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Premier épisode | Épisode précédent

Étudiant appliqué | Saison 7 | Arnaud

Chapitre 8 | Rêver

Le récit de Julien

- « j’ai envie qu’on le refasse, Julien ! »

- « Viens ! »

Je l’ai entrainé à ma suite sans demander mon reste. Moi aussi, « j’ai envie » de ce rouquin malmené par la vie, de lui montrer toute la tendresse, toute la folie des corps qui s’attendent, qui s’accordent, qui s’enflamment. Rien ne me fait me sentir plus vivant qu’embarquer ainsi un homme vers la conscience de soi, en écho à celle qui m’a apaisé et épanoui en me révélant à moi-même.

Alors, sitôt refermée la porte de ma chambre et nos bouches soudées, je me suis appliqué à le célébrer, lui, mon écureuil, peau blanche et frissonnante, yeux bleu innocence, tous ses poils, entre paille et flamme, érigés par ma –modeste- science des caresses.

Je l’ai désarmé, pour le déshabiller posément, de toutes mes mains, empruntées à Shiva*1, celui qui porte bonheur, le bienveillant avec son troisième œil, puis Arnaud, impatient et soupirant, a précipitamment enfoui ses pudeurs sous la couette. Il la remonte au ras de ses yeux, et seule en dépasse la friche courte de ses cheveux où, soudain, naissent des flammèches qui courent dans l’herbe sèche.

Mais je ne me suis pas précipité à sa suite et je contourne lentement le lit, ma queue fièrement brandie, telle un sceptre.

Je renonce à refermer les rideaux, écartant la protection de la pénombre ; je veux désormais vivre avec la lumière. Et le restaurer, lui, dans son estime de soi.

Je songe qu’après avoir sauté au cou de Lecourt à vingt ans, c‘est encore un homme en début de quarantaine dont je m’entiche, trente ans plus tard. Mais la comparaison s’arrête là ! Je le contemple qui m’observe avec cette lueur malicieuse dans sa prunelle.

J’approche du lit, pose mes mains en appui, remonte un genou … Il soulève la couette en voile soudainement gonflée par le vent et m’ensevelit. Il s’est agrippé à moi et nos bouches se sont retrouvées. Je le laisse à la manœuvre, qu’il apprenne.

Lui, à demi dressé, son bras autour de mes épaules ; moi, un genou pressant le matelas quand j’ai encore un pied à terre et nos bouches qui s’essaient, maladroites et brouillonnes, ferventes et affamées, nos langues qui se cognent avant d’enfin trouver comment se nouer, nos souffles précipités par l’énormité de l’enjeu.

Suffoqué, il est retombé sur le dos, bras en croix, regard implorant, celui de l’ignorant qui s’aventure et, maintenant, attend la sentence qu’il espère favorable : a-t-il su ne pas me décevoir ?

Rien ne me chamboule plus que son aveu de vulnérabilité, il m’autorise. A être moi-même, faillible. Humain, donc. C’est cet étayage réciproque que nous avions bâti avec Lecourt, une équipe. Et lui, le rouquin dont la tension dessine tous les muscles, avec son regard de petit garçon perdu, que mon simple sourire le rassure : il me plait ainsi !

Il a imperceptiblement relevé ses épaules et, entre son pectoral et son biceps, s’est creusée la fosse axillaire de l’aisselle où son toupet moite et mordoré s’enroule en mèches rondes, s’en exhale son odeur légèrement piquante, une odeur d’homme hésitant, incertain. Un encens.

Je m’abats brusquement sur lui, l’immobilisant comme le rétiaire de son filet, j’ai remisé mon trident à l’écurie mais il doit nettement percevoir mon poignard qui lui barre la cuisse. Ma bouche s’est emparée de son téton. Sans ménagement. Il sursaute, reins cambrés, respiration bloquée dans un hoquet étranglé.

Je migre, vivement. La pointe de ma langue vient titiller celle de son crayon rose qui larmoie. J’en approche mes lèvres et dans un profond appel d’air, je l’aspire goulument. Ma langue le presse, le roule contre mon palais et ses sucs me régalent. Ma main a cueilli son paquet couvert de ces poils fins et très doux mais, encore une fois, il est submergé par ses sensations, gémit, gigote sous mes caresses et dans un vif retournement, s’arrache à moi et se place sur le ventre.

En soulevant ma nuque, je viens délicatement déposer ma joue sur son dos : La Comté, le pays des belles collines de Tolkien*² s’ouvre alors devant mes yeux. Je souffle un filet d’air pour coucher les poils fins et le faire frissonner. Ma paluche épouse ses courbes, ébouriffe le léger duvet soyeux, moule la cuisse.

Mon majeur court sur les globes, revient dans le creux des reins, pour repartir dessiner la faille qui les ouvre. Arnaud a écarté ses cuisses, relevé son bassin et mon doigt suit le sillon du périnée, remonte et pèse sur sa rosette. Il soupire.

- « Encule-moi, Julien ! »

Je me suis allongé à son côté, ma cuisse barre ses fesses, ma dague presse sa hanche, à demi écrasé sur son dos. Il a tourné la tête vers la fenêtre pour échapper à mon regard. Alors je viens murmurer à son oreille.

- « Est-ce que ça te procure VRAIMENT du plaisir, Arnaud ? »

Il opine vigoureusement de la tête dans l’oreiller.

- « Alors épargne nous ces mots qui blessent, Arnaud. Choisis les tiens, des mots simples mais qui disent ce plaisir qu’on partage … »

- « … Viens, … en moi. »

J’ai tendu le bras vers le chevet pour m’équiper et, d’un coup, il soulève sur un coude.

- « Non ! … S’il te plait … »

Mais je ne veux pas céder et ajouter une interrogation inquiète aux épreuves auxquelles il doit faire face. Prestement capoté, je laisse couler une généreuse rasade de gel dans sa raie où je le cueille d’un doigt qui, aussitôt, coulisse en lui.

Ses épaules se sont effondrées dans le lit sur un puissant soupir, il lâche prise, soudain, et recule de lui-même sur mon doigt, gémissant presqu’aussitôt son anus franchi. Au-delà, son conduit frissonne convulsivement et il respire bruyamment, dès mes premières caresses, remontant sous lui ses genoux écartés, impudique, offert.

Alors je l’enjambe et me positionne derrière lui, soulevé sur mes cuisses en ressort, pesant d’une main sur ses reins, abaissant ma bite de l’autre pour le pointer bien dans l’axe.

Encore une fois, je le laisse opérer. Il s’est redressé sur ses coudes et recule à quatre pattes, lentement, précautionneusement, avec de sonores expirations et des inspirations précipitées. Je le sens souple, déjà accueillant.

Je crois comprendre qu’il savoure le moment et mon cœur saute de joie de cette confirmation : il prend son pied ! Je le sens qui s’installe sur, ou plutôt, autour de ma bite. Son rectum palpite de mille frissons qui me serrent ou me relâchent, des stimuli discrets et d’autant plus redoutables qu’ils ne me laissent pas de marbre.

J’opère alors une manœuvre, m’allongeant sur lui, je le fais basculer sur son côté droit en m’enroulant, à demi sous lui. D’une main, j’ai relevé sa cuisse gauche vers son torse. Je la maintiens et j’ai verrouillé mes abdos pour bien rester engagé en lui, juste là où il a choisi de me positionner, là où mes plus infimes pressions semblent le combler. Je le regarde jouer de ses muscles et onduler du bassin, je l’accompagne souplement et nos mouvements contraires semblent l’aiguillonner dans sa quête.

Sa main en coiffe dispense quelques caresses légères à sa tige dressée et j’entends à sa respiration qu’il approche de la jouissance. Il a renversé sa tête en arrière et murmure faiblement en jouant de ma bite comme d’un instrument dédié à son plaisir.

Nos jambes se sont entremêlées et, ainsi arrimés, nous flottons, comme de grandes algues rubanées flexibles, ondulant au gré des courants qui nous emportent. Mais Arnaud ne sait pas, pas encore, je l’espère, distraire la tension, la différer pour la retrouver.

Il semble mu par une urgence à jouir, peut-être se sent-il coupable de prendre du bon temps alors que nous devrions être en plein travail …

Il explose avec trois petits cris de souris en plissant les yeux comme un forcené, comme si jouir était une torture, aspergeant son ventre dessiné d’une humeur presque transparente et, à ce spectacle, je suis cueilli par une houle qui me soulève les reins puis me berce de son ressac en échos.

Lorsque je me dégage, Arnaud se recroqueville en fœtus, sombrant instantanément dans le sommeil, comme en décompensation. Je le contemple ainsi endormi : homme en pleine force de l’âge, maintenant parfaitement relâché, son visage également apaisé. A son côté, il a posé une de ses mains, à plat sur le dessus, et ses doigts entrouverts laissent voir sa paume marquée de travailleur, comme s’il quêtait. Je la caresse d’un doigt et les siens se referment avec douceur, me retenant comme un doudou que l’on emporte dans le sommeil.

« … pourtant j’ai rêvé / Rêvé qu’on pourrait s’aimer …*3 »

Je songe à ce concert, cette grand’messe, toute de ferveur, mais moi, je ne suis pas triste, non ! Je le regarde ainsi assoupi quelques minutes, je veille sur lui, attendri par son air reposé, son souffle léger, alors qu’il retient toujours mon doigt entre les siens. Puis je songe à me retirer quand, alors, il ouvre les yeux, me jette un rapide coup d’œil avant de laisser retomber sa tête avec un petit soupir, les yeux clos.

- « J’ai dormi longtemps ? »

- « tranquillise-toi, je veillais sur ton sommeil. »

- « Mais quelle heure est-il ? »

Il s’est prestement assis, les yeux effarés. Moi, je me suis allongé, les bras croisés derrière la nuque, le regard droit devant.

– « Tu as une urgence ? »

- « je devais … Euh, non, rien d’urgent mais … »

- « Répond juste à ceci : as-tu honte, te sens-tu, le moins du monde, atteint ou sali par ce que nous venons de faire ? »

Il me regarde, interloqué pendant quelques secondes, puis il casse sa nuque, effondre sa tête et la secoue latéralement en signe de dénégation.

- « Non, je n’ai pas honte ! » Il respire profondément alors que son chef se balance encore de gauche à droite. « J’ai même … »

- « Tu as même … ? Maintenant que tu n’es plus emporté par le feu de l’action, peut-être pourrais-tu, MÊME, … m’embrasser ? »

Je ferme les yeux et je l’attends. Je sens son souffle s’approcher puis il dépose un timide baiser sur mes lèvres. Ma main s’empare fermement de son épaule et le retient de se redresser davantage.

- « Je suis gay, Arnaud ! Ce n’est ni une fierté ni une infamie mais juste un fait et ce n’est pas un choix, ni pour moi ni pour personne. Alors j’ai appris à vivre tel que je suis et je me suis appliqué à cultiver tous les plaisirs et, parfois, les bonheurs que je dois à cette situation. »

Je rouvre les yeux et le dévisage, alors qu’il n’est qu’à quelques centimètres de moi, impassible, attendant le développement.

- « Ces plaisirs, est-ce que tu veux bien prendre un peu de temps pour t’essayer à les partager avec moi, hum ? »


*1 Shiva-Nataraja, le danseur cosmique Ecoutez Ragunath Manet, danseur et chorégraphe

J.R.R. Tolkien est un auteur, universitaire et philologue (1892/1973) Il publie « Bilbo, le hobbit en 1937 puis achève son œuvre la plus connue « le seigneur des anneaux » en 1948, adaptés au cinéma par Peter Jackson.

*3 Mylène Farmer interprète « rêver » (1995 Farmer/Boutonnat) live au Stade de France en 2009, dans une grande ferveur … J'ai rêvé qu'on pouvait s'aimer / Au souffle du vent / S'élevait l'âme …

* Comment est fait notre trou du cul ? Plutôt que de céder à de probables infox d’origine inconnue, allons voir ce qu’en dit la faculté dans les documents mis à disposition.


Amical72

amical072@gmail.com

Suite de l'histoire


Complément santé : le trou du cul cet inconnu

« Si vous avez un jour été à une consultation de dépistage, si vous avez parcouru une brochure de prévention, vous avez forcément lu/entendu qu’un rapport anal est « un rapport traumatique, entraînant les lésions sanglantes, portes d’entrée et de sortie du VIH ».

Il y a quelque chose de cocasse à imaginer quelqu’un se faire prendre en hurlant de douleur jusqu’à ce que son partenaire, l’air de rien, finisse par sortir son sexe sanguinolent d’un air victorieux. Revenons sur terre : le sexe anal n’est pas plus traumatique que la défécation et c’est l’une des raisons pour laquelle la pratique a, pour certains, un petit goût de reviens-y.

Mais...Si l’on regarde la chose sur le plan physiologique, ce n’est pas si simple de se faire enculer. Notre appareil ano-rectal est principalement organisé pour nous permettre de rester digne en cas d’envie pressante. La sensibilité du rectum est sélective : vous savez sans réfléchir si son contenu est liquide, solide ou gazeux. Plus globalement, nous ressentons les variations de pression. Si votre partenaire vous fait des guilis avec l’index au Nord-Ouest de l’ampoule rectale, vous ne ressentez que la présence du doigt au niveau de l’anus, et un truc qui bouge à l’intérieur. Mais vous ne savez pas précisément où il se trouve, comme vous ne devinez jamais si votre partenaire est ou non circoncis. Votre anus, lui, est sensible. Non pas qu’il soit étroit – il ne l’est pas. Mais au cas où le cassoulet de la veille vienne à forcer le passage, il doit être en capacité de ressentir le danger pour remettre un petit coup de serrage.

Le contrôle du sphincter anal est à la fois involontaire (ou automatique) et volontaire lorsqu’il y a risque d’humiliation en pleine rue. En bref, notre trou du cul est gouverné par un réflexe, dit « recto-anal », qui peut être excitateur (c’est pas du sexe, c’est du muscle) ou inhibiteur. Le premier entretient le tonus permanent qui maintient l’anus fermé, le second lève le premier et lui permet de s’ouvrir, vous permettant de vous débarrasser de la potée auvergnate du week-end. Lorsque l’afflux de matières dans le rectum crée l’envie d’aller à la selle, l’anus s’ouvre et laisse le superflu rejoindre les égouts. Ce que vous pouvez contrer avec la partie de votre sphincter qui obéit à votre volonté si l’accès aux égouts est loin. Pourquoi je vous raconte tout ça ?

Pour éclaircir un peu le mystère de la sodomie. Car tout le problème réside dans ce que le cul s’ouvre de l’intérieur. L’intrusion extérieure tend plutôt à stimuler l’anus et à provoquer une fermeture opiniâtre. Et c’est là que ça fait mal. Et une fois que c’est passé, l’essentiel se passe dans le rectum, pas dans l’anus, et ça se cherche pour se trouver. Ouvrir un cul pour une sodomie de base, suppose donc une stimulation interne. Lever délicatement le réflexe de fermeture pour stimuler à l’intérieur, au-delà du canal anal, et déclencher petit à petit (ou très vite quand on maîtrise) l’ouverture. Ecarter le sphincter comme si l’on étirait de la guimauve n’avancera à rien, sauf si on trouve ça amusant. Le plus important est de lubrifier : l’anus ne se lubrifie pas naturellement et les frottements sont toujours douloureux ; la porte se ferme.

Par contre, ce n’est pas nécessairement une question de taille : introduire le petit doigt mal lubrifié, c’est plus douloureux que mettre l’index et le majeur avec un bon gel. Cela dépendra de ce qui excite chacun. Evidemment, on ne commence pas avec une jeune pastèque...L’ouverture, donc, se déclenche de l’intérieur.

Et après ? La plupart de la pornographie montre du pilonnage en règle qui semble mener l’acteur passif vers d’autres galaxies. C’est surtout que le pilonnage est visible à l’écran, plus que des micro mouvements qui joueront sur la pression rectale (cf. plus haut) et seront très stimulants sur le plan sensoriel... Mais ne rendent rien à l’écran. Une sodomie réussie, pour le passif, ne réside pas dans la stimulation la plus vigoureuse possible de l’anus, mais dans le jeu de pressions dans le rectum. Ce n’est pas l’actif qui donne du plaisir à l’autre, mais le passif qui vient le chercher. Demandez son avis à votre meilleure copine, car l’orgasme vaginal fonctionne de la même manière.

Après, à vous de voir si vous aimez du rapide, du lent, du profond, du micro ou du bourrin, le package complet, tout est possible et tout s’explore. Certains se procurent un orgasme comme ça (et « jouissent du cul ») d’autres auront besoin de se branler pour jouir avec leur bite, peu importe, tous les coups sont permis. Beaucoup de passifs ne connaissent pas ce fonctionnement pour le moins intime et pour cause : on ne leur a jamais appris. Beaucoup de passifs, aussi, le sont parce qu’ils ne peuvent pas être actifs : troubles de l’érection, peur de ne pas assurer, sentiment d’avoir une trop petite bite, éjaculation prématurée. Si l’apprentissage de la sodomie est raté, c’est toute leur vie sexuelle qui est nourrie, certes, par les fantasmes mais pas par la jouissance, et c’est probablement l’une des raisons du développement du chemsex : ressentir, enfin, quelque chose. Tous ces trucs se soignent, et ce n’est pas si mal.

La prostate, dans tout ça ? La prostate est une petite glande qui entoure le sphincter de la vessie, qui produit une bonne partie du liquide qui compose le sperme. Elle est particulièrement sensible pendant l’éjaculation, d’où l’idée d’un orgasme prostatique, qui est très discutée par les spécialistes. Le massage de la prostate (elle est facile à repérer : on la sent à travers la paroi rectale au bout du doigt, sur la partie dirigée vers le haut si le mec est allongé) va ravir certains, mais souvent mettre les autres mal à l’aise (avec une fabuleuse envie de pisser). Il existe depuis pas mal d’année des sextoys destinés spécifiquement à stimuler la prostate et le moins qu’on puisse dire est que cela ne fait pas fureur.

Peu importe si votre orgasme vient de la prostate, du rectum ou de votre bite. L’important est que votre rapport sexuel vous fasse du bien, quelle qu’en soit la manière, vous et votre partenaire, sans vous destroyer le fondement. »

Extrait de Chronique du Dr Michel Ohayon, Directeur médical du « 190 » centre de santé CEGIDD 90 Rue Jean-Pierre Timbaud, 75011 Paris publié dans Agendaq, juillet 2019.


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