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7 et 8 Mai

Grosse queue
"Plan à 3"
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HISTOIRE

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Rencontre imprévue

Cette histoire est réelle :)

À ce moment-là, je (35 ans, mignon mais pas exceptionnel mince mais pas musclé, 180 brun et la barbe naissante) rentrais d’une soirée et le dernier métro me déposait à 2 kilomètres de chez moi, la lune était pleine et j’étais partagé entre ma libido et l’envie de retrouver mon lit. Et, bien qu'une forêt connue pour être un lieu de drague fût à proximité, la fraîcheur de la nuit, le glauque (mais quelque peu excitant) du bois et ma fatigue eurent le pas sur les plaisirs physiques. Je rentrais donc, me foutant à l’occasion la main dans le fut, pour remettre les choses en place parce que mes envies étaient restées présentes et insatisfaites et que ma tête imaginait tout ce que je n’ai pas pu faire, traversant le petit bout de chemin, puis la Seine, me dirigeant inexorablement vers chez moi.

Arrivé à mi-chemin, au loin, un type sort par le portail d’une résidence une clope à la main, la mienne fait profil bas. Un minimum de tenue en société.

Alors qu’on se rapproche l'un de l'autre je le détaille, habillé en bas de jogging, un petit pull, taillé en V, assez petit, je dirais au maximum 1m70, la petite vingtaine, barbe de 3 jours, typé rebeu avec un visage d’ange, ce mec est juste canon ! Ma libido prend le dessus et je m’imagine déjà en train de le bouffer (comme souvent quand je croise un mec qui me plait). Il se rapproche encore et ses yeux sont dirigés vers moi. Je me dis que c’est probablement parce que je le fixe et je détourne mes yeux de son visage vers sa main pour brouiller les pistes (vilaine timidité…), main qui se lève, cigarette entre les doigts dans un geste que je comprends.

Il va me demander du feu, mais mon cerveau se brouille (vilaine timidité et chaleur intense, ce truc qui se tord dans mes entrailles par le simple fait d’anticiper qu’il m’adresse la parole, lui, ce mec sexy qui n’a aucune idée de ce que tout mon cerveau et mon corps ont imaginé lui faire) je sais déjà que ma bouche ne va pas savoir articuler. On se calme on se calme, arrête de penser et d’imaginer quoique ce soit. Il veut juste du feu.

« Tu as feu ? »

« Oui »

Je fouille mes poches fébrilement en essayant de me donner une contenance. Sa voix est douce et grave et son accent me confirme en partie ses origines. Je lui tends et je tremble un peu mais le froid peut faire illusion. Il allume sa clope, me le rends et plonge sa main dans sa poché pour en ressortir son paquet de clope et l’ouvrir dans ma direction.

« Toi prends cigarette ? »

J’accepte volontiers alors que je viens d’en finir une. Juste pour que le contact dure un peu plus. Mes doigts frôlent les siens en attrapant la clope. Ils sont un peu rugueux et épais et ca me plait.

« Quoi toi fait ? »

(Putain il engage la conversation mes tripes se nouent un peu plus, et la pression monte dedans)

« Je rentre chez moi là, pourquoi ? » (Putain de défensive de merde)

« Ah ok moi français pas bien. Moi apprendre. Pas France longtemps »

Allez, on se détends. Contenance et sociabilité. Et oublie le reste, il veut juste parler un peu. J’ai quand même un peu chaud.

« Ah ok tu restes combien de temps ? »

« Moi vis ici »

OK ça commence bien, ça va être compliqué mais je ne peux pas lâcher ce beau mec qui demande un peu de rapports humain. Si tu savais ce dont j’ai envie comme rapport avec toi…

Sa main veineuse se lève à nouveau et il montre la rue en face. Putain sa main…

« Marcher pour cigarette ? »

OK tout ce que tu veux…

« Si tu veux oui, j’ai le temps »

On s’engage dans la rue, elle passe au-dessus des voies de chemins de fer, des voitures garées côté rails, des maisons de l’autre, en silence que je décide de rompre :

« Tu t’appelles comment ? »

« Wael »

« Ok moi, Ben »

Silence… La question qui ne mène pas à grand-chose au final, je prends sur moi et je poursuis l'interrogatoire, dans ma tête ça se calme, ou plutôt ça se divise. Ma partie visible de moi devient avenante et je ne m’imagine plus rien mais au fond, au fond je suis fasciné par ce mec, pas vraiment accessible mais qui marche à côté de moi, et je ne peux m’empêcher de regarder les détails de ce qui est à portée de mes yeux… Ses oreilles fines et bien ourlées, son cou musculeux, ses trapèzes et ce V dessiné par son buste qui s’arrête net de dos avant de glisser sur un petit cul pommelé qui doit parfaitement tenir dans ma main.

J’apprends qu’il est Syrien qu’il vit depuis peu dans une famille, ouais, son français est vraiment mauvais mais j’arrive tant bien que mal à le comprendre. On a déjà fait un tour de pâté de maison, nos cigarettes sont finies, il en sort une autre et me tend son paquet. Je refuse poliment et prends mon paquet de tabac pour m’en rouler une, on s’arrête le temps que je m’exécute.

Il me regarde faire puis me demande :

« Toi fume joint ? »

Surpris par ce vocabulaire je réponds :

« Oui »

« Tu as ? »

Non désolé j’ai pas.

« Ok et tu aimes… (il semble chercher ses mots et dit quelque chose en arabe avant de finir : pipe ?

Eh bien, étonnant pour quelqu’un qui parle si peu français…

« Non je fume pas la pipe »

« Pas fume pipe »

Et là en me regardant dans les yeux il approche sa grosse main là de son paquet le prends en main et me dit

« Pipe »

Je bloque, c’est surréaliste. Mais oui j’aime ça mais non ce n’est pas ce qu’il a voulu dire.

« Toi veux pipe moi » Oh putain si…. C’est ça ! Pas de doute possible. Je dois sourire bêtement, mon sang afflue partout, je ne ressens plus le froid, un miracle a lieu là maintenant, ce mec me propose de le sucer !!! J’arrive à lui répondre :

« Ok mais où ? »

« Maison toi ? »

« Je vis pas seul »

« ok pas de bruit » ah ouais non mais là clairement c’est pas possible, je te suce où tu veux mais pas chez moi.

« Pas possible, la forêt ? »

« Loin trouve endroit »

Trouve endroit… ok on va trouver. J’ai faim je veux te bouffer tu fais ce que tu veux de moi ou tu veux, je suis à toi. Je suis en plein rêve et en même temps plein cauchemar, ce mec me propose une pipe mais où qu’on n’aille pas un seul recoin discret…. On marche bien pendant 5mn, nos clopes se finissent, je suis en ébullition comme un chien fou qui cherche sa balle. Rien que dalle…

On revient dans la fameuse rue au-dessus des voies, côté rails. J’en peux plus c’est maintenant ou jamais, on est juste derrière une camionnette, je me retourne vers lui, lui mets la main au paquet et me rapproche de lui et avec assurance je lui dis :

« Ici »

Je le rapproche de lui pour tenter de l’embrasser, il tourne la tête. Je viens respirer son cou pendant que je sens sa bite grossir dans son survêtement. Visiblement il ne porte rien en dessous. Sa queue semble épaisse sous mes doigts. Je rentre la main dans son fut. J’avais raison. Le contacte de sa queue m’électrise, elle semble avoir une longueur moyenne mais rempli bien ma main. Je l’embrasse dans le cou. Il sent bon, sa peau est douce. Il se laisse faire et frémit un peu. Je sais que ce n’est pas le froid : sa respiration le trahit. Ma main quitté sa bite pour glisser vers ses boules, grosses et douces. Monsieur se rase visiblement. Mon autre main s’introduit sous son pull sur son dos, la fraîcheur le fait frissonner, je le caresse en passant devant. Ses ados sont fermes at mes doigts ondulent sur leurs reliefs.

Ma bouche tente de nouveau d’approcher ses lèvres alors que j’approche ses tétons, pointant sous la pulpe de mes doigts. Il me laisse faire et nos lèvres se rencontrent. Un baiser chaud mais un peu ferme. Il n’a pas l’habitude mais très vite ses lèvres s’assouplissent et laissent passer ma langue qui, presque brutalement rencontre la sienne.

Un baiser de quelque seconde dont il sort, comme on se réveille en sursaut, de peur qu’on nous surprenne. Je n’y pensais plus… il regarde de chaque côté de la rue puis me regarde et me dit : « suce ».

Pas besoin de me le dire 2 fois je plonge, ma main toujours sous son pull, glissant sur son ventre ondulé, doux, chaud et libère sa queue. Je n’en vois pas les détails : la pénombre n’aide pas et mon appétit non plus, ma bouche remplacera ma vue. Plus rien n’existe autour quand ma langue glisse de la base de sa queue au bout de son gland, je la sens surexcitée, je dois y aller doucement mais ma fièvre et mon avidité sont grandes. J’avale son membre par aspirations saccadées et maîtrisées, le tenant à la merci de mes lèvres contractée et de ma langue qui l’enveloppe, ondulant avec la succion.

Mon nez s’écrase sur son pubis et le garde ainsi prisonnier quelques secondes. Une main emprisonnant ses boules, deux doigts libres de stimuler son périnée. Il se cambre en avant comme pour s’enfoncer plus loin dans ma gorge. Je le libère progressivement avant de revenir à l’assaut, allant et venant en jouant sur la vitesse à chaque mouvement, ralentissant sur le gland. A chaque va et viens je le sens se contracter en moi.

Je lève les yeux vers lui qui lève les yeux aux ciels et les descends sur moi, se mordant la lèvre, son regard planté dans les miens, sa queue plantée dans ma bouche. Plus rien n'a d’importance, je le dévore, je le veux complètement, j’ai envie de lui pleinement, je le sens près de jouir.

Pas maintenant, c’est trop tôt, je le veux en moi…

Comme pour répondre à mes pensées il m’écarte, me relève, je lui vole un baiser avant qu’il ne plonge à son tour. Je l’aide à me déboutonner, il se jette sur mon boxer et me malaxe la queue avec ses lèvres. Pris d’un élan de domination je libère ma queue pour lui donner à déguster, une main derrière sa tête.

Sa bouche doit être novice, il n’est pas très doué mais me fait du bien malgré une aspiration trop prononcée. Ce qui se passe est inespéré et je ne veux pas l’arrêter dans son élan, je profite, je le guide pour qu’il la prenne en entier. Ses mains sur mes fesses et avec peine il réussit, je me sens bien au fond de sa bouche. Mais s’arrête aussitôt, se relève, ses mains quittant mon jean pour passer dessous, il agrippe mon cul et me ramène à lui. S’ensuit un baiser profond et animal tandis que ses doigts se fraient un chemin entre mes fesses jusqu’à trouver l’entrée qu’il tente de forcer mais, sans salive et maladroit, son geste est un peu douloureux. Je ne lui en veux pas, j’ai la même faim que lui. Alors je retire sa main, baisse mon boxer, mets de la salive sur ma main une première fois pour moi et une deuxième pour lubrifier sa queue. Je me retourne et me penche.

Je fais tout pour ne pas lui laisser le temps de se souvenir que nous sommes en pleine rue, vaguement cachés par une camionnette. Je le sens se mettre en position. Il glisse son gland jusqu’à l’ouverture, ma salive est parfaite pour ça. Je lui dis « doucement » je sais qu’il a compris. Il y va avec lenteur d’abord. Mon anus se détends et se forme à son épaisseur. Sa queue est dure mais coulisse parfaitement. D’une main, me sentant prêt, j’appuie sur ses fesses pour l’encourager à aller se loger au fond de moi. Il s’exécute.

Il reste un instant parfaitement uni a moi sans bouger, c’est parfait mais je comprends surtout à la contraction de sa queue que c’est avant tout pour ne pas jouir de suite. Alors je le laisse faire, maître de ses mouvements et de mon cul. Il commence ses va et viens. Lentement, son corps semble vibrer de petites convulsions. Il joue avec la limite tant qu’il peut et je suis aux anges, transporté, complètement ailleurs et pourtant très présent, savoir que ce mec canon qui, quelques instants plus tôt n’était qu’un fantasme, est en train de me baiser en pleine rue, à me donner un plaisir monstre et à en prendre aussi ne fait que renforcer mon état.

Puis d’un coup, il accélère, il ne tient plus. Je lâche des « oui » soupirants pour ne pas faire de bruits avant qu’enfin il se cambre complètement et se contracte violemment, ses doigts s’enfonçant dans mes hanches, je sens sa queue se contracter en moi plusieurs fois, me remplissant allègrement de son foutre avant qu’il ne ressorte assez vite, recouvrant ses esprits.

Il regarde de chaque côté de la rue. A priori nous sommes passés inaperçus. Je l’embrasse furtivement, il me rend mon baiser. Plus tendrement que je ne lui ai fait.

Nous nous rhabillons et repartons vers notre lieu de rencontre. Avant de nous séparer il me donne son numéro, je lui promets de l’appeler si je me retrouvais seul chez moi.

Ce que je fis quelques jours après seulement.

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