme cette magnifique créature de latex devant lui qui venait de l’asservir et envers qui croissait dans son ventre un sentiment de complicité. Il voulait devenir un drone.

Entre les jambes de la créature, la bosse qui s’y trouvait commença à grossir. Tout à coup, le pénis du drone se détacha du reste, toujours néanmoins recouvert de cette matière lisse qui le déterminait. Ben regarda ce membre avec envie puis, pour la première fois de sa vie (et d’une longue série) s’agenouilla devant et, lentement, le fit entrer dans sa bouche.

Sucer. Sucer. Sucer.

Oh oui il voulait sucer, il voulait goûter au plaisir qui lui était offert. Il s’y appliqua avec une habileté étonnante pour un novice, tout en continuant à branler sa propre bite. Pendant quelques minutes il poursuivit sa tâche si plaisante puis il sentit la queue se mouvoir dans sa bouche puis, doucement, un liquide chaud et agréable sortir de son extrémité. Il avala avec empressement tout en continuant à lécher du bout de sa langue, entre chaque éjaculation, les contours de la bite. Le liquide pénétrant son corps lui procura une vague de plaisir sauvage qui se répéta à chaque fois qu’il en avalait plus.

Contrairement à un être humain normalement constitué, les giclées ne s’arrêtèrent pas en quelques coups. Elles continuèrent encore et encore, toujours aussi puissantes et toujours aussi garnies. Et lui avalait encore et encore, avec plaisir. Il tétait la bite de son confrère, il se nourrissait de son sperme dont il ignorait qu’il n’était pas blanc mais noir. Il se branlait avec vigueur mais il ne devait pas jouir, il le savait. Alors il ne jouit pas.

Pendant quelques instants encore, Ben se nourrit de ce nectar qui transformait chacun de ses mouvements en une évacuation de plaisir sexuel. Puis les jets se tarirent et le drone sortit sa bite qui retourna se coller à son corps et se fondre dans la surface de latex. La transformation interne était finie.

Ben se releva, le drone posa une de ses mains sur sa joue, le pouce dans sa bouche, et l’autre sur sa bite prête à craquer d’être masturbée. Le jeune sportif regarda son égal puis il sut qu’il était autorisé.

Jouir. Jouir.

Brusquement, il éjacula de puissantes et longues giclées de sperme alors qu’il émettait des gémissements sonores traduisant le plaisir intense qu’il ressentait. Les premières giclées furent blanches normales, puis les suivantes s'assombrirent de plus en plus jusqu’à ce que les dernières fussent complètement noires. Le liquide noir qui recouvrait son urètre commença à s’étaler sur tout son membre, puis le reste de son corps. Ben, à bout de souffle après son orgasme intense, observa avec délectation sa chair se changer en latex noir et brillant à mesure qu’elle étaient recouverte par ce liquide qui progressait de plus en plus loin, avançant tel des milliers de petits tentacules noirs. Chaque centimètre de chair perdu procurait à Ben un intense plaisir. Sa bite de latex se colla à son ventre et se fondit dans la surface, similairement à l’autre drone. Le latex atteignit ses pieds nus et les recouvrit en formant une chaussure plus épaisse. Il progressa vers le haut du torse, les aisselles puis les bras jusqu’aux bouts des ongles qui disparurent sous un élégant gant noir et brillant.

Le latex s’arrêta net au milieu du cou, là où était le collier. Ben s’immobilisa, fixant son acolyte. Celui-ci sortit de nul part un morceau de latex, encore, c’était une cagoule. Elle n’avait aucun trou pour les yeux, le nez ou la bouche. Elle dissimulait entièrement tout ce qui faisait d’un humain un humain. Le drone leva la cagoule et présenta l’entrée devant le visage de Ben. Celui-ci ne pensait qu’à une seule chose.

Fais-le. Fais-le. Fais-le.

Alors il baissa la tête et laissa l’autre lui enfoncer la cagoule sur la tête. Son menton, son visage, ses cheveux, tous furent progressivement recouverts de latex à mesure que la cagoule était enfoncée. Lorsqu’elle fut parfaitement mise en place, l’autre retira son collier à Ben. À cet instant, il s’effondra sur le sol, affaibli par le choc que son esprit venait de recevoir. Tout s’effaça, son identité, sa personnalité, sa volonté, son libre arbitre. Il était connecté à la ruche, il ressentait son voisin et recevait les directions de sa hiérarchie. Il était devenu un drone. Son corps entier n’était maintenant plus qu’un latex noir et brillant, faisant ressortir sa musculature. Son visage n’était plus ; seulement du latex. Ses beaux cheveux blonds avaient disparu sous la matière. Sa transformation était achevée. Il était devenu un drone.

Drone. Drone. Drone. Drone

Un d’entre nous. Un d’entre nous. Un d’entre nous.

Obéir. Obéir. Obéir

Benjamin, Ben, le bel athlète, le tombeur de toutes les filles, n’était plus. Drone SW-1906-14 venait d’être activé.

************

Sören se trouva un peu con quand il comprit qu’il était tombé dans le cercle vicieux alcool-tabac. Il avait bu, il avait fumé, il avait rebu, etc etc. Il avait soudain une folle envie de pisser. Ben était parti quelques minutes auparavant pour pisser à l’extérieur et il n’était pas revenu, apparemment il y avait du monde aux toilettes. Il décida de sortir le rejoindre en espérant qu’il n’avait pas fini. Pisser entre ami c’est plus fun.

Il quitta la salle et s’avança dans l’obscurité en direction du gymnase. Lorsqu’il arriva à sa hauteur, il vit sur le côté quelque chose qu’il mit du temps à comprendre. Ben était là face à une silhouette complètement noire recouverte de ce qui semblait être du latex. Mais plus surprenant encore, lui même était recouvert des pieds au cou d’une combinaison en latex noir qui lui moulait le corps alors que ses propres vêtements gisaient au sol. Sören vit Ben pencher la tête alors que l’homme en face lui enfilait une cagoule en latex similaire à la sienne. Lorsqu’il eut fini il retira du cou de Ben un épais collier. D’un coup, Ben tomba au sol sans pousser le moindre cri. Sören, bien que franchement bourré, ne put s'empêcher de réagir. Il cria le nom de son ami, ne sachant pas vraiment ce qu’il allait lui demander. Ben se releva lentement, mécaniquement, et se tourna en même temps que l’autre homme vers Sören. Il était méconnaissable. Entièrement recouvert de latex noir et brillant, des pieds à la tête, le visage dissimulé derrière cette matière. Il était presque exactement pareil que son voisin, si ce n’est la carrure. Sören fut impressionné par cette vision étrange, celle de son ami disparu derrière du latex, indiscernable d’un inconnu.

Les deux drones se regardèrent, ou du moins tournèrent leur face lisse l’un vers l’autre, puis d’un même pas se dirigèrent vers le jeune homme.

************

Helga avait mal aux pieds à force de danser. Elle s’assit sur une chaise en cherchant Ben des yeux dans la foule de jeunes gens qui dansaient. Tout à l’heure, ils dansaient ensemble. Ils s’étaient échangé des sourires, s’étaient matés l’un l’autre ; il semblait clair qu’ils allaient passer la nuit tous les deux. Simplement, depuis un moment, Ben avait disparu, elle ne l’avait pas revu. En fait, Helga allait rentrer seule ce soir. Elle n’allait jamais revoir Ben. Ses vêtements ainsi que ceux de Sören seraient retrouvés le lendemain au pied du mur du gymnase, sans que personne ne sache où ils étaient passés.

Si ce soir là, quelqu’un avait regardé dans la direction du gymnase, il n’y aurait pas vu Ben ou Sören, mais il aurait aperçu les drones NO-1712-44, SW-1906-14 et SW-1906-15 partir ensemble dans l’obscurité, indiscernables les uns des autres.

Nabe

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