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Chapitre 6
La déchéance de Benoit ne venait que de commencer.
Plusieurs semaines se sont écoulées, Benoit ne pensait qu’à Louis, comment lui faire plaisir, comment le servir. Il ne pouvait plus sortir de sa tête le corps de son maitre. Il en rêvait la nuit comme le jour. Le plug lui était toujours inconfortable, mais il prenait du plaisir par sa présence bien profond dans son cul et par la simple idée d’obéir. Son plaisir augmentait en intensité à chaque ordre donné par Louis. Comme si en dehors du sexe et de son rôle de chienne, il était soumis aux désirs de son initiateur.
Après avoir sucé 5 à 6 fois par semaine la queue de Louis, Benoit ne pouvait plus s’en passer, il était devenu accro à la bite. Benoit demandait même s’il pouvait passer pour sucer. Louis n’étant pas disponible pour satisfaire l’addiction sexuelle de son soumis, il l’envoya auprès de Mathieu pour combler son absence.
Mathieu et Louis baisé alors Benoit chacun leur tour 2 à 3 fois par semaine, le gosse supporta le choc, son cul n’était plus du tout le même par rapport à ses début. Un petit trou fermé a laissé place à une béante chatte accessible sans effort grâce au plug et désormais ouverte par des heures de sodomie.
Les deux amis décidèrent de se réunir pour prendre ensemble le petit Benoit. Ce plan à trois tourna en plan sandwich, une queue devant et une queue derrière.
Voulant toujours poussé plus loin et vérifier l’ouverture du trou de leur lope. Les gars commencèrent une double pénétration. Si Benoit résista au début, après 10 secondes, il lacha prise et s’abandonna à ses maitres. Il était désormais totalement à leur merci, ne pouvant rien leur refuser.
Sans vouloir stopper mes folles envies sexuelles, je questionnais Benoit sur son cousin, le fameux Hugo; rencontré un soir après le Bad. Benoit me le présenta comme un gars mignon, populaire dans sa classe et bon élève. Toutefois, après avoir pris le contrôle de la discussion, Benoit me fit remarquer des petits détails, qui pris seuls ne voulaient pas dire rien chose, mais qui réunit pouvaient être plus intéressants.
En effet, Hugo c’était depuis quelques mois laissé pousser les cheveux et ne voulait plus prendre de muscle, ni prendre de poids, et donc rester le gosse qu’il était. Benoit était mécontent, puisque initialement, ils voulaient aller ensemble à la salle. J’analysais ces détails comme des indices pour une plus grande chose mais je n’osais imaginer plus qu’une transition vers son coming out. En effet, je ne pouvais encore appréhender la réalité de sa situation.
Pour me le faire et au passage m’éclater à fond, je prévenu Mathieu de mon plan. Il est son entraîneur de tennis, ce qui allait nous faciliter les choses. Mathieu ne voulait pas participer à la fameuse scène des douches et risquer de le voir fuir en courant au moindre faux pas de ma part. J’acceptai de me dévouer mais s’il voulait profiter du petit, il devait m’aider au moins à le chauffer au préalable. Le mettre en condition en quelques sortes. Ainsi, je convaincu Mathieu d’entamer un rapprochement, l’intérêt pour moi était de confirmer la docilité d’Hugo analysée précédemment.
Mes attentes ont bien été satisfaites. Mathieu avait réussit après une séance « perso » avec lui à selon ses dires « révélé sa part de chienne ». Et c’était bien le cas, le bougre, il avait convaincu Hugo après une heure de sport de le masser. Mais comme on pouvait s’y attendre, Mathieu ne put résister à la tentation. Je lui avais expliqué ma technique utilisée pour Valentin. Il su très bien l’a réutiliser. En effet, après l’avoir fait mettre à genoux pour masser ses pieds. Mathieu lui lacha :
- Mathieu : « Tu masses si bien, continue petit gars »
Hugo tout heureux de l’intérêt que l’entraineur lui porté, continua avec davantage d’effort le message, jusqu'à ce que :
- Mathieu : « Excellent, maintenant utilise ta bouche pour le masser »
Hugo hypnotisait par l’ambiance se lassa faire et mis en bouche l’orteil de Mathieu. Il commença par quelques coups hésitants de langue. Mathieu appuya sur sa tête pour le forcer à intensifier le rythme, ce qu’Hugo fit. La tête du petit suceur de pieds se retrouva très proche de la queue grandissante de Mathieu. A ce moment, comment résister voyons. Mathieu descendit son short et son caleçon, pour en sortir son terrible engin.
- Mathieu : « Viens par ici, tu vas sucer ma bite maintenant »
Hugo toujours en trans se laisse guider par la main tendu de Mathieu qui l’attirait inexorablement vers sa queue. Hugo ouvrit la bouche instinctivement et commencai à sucer comme il le fit avec le pied. Mathieu ne se contrôlait plus, il baisa littéralement sa bouche par une cadence digne d’un acteur porno.
Mathieu profita de l’absence cérébrale d’Hugo, pour m’envoyer une vidéo de la scène, et m’invita à venir au plus vite. Ni une, ni deux, je partis direction le gymnase dès la réception du message.
Arrivé aux douches et pour révéler ma présence, je lâcha un :
- Moi : « Faites comme si j'étais pas là »
- Mathieu « A enfin, ce n’est pas trop tôt, regarde ce qu’on a ce soir »
- Moi « Eh bien, j’avoie je suis surpris par la facilité et la rapidité que tu as eu faire de lui une petite salope »
Hugo réagit bien sûr, mais il était coincé par la pression imposée par Mathieu qui limait toujours autant sa bouche.
Là, Mathieu prit sa tête et la dirigea vers mon entre jambes. Je sortis ma queue bandée et la fourra avec plaisir au fond de la gorge de ce petit Hugo. Du coin de l'oeil, je vis Mathieu lui malaxait le cul. Presque d'instinct Hugo enfonça son visage entre mes cuisses alors qu'une de mes mains jouait avec son téton et que l'autre accompagnait le mouvement de sa nuque. J'entendis Mathieu donner une bonne fessée à Hugo qui gémit de contentement. Il fit glisser son short à ses chevilles et l'obligea à se cambrer. Hugo avait un cul magnifique, bien galbé, rebondis et parfaitement cambré.
Mathieu arracha presque le boxer du petit. Mais, à cet instant, Mathieu fut pris de surprise. Le trou d’Hugo était déjà occupé, par rien de moins qu’un plug.
- Mathieu : « Matte ce cul, il y a un plug »
- Moi dans un rire non dissimulé : « Quelle magnifique surprise, on doit pas être les premiers à passer »
- Mathieu en retirant le plug « Wouaou, quel trou, on doit être bien dedans »
Mathieu allait faire sa première sodomie avec un gars, enfin avec une chienne surtout.
Mathieu cracha sur son trou. Hugo gémit de bonheur sous ce mollard. Mathieu vira son jean et son calbut, gifla les fesses, avant de planter sa queue au plus profond de cette chatte ! J'étouffais les cris d’Hugo en l'enfonçant encore plus profondément sur ma queue, lui baisant littéralement la gueule dans des clapotis de salive. Mathieu le bourrait bien, il savait tringler un cul c'était certain. Il lui collait de ces fessées, lui claquait les flans, lui tirait les cheveux en arrière, appuyait sur ses reins pour le forcer à se cambrer plus. Mathieu dominait cette lope, ses râles masculins et ses coups de reins brutaux semblait exciter Hugo comme jamais. Ce dernier se déhanchais complètement sous les coups de queue, il s'écartait les fesses des ses mains, il se comportait comme une bonne chienne.
Mathieu sortit de cette chatte, j’en profitais pour venir placer ma bite derrière la croupe de cette chienne. Mathieu n'attendit pas pour planter son zob au plus profond de sa gorge. Je sentis son trou s'ouvrir sous la violence de mes coups de rein, mais plus rien ne comptais, j'avais ma queue dans une chatte, alors qu'on morfle ou kiffe, je m'en battais les couilles. Je lui limais l'orifice, l'insultais, le baffais. Je voyais mes énormes couilles battre contre sa chatte à chaque aller retour dans un bruit de succion immonde tant sa chatte mouillait. Je m'appuyais de tout mon poids sur ses reins ce qui l'obligea à cambrer son cul au maximum. Je sortis ma queue pour l'y rentrer ensuite. Et ainsi de suite. Chacun de ses trous était violemment utilisé, sans pitié, sans merci. Ce n'était plus un gosse, mais bien cette petite chienne soumis à nos fantasmes.
Mathieu était un vrai mâle en chaleur, il lui bourrinait sa gorge sans la moindre pitié. Sa queue longue et large glissait dans son bouche, provoquant des hauts le cœur chez son pompeur. Voyant le foutre de Mathieu gicler dans tous les sens, suinter au coin des lèvres de notre pute, j'entrepris de lui démolir encore plus la chatte. J'y glissais mon pouce et lui écartais le trou avant de commencer à accélérer la cadence, je voyais ses fesses ondulaient sous mes coups de grosse bite, mes couilles battant violemment contre son cul. Soudain, je sentis le foutre monter, je m'enfonçais au plus profond de ses entrailles, j'y déversais des litres de foutre gras et visqueux, du foutre de mâle. Lorsque je sortis ma queue de son cul ce dernier ne se referma pas, il resta béant, grand ouvert, baillant au monde entier. Je lui claquais le cul, me rhabillais et me barrais avec Mathieu. Mais, avant de partir, je pris les photos nécessaires pour mémoriser notre exploit.
Louisorigine
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