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HISTOIRE

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Premier épisode | Épisode précédent

Les délices de la soumission

Saison 1

Chapitre 4

Avec précaution, je fus conduit dans le salon. On m’ôta les menottes qui commençaient à endolorir mes poignets, puis on me fit agenouiller et installer sous - ce que je découvrirais quelques secondes plus tard - un genre de table haute de bar, rectangulaire, permettant de boire et de manger debout. J’entendis ensuite que l’on dépliait probablement une nappe ou quelque chose d’approchant. Au léger souffle sur ma peau, je compris que l’on en avait recouvert une table.

- Tu vois, on ne manque pas d’imagination, nous non plus, dit Philippe. On va faire ce que l’on n’a pas pu faire au resto, l’autre soir.

- Je vois ça, répliqua Stéphane. C’est plutôt sympa comme plan. Je pense qu’elle va adorer ça.

- Vaut mieux pour elle, sinon c’est la cage directe, à l’eau et au pain sec, interjeta Florian pris d’un fou rire.

Des verres, des bouteilles, des assiettes furent posés sur la table. Nos amis se préparaient de bonnes agapes auxquelles je ne participerais pas. Les miennes seraient d’une autre nature, issues de l’agriculture biologique.

- C’est sympa d’avoir organisé tout ça fit Stéphane. On a bien bouffé ce soir, mais je commençais à avoir un peu la dalle. Je vais pouvoir recharger les batteries.

- Tu en as certainement plus besoin que nous fit Philippe. Nous, on a encore les couilles bien pleines, mais toi tu as dû déjà pas mal décharger vu la petite perle que tu t’es dénichée.

- Oui je ne sais plus. Trois ou quatre fois déjà. Faut dire qu’elle est hyper bandante la salope, et toujours prête à se faire niquer.

- Putain quelle santé ! Trois ou quatre fois déjà ? Je te l’achète tout de suite si tu me la vends, déclara Florian. Avec mon entraînement, elle gagnerait non seulement le grand prix de l’Arc de Triomphe, mais aussi le Prix de Diane, du Jokey Club et bien d’autres. Je me ferais un putain de fric avec une telle gagneuse.

Notre ami Florian était un turfiste avéré et semblait bien s’y connaître en matière de pouliche. Son œil aguerri m’avait probablement évalué selon les mêmes critères : croupe bien ronde, jambes longues et fermes, jarrets larges, proportions harmonieuses, vient à l’homme, se laisse caresser, ouvre la bouche en signe de coopération et surtout, dans mon cas, bien débourré – je n’ai pas écrit « bourré » -, c’est-à-dire docile, obéissante, acceptant les accessoires sans rebuffade. Tout mon portrait en somme.

- Et elle, elle n’a pas faim ? reprit Philippe.

- Oh non fit Stéphane en riant, je lui ai déjà donné à manger si tu vois ce que j’veux dire. Et puis faut bien qu’elle mérite son picotin d’avoine.

Tous se mirent à rire de concert.

- Bon, je crois que tout est prêt, les mecs. On va pouvoir déballer l’attirail. Allez, on y va.

J’entendis alors des froissements de vêtement que l’on quitte, des braguettes qui s’ouvrent, des glissements divers et variés me laissant supposer qu’ils se mettaient à poil.

- Putain, t’es vraiment balèze comme mec, fit Stéphane à Florian. Philippe, toi aussi tu es beau mec. Bravo les gars ! C’est un vrai régal d’être avec vous.

- Rassure-toi, tu es superbe aussi et c’est donc un plaisir largement partagé, répliqua Florian. Tout comme, notre petite jument qui attend sagement sous la table. Eh la pouliche ! Tu peux enlever tes œillères pour mater le spectacle.

Je me découvris les yeux et vis un spectacle hallucinant. Trois trous avaient été découpés dans la nappe en papier qui descendait jusqu’au sol, et trois belles bites s’y étaient engouffrées m’offrant un panorama inoubliable. C’était la séance glory-holes.

- Bon, tu sais ce qu’il te reste à faire là-dessous. Alors, vas-y et applique-toi que l’on te baise bien la gueule, déclara Philippe sur un ton impératif.

- À vos ordres, Maître Philippe.

Aussitôt, je me mettais à sucer avidement en gorge profonde ces belles trois queues offertes. Souvent, pendant que j’en gobais une, je branlais les deux autres. Celle de Florian me posa le plus de problèmes, 23 cm, c’est un sacré morceau. Je ne pouvais pas tout engloutir et il me le fit remarquer.

- Eh la salope ! Faudrait voir à m’avaler tout le manche sinon ça ne va pas aller.

- Du calme fit Philippe. Elle fait ce qu’elle peut. Un peu de bienveillance s’il te plaît. Avec un chibre comme le tien, ce n’est pas facile, faut le reconnaître. Avec moi, elle n’a pas ce problème, elle pompe bien à fond. Toi aussi Stéphane ?

- Oui tout à fait.

- OK OK fit Florian, mais applique-toi bien, sinon c’est retour au paddock et sans avoine et Staline ne va pas être content.

- Que vient faire Staline là-dedans ? interrogea Stéphane.

- C’est l’un des noms de ma queue, répondit Florian.

- Quel rapport ? demanda Stéphane

- Staline, le grand démocrate russe qui adorait la pipe.

Tous éclatèrent de rire. Je dus me retenir pour ne pas les accompagner.

- Elle en a d’autres si tu veux le savoir, continua Florian.

- Lesquelles ?

- Adolphe ou César parce qu’ils avaient toujours le bras tendu.

Les rires redoublèrent. Décidément, ce Florian était impayable. Malgré ce joyeux intermède, je continuais à remplir ma tâche avec sérieux. Combien de temps cela dura-t-il ? Difficile à dire, mais au bout d’un moment, je commençais à fatiguer. J’avais des crampes dans les mains à force de leur taper la colonne, et même chose avec les mâchoires. Après les rires, tranquillement installés en train de siroter et bâfrer, ces messieurs dissertèrent sur des sujets essentiellement de cul, la soirée s’y prêtant à merveille.

- Alors Stéphane, tu m’as l’air bien jeune pour être aussi expérimenté, dit Philippe.

- Je suis jeune, il est vrai, mais aux âmes bien nées - la valeur n’attend pas le nombre des années.

- Et cultivé en plus. Monsieur nous cite du Corneille. De mieux en mieux fit Florian.

- Eh oui, on a la culture que l’on peut, répliqua Stéphane en riant. Moi j’ai surtout la passion de la culture sans le « ture » final (rires). Vous savez, ça fait un moment que je pratique. Des mecs, j’en ai eu d’autres avant lui, mais avec lui, ce n’est pas pareil. Ça fait longtemps que l’on se connaît. Depuis le collège en fait, et j’ai toujours senti chez lui une âme de pédale. Je me souviens d’un prof au collège qui portait des pantalons serrés et exhibait en permanence une braguette bien remplie. Du coin de l’œil, je matais le Luc, et à chaque fois, je surprenais son regard fixé sur la queue du prof. C’était un signe qui ne trompait pas. Mais à l’époque, j’étais encore très porté sur les nanas et n’envisageais pas de me taper une petite pute dans son genre, même si à plusieurs reprises je fus tenté. Le conformisme peut-être ou la peur de devenir une tantouze, je ne sais pas. Toujours est-il qu’il m’attirait indéniablement avec sa petite gueule de premier de la classe, toujours souriant, son petit cul moulé dans ses jeans. Je lui aurais bien mis la main au derche, mais au dernier moment, je me rétractais, alors je me branlais en pensant à lui, l’imaginant me suçant ou faisant coulisser sa chatte sur mon piston. Et puis je l’aimais bien pour un tas d’autres raisons. C’était un bon compagnon et on rigolait bien. Alors quand j’ai su que l’on allait partager un appartement ensemble, j’ai profité de l’occase pour assouvir mes fantasmes et lui faire réaliser les siens.

Cette longue déclaration me fit chaud au cœur. Mon Stéphane dévoilait ses sentiments à d’autres. Excité par cette déclaration, je redoublais d’ardeur en embouchant sa queue le plus profondément possible.

- Et ça fait longtemps que tu la baises ? demanda Florian

- Depuis 2 ans environ. Ça n’a pas été compliqué. Loin de Papa et Maman, les choses étaient plus simples et il était mûr pour se faire loper.

- Et il s’était déjà fait baiser avant ? questionna Philippe.

- Non, je ne crois pas. Il était puceau de partout. Par contre et parce qu’il me l’a dit, dès qu’il se branlait, il pensait uniquement aux mecs et à leurs bites, et toujours dans une situation de soumission. Le terrain était donc favorable. Suffisait juste de trouver le bon moment.

- Je suppose qu’après son dépucelage, elle est vite devenue experte en bite. Tu lui as révélé sa vocation de pute. Elle a un talent inné, ta petite chienne, c’est évident. Elle est faite pour s’avaler de la queue par tous les trous. Hum ! C’est bon ça. On va putain bien s’amuser. J’en étais sûr, s’exclama Florian.

- Eh là-dessous ! Ce n’est pas parce que ton copain te fait des compliments qu’il faut te relâcher ! T’arrêtes surtout pas de nous faire coulisser le trombone. T’es uniquement là pour notre plaisir, faudrait pas l’oublier ! me réprimanda Philippe. Et ensuite, comment tu en es venu aux mecs ? demanda-t-il à Stéphane.

- Oh tout simplement au lycée. J’en avais terriblement envie et les occasions ne manquaient pas. Étant plutôt bien fait, je me faisais draguer, donc pas besoin de chercher, j’attirais toutes les salopes, filles ou garçons, comme un aimant. Les garçons étaient plus rares, mais certains n’hésitaient pas. Et putain, j’en ai tiré quelques-uns et j’aimais bien. Surtout quand je les dominais et qu’ils se laissaient faire, souvent beaucoup plus facilement que les meufs. Là je prenais un vache de pied. J’ai compris que j’étais un dominateur né et que les petits pédés seraient plus dociles. C’est là que tout a commencé. Petit à petit, je me suis pris au jeu, j’ai amélioré ma technique, appris à manipuler les sentiments. J’étais fort dans ce domaine et le suis toujours. Je leur faisais faire n’importe quoi. Ça me faisait hyper bander de leur imposer des trucs, de les sentir à ma botte, prêt à tout pour moi.

- Quel genre de truc ? demanda Philippe. Fais-nous triquer, ça nous intéresse.

- Oh des trucs fous ! Souvent, je leur donnais rencart dans les chiottes du lycée et les baisais sans ménagement dans une cabine alors qu’il y avait du monde. Je les faisais mettre à poil et jouer au chien. J’avais trouvé une astuce pour aller dans les dortoirs en journée, entre midi et 14 heures, et là, sans risque d’être dérangé, je m’en donnais à cœur joie. Je les enculais à sec sous la douche ou la tête dans l’urinoir pour qu’il comprenne bien qu’elle était leur place. Je les attachais, les ligotais, enfin tout ce qui me passait par la tête. Je leur imposais des tenues hyper moulantes et sans sous-vêtement. Et quand c’était possible, je leur demandais de se travestir en pute.

- Hum, le parcours parfait du petit dominateur ! fit Florian. Et avec ta petite pute, tu es dans le même état d’esprit ?

- Oui sauf qu’il bénéficie de toute mon expérience, mieux que les précédents, mais il y a avec lui quelque chose de plus. J’avais l’intuition qu’il serait doué, et je ne me suis pas trompé. Depuis 2 ans il m’en a apporté de nombreuses preuves, mais j’avais aussi la quasi-certitude que j’aurai à son égard un attachement que je n’aurais pas avec les autres. Ce mec m’a toujours fait bander et attirer sexuellement. Je ne sais pas bien pourquoi. Sa frimousse, son allure, son cul, sa gentillesse aussi, son humour également, bref un ensemble de choses qui font que je l’aime bien et que j’ai envie de le rendre heureux dans son rôle de pute qu’il aime par-dessus tout, n’est-ce pas ma puce que tu aimes ton rôle ?

- Oui Maître et encore plus depuis ce que vous avez dit.

- Vous voyez, c’est une salope née.

- Je confirme dit Philippe. Une petite salope que l’on a envie de protéger et d’aimer, car ce que tu nous as avoué, c’est presque de l’amour.

- Vous croyez fit Stéphane… Je n’avais pas envisagé les choses sous cet angle. Tu as entendu, ma chérie, il paraît que je t’aime !

J’étais en pleine extase, m’acharnant avec encore plus de fougue sur la queue de chacun. Oubliées les crampes, j’étais heureux de donner du plaisir, un plaisir qui ne se démentait pas vu les bites aussi raides que la justice. Aucune d’elle n’avait ramolli sous mes caresses, preuve que j’étais une bonne suceuse

- Ah sacré Stéphane ! Nous avons bien fait de nous retrouver dans le même resto l’autre soir. Passer à côté de vous aurait été un immense gâchis, déclara Philippe.

- Et ta petite pute, tu nous la prêterais de temps en temps pour que l’on s’amuse avec elle ? Relança Florian.

- C’est ce que je fais ce soir, non ? Je la partage volontiers et j’adore ça. Vous n’êtes pas les premiers et vous ne serez pas les derniers, croyez-moi. A ce propos, demain, je dois rencontrer un avocat qui veut nous proposer un contrat pour sa mise à disposition. Ma petite pute y fait un stage et apparemment, il a flashé sur elle.

- Je crois savoir qui c’est, fit Philippe.

- Ah bon ! Tu en es sûr ?

- Oui quasiment répondit Philippe. Un avocat chaud de la bite, j’en connais un. C’est un sacré phénomène, plein aux as. C’est à lui que je fais appel quand j’ai un problème. Il est hyper connu dans le milieu. Ses partouzes sont mémorables et j’y suis déjà allé avec Florian et d’autres potes. Ce ne serait pas un certain Maître Thibaud L…

- Oui c’est ça. Le monde est petit. Je dois le rencontrer demain pour discuter d’un contrat entre lui et nous.

- Vas-y les yeux fermés. C’est un type réglo, rajouta Philippe.

- Ok super. Merci pour l’info mais pour en revenir avec la demande de Florian, je ne sais pas ce qu’il va nous proposer.

- On verra mais ce que je voulais dire, c’est : est-ce que tu nous la prêterais pour des soirées entières voire des week-ends ? J’ai une maison de campagne au sud de Bordeaux au milieu des pins, l’endroit est super tranquille et on peut baiser librement où l’on veut et quand on veut à toute heure du jour et de la nuit. Avec Philippe, on y organise assez souvent des parties de baise avec tous nos copains. On y ramène deux ou trois salopes et là on leur fait la fête. Et ton avocat y a déjà participé lui aussi.

- Pourquoi pas, répondit Stéphane. À la seule condition que j’y sois aussi et que ce soit du safe-sex. Et ça dépendra aussi du contrat de demain.

- Bien sûr, cela va de soi, rétorqua Florian. Tu en penses quoi Philippe ?

- Oui ce serait super, et je parie que ta petite pute à elle toute seule pourrait satisfaire tout le monde. Elle a l’air tellement résistante et accroc à la bite qu’elle assumera tout et sans broncher. Quant à ton avocat, j’en fais mon affaire d’autant plus, comme l’a dit Florian, qu’il lui est arrivé de participer à nos partouzes

- OK ça pourrait être bandant comme plan. Faut juste nous prévenir un peu de temps à l’avance, car la petite chérie va parfois rendre visite à Papa et Maman les week-ends, comme moi d’ailleurs.

- OK c’est génial, génial, génial. On va super bien s’amuser. Grazie Mile, s’exclama Florian. Bon, faudrait peut-être que l’on mesure sa résistance réelle maintenant non ?

- Oui, assez de la suçote. Faut passer aux choses sérieuses, fit Philippe. Remets tes œillères ma belle jument !

Je venais de goûter aux hors-d’œuvre. Place maintenant au plat de résistance.

Luc

luctulede@gmail.com

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