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Chapitre 8
Les deux jours suivants se sont ressemblés.. Nordine, je dirais qu'il m'attendait avec impatience maintenant.. tripoté des jambes tout l'après-midi par le kiné, qui avait apprécié qu'il mette un boxer.. il faisait d'énormes progrès et on se baladait dans les couloirs.. jusqu'à ce que tout le monde parte et on regagnait sa chambre pour des vidanges mutuelles.. il était excité mon chéri et je faisais tout pour qu'il le soit encore plus.. mais il faisait du bruit le coquin quand il jouissait.. moi je me retenais en grognant.. et Valérie l'infirmière faisait celle qui était en colère.. mais on voyait bien qu'elle rigolait de nous voir heureux et surtout de voir son patient, qui commençait à ne plus l'être vraiment, aller de mieux en mieux..
Quand je suis arrivé le soir suivant, le vieux médecin m'attendait, sourire aux lèvres..
-j'ai décidé de faire sortir votre ami dès demain midi, le temps de faire tous les papiers et de lui redire mes recommandations..
-vous faites bien docteur, car je pense que ça va pas être facile de le tenir renfermé..
-je vais vous expliquer tout ce qu'il doit faire, de toute façon il lui faut encore quelques séances de kiné.. vous en connaissez un ?
-oui j'en avais vu un quand je mettais foulé la cheville l'année dernière..
-bien je ferais une ordonnance.. mais ce qu'il faut c'est surtout du repos, le plus possible.. pendant encore au moins une semaine dix jours.. pas d'efforts inutiles.. je connais la jeunesse, le plaisir de se retrouver chez soi.. alors, prenez soins de lui..
-vous pourriez pas lui dire ça directement.. car depuis qu'il a retrouvé tous ses moyens..
-je sais me coupe le médecin, il est intenable..
Et il rigole..
-écoutez! faites au mieux.. et si jamais il y a un problème, ce que je doute, eh bien nous sommes là..
-merci docteur, mais vous lui avez annoncé qu'il sortait demain ?
-non je lui dirais demain matin, quand il me le demandera encore une fois dit le docteur en riant.. comme ça il dormira mieux cette nuit.. et, vous pouvez venir le chercher ? on vous commandera un taxi pour rentrer.. qu'il ne prenne pas les transports encore un moment..
-pas de problème je serais là avant midi..
-merci, à demain!
Ce voyou de Nordine était effectivement intenable, il parlait sans arrêt, me disant qu'il en avait marre d'être là, qu'il serait mieux avec moi à la maison.. et il râlait..
Je l'ai pris dans mes bras, comme un enfant pour le calmer..
-écoute mon chéri, si tu continues comme ça je demande au médecin de te garder.. tu sais bien que t'arrives à la fin de ton séjour, demain ou après demain.. je suis sûr que tu vas bientôt sortir..
-je le demanderais demain matin au docteur quand il passe.. tu sais que j'ai encore fait des examens et le docteur m'a dit que c'était très bien..
Je le vois se mettre torse nu..
-regarde les cicatrices que j'ai ?
Les quatre impacts de balles se voyaient bien.. la couleur de la peau n'était pas la même..
-je peux toucher dis je en avançant la main
-j'attends que ça que tu me touches bébé..
-je parle des cicatrices voyou!
Il me laisse lui caresser le torse en le bombant bien, faisant ressortir ses tétons qui pointent aussitôt..
Je le fais tourner, et sur son dos, les mêmes cicatrices..
-là je trouve que tu fais vraiment le voyou de cité, cicatrices de partout.. ben mon chéri!
-voilà j'aurais pu avoir une vraie carrière de voyou maintenant dit il en soupirant et me regardant de ses yeux coquins.. mais il a fallu que je sois envouté par un céfran blond..
Il m'approche de lui, me serre doucement sur sa poitrine..
-et tu sais l'effet que tu me fais quand on est au lit.. quand je vais rentrer ça, va être la fête à ton petit cul mec! il doit s'impatienter de n'avoir pas eu de visites durant tout ce temps.. à moins qu'il ait eu d'autres visites.. un jeune flic blond par exemple..
-même pas bébé!
-tu me dirais si c'était le cas ?
-oui car ça n'aurait pas d'importance.. et tu sais, les premiers 15 jours j'avais pas envie d'aller baiser ailleurs, je ne savais pas où tu étais et tu m'avais brisé d'avoir disparu sans rien dire..
-oui je sais, je me doute de ce que tu as dû endurer.. mais je vais revenir et ça n'arrivera plus.. je te le jure Fabrice..
Alors on s'est embrassé tendrement, les yeux embués, serrés l'un contre l'autre, en se berçant mutuellement quand la porte s'est ouverte sur Valérie..
-vous vous entrainez pour le bouche à bouche ? dit elle en riant
On se sépare pour ne pas la gêner, mais Nordine garde ma main dans la sienne..
-vous allez me maudire ce soir, mais vous ne pourrez pas faire de bruit.. les médecins sont là dans la chambre d'à côté.. je suis venu vous prévenir.. mais vous vous rattraperez demain..
-c'est pas grave dis-je.. Nordine dormira sur la béquille ça le changera..
Elle me regarde, fronçant les sourcils et d'un seul coup, elle comprend et sort de la chambre en pouffant de rire..
Ca nous a pas empêché de se faire des bisous et des caresses avant que je parte, dernier visiteur de l'hôpital..
Le lendemain vers 10 heures, Nordine m'appelait pour m'annoncer la nouvelle et me demandait si je pouvais venir le chercher..
Bien sûr que j'étais là, pour voir mon Nordine souriant, heureux, les yeux pétillants.. faisant le fanfaron.. mais il y avait une ombre au tableau.. sa Valérie n'avait pas encore pris son service quand on est parti.. ((il a fallu qu'il l'appelle plus tard pour la remercier et papoter avec elle))
Il se croyait fort, fort comme un rebeu de cité.. et, bien que l'air de Paris ne soit pas si pur que ça, il a quand même pris un coup.. il faisait le crâneur, mais quand je l'ai aidé pour monter dans le taxi.. j'ai bien vu qu'il était content que je sois là..
On a pris l'ascenseur pour monter les trois étages, je le tenais par la taille et je lui faisais des bisous de temps en temps.. je voyais bien qu'il souffrait quand même, sa mâchoire serrée le montrait bien.. je n'ai fait aucune réflexion..
-bienvenue à la maison mon amour, bienvenue chez toi maintenant!
Il a entouré mon cou avec ses bras, sa respiration était saccadée..
-merci mon amour.. j'ai envie de m'allonger un peu.. ça m'a crevé ta balade en voiture.. dit il en grimaçant un sourire..
Je l'ai emmené dans notre chambre, il s'est allongé.. je l'ai installé avec les oreillers comme j'avais vu faire Valérie.. et je suis lui ai fait un bisous..
-elle te faisais pas de bisous Valérie hein ?
Il rigole..
-repose toi un peu, je vais défaire tes affaires et faire une lessive , enlever l'odeur de l'hôpital..
Quand je suis sorti de la chambre il dormait..
Il s'est réveillé une heure après.. il avait faim.. nous avons déjeuné et il a mangé de bon appétit..
-mais tu travailles pas aujourd'hui ?
-non j'ai pris ma journée
-tu savais que je sortais ce matin ?
-oui le médecin me l'avait dit hier soir, mais il ne voulait pas que tu le saches pour que tu dormes mieux la nuit dernière..
-vous êtes bien tous des voyous! alors tu restes avec moi cet après midi ?
-oui à moins que tu veuilles pas de moi..
-alors on pourrait faire une petite sieste.. tous les deux..
-il t'a dit quoi le docteur ?
-je sais ce qu'il m'a dit.. mais quand je parle de sieste.. c'est dormir bébé.. enfin ce que je voudrais, c'est t'avoir dans mes bras, allongé sur un lit, notre lit.. et l'envie, s'il y a envie.. on verra bien ce qu'on pourra faire.. mais ce que je veux c'est juste t'avoir contre moi et que tu me fasses des bisous..
-et pas toi alors ?
-moi je suis en convalescence mon amour.. faut me ménager..
Il riait en allant s'allonger..
Quand je suis arrivé dans la chambre, il était en boxer.. et je voyais la forme de son sgeg coincé dans le boxer.. mais c'était pas la grande forme..
Je me suis mis dans la même tenue, et je me suis allongé près de lui, sa main sous ma tête, m'a attiré à lui..
-viens contre moi mon amour..
J'ai posé ma tête dans son cou.. sa main m'a caressé la joue..
-enfin je te retrouve bébé.. tu m'as tellement manqué tu sais.. je peux te le dire maintenant..
-Nordine ne te fais pas de mal à repenser à tout ça..
-si! il le faut, il faut que tu saches une chose que je ne t'ai pas dite encore.. quand j'ai reçu les balles et que je me suis écroulé sur le trottoir, je n'ai pas perdu conscience tout de suite.. c'est comme ça que j'ai vu les frangins venir vers moi, me viser encore avec leurs armes.. mais quelqu'un a crié dans la rue et ils se sont sauvés en courant.. j'ai fermé les yeux et c'est vrai que ma toute petite vie a défilé, j'ai revu mon enfance, ma famille que j'ai pas vue depuis une éternité.. et j'ai pensé que j'allais crevé, là sur le trottoir.. et d'un seul coup ton visage m'est apparu.. je n'ai pas compris ce que tu me disais.. mais tu me souriais même si tu n'avais pas l'air content.. et là j'ai su que je ne pouvais pas mourir.. il fallait que je te revois.. et tu vois c'est ce qui c'est passé!
Les larmes coulaient de mes yeux sur son torse..
-pourquoi tu pleures bébé.. ça y est c'est fini, c'est passé.. maintenant on va vivre! s'amuser, tous les deux.. je te promets de chercher du boulot car je ne veux pas me laisser entretenir..
-t'es bête quand tu veux quand même..
-touche moi la queue, fais moi bander bébé et branle moi en me faisant des bisous.. je veux jouir de ta main et de tes bisous..
C'était pas dur comme travail.. mais je me suis appliqué.. j'étais sûrement aussi heureux que lui, quand ma main est passée dans le boxer pour saisir le gros zob bien raide.. descendant le boxer sous ses couilles..
Le zob était à ma merci..
Pendant que je lui faisais des bisous dans son cou chaud, qu'il m'offrait.. ma main caressait cette bonne bite bien chaude et raide.. je l'ai tripoté, caressé, branlé lentement.. jusqu'à ce que ses lèvres se tournent vers les miennes pour me donner sa bouche.. m'offrir sa langue qui retrouvait la mienne.. un baiser passionné, les lèvres qui se bouffent.. les langues qui s'agitent projetant les salives dans les bouches adverses..
Je ne l'avais jamais entendu tant soupirer, tant râler en s'offrant et je sentais bien sa queue durcir de plus en plus en se raidissant encore.. sa poitrine se gonfler, pour, en me lâchant les lèvres.. sa langue tirée, soupirer un grand coup en même temps qu'il jouissait.. poussant un grand cri.. la giclée nous est arrivée dessus, retombant sur nos têtes, en laissant une grand trainée au milieu de ses cicatrices.. il râlait, je continuais à le caresser, le branler et les autres giclées sont arrivées, moins loin.. mais aussi abondantes.. son torse était noyé de bon jus rebeu..
Sa tête est retombée sur l'oreiller, me regardant en riant..
-t'es bien le meilleur bébé !
On s'est embrassé, j'ai léché son visage de toutes traces, lui donnant son sperme du bout de ma langue..
J'ai attrapé une serviette pour éponger l'excédent.. il haletait quand même.. mais il m'a repoussé pour que je me mette sur le dos, sa tête au dessus de la mienne, ses beaux yeux brillants me fixaient..
-et toi ? t'es capable d'en faire autant monsieur le voyou en chef..
Sa main est venue se saisir de ma queue qui n'attendait que ça.. et, sans ménagement s'est mis à me la pétrir, la serrer dans sa main, la décalottant et passant son pouce sur le gland humide..
Ses lèvres étaient à quelques centimètres des miennes.. je sentais son souffle..
-fais moi joui bébé.. j'aime ta main chaude.. oui c'est ça! branle moi plus fort.. tu sens comme elle est bien raide ? tu vas voir tout le jus que je vais te..
Mais il a écrasé mes lèvres siennes, sa langue entrant au fond de ma bouche et sa main s'activait sur ma queue.. j'étais tellement heureux d'être rentré avec lui, de le sentir contre moi.. sa branle s'accentuait et d'un seul coup, mes fesses se sont soulevées en même temps que la première giclée sortait.. j'ai gueulé également mais mon cri était étouffé par la bouche de Nordine.. et j'ai joui, joui.. je ne sais combien de giclées.. quand j'ai ouvert les yeux, c'est pour voir Nordine qui en avait sur les joues.. j'ai enlevé avec un doigt et je lui ai donné.. il m'a léché le cou et me donnait sa langue..
Il m'a essuyé partout.. et on est resté allongé, face à face.. yeux dans les yeux, bouche contre bouche, échangeant nos souffles.. on n'avait pas besoin de parler.. nos yeux le faisaient pour nous!
Mais mon téléphone a sonné..
J'ai attendu plusieurs sonneries avant de détacher mes yeux de Nordine, pour voir qu'il s'agissait de William..
-c'est ton flic blond William dis je, je réponds ?
-oui sinon il va revenir à la charge!
En décrochant, je mets le téléphone entre nous deux pour que Nordine puisse entendre..
-oui William ?
-ah Fabrice! ça va ? excuse moi de te déranger.. mais comment va Nordine ? j'ai appris qu'il était sorti de l'hosto
-il va à peu près, il lui faut encore du repos, tu sais
-bien, bien.. si je t'appelle c'est que je suis un peu intéressé, disons même beaucoup.. mon commandant dit qu'on va avoir encore besoin de lui..
-euh.. tu sais très bien ce qu'il t'a dit la dernière fois..
-oui je sais.. mais il est avec toi ? passe le moi s'il te plait
Je vois Nordine me faire signe que : non
-non il n'est pas avec moi.. il se repose..
-mais je peux le joindre comment ?
-t'as essayé son portable ?
-oui mais je tombe sur la messagerie et il ne m'a pas rappelé..
-ça m'étonne pas William
-mais toi.. tu peux le joindre ?
-pourquoi je ferais ça ? t'en as besoin pour quoi ?
-j'aimerais mieux lui dire à lui directement
-écoute, si tu veux qu'il vienne, faut passer par moi William!
Je vois Nordine me faire signe en levant son pouce, avec un grand sourire..
-ah t'es dur en affaire Fabrice, voilà.. on est pas resté sans rien faire, avec ce que Nordine m'a raconté hors PV, nous avons pu surveiller la bande et localiser tout ce qu'il fallait, identifier une bonne partie des copains aux frangins.. donc on va les interpeller demain matin à l'aube.. on devrait trouver la came et le fric ainsi que plein de matos.. on espère retrouver l'arme qui a tiré sur Nordine et faire immédiatement une recherche balistique..
-eh bien tout va bien! je vois pas où t'as besoin de Nordine
-mon commandant dit que les frangins ne vont pas avouer avoir voulu le tuer.. pour le reste ils seront bien obligés de reconnaitre et ils savent qu'ils risquent 10 ans de taule.. et qu'ils sortiront dans 5.. donc il faudrait faire une confrontation entre les frangins et Nordine pour qu'il les accuse en face, qu'il dise bien qu'ils les a reconnu lorsqu'il était à terre.. même s'ils nient.. les juges aiment qu'une confrontation soit faite.. et en plus cela rajoute 15 ans à la note pour tentative d'assassinat en réunion.. comme ça on est pas près de les revoir..
Je vois Nordine me faire "oui" de la tête..
-je vais lui en parler et je te rappelle.. mais se sera quand ? car franchement il a besoin de repos et de calme en ce moment..
-pour les stups on a droit à 96 heures de garde à vue.. donc on traitera la tentative d'assassinat le dernier jour, disons qu'on aura besoin de Nordine dans trois jours.. cela lui laisse du temps..
-je vais lui dire tout ça William..
-ça serait vraiment sympa qu'il accepte.. même mon commandant a dit qu'il le remercierait.. alors tu vois..
-écoute s'il accepte, tu viendras nous chercher et nous ramener.. car tu t'en doutes je serais là également!
-j'en doutais pas dit William en riant, merci beau blond! et tu feras une bise à ton chéri de ma part! bye!
-bye William
-alors t'en pense quoi Nordine ?
-d'abord tu dois me faire une bise.. t'as déjà oublié voyou en chef?
Je lui fais une bise sur la joue..
-c'est tout ?
-eh c'est la bise d'un flic que je t'ai fait..
Il rigole..
-sinon il a raison ton flic, il faut faire une confrontation, que je les accuse les yeux dans les yeux.. de toute façon on se connait avec les frangins.. et, s'ils ont voulu me tuer c'est qu'ils avaient peur de moi.. donc là, ils vont comprendre qu'ils ont tout perdu..
-donc ils vont balancer sur toi également
-je m'en fous.. ils pourront dire ce qu'ils veulent.. de toute façon je suis sûr que mes anciens mecs ont déjà tout fait disparaitre quand ils ont vu les keufs venir trainer dans la cité.. et puis merde! on verra bien ce qui se passe.. j'ai confiance!
-dans les flics ?
-de toute façon si on fait pas la confrontation maintenant faudra la faire chez le Juge.. alors autant le faire maintenant ça leur évitera de dire des choses sur moi.. j'en suis sûr.. là ils vont être assommer par l'affaire de stups et en plus en dernier ils vont leur coller le fait d'avoir voulu me tuer.. tu sais les frangins c'est pas des foudres de guerre pour réfléchir..
-je rappellerais William demain
-on fait quoi en attendant mon chéri ?
-je vais aller étendre le linge, appeler le kiné pour qu'il vienne demain, faire des courses pour te faire à manger ce soir.. toi tu vas aller prendre un bain.. que t'arrêtes de sentir l'hôpital et que je retrouve ta bonne odeur.. après il sera l'heure de dîner.. que tu prennes tes médicaments, que je te passe la pommade sur les cicatrices.. et je ne sais plus quoi encore..
-moi je sais dit Nordine en levant la main.. après je te suce pour te remercier de tout ça et tu m'en fais autant.. ensuite on dort comme des loirs serrés l'un contre l'autre.. car demain tu retournes au boulot je pense ?
-tu penses mal.. je n'ai pas pris que ma journée mais 8 jours pour rester avec toi.. je retournerais au boulot quand tu seras capable de me baiser debout!
-dans ces conditions.. je vais prendre mon temps mon céfran blond adoré, que j'aime de tout mon cœur et qui me le rend bien!
J'ai peiné à sortir du lit.. j'avais l'impression d'être avec une pieuvre amoureuse.
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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